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Anonyme (34 ans)
Nationalité française
01 février 2023

Hello la team ! aujourd'hui j'ai décidé d'arrêter de fumer pendant ma journée de travail et je suis ferme dans mon intention - j'arrête la clope, je fume du tabac a rouler - je pense que c'est tout un rituel feuille filtre rouler ect... Depuis quelques jours sifflement quand je respire, de plus je fais du sport ... Je pense qu'il ai nécessaire par respect pour notre vie nos proches et nos objectifs, car notre corps est notre véhicule dans cette vie ! Je vous envoie plein d'amour et de détermination, et je crie haut et fort J'AI FINI AVEC CETTE MERD.... Bine à vous famille ex fumeurs
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Titane65 (57 ans)
Nationalité Suisse
18 août 2022

315 jours sans cigarette. 315 jours de liberté. 315 jours en accord avec moi-même. J'ai fait une thérapie au laser, deux séances. Peut importe la solution utilisée pour se débarrasser de ce poison, c'est le résultat qui compte. Biensûr ce fut très difficile au tout début. Biensûr j'ai pris 4 kg. Biensûr j'ai eu des insomnies, un état dépressif et des sautes d'humeur. Combien de temps ? Je dirais 3 semaines durant lesquelles je me suis fait violence. Et un certain laisser-aller : j'ai mangé à peu près tout ce qui me passait sous la main. Puis les premiers résultats apparaissent : une plus belle peau, des économies d'argent, plus de souffle... beaucoup plus de souffle, des envies de bouger, une nouvelle jeunesse et un grand besoin de prendre soin de moi. Alors aujourd'hui après 10 mois, un rééquilibrage alimentaire et 8 kg de moins, je ne dirais pas que j'ai gagné mon combat, cependant mon arrêt a été le début d'une reprise en main totale. Sport, alimentation, relaxation et beauté. Et quand on me demande mon secret : je réponds tout simplement que j'ai arrêté de fumer.
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Anonyme (24 ans)
Nationalité France
12 mars 2022

Bonjour/Bonsoir, J'ai 24 ans, cela faisait 6 ans que je fumais, j'ai décidé d'arrêter la cigarette du jour au lendemain car j'ai eu peur. La tachycardie, les crises d'angoisses ou encore le manque d'oxygène dans mes poumons me faisait de plus en plus peur. Je fumais des roulées on va dire que j'en fumé une bonne dizaine par jour, pendant le café du matin, pendant la pause à 10h, avant et après manger, à 18h à 19h à 20h... Jusqu'au coucher je fumer mes petites clopes à tout moment sans vraiment me rendre compte du mal que je me faisais. J'ai décidé d'arrêter car il fallait que je me sauve, même si aucun problème de santé important n'est présent aujourd'hui qu'il n'y aura aucun problème dans 5/10/20 ans. Nous sommes égoïste aujourd'hui avec notre nous-même du futur. J'ai arrêté avec une facilité assez déconcertante ! Moi qui pensais ne jamais y arriver, je me suis rendue compte que je n'avais jamais vraiment essayer. Je veux dire vraiment ! Luter luter contre cette dépendance, RÉELLEMENT. Nous sommes beaucoup beaucoup plus fort que ça. Les deux premières semaines ont été pour moi les plus difficiles, vertiges, nausées, fatigue, fringales, ennuis, et frustration. C'est clair que ça donne juste envie d'allumer un clope et se demander "pourquoi se faire tant de mal ? Autant refumer ça sera plus facile !" Mais non, au contraire prouvez vous que vous êtes plus courageux que ça ! Cela fait maintenant 3 mois que j'ai arrêté, j'ai redécouvert une force et une détermination chez moi que je croyais perdue pour toujours. Les deux premières semaines passées tout est devenu simple et évident ! J'en avais enfin fini de lutter, il n'y avait plus que l'envie de continuer sur ce chemin car j'étais et je suis fière de moi ! Je suis heureuse d'avoir retrouvé mon souffle, d'avoir repris le sport, d'avoir retrouvé l'odorat, le goût qui avait été trompé pendant 6 ans par le cigarette, heureuse d'avoir des poumons en bonne santé, heureuse d'avoir une bonne haleine (oui ça compte !) Heureuse d'être enfin moi, loin de cette fumée. Croyez en vous, je vous assure que l'on ai plus fort qu'elle ❤️
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LuluMarm (28 ans)
Nationalité Française
08 janvier 2022

71 jours :) je suis fière de moi et de tout ce que j'ai pu mettre en place pour arrêter la clope. Je ne fume plus, je ne pue plus, je savoure. Et puis il y a aussi la fierté de me dire que je serais prête pour cette nouvelle année, cette nouvelle année qui m'apportera sûrement un bébé. L'arrêt de la cigarette m'a permis de me recentrer sur moi- même et sur ce que je voulais faire de ma vie. Faire du sport (natation synchronisée, yoga, fitness), prendre soin de moi (les petits cadeau de temps en temps et le stress en moins). Je sens aussi une sérénité profonde depuis l'arrêt que je n'avais plus ressenti depuis des années. Je suis heureuse et en plein chemin vers l'épanouissement. Courage à toutes et à tous, vous pouvez le faire et y arriver. Vous pouvez prendre soin de vous.
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Sophie (26 ans)

09 août 2021

Douze ans. Douze ans que ma cigarette et moi vivons ensembles. J'ai commencé de fumer à l'âge de 14 ans. Mal dans ma peau de jeune ado, cherchant des repères, voulant braver l'interdit.... bref toutes sortes d'excuses plus ou moins valables servant à me déculpabiliser. Le résultat est là. Douze années de tabagisme. Une cigarette par mois...."je m'arrête quand je veux", une cigarette par semaine..."je m'arrête quand je veux", une cigarette par jour..."je m'arrête quand je veux...mais ça sera plus dur...",puis deux, trois, quatre, "il m'en faut de plus en plus", un paquet? Pourquoi pas deux? Puis viennent les associations détonantes: Café-clope Alcool-clope Night club-clope Fin de repas-clope....... Et toutes ces petites habitudes qui petit à petit s'inscrivent dans des rituels bien définis, bien huilés. Pourquoi arrêter? On est si bien avec sa clope. On a même une marque préférée ! sa marque fétiche sans qui rien ne peut arriver. Compagnon idéal de toutes les bonnes soirées, de tous les coups durs, des moments de stress comme de plaisir. Pour ne pas manquer il devient impératif de s'acheter la cartouche, dix paquets à la fois !!! Puis (parce que cela n'en fini jamais) surviennent insidieusement des petits problèmes. Une petite toux par-ci, une allergie par-là, tiens, du jour au lendemain on arrête le sport, plus de souffle, plus de jambes, migraines, fatigue, tout un tas de petites choses sans importances, bien souvent mises sur le dos d'une petite fatigue passagère, d'un rhume des foins (un grand classique au printemps). Au passage, on notera une ou deux réflexions des proches "vas te laver les dents, ton haleine est infecte", "tu devrai arrêter avant qu'il ne soit trop tard", "si tu fumais moins tu....". Mais enfin, pourquoi on nous embête avec notre chère cigarette ? On ne fait de mal à personne ? Et puis on est parfaitement au courant des risques ! Oui....., parfaitement......, sauf que le jour ou cela vous tombe dessus, vous mesurer la vraie ampleur des dégâts. Les petites toux se transforment peu à peu en grosses toux, puis en crachats de sang, vient ensuite la radio des poumons et le pronostic, bien plus fiable que le loto : "Monsieur, vous avez cancer des poumons, nous devons vous opérer d'urgence d'un lobe" ....opération.... chimio....opération...chimio..."monsieur, nous sommes désolé vous avez atteint le stade terminal, tout le monde descend....à la morgue".....pleurs, cris, larmes, puis plus rien. Voilà, cela est ma dramatique histoire. J'ai 26 ans, mon meilleur ami en avait 27. Nous avions commencé à fumer ensemble nos premières cigarettes. Il est mort il y a quatre jours devant moi. Cela n'arrive pas qu'aux personnes âgées, cela n'arrive pas qu'aux autres. Pensez à Franck lorsque vous allumerez la prochaine cigarette, surtout vous les jeunes.
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Franck (59 ans)
Nationalité France
14 juillet 2021

Voilà mon expérience personnelle: Bien qu'asthmatique enfant et jusqu’au début de l’adolescence, j’ai fait comme les copains et suis tombé dans le panneau de la cigarette vers 17 ans. A cet âge on manque d’assurance, alors on ne va pas encore en rajouter en se distinguant des autres par le fait de ne pas fumer, on n’est pas un gamin !!! Dans les années 78-80 la cigarette était encore tendance et à la mode. L’époque ou la publicité pour le tabac était partout, dans les journaux en passant par la formule1, les magazines sportifs, le cowboy Marl… Dans les films le héro fumait forcément puisque c’était le héro ! On fumait au bureau, au resto, dans les trains, les avions, les discothèques et les salles d’attente, il y avait des cendriers partout les voitures, les compartiments de trains… Les messages de prévention commençaient tout juste à exister mais on n’avait pas trop envie de les entendre. Je vais avoir bientôt 60 ans et je fume donc depuis 43 ans, malgré quelques arrêts qui n’ont pas duré longtemps. J’ai bien failli gagner cette bataille en 2008 ou j’ai réussi a arrêté, et ce pendant 6 ans. Je pensais bien être tiré d’affaire, mais une période de ma vie accompagnée de relâchement lors de soirées arrosées où on se retrouve entouré de fumeurs et se voit tirer sur la cigarette d’un ami (erreur fatale) s’en suit la rencontre d’une grosse fumeuse et on glisse sur une pente savonneuse jusqu’à la reprise ! Depuis ce jour (2014) j’ai dans l’idée d’arrêter de nouveau puisque j’avais réussi à le faire une fois. Mais je n’ai aucune volonté, je le sais bien ! On entend partout « pour arrêter il faut de la volonté » (c’est surtout les non-fumeurs qui le disent) ignorants ce qu’est l’addiction à la nicotine. Bien que n’ayant jamais été un gros fumeur (une dizaine par jour) je n’arrivait pas à m’en passer et elles m’étaient indispensables, même dans mes activités sportives (Trial moto) qui est assez physiques. Même à bout de souffle, j’étais celui qui allume une cigarette pendant les poses, au moment de se désaltérer, en arrivant sur le terrain, en repartant en fin d’après-midi… A force de me trotter dans la tête cette idée à fini par voir le jour, et je me suis dit qu’il fallait absolument que j’arrête le tabac avant d’être à la retraite. Il me semble plus facile de faire des efforts tant qu’on est en activité, occupé quotidiennement et avec les contraintes liées à la cigarette (poses à l’extérieur obligatoire, limitées dans la journée) ce qui n’est pas le cas lorsque je suis chez moi puisque totalement libre d’allumer une clope avec le paquet sous les yeux et parfois une consommation qui augmente. Le 25 juin 2021 i y a 2 semaines et demi j’avais rendez-vous avec mon généraliste et je décidais de lui demander de me prescrire du Champix, j’en avais entendu parler et un collègue de travail avait arrêté ave ce médicament. J'ai d'abord été effrayé par tout ce que je lisais sur le Champix, la liste d'effets indésirables est si longue que même Tabac info service me l'a déconseillé en disant que la varénicline ne devait se prescrire "qu'en seconde intention" !?! C’est-à-dire réservé aux très gros fumeurs, très dépendants, ceux qui ont tout essayé…. Les cas désespérés ! Devant mon manque de motivation et le plaisir que j’avais a fumer ma cigarette si indispensable après le petit-déj, le café, l’apéro, le repas etc. (et en règle générale j’appréciais les 10 que je fumais puisque justement, je n’en fumais que 10, pas de cigarettes superflues) Je ne voulais pas passer par la méthode douce encouragée pas Tabac info service : les substituts Nicotiniques, gommes à mâcher, patchs… Il me fallait une méthode radicale même comportant « quelques » risques. Je me suis dit que c’était le prix à payer pour me débarrasser de ce fléau et j’avais vu trop de personnes autour de moi échouer avec les substituts pour recommencer après quelques temps. J’avais moi-même expérimenté cette méthode il y a quelques années sans succès. La cerise sur le gâteau à été la réaction de mon médecin. Il a presque sursauté en entendant le mot Champix ! Il me répond : « NON, je ne prescrit pas de Champix. Je l’ai fait 4 fois dans ma carrière et j’ai eu 2 fois des problèmes. Une patiente a voulu sauter par la fenêtre ! « Vous avez essayé l’hypnose » ? Evidement tout ceci n’était pas en mesure de me rassurer, mais j’insistais argumentant que je n’étais pas fragile, ni physiquement, ni psychologiquement et que les effets indésirables sont potentiels, pas systématiques. Le lendemain samedi 26 juin je passe à la pharmacie et prends ma première dose de Champix à 11h du matin (0,5 Mg le matin pendant les 3 premiers jours du traitement) avec le même enthousiasme qui si j’avalais une pilule de cyanure ! Je rappelle que ma consommation quotidienne est de 10 cigarettes, parfois je débordais 11 ou 12. L’après-midi je pars faire du sport et ne change rien a mes habitudes, le samedi soir je n’en avait fumé que 8 ! J1 : 0,5 Mg matin = 8 cigarettes J2 : 0,5 Mg matin = 6 cigarettes J3 : 0,5 Mg matin = 5 cigarettes J4 : 0,5 Mg matin/soir = 5 cigarettes J5 : 0,5 Mg matin/soir = 4 cigarettes J6 : 0,5 Mg matin/soir = 4 cigarettes J7 : 0,5 Mg matin/soir = 3 cigarettes J8 : 1 Mg matin/soir = 1 cigarette J9 : 1 Mg matin/soir = 0 cigarette J10 : 1 Mg matin/soir = 0 cigarette…. Depuis dimanche 4 juillet je n’ai plus fumé de cigarette, nous sommes le 14 ça fait dix jours. Les dernières avaient un gout moins agréable qu’habituellement. Je ne sais pas encore si c’est gagné, l’envie de fumer me traverse quelques fois l’esprit dans la journée mais ça ne dure pas et je tien bon. J’ai envie de dire, c’est là que la volonté entre en jeu : Quand on a fait une partie du chemin, au prix de quelques efforts (largement aidés par le médicament) il ne faut pas renoncer et faire demi-tour. En dehors des rêves complètement dingues qui ne sont pas des cauchemars (presque amusants, j’ai revu des personnes totalement disparues de ma vie et de mes pensées) des nuits entrecoupées et une certaine fatigue sans doute liée a mon activité cérébrale nocturne et aux moments de réveil successifs qui rendent les nuits moins réparatrices, quelques fois une légère nausée (pas méchant, ça passe) et occasionnellement une sensation de vertige (comme quand on a fumé un joint, pour ceux qui connaissent) pas plus d’effets indésirables. Je ne peux en rien préjuger des réactions de chacun, mais pour ma part le rapport bénéfice risque est sans appel, totalement positif ! J’ai lu que le traitement pouvait durer jusqu’à 12 semaines. Mon médecin m’a prescrit deux boite de 14 jours donc 28 J. Je suis au 18 jours et je pense avoir fait une partie du boulot. Je crois que 4 semaines de traitement devraient me suffire, si j’ai tenu 3 semaines sans fumer je suis sur la bonne pente. Pour moi qui ait déjà arrêté, c’est la règle des 3 qui s’applique : 3 premiers jours, une bataille de reportée, 3 premières semaines, une seconde, et si on a tenu 3 mois c’est presque gagné ! J’envisage de diminuer la dose par 2 la dernière semaine du traitement (semaine prochaine) 1 Mg seulement le matin (au lieu de 1 matin / 1 soir) et ainsi prolonger d’une semaine le traitement en réduisant le taux de varénicline progressivement. Je verrais si le besoin de nicotine refait son apparition, mais j’ai bon espoir. Je ne sais pas si ce témoignage sera utile a quelqu’un, mais quand je pense a toutes ces journées sans tabac et me dit que je suis entrain d’entrer dans le monde des non-fumeurs, ceux qui ont plus de souffle, qui ne sont plus esclaves de cette M… et tous ces euros que j’économise (pour info le médicament est totalement remboursé avec la mutuelle) je n’ai plus qu’une seule chose à dire : MERCI CHAMPIX .
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m-ange (54 ans)
Nationalité française
11 juin 2021

le 14 avril 2013 je vous parlais de ma prise de la vapoteuse. je peux vous dire qu'il ne m'aura pas fallut 1 an pour l'arrêter. mais bravo car je n'ai pas repris la cigarette. décembre 2013 j'arrêtais la vapoteuse. j'avais descendu le taux de nicotine régulièrement. quels (troubles) après l'arret du tabac et de la vapoteuse ?? la perte du comment respirer. je ne savais plus remplir mes poumons d'air. je ne savais plus respirer par le nez. une kiné respiratoire m'a été d'un grand secours . mais je l'ai eu parce que j'ai la bpco. si je n'avait pas eu cette maladie et que je n'arrivais plus a respirer correctement j'aurais surement repris la cigarette. car ne pas arriver a reprendre correctement son souffle peut être très stressant. et malheureusement le stress favorise la prise de nicotine. si vous avez envi d'essayer la cigarette en prenant la vapoteuse (attention, celle qui se recharge avec des e liquide fait en france) faites le. cette vapoteuse sera toujours moins nocive que la cigarette. mais pensez a ajuster le taux de nicotine . car la diffusion dans le corps est différente et si vous prenez un taux trop faible vous ne serez pas satisfait. au début j'ai intercalé cigarette et vapoteuse. puis au bout de quelques jours je n'avais plus que la vapoteuse. changer vos habitudes. ex fumez dehors et non dans vos habitations. ne fumez plus dans la voiture. rien que ces petites choses pourraient vous aider. une autre chose et pas la moindre, votre pouvoir d'achat passerait du simple au triple. et votre santé serait préservée. alors non votre moral ne restera pas au top niveau tous les jours, mais chaque matin sera plus facile. a cause de la cigarette je ne pouvais plus faire de sport. en 2019 nous sommes partis 15 jours a vélo avec mon mari et ma fille. on a suivit le canal rhone au rhin, nous avions la toile de tente et le réchaud. c'était fantastique. nous avons fait 180km a vélo. c'etait la liberté. ne plus fumer c'est être libre. bon courage a tous et toutes
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Alinah (26 ans)
Nationalité France
15 avril 2021

Bonjour à tou.te.s, Cela va faire 1 an que j'ai arrêté de fumer quotidiennement. Je fumais depuis 9 ans en moyenne 10 cigarettes roulées par jour, je m'étais faite ma meilleure alliée psychologique pour palier à mon mal- être. D'années en années, je sentais mon corps se fatiguer plus rapidement, une toux perpétuelle, une peau sèche... Je ne voulais pas mourir du tabac, car je sentais bien que le tabac m'enlevait mes forces. Pendant le premier confinement, j'ai décidé que j'arrêterais le tabac. La première semaine, je me suis autorisée une cigarette par soir, puis la semaine d'après plus rien. Comme nous ne pouvions sortir de chez nous, ça m'a aidé à m'apaiser et à enlever les envies fortes qui peuvent subvenir quand nous sommes dehors par stress, occupations, contenance... Pour palier au manque, je me suis mise au sport, j'ai cuisiné, j'ai mis mon activité autre part. Dès qu'une envie devenait trop forte, je faisais le ménage, je prenais une pilule de fleur de bach, une gomme nicorette, je faisais des exercices de sophrologie pour m'apaiser. En 1 an, je peux dire que je n'ai presque jamais envie de fumer. Je suis très heureuse d'avoir arrêté, je perds moins mon temps, j'ai récupéré toutes mes facultés physiques et je me sens mieux psychologiquement car même si nous croyons que la cigarette noue apaise, elle nous stresse car nous sommes conscients qu'elle nous détruit mais nous préférons vivre dans le déni, ce qui créé une cassure psychologique. Bref, j'encourage tous ceux qui souhaitent à arrêter car votre réalité deviendra plus belle et plus saine. Courage à tou.te.s, avec tout mon soutien.
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Lila (34 ans)

17 mars 2021

Bonjour cela fait trois semaines q j’ai arrêté de fumer.. c’était le mercredi des cendres parce q j suis tombée sur ce « terme » parce qu’il était temps. 20ans de dépendance, d la peine à faire d randonnées en montée, le souffle coupé le cœur battant la chamade.. à 35ans seulement. J’ai arrêté trois jours puis j’ai craqué fumant une latte .. la latte qui anesthésie le cerveau qui lui fout un coup et qui arrache les poumons. Pis j’ai arrêté le lundi suivant. Dur très dur quelle drogue d merde! L’état devrait interdire cette substance bien plus addictive et dont il m’a ete plus difficile d me séparer q d la Coke et du joint. Envies obsessionnelles d clope, envie d sucré (normal cette salope est composée d 20% d sucre!!!!), déprime angoisse désespoir. Arrêt sans substituts si c n’est du millepertuis en tisane pour l’humeur et du cynorhodon en tisane pour « arrêter l’envie d la bouche »... quand l’envie est forte un thé « lap sang » (thé noir au goût/odeur fumé) très efficace ... du sport pour libérer les hormones d bonheur! pis l’envie passe à chaque fois au bout d quelques minutes elle s’en va faut tenir bon. Au bout d quelques jours l’odorat revient... quel plaisir en c printemps. Et le goût (tiens j pensais savoir mieux cuisiner, tiens ils sont immondes c sandwich industriels q j mangeais à midi), j ressens d odeurs d’enfance... la pluie dans l’air , le gazon... j grimpe une montagne avec plus d souffle, j cours sans aucune gêne pulmonaire. J respire enfin! Et petit à petit j’oublie l’envie d cette salope. Ne surtout pas craquer quand la faim te ronge « avant l’heure » et quand l’envie d sucre te prend (le sucre étant également une drogue). Ne pas abandonner.. regarder d documentaires sur la mafia d cigarettiers/meurtriers pour savoir le meurtre parfait qu’ils ont inventé. Les premiers jours étaient très dur, j ne me considère pas encore comme non fumeuse ayant encore envie d cette salope d temps en temps... n’abandonne pas, ne désespère pas, les angoisses et déprimes sont aussi là pour boucler qqchose qui nous ronge depuis longtemps laisser passer avoir d la patience et confiance. La satisfaction mais surtout les bienfaits sont o combien délicieux. Un élément toxique important d moins dans ma vie. Dieu merci sans toi j n’y serais pas parvenue. Ayez confiance en vous et en dieu si vous croyez en lui. Vous arrivez à vous défaire du manque... il ne faut pas craquer même pour une latte une taffe la taffe d trop qui te ramène à l’état desclave.
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Anonyme (43 ans)
Nationalité Française
25 novembre 2020

Bonjour, Je viens de lire quelques témoignages et cela m’a donnée envie de partager aussi mon expérience. J’ai arrêté la cigarette depuis presque 5 semaines. J’avais précédemment arrêté plusieurs fois mais en définitive sans que ce soit moi qui l’avait réellement décidée, les causes étaient mes maternités, une intervention chirurgicale, du coup reprise derrière de la même façon que lorsqu’on commence à fumer. D’abord une cigarette lors d’une soirée puis deux puis juste une par jour, puis deux ... et le rythme, sans que je m’en rendes compte est revenu. J’avais tellement honte de moi que je me cachais souvent de mon mari ou de mes enfants. Quelle vie ! Alors il y a environ deux mois j’ai appelé un Tabacologue, j’ai pris rendez vous et là, en fait je me rends compte aujourd’hui que j’avais fait le plus dur car j’avais pris LA décision. J’ai mis des patch qui j’en suis sûr m’ont bien aidée mais j’ai commencé à en oublier certains jours et cela fait maintenant 4 jours que je n’en mets plus, je ne le fais pas exprès mais je n’en ressens plus le besoin la journée, je suis bien tout simplement. Par contre je dors très mal, mon Tabacologue me dit de ne surtout pas les arrêter mais moi j’ai envie de me sentir complètement libre de cette emprise nicotinique. Je sais que je ne reprendrais pas et j’ose le dire, chose que je n’aurais pas fais les autres fois car aujourd’hui c’est moi qui l’ai décidé. Je suis moins patiente qu’avant mais d’après mes proches pas désagréable du tout, mes enfants sont ravis . Je bois beaucoup de tisane, je mange également beaucoup de pommes et je fais plus de sport, en bref que des bonnes choses pour ma santé et mon bien être. Je suis heureuse de vous avoir lu et heureuse d’avoir pu écrire, cela doit être effectivement une bonne thérapie, merci de pouvoir nous le permettre.
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