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"sevrage" (49)

Anonyme (44 ans)
Nationalité francaise
17 juin 2020

Grace à votre aide et vos explications surtout pendant les 6 premiers mois de sevrages en m'envoyant tous les matins l'évaluation de mon humeur ainsi que les détails sur les symptômes du sevrage; J'ai réussi aujourd'hui aussi avec l'aide d'une psychologue à ne plus fumer aucune cigarette depuis le 23 juin 2019 17H25. A chaque fois que j'avais un symptôme ou une angoisse, je trouvais l'aide sur votre site. Merci beaucoup et je n'oublierai jamais cette étape de sevrage avec l'aide de STOP TABAC ;CH.
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Anonyme (32 ans)
Nationalité suisse
14 octobre 2019

Bonjour à tous, je vous raconte mon histoire en lien avec la cigarette car je suis extrêmement reconnaissante aux autres personnes qui ont partagé la leur ici, ça m'a tellement aidée de lire les autres témoignages. J'ai arrêté de fumer du tabac il y a un an pile aujourd'hui. Ca faisait depuis mes 14-15 ans que je fumais régulièrement en moyenne 15 cigarettes par jour et parfois bien plus. J'ai commencé à fumer parce que j'avais l'impression que cela devait comporter un bénéfice (mon papa fumait). Même si je pressentait que c'était destructeur, quelque chose m'attirait dans cette solution: une mini baguette magique, un accessoire du désarroi, des moments vides, un accessoire des rebelles: quitte à se faire du mal, il y a une douce arrogance à fumer. "Ca ne m'atteint pas, je suis plus forte que la clope". J'ai continué à fumer pendant 16 ans, j'ai traversé l'adolescence, j'ai eu un moment de complicité avec mon papa en lui avouant que je fumais, puisqu'on était en vacances, autant le lui dire il allait le découvrir de toute façon. La clope, c'était un petit gadget qu'on porte toujours avec soi, qui nous permet de sortir prendre l'air, d'avoir une excuse pour fuir une situation, de prendre un moment à soi. La clope, c'est un tête à tête avec soi-même et un privilège avec les autres fumeurs, c'est un marqueur de moments forts. Pas possible d'envisager une discussion profonde avec un verre de vin rouge sans la cigarette. Impossible de vivre un trajet en voiture sans clope: la clope, c'est pour marquer les moments: dire à son cerveau "regarde, il faut célébrer, savourer" ou à l'inverse, un médicament pour les moments douloureux. IMPOSSIBLE D'ENVISAGER DE S'EN PASSER, ça serait un peu mourir. Pendant des années, je continue à fumer, en ayant en arrière fond une pensée amère. Un jour, alors que je le craignais pour lui depuis longtemps, mon papa se fait diagnostiquer un cancer de la gorge. Honnêtement, si je n'avais pas été témoin de ce drame, je n'aurait pas réalisé à quel point c'est néfaste. Je vais ici vous raconter des choses crues, mais c'est ce qui m'a aidée à avoir un moteur pour arrêter alors je vous souhaite le même: pour moi il faut absolument avoir peur pour avoir le courage d'arrêter. Grande perte de poids, mon papa que j'aime m'apparait comme une ombre, un être décharné. Scanner, diagnostic: cancer de la gorge. Je ne réalise pas encore. Il s'en suit chimio, passages répétés à l'hôpital: nous vivons des moments intenses, car on réalise à quel point la vie est précieuse. Plus tard, la réalité beaucoup plus morbide apparait: il faut poser une canule (un trou par lequel respirer). Opérations diverses, visites à l'hôpital avec cette odeur âcre qui persiste, le cancer, c'est la chair qui débloque qui brûle et qui meurt, impossible de passer à côté de ne pas voir. Le plus dur, une image qui ne me quittera jamais, c'est quand on a dû lui enlever TOUTES les dents, pour permettre de faire la thérapie par rayons. Cette image, c'est la pire du monde, encore aujourd'hui 8 ans plus tard, j'en garde une trace profonde. Sa mort survient 6 mois après le diagnostic initial. De mon côté je continue à fumer en me voilant la face. Chaque année, ma peur augmente. Je flippe aux moindres douleurs à la gorge, je suis consciente que le jour de l'annonce d'un mal lié à la clope va arriver. Un jour en rigolant avec des amis sur nos objectifs de vie, je me prends à dire pour la 1ère fois mon désir d'arrêter de fumer. Sans y croire, en sachant que c'est impossible. Je suis la fille la plus accro du monde, en tout cas c'est sûr je n'y arriverai jamais. Un an plus tard, je me réveille après une grosse soirée, et je constate que j'en ai marre d'avoir peur, marre d'avoir l'impression d'être desséchée, de sentir le tabac froid et d'être impuissante. Je prends mon ordinateur et je déverse ma haine et ma peur sur le clavier. J'ai la chance d'être assez dégoûtée de toute substance nocive à ce moment. Ca ne me manque pas. Je sais que le manque physique va me submerger, alors je pars acheter des patch. Et là: révolte, les patch sont une autre arnaque, c'est beaucoup trop cher. Je décide d'écumer internet à la recherche de solutions naturelles pour aider au sevrage. Teinture mère de valériane, homéopathie, thé aux plantes, spray au Kudzu (apparement bon pour le sevrage du tabac et de l'alcool), inhalations, millepertuis (attention aux interactions médicamenteuses et déconseillé aux bipolaires). Apparement, il y a dans la nature une armada pour nous aider. Je redécouvre rapidement ce que odorat veut dire: au bout de 4 jours, mes papilles sont en fête, tout a un goût tellement génial. Je sens aussi de nouveau les odeurs, l'odeur des arbres, des plantes, les petites effluves de bouffe qui envahissent les rues et qui donnent faim, je sens l'odeur de la pluie et de l'herbe coupée. C'est tellement réconfortant. J'ai une immense fatigue qui s'abat sur moi mais je prends ça comme un revers mérité après toutes ces années à ne pas écouter mon corps. Je fais mille siestes par jour, je prends le temps: je suis en convalescence et je dois l'accepter. Les moments d'envie arrivent: les terrasses au soleil en automne, les fins de repas animés, la sortie du boulot: oui, il faut faire le deuil. Qui suis-je sans la clope? c'est le mantra que je me répète 25 fois par jour. Je ne veux pas arrêter à tout prix, mais répondre à cette question du mieux que je peux. Je ne me prive pas d'en parler autour de moi quand j'en ai vraiment besoin: c'est dur quand même... Impression de ne plus être vraiment moi, d'être clouée au boulot alors que les autres vont fumer ensemble, qu'est ce que je fais de mes mains maintenant que je peux plus rouler de clope?! Je ne suis plus vraiment rebelle, ni aventureuse, je deviens sage? cette idée ne me plaît pas. Mais je tiens, je dois trouver qui je suis sans le tabac. De semaine en semaine, j'y pense de moins en moins. Ce qui m'aide est l'application BuddyApp, avec laquelle on se choisit un parrain: moi j'ai demandé à ma soeur jumelle. C'est chouette d'être soutenu et que les gens qui vous aiment vous suivent dans vos progrès. De pouvoir se confier jour et nuit. 6 mois après, je n'ai presque plus envie. Sauf en soirée pour faire comme les autres. Puisque mon cerveau est alambiqué, je trouve une solution: j'ai un petit mélange de plantes sans tabac pour pouvoir rouler une clope aux herbes, sans risque de redevenir accro. J'en fume une fois ou deux. C'est franchement pas super bon, et ça sent la forêt cramée. Qui plus est, aucun effet sur la dopamine et autre machin, aucun booster du cerveau aucun soulagement...rien mais ça me donne l'illusion que je peux si je veux.Du coup, ça me calme et je n'y pense presque pas, mais de savoir que ça existe ça me réconforte... chacun ses petits trucs. Mais je sais que tout ce qui se fume potentiellement représente une menace pour moi, que ce soit du pissenlit ou du tabac. Aujourd'hui ça fait donc un an que je n'ai pas fumé de tabac. Je suis vraiment fière, et heureuse d'avoir au moins essayé. Et je sais que ce n'est jamais un succès complet, qu'il ne faut vraiment pas que j'y retouche parce que je redeviendrais une junkie du tabac. Je veux vous dire un message: *si j'ai pu y arriver jusque là, vous pouvez aussi.
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Anne (44 ans)
Nationalité Suisse
20 septembre 2016

Bonjour, cela fait désormais 3 ans que j'ai arrêté de fumer et j'en suis particulièrement fière. Je fumais un paquet par jour depuis 25 ans. Ce témoignage pour vous parler des "surprises" qui ont fait suite à mon arrêt du tabac : la mauvaise mais qui était prévisible, la prise de poids, 8kg que je n'ai pas encore perdus. Pour ce qui est du reste, que du positif : souffrant d'angoisses dont je n'arriverais pas à comprendre les causes (et à me débarrasser), celles-ci ont disparu à mon grand étonnement pratiquement du jour au lendemain suivant l'arrêt de la cigarette sans jamais réapparaitre ensuite... Un très grand bonheur auquel je ne m'attendais pas du tout... Ensuite j'ai retrouvé une énergie incroyable. La cigarette me donnait une sensation d'épuisement dès le réveil mais l'arrêt m'a redonné "la pêche" ! Je me suis mise à inviter plus de monde à la maison, à sortir plus souvent, à organiser des soirées entre amis, mes journées sont bien remplies avec beaucoup moins de fatigue... et cette énergie retrouvée m'a permis d'engager une lutte contre ma phobie de l'avion et de suivre un cours pour la vaincre... ce que j'ai réussi 6 mois après l'arrêt du tabac. Grâce à l'arrêt de la cigarette, j'ai trouvé très vite la force de me soigner (et les économies) et de prendre l'avion en direction de New-york, de la Norvège, du Sri-Lanka, de l' Ecosse...et j'en passe ! Je tiens aussi préciser que mon conjoint est fumeur et qu'il n'a jamais arrêté du fumer...J' 'encourage donc chacun à ne pas attendre sur son conjoint pour arrêter de fumer et à suivre son propre rythme et sa propre démarche...En tout cas, je vis avec un fumeur, j'ai toujours été confrontée à la cigarette et cela ne m'a pas empêché d'arrêter de fumer... Aujourd'hui, je pense parfois à la cigarette mais très rarement avec envie... et si l'envie apparait, elle dure entre 5 et 10 secondes c'est donc tout à fait gérable. Désormais, je peux être à côté de fumeurs sans me rendre compte qu'ils fument et c'est un sentiment absolument fabuleux ! Et finalement, j'en viens à mes deux premiers arrêts "ratés" qui ont été plutôt réussis car ils m'ont permis de mieux appréhender les difficultés et les pièges de la période de sevrage. J'ai donc abordé mon 3ème essai avec l'expérience de mes "ratages" qui m'ont apportés beaucoup et qui m'ont menés sur le chemin de la réussite. Je n'évoquerai pas ma méthode car à chacun celle qui lui convient ! Depuis que je ne fume plus, j'ai le sentiment de vivre ma vraie vie, de m'être "retrouvée" et quoiqu'il arrive, je suis fière et heureuse ! Mes encouragements à tous les futurs ex-fumeurs et à ceux qui ont commencés le sevrage ! we did it !!!
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Anonyme
Nationalité Française
23 mai 2013

Bonjour, Je voudrais d'abord vous remercier pour votre site grâce auquel j'ai enfin pu me libérer du tabac ! Ayant pu constater chez moi le lien extrêmement fort entre dépendance au tabac et problème thyroïdien ( non diagnostiqué) ainsi que la "réticence" et / ou méconnaissance des médecins à dépister des maladies thyroïdiennes ( prise en compte de la TSH et des T3 et T4 pour établir un diagnostic fiable), je trouverais très utile une enquête ou un lien visible encourageant les personnes dépendantes au tabac à se poser la question du lien entre dépendance au tabac et problème thyroïdien. Je précise que c'est l'arrêt du tabac qui a "déclenché" la découverte de mes problèmes de thyroïde et de maladie auto- immune qui étaient masqué par le tabac. J'ai découvert depuis des études très intéressantes sur le lien avéré entre dépendance à la cigarette et problème de thyroïde et les éventuels signes qui peuvent mettre les médecins sur la piste de ces maladies. Dans mon cas la découverte de ces maladies a été bien trop tardive. Jamais un médecin n'a fait le lien entre mes symptômes ( fatigue anormale et déprime que la cigarette m'aidait à affronter ) et n'a voulu demander une mesure de mes T3 et T4 qui auraient pu (?) dépister ma maladie car la TSH seule était dans les normes. Je me dis qu'éventuellement d'autres personnes peuvent souffrir de la même maladie que moi et que, mis sous Lévothyrox ( au lieu d'un inutile antidépresseur), ils pourraient avoir plus de faciliter à rompre leur dépendance avec le tabac. Je précise que mon sevrage s'est apparenté à une longue descente aux enfers ... sans la cigarette pour me stimuler et ma thyroïde battant de l'aile, l'arrêt a été proprement infernal. En outre, il semblerait que si mon problème avait été diagnostiqué avant le sevrage, celui-ci aurait été mieux conduit, me préservant éventuellement d'une aggravation subite de la maladie. Si mon expérience pouvait aider d'autres personnes avant qu'il ne soit "trop tard" ( dans mon cas nodule de 4 cm, goitre plongeant, maladie de Hashimoto etc etc.....)
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Maryhoon (39 ans)
Nationalité Suisse
20 mars 2024

Il y a bientôt une année, j'ai arrêté de fumer du jour au lendemain alors que je ne croyais pas ça possible. Ca faisait déjà tellement longtemps, plusieurs années, que j'essayais d'arrêter mais je reprenais toujours. Je voulais arrêter mais je ne savais plus comment m'y prendre. J'ai posé une date bien lointaine pour refaire encore un essai d'arrêt, mais je n'y croyais plus. Bien avant la date d'arrêt prévue, j'étais dans mon lit un soir et j'ai fait une sorte de prière au ciel en disant que je n'y arriverais jamais et que j'avais besoin d'aide. J'ai reconnu ma complète défaillance dans cette lutte contre cette drogue. Quelques jours plus tard, je me suis réveillée un matin avec l'idée qu'il fallait que je ressaie tout de suite. Sans y croire et alors que deux jours avant j'avais fait le stock de tabac, je me suis dit ok, on va réessayer. J'ai eu l'impression pour la première fois de me jeter dans le vide. J'ai accepté que c'était fini, derrière moi, que je n'en aurais plus jamais besoin. Le sevrage s'est bien passé, je n'ai plus eu besoin de lutter. Après coup, je pense que cette prière, adressée à personne sinon peut-être à une partie de moi-même, a changé quelque chose dans mon inconscient, reconnaître ma petitesse vis-à-vis de la clope a comme décuplé une force et permis d'induire une nouvelle perception de la cigarette. C'est ce changement de perception qui m'a aidé, car je n'ai plus vu la clope comme ma béquille, mon amie, ou quelque chose qui faisait du bien, juste comme un truc dont je n'avais plus besoin. C'est la première fois que j'ai arrêté sans penser qu'un jour j'en reprendrais une. Clore le chapitre clope mentalement a été capital. Le forum de la tribu anti tabac https://tribu-stop-tabac.ch/ a été aussi d'une grande aide car il permet de mieux comprendre les mécanismes de l'addiction et surtout de partager les expériences. Arrêter de fumer m'a libérée d'un grand poids et ma santé physique et même mentale se sont améliorées... Il ne faut jamais perdre espoir et toujours garder cet objectif, on peut y arriver, même si ce n'est pas du premier coup, on peut se libérer de la clope quand on comprend qu'elle ne nous sert plus à rien...
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Olfa (47 ans)
Nationalité Belgique
06 janvier 2024

Bonjour, Ça va faire 3 mois que j'ai arrêté. J'ai toujours des symptômes : maux de tête, nausées. Mais mon appétit est redevenu normal et la constipation est enfin passé. Je sens mes poumons qui me brûlent ces derniers temps et que fais de l'asthme par moments ( puff cortisone a petite dose pour aider) et aussi je sens du mucus qui s'évacue. "Bon signe" d'après le médecin. Et ça risque de durer m'a t'il dit . Il m'a aussi confirmé que le sevrage tabagique était le plus compliqué de tous. Car c est une drogue, (et oui la cigarette est une drogue) facile a trouver et peu cher. Je ne reprendrai plus jamais la cigarette, de ça, j en suis certaine. J'étais une fumeuse de 20 cigarettes à 10, pour 7, les tubées et pour finir des roulées avec des phases de non tabagisme pour reprendre car j'étais entourée de fumeurs ! Donc j'ai pris une décision : M'isoler des fumeurs, au début et prendre des patch pendant 1 mois. (La fumé, aujourd'hui me dérange fortement car elle me donne des nausées. ) Et les patch fonctionnent très bien quand on a le bon dosage . (1 mg=1 cigarette normal. ) Du coup, a part les symptômes que j'ai encore , j'ai une peau plus clair, la couleur de mes lèvres sont roses et mes dents ont aussi éclaircis. Je monte les escaliers plus facilement, deux volets et je suis beaucoup moins essoufflée, évidemment. Mais je ne suis pas encore capable de courir 5 km . Bientôt .... Voilà . Courage a tous et bonne chance a ceux qui vont penser a eux positivement en arrêtant de fumer .
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Bezsc (76 ans)
Nationalité CH
19 novembre 2023

Hello bonjour toutes et tous, Je tiens le coup 😉 depuis 100 jours sans trop de difficultés. Grâce à mes patchs et ma tabacologue. Je vis mon sevrage confortablement. Novembre et décembre sont des moments festifs et je dois faire encore attention à la prise d'alcool ? Portez-vous bien, bon vent et bonne route à vous. Bezac
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sephirot212003 (47 ans)
Nationalité Belge
27 octobre 2023

Je tenais à remercier l'équipe de Stop-tabac pour leur aide au moment où j'ai pris la décision d'arrêter de fumer. Cela fait déjà un an, avec quelques poussées d'envie, mais aucune rechute à déplorer. Petite mention à Juliette qui m'a accompagné lors de mon sevrage. Bonne continuation 👌✨.
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Bernard (62 ans)
Nationalité Suisse
27 septembre 2023

Bonjour à tous et toutes, Après 4 jours je tiens bien le coup avec l'aide de patches mais j'ai des problèmes de brûlures d'estomac assez fortes. Est-ce un symptôme connu ? Est-ce lié au fait que je mange plus et plus souvent ? Merci pour les retours et courage à tous ceux qui sont en sevrage
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Patty (59 àns ans)
Nationalité Française
05 août 2023

Le plus beau cadeau que je puisse me faire est celui d’arrêter de fumer, je crois que cela fait 2 semaines, je ne sais déjà plus que je fumais car j’ai commencé une nouvelle vie et aucun manque à constater, j’ai l’impression de n’avoir jamais fumé et c’est un sentiment merveilleux, celui d’être enfin libre et ne plus devoir sortir fumer et de s’isoler aussi en même temps. Il est vrai que je dors mal mais c’est une phase du sevrage et oui je somnole un peu mais c’est pas grave et je sens que mon corps peu à peu n’est plus sous l’emprise de la nicotine. J’étais malade quand je fumais et désormais je sais que comme l’alcool il ne faut jamais accepter cette cigarette et s’en convaincre tous les jours. Voilà je continue mon combat car cela en est un, mais j’avance pas à pas et seul l’instant présent importe. Rien n’est impossible, au contraire, notre force est notre persévérance et notre humilité car rien n’est acquis dans la vie. Merci
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