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momo (69 ans)
Nationalité belge
04 mars 2021

Le tabac fut une addiction horrible,le sevrage fut pénible, j'étais déterminée arrêter sans médicaments, le tabacologue était impuissant face à ma décision! Trois semaines plus tard, j'ai dit OUI, patch nicotine et nicorette....Le lendemain matin, plus du tout envie de fumée et je vous dis avec honnêteté , mentir, c'est refumer! Cela fait 100 jours que je ne fume plus et je ne m'enfuis pas quand les autres fument, aucun manque. Que s'est-il passé!!! J'ai entamé une résilience, aidée par tous ces services magnifiques qui nous sont offerts en Belgique, j'ai basculé à 180°, seule moi, je sais ce qui est bon ou mauvais pour moi. La vie est belle, L'addiction sera toujours présente, c'est une maladie qui ne demande aucuns médicaments pour se soigner (après le sevrage évidemment) seulement ne plus y toucher, car, une seule me serait fatale (ce n'est que mon avis perso). Le pouvoir qui m'est offert sans ce poison, n'est que bonheur, bienveillance, l'amour d'autrui, le cœur n'est plus sec etc. L'unique problème c'est pour ma famille, devant eux se trouve une autre personne, (c’était quand même mieux quand tu fumais, incroyable l'égoïsme des autres). Que vous dire encore, une boite à outils nous est offerte, chacun prend les outils qui lui convient, je vous dis avec humilité, si, j'avais la solution pour tous, je vous l'offrirais, aujourd'hui, je sais que c'est combat personnel, avec l'aide des personnes comme moi, les ressentis, les douleurs, les incompréhensions, j'ai écouté, lu, téléphoné, et abuser. En un mot j'étais une emmerdeuse. Sans eux, rien n'aurait été possible, l'orgueil et tous le reste....J'ai baissé les armes, face aux moulins à vent, je me suis inclinée, peut importe qui est premier ou second, cela n'a aucune importance, tout est dans la tête, et, non, je n'ai pas de volonté, simplement écouter les personnes et prendre ce qui me convient. Je vous souhaites à tous un courage et une détermination de vouloir connaitre la joie et le bonheur.Cordialement. Momo.
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Anonyme (54 ans)
Nationalité Française
19 mars 2020

Bonjour à tous, En plein confinement de coronavirus, je viens de recevoir un message de félicitations, pour 1 an d'arrêt du tabac. Percée de ciel bleu: un sentiment de joie se mêle à celui, très fort, de gratitude pour l'équipe qui a conçu et anime le site. Après 35 ans de consommation, 20 ans de très grosse consommation et de dépendance ++, plusieurs tentatives d'arrêt et un certain découragement, j'ai trouvé la capacité de surmonter toutes les difficultés que j'avais déjà rencontrées. Aidée des patch mais surtout soutenue par le site, ses articles d'info, les tests pour faire le point et voir sa progression, les astuces et techniques: enfin des spécialistes, fins connaisseurs de l'addiction, prennent en compte les épreuves que tu vas subir, t'aident à t'y préparer, à t'armer pour les affronter, et à renforcer tes capacités pour les surmonter. Un entrainement technique, psychologique, une transmission pleine et entière des connaissances que tu peux acquérir sur ce dont du es l'objet (identifier les mécanismes de l'addiction, repérer les symptômes, les accepter, les surmonter), identifier les risques de rechute pour élaborer des techniques personnelles pour s'y préparer...) Autant de connaissances que tu vas pouvoir mettre au service de ta capacité à agir: tu deviens ton propre médecin, l'acteur de ton arrêt. Un sentiment de fierté, de victoire, un gros coup d'amour propre. Du coup en plein arrêt, j'ai affronté 2 inondations d'appartement, un déménagement d'urgence, une maladie cardio vasculaire liée à la conjugaison du tabac et du cholestérol, dont les symptômes se sont déclarés après l'arrêt, un accident chimique environnemental très grave (Lubrizol), et maintenant le coronavirus, comme vous. Parfois encore, je fumerai bien une petite clope, pour m’asseoir et me dire, ouahou. Mais je sais ce que c'est: le besoin de la petite récompense chimique. Et je sais aussi qu'une autre récompense fonctionne tout aussi bien, ou mieux dans la durée. PS: je ne me suis pas pesée mais je n'ai du prendre que 2 ou 3 kilos, perdables si je me bouge un peu plus. Mais j'ai totalement éliminé les graisses animales de mon alimentation, devenue presque végan par nécessité de combattre le cholestérol. Autre appui et pas des moindres: les patch pendant presque 5 mois quand même, et surtout la découverte du Yoga, un soutien très utile pour réapprendre à être en vie, à respirer, à gérer ses angoisses, les insomnies, puis plus tard accompagner ce changement de vision de soi, changement de vie.je souhaite aussi remercier les personnes qui ont laissé leur témoignage, première porte d'entrée vers le site. Ceux que j'ai lus m'ont redonné confiance dans le fait que c'était possible et m'ont aidé à re-décider d'essayer d'arrêter: si j'ai pu, vous le pouvez aussi, ce n'est que du bonheur de franchir les étapes vers la sortir de cette spirale étouffante de l'addiction au tabac. Merci à toute cette communauté humaine virtuelle réunie dans cet échange. Le site fait ici une belle démonstration du rôle que peut jouer le numérique pour les progrès de l'humanité ;) Espérant éveiller en vous le désir de commencer votre arrêt, vous y retrouverez votre amour propre, confiance en vous, et une deuxième vie toute neuve. Stop-tabac.ch vous mettra sur la bonne voie pour retrouver les capacités que le tabac vous a ôtées.
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Anonyme (33 ans)
Nationalité Belgique
14 janvier 2020

Mes début de fumeuse: J'ai commencé à fumer à l'âge de 15 ans. Je voulais faire partie d'un groupe alors j'ai commencé à fumer. Pensant d'abord pouvoir gérer ma consommation et arrêter quand je voulais, je me suis vite rendue compte que je n'avais pas gagné de groupe d'ami et qu'en plus, j'étais dépendante. J'ai reporté mon arrêt du tabac à plus tard pendant longtemps. Ma méthode: Aujourd'hui, après de nombreuses tentatives sans succès, j'ai arrêté depuis un mois. J'ai 33 ans et 3 enfants. J'ai d'abord diminué ma consommation pendant 1 an, et j'ai lu le livre Allen Car qui m'a aidé à avoir envie d'arrêter puis arrivée à 2 cigarettes, j'ai arrêté. Pendant 3 jours j'y pensais tout le temps, c'était difficile mais je savais gérer mon mental en reportant l'envie qui ne me quittait pas. Je suçais des bonbons à la menthe et à l'anis pour faire passer l'envie de fumer. Après ces 3 jours, le 4ème jour a été un soulagement, je pensais toujours à la cigarette mais je gérais vraiment cette envie. Ça devenait vraiment gai, parce que je savais que j'avais passé le pire et je sentais que je gérais. C'est un peu comme quand on joue à un jeu vidéo et qu'on est bloqué à un niveau puis qu'après de l'acharnement on y arrive. Après 2 semaines, je n'avais plus d'envie du tout. Comment je me sens: Aujourd'hui, après un mois sans tabac, il m'arrive d'avoir des flashs mais je les balaye de ma tête. Parfois après le repas j'y pense un peu mais c'est différent d'une envie. C'est un peu comme si j'avais changé de voiture et que je devais m'habituer aux nouvelles commandes. Nombres de kilos pris: 0 kg, pas de fringale. Mes bénéfices: J'étais asthmatique enfant, les désagréments étaient passés d'eux-mêmes à l'adolescence. La maladie est revenue petit à petit à cause du tabac. Après un mois d'arrêt, je n'ai plus besoin de traitement, je respire à nouveau correctement. Je commence à sentir plus d'aisance dans les activités physiques et je peux embrasser mes enfants sans cette odeur de tabac. La clé de mon succès: Une bonne préparation psychologique. Pour moi, arrêter d'un coup et sur un coup de tête, par exemple parce que j'ai une bronchite à cause du tabac, ça ne marche pas. J'ai vraiment dû prendre conscience que je ne voulais pas arrêter de fumer mais être une non fumeuse, pour toute la vie. C'est une longue préparation.
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Florent (25 ans)
Nationalité France
13 juin 2019

3EME ARRET CONCLUANT. QUELQUES ASTUCES QUI M'ONT SERVI: Petite présentation: J'ai commencé mes 1ères cigarettes vers 14ans, pour acheter mes 1ers paquets à 15 ans. A 17 ans, je pouvais fumer jusqu'à 10 cigarettes. A 20 ans, jusqu'à un paquet (parfois plus, suivant les pauses café/sorties/soirées). 1er arrêt (1 mois): A 24ans, je me lance dans mon 1er arrêt, avec comme motivation la santé au long terme. Je coupe net, j'utilise la cigarette électronique une dizaine de jours, j'évite certaines sorties (car groupe composé -que- de fumeurs). Constipation, sommeil altéré (réveils, cauchemar) et irritabilité, mais je suis motivé, si je ressens ça c'est que le corps se purifie. Puis voilà, au bout d'un mois, il a suffit d'une cigarette en fin de soirée, pour reprendre le lendemain. Et beaucoup plus fort. Comme pour rattraper les cigarettes non- fumées.. 1ère expérience. 2nd arrêt (3 mois): 8 mois plus tard. Je n'ai pas "arrêté" de fumer, mais j'ai arrêté d'acheter des clopes. Au cours des 3 mois, 0 argent dépensé, la cigarette électronique m'accompagne parfois, j'ai fumé au total environ 50 cigarettes en grattant dans le paquet des amis. Malgré l'effort, je n'ai pas "complètement" arrêté, et j'ai bel et bien repris. 3ème arrêt (mars 2019): Riche de deux expériences d'arrêt du tabac, j'ai collecté quelques techniques qui m'ont facilité la tâche. Je peux dire que depuis mars 2019, je n'ai pas fumé UNE seule cigarette, et ce, sans soutien de nicotine (e- cig, ou patch,..) et je souhaite vous les partager. N°1 > Fumer des cigarettes sans ADDITIFS Quelques lectures sur internet vous renseigneront sur ce point. Les cigarettes des grandes marques sont blindés d'additifs, y compris d'ammoniac pour que notre corps attrape mieux la nicotine -non cancérigène, mais responsable de la dépendance-, et aussi des produits qui "anesthésient" nos bronches pour avoir moins mal à la gorge, et donc plus fumer. Commencer à fumer des cigarettes sans ADDITIFS (type tabac à rouler BIO, ou indus NATURELLES) sera déjà un 1er sevrage. Elles paraissent plus fortes en gorge, et vous envoient moins de nicotine, mais vous êtes dans le vrai. Et croyez moi, cette étape facilitera (ou provoquera) l'arrêt du tabac. N°2 > Ne pas dire "j'arrête" Ici, c'est plus sur l'aspect anxiété que cela va jouer. Selon moi, dire à tous que l'on arrête de fumer est une source supplémentaire d'anxiété. Arrêter de fumer est déjà stressant. Si en plus, on a des projecteurs sur nous ("Alors t'as fumé? t'as craqué? t'as pas craqué?), c'est juste infernale. Et si il arrive que l'on craque, on peut se sentir "merdique" et abimer notre estime de nous. Simplement dire "non je n'ai pas ARRETÉ, je n'ai juste pas envie de fumer maintenant" ou dire "oui peut être plus tard" aux cigarettes proposées, a été une façon de me libérer de cette -quasi- pression sociale pour poursuivre mon arrêt en toute TRANQUILITÉ ! N°3 > Choisir son moment (OUI et NON) Dans l'idéal, on arrête à l'instant t. On ne reporte pas son arrêt à tel ou tel jour, ou à la fin du paquet. Bref sinon ça n'en finit jamais. Toutefois, c'est vrai que l'arrêt entraine certaines complications (pensées parasites, nuits difficiles). C'est surmontable. Mais si l'on est en plein rush (partiels, finalisation d'un dossier, approche d'un gros événement,..) et que notre quotidien implique un GROS effort de concentration dans les prochains 15 jours, ok pour reporter. N°4 > Post arrêt Chaque jour, je lisais et relisais les effets secondaires du tabac, ça me motivais à tenir le cap. J'ai aussi mis en place une fois par semaine un jeun de 24h. J'ai acheté une montre de sport qui analyse le rythme cardiaque, fréquence au repos, et qualité du sommeil. Aussi, j'ai fait plus de sport les premiers jours. Et j'ai cuisiné de bons plats et desserts. Tout ça pour penser à autre chose, détourner l'esprit de l'arrêt de la cigarette, et me récompenser à chaque jour. Et bizarrement, j'ai plutôt bien vécu cet arrêt. Je me suis même réconcilier avec d'anciennes passions/loisirs. Après 15 jours, le gros des symptômes est passé. Ensuite il faut accepter que le corps reprenne ses marques (toux, sommeil, etc). La gorge qui "gratte" pendant 1 mois, des difficultés de concentration au début, des rêves/cauchemars intenses pendant au moins 1 mois, parfois des boutons qui apparaissent (encore aujourd'hui). Sinon, un meilleur teint, beaucoup moins de stress accumulé chaque jour, plus de confiance, et un odorat qui reprend vie. Autre point, il faut "remplir" les moments qui étaient réservés à la cigarette. C'est ce qui est pour moi le plus déroutant. Que faire pendant les 5 minutes après le repas ? Que faire de mes mains pendant que je bois une bière fraîche en terrasse ? Le corps est complètement déboussolé par la perte de cette habitude. C'est un défi. Puis avec le temps, on finit par (re)vivre sans la clope. On est pas plus/pas moins intelligent. Mais au moins, on minimise à fond le risque qu'on nous disent, "désolé, vous avez une maladie lié au tabac". Et ça, c'est encore plus cool que de fumer !
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Elisabeth (56 ans)
Nationalité France
04 avril 2019

Bonjour. Je me prénomme Elisabeth et j'ai eu 56ans en Janvier 2019. J'en veux beaucoup aux médecins généralistes qui ne m'ont jamais prescrits pendant une 10 ène d'années un IRM ou un SCANNER des poumons malgré les problèmes que je rencontrais : manque de souffle de plus en plus, voix enrouée , maux divers dans la poitrine. Je demandais à faire tous les 2 ans des radios des poumons car j'étais fumeuse depuis longtemps pour détecter avant l'URGENCE un souci. Hélas en 2018 j'ai été très malade, perte de poids jusqu'à tomber à 37kilos, souffle de plus en plus difficile, loisirs et quotidien difficile, travail impossible...... j ai été hospitalisée en septembre et j'ai passé un IRM et un SCANNER DES POUMONS et là.... EMPHYSEME BILATERAL TRES DESTRUCTEUR détecté. Le mal est fait et personne ne m'a dit avant que par les RADIOS ON NE DETECTAIT RIEN (elles étaient toujours bonnes )!!!!!! Maintenant j'ai arrêté de fumer en une seconde et ça ne me manque pas du tout. J'ai beaucoup de soucis de Souffle et d'endurance. Je ne peux plus pratiquer certaines activités, loisirs et quotidien sont devenus difficiles. MERCI AUX DOCTEURS qui ne sont pas compétants et qui ne cherchent plus à faire du vrai travail d'aide aux patients.!!!!! Je garde le moral malgré les moments difficiles car je ne veux pas que la maladie me le bouffe... Tout en sachant qu'elle risque de m en faire voir de plus en plus. IL FAUDRAIT FAIRE DES PUBLICITES POUR PREVENIR CE MAL QUI VA TOUCHER BEAUCOUP DE MONDE MEME LES NON FUMEURS. Je vous dis courage .....
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Romane (24 ans)
Nationalité Française
14 décembre 2018

J'ai rencontré la cigarette à mes 15 ans et on est devenu proche lors de mes 16 ans. Précédemment, j'avais rencontré quelqu'un d'autre. Une maladie, l'épilepsie. Souvent les médecins m'avaient parlé du tabac et du faite qu'il accentuait les crises d'épilepsie. Je ne voulais pas y croire et puis les crises se sont accentués (j'en faisait 2 à 5 par semaines) mais je restais proche de mon amie, la cigarette. Je tenais le discours que mon amie la cigarette me permettait de mieux vivre ma relation avec l'épilepsie et ne l'accentuais pas. Et puis j'ai rencontré la dépression. En janvier, je me suis fait opéré de mon épilepsie et refais des crises, signe de défaite pour moi. Alors j'ai décidé d'arrêter ma relation avec la cigarette pour couper mes liens avec l'épilepsie. J'ai arrêté depuis juin 2018 et je n'ai jamais retouché une cigarette. Je suis heureuse d'avoir repris de bon nombre de signe de bonnes santés. Ah oui, et puis, ça fait 6 mois que je n'ai pas fais de crise d'épilepsie. J'ai coupé les ponts avec tout le monde.
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FATIHA (49 ans)
Nationalité Française
01 novembre 2018

Bonjour, Je n'ai jamais fumer de ma vie et pourtant on m'a diagnostiqué un emphysème. Ce n'est pas non plus héréditaire. Les médecins pensent que c'est les autres fumeurs qui sont responsable Oui a cause du tabagisme passif j'ai contracté cette vilaine maladie et pour la vie. c'est pourquoi je vous demande de penser à nous les victimes indirectes de votre cigarette et d'arrêter cette m....
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Sandrine (31 ans)
Nationalité Française
07 juin 2018

Bonjour, je m'appelle Sandrine, j'ai 31 ans. Je fume depuis que j'ai 17 ans. Je fume des roulées, depuis quelques années avec filtres ( j'avais entendu dire que c'était peut-être un peu moins pires...) Je vous écris ce soir car j'ai pris la décision d'arrêter de fumer ce soir, je vous écris donc en savourant mes dernières cigarettes (car oui il faut bien le dire, j'adore ça...) en écoutant des musiques un peu tristes comme si j'étais en train de faire le deuil de quelque chose... J'y pense depuis longtemps mais toujours une bonne excuse, je suis en vacances, c'est la période des barbecues, je suis stressée...mais il n'y a jamais de bons moments...donc comme ce bon moment n'arrivera jamais, c'est à moi de le créer...demain...adieu cette douce sensation, adieu le café/clope, le verre de vin/clope, le trajet-voiture/clope, adieu le moment où je philosophe avec moi-même perdue dans les volutes...Bonjour la nouvelle Sandrine qui sent bon, qui est libre, qui n'a pas peur de la maladie, qui sait rester 10 mn à ne rien faire de ses 10 doigts... J'espère revenir vous dire que l'engagement a été honoré. Courage à tous
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audrey (39 ans)
Nationalité France
21 décembre 2017

Bonjour à tous; j'ai arrêté de fumer ça fait un mois;et vos témoignages m'aide chaque jours. Ils me motivent encore plus à ne plus jamais fumer. J' ai commencé vraiment à fumer tous les jours à 16 ans jusqu' à il y à un mois ou j'ai été chez mon docteur pour une prescription de patchs et nicorette. A préciser que c'est rembourser par la caisse. Je fumais 1 paquet par jour des années dès le matin jusqu'au soir avant d'allé me coucher. Et pendant mes 3 grossesses. Je savais que j' avais un bébé dans le ventre et pourtant il me fallait ma drogue. Heureusement mes enfants n'ont rien. A peine j'allais au lit ce voile qui me faisait tousser et toussait pendant 30 minutes; jamais de confort en allant me coucher ;toujours cette toux. Aujourd'hui ça fait un mois passé et je ne tousse plus le soir en allant me couché; je respire à fond; je me sens tellement bien ce que je n'éprouvais pas avant. Après chaque repas je me lave tout de suite les dents. Je me suis acheté aussi des bonbons à la menthe; c'est agréable d'avoir une bonne haleine. Plus de café; tout ce que je faisais en fumant café cigarette.... je l' ai supprimé. Plus de café; je ne regarde plus de film je lis un livre dans mon lit à la place. Voilà je vous raconte mon début de vie sans cigarette et je vous encourage tous à arrêter car c'est vrai qu'on peut vivre sans cette drogue il faut vraiment le vouloir. Et ne pas attendre d'avoir une maladie pour arrêter. Je sais aujourd'hui que plus jamais je ne fumerais. Pour moi ce qui ma vraiment aider c'est de changer toutes les habitudes que j'avais avant et les substitut patch m'ont aidé aussi. Mon mari a arrêté aussi; en me voyant tellement bien je l' ai motivé. Et on n'a jamais fumer dans la maison avant j'en avait marre à ne de sortir dehors quand il faisait froid pour fumer.
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Catherine (54 ans)
Nationalité française
20 mai 2017

Un parcours chaotique parsemé d'arrêts et reprises du tabac dont 13 ans en abstinence totale., J'ai testé le Champix il y a 04 ans, stoppé en pensant être tirée d'affaires et bien sur j'ai repris (bêtement)à raison de moins de 10 cigarettes par jour.. Décidée enfin à en finir avec la cigarette, j'ai redemandé ce traitement à mon médecin. Et là, 05 semaines après la 1° prise, l'enfer...Hyper activité, Rêves morbides, sueurs nocturnes plusieurs fois dans la nuit . Puis au fil des semaines tout s'est accéléré , s est 'accentué : des pertes de mémoire incommensurables qui gênent dans la réalisation du travail et des loisirs, manque total de raisonnement,un énorme manque de discernement , la présence de conflits quotidiens avec les proches, donc un sentiment profonds d'abandon de tous, couplé avec la certitude ne rien maîtriser. Quelle souffrance... L'ordre du médecin est d'arrêter le traitement immédiatement; Ces effets secondaires n'étaient pas apparus il y a 04 ans le cerveau se souviendrait-il d'avoir été berné et montre-t-il une arrogance insoupçonnée ? Quel qu'en soit la réponse, non seulement je ne reprendrai jamais Champix mais aviserai les potentiels utilisateurs. Ce médicament est trop dangereux pour être prescrit et je n'ai aucune certitude sur le devenir de mon cerveau à la suite d'un tel chamboulement d'ici quelques années.. Qui saurait me dire si dans le temps je ne développerai pas une maladie insidieusement et où l'absorption de Champix passera sous silence.... Une seule alternative se présente à moi pour en finir avec le tabac, l'utilisation des pastilles à sucer puisque je suis allergique au patch et une énorme dose de volonté. On sait jamais ça pourrait marcher... .
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