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Anonyme (56 ans)

24 janvier 2020

38 ans de fumée! Et, depuis 16 mois, pas de cigarette. Aucune. J'ai délaissé mon balcon, synonyme de pause-clopes. Dommage, mais j'y retournerai bientôt, sans le souvenir de la cigarette entre les doigts et du petit moment soi-disant relaxant et récréatif rien que pour soi, à aspirer son petit cocktail explosif de substances toxiques. Les gens qui fument autour de moi ne me gênent plus. Plus aucune envie. En 16 mois, j'ai dû rêver deux fois seulement que je tirais sur une cigarette. Certes , je suis encore dépendante : je vapote, avec un faible taux de nicotine. Sans, j'aurais sûrement replongé, je l'avoue. On se bat avec les moyens qu'on peut assumer. Et quels que soient les moyens, si cela signifie zéro cigarette, c'est déjà une belle victoire. Les quelques kilos pris, je les ai combattus avec des séances de fitness et d'alimentation en conscience. Energie, bon sommeil, réveils matinaux en forme, respiration dégagée, plus de toux ni de glaires dégueu, teint lumineux, plus d'odeurs de cendrier froid ni de lessives sans fin de ces habits et foulards qui puent, plus de stress lié à la peur du manque - aller à temps au kiosque acheter sa dose, dépenser des fortunes- la liberté et la santé, enfin. Voilà mon petit bilan après ces 16 mois, et si cela pouvait être inspirant pour vous cela me comblerait de joie. Vous aussi, arriverez à dire adieu à cette drogue déguisée en charmantes tentatrices dans leur petit étui papier glacé aux séduisantes écritures embossées, colorées et brillantes - car oui, l'esthétique marketing des paquets de clopes est très attractive et a un impact certain sur nos actes d'achat, et ajoutons-y le petit briquet si mignon qui y trouvera sa place... je pense particulièrement à nos jeunes à cet égard, sans doute plus sensibles aux injonctions mercantiles des cigarettiers, un aspect qui n'est pas vraiment considéré quand le sujet de la dépendance à la cigarette est abordé. Ne plus fumer est à votre portée. La preuve, je l'ai fait!
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Anonyme (26 ans)
Nationalité France
20 janvier 2020

Bonsoir à tous. Voilà deux heures que je lis les témoignages sur les arrêts du tabac et certains m'ont ébranlés au plus profond de moi. Je vous remercie, grâce à vous ma décision d'arrêter de fumer est définitive. Je ne sais même pas depuis quel âge je fume, depuis presque 10 ans aujourd'hui. Cela fait 4 ans que je n'ai qu'une obsession, arrêter. J'ai réussi avec la méthode d'Allan Carr, mais j'ai fais l'erreur de recommencer. Mais l'envie de m'en libérer ne m'a jamais quitté. Je pratique la pensée positive depuis plusieurs semaines et vos témoignages ont mis fin à mon hésitation. J'ai vu mon père mourir, il me manque tellement. Cancer du foie, et pour la première fois je réalise que la cigarette a sûrement fait des siennes dans tout ça. Qu'il y a t-il de pire que de voir un homme d'1m90 pesé 30 kilos, devenir jaune et sentir dans ses yeux la peur de mourir, de nous laisser, de nous abandonner, savoir que la mort l'attends au bout. Je suis asthmatique, très asthmatique. Depuis quelques années je ne peux plus monter les escaliers sinon je suffoque. J'ai 26 ans. Depuis quelques jours je sens une douleurs au poumon, j'ai peur, très peur d'aller consulter. Mais d'un coup, je me rends compte que je n'ai pas besoin d'avoir peur car je dis stop à cette bêtise de fumer, j'ai hâte de respirer et de retrouver mon énergie. Pour avoir déjà arrêter longtemps, arrêter de fumer est une libération, tout est mieux sans cigarette. Je vous souhaite à tous de vous libérez de cette addiction, que les lobbys de la cigarette laisse en libres service à des jeunes qui ne pensent pas qu'un jour ils pourraient mourir à 26 ans d'un infarctus ou d'une pneumonie. Merci à tous, vous m'avez libérez.
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Anonyme (33 ans)
Nationalité Belgique
14 janvier 2020

Mes début de fumeuse: J'ai commencé à fumer à l'âge de 15 ans. Je voulais faire partie d'un groupe alors j'ai commencé à fumer. Pensant d'abord pouvoir gérer ma consommation et arrêter quand je voulais, je me suis vite rendue compte que je n'avais pas gagné de groupe d'ami et qu'en plus, j'étais dépendante. J'ai reporté mon arrêt du tabac à plus tard pendant longtemps. Ma méthode: Aujourd'hui, après de nombreuses tentatives sans succès, j'ai arrêté depuis un mois. J'ai 33 ans et 3 enfants. J'ai d'abord diminué ma consommation pendant 1 an, et j'ai lu le livre Allen Car qui m'a aidé à avoir envie d'arrêter puis arrivée à 2 cigarettes, j'ai arrêté. Pendant 3 jours j'y pensais tout le temps, c'était difficile mais je savais gérer mon mental en reportant l'envie qui ne me quittait pas. Je suçais des bonbons à la menthe et à l'anis pour faire passer l'envie de fumer. Après ces 3 jours, le 4ème jour a été un soulagement, je pensais toujours à la cigarette mais je gérais vraiment cette envie. Ça devenait vraiment gai, parce que je savais que j'avais passé le pire et je sentais que je gérais. C'est un peu comme quand on joue à un jeu vidéo et qu'on est bloqué à un niveau puis qu'après de l'acharnement on y arrive. Après 2 semaines, je n'avais plus d'envie du tout. Comment je me sens: Aujourd'hui, après un mois sans tabac, il m'arrive d'avoir des flashs mais je les balaye de ma tête. Parfois après le repas j'y pense un peu mais c'est différent d'une envie. C'est un peu comme si j'avais changé de voiture et que je devais m'habituer aux nouvelles commandes. Nombres de kilos pris: 0 kg, pas de fringale. Mes bénéfices: J'étais asthmatique enfant, les désagréments étaient passés d'eux-mêmes à l'adolescence. La maladie est revenue petit à petit à cause du tabac. Après un mois d'arrêt, je n'ai plus besoin de traitement, je respire à nouveau correctement. Je commence à sentir plus d'aisance dans les activités physiques et je peux embrasser mes enfants sans cette odeur de tabac. La clé de mon succès: Une bonne préparation psychologique. Pour moi, arrêter d'un coup et sur un coup de tête, par exemple parce que j'ai une bronchite à cause du tabac, ça ne marche pas. J'ai vraiment dû prendre conscience que je ne voulais pas arrêter de fumer mais être une non fumeuse, pour toute la vie. C'est une longue préparation.
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Joëlle (64a ans)
Nationalité France
02 juillet 2018

Bonjour, Le 11 octobre 2016, après une grosse infection aux poumons, le radiologue m'a bien "secouée" et a réussi à me motiver afin que j'arrête de fumer. Je suis allée chez un tabacologue car je fumais 50 cigarettes par jour. Il me fallait absolument une aide car je n'étais pas à ma première tentative d'arrêt . Donc, j'ai eu droit à la totale, patch, cigarette électronique, nicorettes. Depuis bientôt deux ans, je n'ai pas ressenti l'envie de reprendre une cigarette, j'ai arrêté les patch et les nicorettes au bout de 4 mois et la cigarette électronique (sans nicotine) il y a un mois. J'ai pris 5 petits kilos qui sont les bienvenus car j'étais très maigre !!!!!!! Depuis le 11 octobre 2016, JE REVIS je refais du sport et j'ai une résistance hallucinante plus d'essoufflement .Et je vous garantis que vous pouvez TOUS arrêter de fumer, si moi j'ai arrêté tout le monde peut, j'ai aidé deux amies à arrêter .... Bon courage pour votre sevrage ....
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Geneviève (53 ans)
Nationalité Suisse
21 février 2016

Invitée par Stop-Tabac.... quelle douce surprise de se rendre compte que ceux qui nous ont aidé il y a bien des années maintenant sont toujours là, à l'écoute :o) Alors voilà, le 16 mai 2005 je décidais d'arrêter de fumer.... j'ai éteint ma dernière clope comme d'hab juste avant de me coucher. Le 17 je me suis levée ex fumeuse, je n'ai jamais repris une cigarette. Que dire, sinon que c'est la plus belle chose que j'ai pu faire, pour moi d'abord, pour mon entourage, pour mes finances aussi. Il faut savoir qu'en janvier 2006 je partais à Londres avec ma fille pour un weekend géant, au frais de ma cigarette.... a 2 cartouches et demie par semaine, je vous assure qon s'est payé du bon temps !!! sans compter ! Puis ces petits voyages sont devenus une habitude, un peu comme une récompense... Car il faut avouer que j'en ai bavé durant quelques années, à tenir le coup et ne pas donner raison aux personnes qui juraient que j'allais craquer... Et le temps a fait son oeuvre, j'ai arrêté d'avoir envie. Un jour l'odeur de celle des autres m'a dégoûté.... de ex je suis passée à non - fumeuse.... Me suis bien rendu compte que ce geste, cet esclavagisme, était définitivement révolu pour pour moi. Cette année j'entreprends une grande démarche pour ma santé, pour moi-même.... (trop de kilos nuisent autant que trop de tabac). Mon doc ne m'aurait pas accompagné si j'avais encore fumé... J'ai, pour donner toutes ses chances à mon projet, me mettre au sport, j'ose pas penser la peine si Marlboro était encore en train de me détruire..... J'habite une région magnifique, la montagne m'appelle pour de grandes ballade, en fumeuse je n'aurais pas su profiter de ces excursions magiques... J'ai de sublimes petits enfants. Je n'ai pas honte de faire devant eux un geste qu'il vaudrait mieux qu'ils ne fasse pas plus tard, je ne serai pas le modèle rassurant car ils ne pourront pas dire " la clope c'est sympa, Mamy elle fume". Ils ne sentent pas non plus l'ignoble odeur du tabac froid en entrant chez moi, ou en m'embrassant.... Chaque jour qui passe je remercie tous ceux qui m'ont aidé à franchir ce pas, moi d'abord pour avoir eu le courage de m'y atteler et la force de persévérer, mon entourage qui par son manque de confiance m'a motivée à ne pas leur laisser avoir raison, et Stop Tabac avec leurs conseils et les centaines de témoignages que j'y ai lus et qui m'ont poussée en avant.... Si je peux souffler à mon lecteur un seul conseil: osez et persévérez, le plus beau c'est après, juste après, la décision :o) Gene.
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SOPHIE (57 ans)
Nationalité FRANCAISE
09 janvier 2015

Bonjour, je me suis arrêtée le 5 janvier. Stop-tabac.ch m'a beaucoup aidée. La cigarette électronique aussi, car elle me permet de conserver ma "tétine". Je commence d'ailleurs à baisser le dosage de mes recharges car j'avais le sentiment d'être en surdosage... Depuis 2 mois environ, je cherchais une solution efficace pour me faire soutenir. J'ai contacté votre homologue français, leur demandant s'ils connaissaient des associations proposant des soutiens type "fumeurs anonymes". RIEN! La grande chance, c'est que cette fois, mon mari et mon fils aîné ont également décidé d'arrêter. En effet, mes précédentes tentatives avaient échoué car j'étais trop tentée par les cigarettes qu'ils laissaient traîner. Grâce à cette synergie, pour la 1 ère fois, je n'ai pas ressenti de manque, ni, surtout, de phénoménales crises d'angoisse. Jusqu'à présent en effet, je me sentais incroyablement frustrée lors de mes tentatives d'arrêt. Le manque était surtout psychologique! Une souffrance folle, comme si mon "enfant intérieur" protestait contre la disparition de sa tétine. J'ai rempli à ce sujet un questionnaire que vous m'avez adressé car je trouve en effet très utile ce travail de recherche d'une meilleure compréhension des mécanismes du tabagisme. Je retrouve mon souffle, des capacités de travail décuplées, une meilleure mine et une sorte d'envie de vivre, de faire plein de choses, c'est incroyable ce que je me sens boostée. Je me suis arrêtée avec mon mari il y a 1 an et demi pendant 1 mois, mais j'ai compensé avec du vin et des gâteaux, ce qui m'avait prendre quelques kilos (heureusement perdus aujourd'hui). Il ne faut absolument pas compenser! Je me suis arrêtée également de façon significative, avec mon mari, de 2000 à 2005. C'était une nécessité. Je lançais un journal, j'avais un travail de folie et je n'aurais jamais pu tenir. Je me suis également arrêtée de 17 à 18 ans et de 29 à 30 ans. Tous ces arrêts m'ont aidé à voir qu'on pouvait très bien vivre sans tabac, mais je me souviens aussi qu'il me manquait des stimulants. C'est ce qui me fait le plus peur encore. Heureusement, la cigarette électronique occupe le terrain de façon assez efficace. L'impression de conserver une "attitude". A suivre, donc. Sophie
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Laure (23 ans)

09 septembre 2013

J'écris ce témoignage pour célébrer mon année sans tabac. Je fumais un paquet par jour voir plus selon les occasions depuis bientôt 10 ans. J'ai arrêté du jour au lendemain sans aucun substitut et aujourd'hui je pense être sur la bonne voie. Ce n'était pas mon premier essai mais cette fois, ce qui a changé et m'a permis de réussir cet arrêt est que j'ai réussi à m'imaginer non fumeuse pour le reste de ma vie ce qui n'était pas chose facile. Lors de mes autres arrêts, je m'étais toujours dit que je pourrai refumer quelques cigarettes en soirées quand je serai moins accro et donc je m'interdisais de fumer seulement pour mieux le faire plus tard. Proposeriez-vous un verre à un ancien alcoolique? Certainement pas et pourtant la cigarette est une addiction au même plan que peut le devenir l'alcool alors pourquoi ne nous comportons-nous pas de la même manière face à ces deux substances? Aujourd'hui, je suis prête à ne plus jamais, ho grand jamais, toucher à une seule cigarette jusqu'à la fin de ma vie et c'est ce qui me permet aujourd'hui de fêter ma première année sans tabac. Ça a été dure au début. Ni mon psychisme ni mon corps n'ont accepté cet arrêt. Les premiers mois, j'ai eu sinusites, bronchites, fatigue, boutons, énormément de tristesse et de désespoir et deux kilos en trop. Autant dire que les bienfaits promis se sont fait attendre pour pointer le bout de leur nez. Il faut du temps pour réapprendre à vivre sans cigarette et à changer ses habitudes. Pour moi, c'est seulement au bout de 6-8 mois que les choses ont été plus faciles et aujourd'hui je ne pense presque plus à la cigarette. J'ai plusieurs fois faillit reprendre non parce que l'envie était trop forte mais simplement parce que les sacrifices étaient trop éprouvants. Tout ceci pour dire à ceux qui ont arrêté il n'y a pas longtemps ou justement il y a un petit moment déjà mais sans voir le bout du tunnel qu'on finit par aller mieux et que le combat devient plus facile de jour en jour. Pour finir, une petite liste personnel de pourquoi arrêter de fumer pour ceux qui l'auraient peut être déjà oublié : plus (beaucoup plus) d'argent, vaincre la dépendance, éradiquer l'odeur de la cigarette et la mauvaise haleine, améliorer la respiration, diminuer le risque de cancer, améliorer l'aspect de la peau, augmenter la confiance en soi, être libre simplement de ses gestes (n'avoir pas besoin de sortir en permanence pour fumer, ne plus prévoir en avance le nombre de paquets à acheter, ne pas être stressé quand il n'y a plus de cigarettes), et tout bonnement arrêter une habitude qui n'apporte rien. Bon courage à vous, et si vous me lisez aujourd'hui c'est que vous êtes déjà sur la bonne voie car chaque petit pas compte.
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Mercury (41 ans)
Nationalité Française
11 juin 2006

C'est MAGIQUE de SE retrouver, de se réconcilier avec son corps! Au lieu de fumer et de sentir que l'on va vers un cancer ou une maladie cardio vasculaire, on s'aime à nouveau et on aime son corps donc on aime la VIE et l'air pur...Le moral fait le yoyo et alors? Plus rien ne peut arréter ce processus de vie et j'encourage les nouveaux ex fumeur à ne pas oublier qu'ils ne perdent rien en arrétant et vont gagner en santé, confiance et argent........ Et si on fait du SPORT, là c'est le pied : on s'éclate car on retrouve le souffle et en plus on ne grossit pas du tout. Et quant bien même on prendrai 2 kilos (c'est la moyenne) qu'est ce que c'est par rapport à un cancer ou autres maladies dues au tabac? ALLEZ en route vers la santé et la Liberté !
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