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Laetitia (29 ans)
Nationalité française
14 février 2023

Bonjour, j'ai arrêté de fumer le mardi 7 février 2023. J'avais posée cette date quelques semaines auparavant en commençant à marteler dans mon cerveau qu'après cette date se serait finit. J'avais déjà arrêté durant deux années, entre 2020 et 2022. Le piège de la rechute: la soirée trop alcoolisée et la perte de la raison qui m'a fait me dire "Juste une cigarette, c'est pas grave". Mais c'est une drogue, "juste une" ça n'existe pas. Alors c'était reparti comme en l'an 40. J'étais pourtant convaincue que j'arrêterai à nouveau, parce que j'avais conscience que cette m*rde n'avait aucun avantage, absolument aucun. Avant cette fameuse date, j'ai donc fumé pendant plusieurs mois, avec dégoût de la clope et de moi-même. Dégoutée de l'odeur, les fringues qui puent, l'haleine fétide, la peau du visage salit, les dents jaunies, ma voiture pleine de tabac, de cendres... Je ne dirais pas que c'est moins grave pour un homme, mais pour une femme, c'est vraiment ce qui a de moins élégant. Et surtout le fait d'être une idiote droguée qui enfume son organisme sans en retirer aucun avantage, et en plus qui paye une fortune pour ça. Le mardi 7 février arrive, j'allume une dernière clope avant d'aller au travail. Je trempe les cigarettes restantes, mon tabac, mes feuilles, mes filtres dans le lavabo pour qu'elles soient inutilisables, et je jette le tout. Ce même jour je (re)commence à lire le livre d'Allen Carr qui va me faire un lavage de cerveau sur la dangerosité physique et psychique du tabac. Premier jour compliqué je dois le dire, j'ai eu l'impression de faire le deuil de qqchose. Je me suis même surprise à pleurer à chaude larmes à la vue de mon cendrier. Et les jours suivants, la libération. La fierté. L'apaisement. Ce qui m'a le plus frappé c'est la saveur des aliments. Je ne m'étais pas aperçue à quel point la clope m'avait retiré ça. Tout est savoureux. Et surtout, j'apprends à apprécier chaque instant de la vie. Quand on est fumeur, on passe son temps à attendre la prochaine clope sans apprécier le moment qu'on est entrain de vivre...quel gâchi! Même si parfois j'ai un instant de frustration, il s'évanouit aussi rapidement qu'il est venu en me rappelant alors qu'on a aucune raison de regretter la clope, ne serait-ce qu'"une seule". Elle n'apporte RIEN DE POSITIF. RIEN. La vie est tellement plus agréable sans elle
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Eilora (58 ans)
Nationalité Française
24 janvier 2023

J'ai arrêté la cigarette depuis le 17 octobre 2017, en grande partie grâce à ce site, pendant six mois avant l'arrêt j'ai lu tous les témoignages, et un beau jour je me suis dit, si les autres y arrivent alors moi aussi, je fumais depuis 30 ans, à la fin 40 cigarettes par jour ,fumées, à la chaîne sans réel plaisir, enchaînée à ce tube nauséabond... Je n'avais jamais essayé de stopper. J'ai compris que c'était une addiction que pour en sortir c'est contre moi même ,que j'allais devoir me battre, pas facile tous le jours, mais au bout de 8 mois, un matin j'ai réalisé que c'était terminé, je n'avais plus envie et quel bonheur, quelle fierté aussi pourquoi ne pas avoir essayé avant??? Je n'ai rien pris, aucun substitut, il y a 3 mois j'ai accepté une taffe et j'ai vomi automatiquement, mon corps ne veut plus de ce poison, alors croyez en vous, le jour ou vous saurez que c'est fini, ce jour sera un jour de pur bonheur...
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Mino (67 ans)
Nationalité France
07 novembre 2022

10 jours sans cigarette et beaucoup plus facile que ce je pensais ... Merci à Joëlle, la tabacologue qui m'appelle. Elle a su trouvé les mots rassurants sans me culpabiliser notamment lors d'une petite rechute il y a 3 semaines ! Encore bien sûr quelques envies fulgurantes ... le petit monstre n'est pas encore mort ! Alors je pense à mon souffle qui revient, à cette mauvaise haleine qui a disparu, et à la fierté que je ressens. Tout compte fait, il est plus facile d'avoir arrêté que de continuer à fumer en pensant tout le temps à diminuer ! Les emails que je reçois du coach ont aussi leur importance pour m'aider à tenir bon A bientôt pour continuer à donner des nouvelles
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Marianne (29 ans)
Nationalité Francaise
19 avril 2022

Plus d'un an maintenant que j'ai arrêté. Je me suis juré de laisser mon (long) témoignage sur ce site si j'arrivais au 1 an d'arrêt, car ce sont ces témoignages qui m'ont énormément aidé dans les moments de doute et de fébrilité. Si cela peut aider qqn comme les autres ont pu m'aider. Je fumais depuis mes 17ans. J'ai démarré bêtement au lycée en prenant des paquets à mon père avant d'acheter les miens. Pendant 11ans, j'ai été fumeuse "modérée" à savoir entre 8 et 12 cigarettes roulées par jour. Sauf en soirée où je ne comptais pas. J'ai aussi eu une période cigarette électronique pendant 2-3ans sans pourtant vouloir arrêter . C'était "moins" dangereux et surtout moins de problème d'odeur, de pause clope en extérieur.. mais je l'avais tout le temps au bec et un jour d'entraînement de basket, ma respiration s'est emballée, impossible de reprendre mon souffle, trop d'eau dans les poumons j'ai cru que j'y restais. Ca m'ait passé au bout de quelques secondes mais ca m'a bien fait peur. Je suis revenue à ma bonne vielle roulée et à tous ses mégots. Logique🙄 Car oui, être fumeuse ne m'empêchait pas d'être sportive, c'est le grand paradoxe du cliché sportif. Et pourtant nombreux sont les sportifs amateurs fumeurs. Malgré un rythme d'entraînement assez modéré (7h semaine, c'est pas non plus du haut niveau), la clope n'a pas spécialement nuit à mes performances sportives du moins pas les premières années. Ajoutez à cela le fait que c'était aussi mon métier (responsable management sportif). Je n'ai pourtant jamais assumé auprès de certaines personnes d'être fumeuse sachant que cette image pouvait être degradante ou décevante à leurs yeux et du jugement qu'ils pourraient porter. Que ce soit envers mes parents, notamment ma mère pour qui les sermons sur la clope étaient permanents, mais aussi les membres de ma famille comme oncle tante grand mère...même si avec le temps ça se savait, je n'assumais toujours pas le geste de fumer devant eux. Mais également auprès de mes collègues de travail actuels, les petits basketteurs et enfin surtout ma copine à qui je n'ai rien dit pendant les 6 premiers mois de notre relation. Une honte pour moi de montrer cette image dégradante en contradiction avec les valeurs et la fierté du sport que je portais. J'avais à l'esprit la réalité du problème mais l'insouciance de m'y intéresser. En revanche, pour tous les amis, les coéquipieres, mon frère, mes cousins...les personnes qui m'entouraient directement, aucun problème avec eux pour en allumer une. La plupart l'étaient aussi. Mais surtout le problème était que j'adorais fumer. Il y a encore peu de temps je me demandais "mais comment les non fumeurs font ils pour ne pas fumer ou n'avoir jamais envie de le faire". Comme tout le monde, un soir de nouvel an, on prend la résolution d'essayer d'arrêter de fumer car on sait tous qu'en soit cela n'est pas une bonne chose. Mais quand on est pas convaincu et qu'on a pas spécialement l'envie ni la contrainte de le faire, et bien on ne fait rien c'est bien logique. Pourquoi se priver de ce qui nous donne du plaisir. Et c'est finalement quand on se rend compte à 27ans qu'on ne sait plus gérer l'effort, à l'entraînement ou dans la vie de tous les jours, qu'on commence à réaliser les effets sur le physique et cette vieillisse accélérée. Manque de souffle, d'oxygénation, de récupération, de force, d'endurance...pour courir après un ballon ou monter les courses au 2eme étage.. On se dit qu'on va réduire pour s'aider un peu. Et c'est là que le déclick survient : finalement on se rend compte qu'on ne peut pas réduire, qu'on ne peut plus arrêter même l'espace de 5h, qu'on a une réelle dépendance, que la cigarette n'est plus une option comme au début. Dès qu'on se prive, on multiplie l'envie d'en fumer une voir 2 d'affilé. Et c'est dans ce constat de dépendance, en fumant clope sur clope, le problème à l'esprit que je décidais d'arrêter. Mon arrêt ne fut pas simple, il s'est fait en 2 fois à cause d'une rechute mais qui était nécessaire pour mieux réaliser le second essai. A tous ceux qui ont rechuté : ce n'est pas grave, c'est une preuve que vous avez pris conscience du problème et que vous tenter de le résoudre. Essai 1 jour 1 : arrêt total sans aucun substitut. Je suis dans un état de nerf en fin de journée qui me pousse à aller au tabac pour prendre une de ces nouvelles mini cigarette électronique à cartouche. Pour ne pas gâcher ma tentative, je prends du zéro % de nicotine, j'ai lu que c'est juste un manque comportemental qui me pousse à fumer et que finalement la ecigarette était une bonne aide à l'arrêt. Le soir même je pleurais comme une enfant de cette privation.. Essai 1 jour 2 à 30 : je conserve cette mini cigarette avec des cartouches de nicotine supérieure : 12%. Je savais que cette dose était trop importante pour moi, j'étais un profil 6% avant, mais il n'y avait pas de dose intermédiaire pour ce genre d'appareil et je ne voulais pas réinvestir dans une "vraie" ecig plus chère. Avec le temps je me rends finalement compte que cette méthode me coûte bien plus chère que prévue et surtout que je suis plus dépendante à la nicotine qu'avant...bravo comme une débutante 👏 Essai 1 jour 30 à 45 : Je me mets comme objectif de ne plus fumer à Noël et passe par 10 jours de chewgum nicotine et 5 jours sans rien. Je suis à la suite de ça psychiquement fatiguée mais contente de cette avancée dans ma routine. Cependant, je me retrouve confrontée pour les fêtes à des anciennes situations de fumeurs auxquelles je ne m'étais pas préparées : le train et l'attente entre les correspondances puis cette privation certaine qui m'attendait d'être entourée de ma famille. A peine arrivée pour les fêtes, je rachetais des cartouches 12%. Essai 1 jour 45 à 100 : consciente cette dépendance aux substituts qui me coûtent cher, je me resouds à réinvestir dans un vrai "calumet" comme je l'appel avec ses options, son dosage et ses arômes pour finalement pas si cher que ça. Mais ce truc n'a finalement pas l'effet escompté sur moi, physiquement cela me donne la nausée, m'étouffe (encore) dans l'effort. Je me surprends même à une soirée à fumer une clope plutôt que ce truc me disant que c'est "juste"pour la soirée. Les jours suivants, une méga rage de dents, dont la ecig n'y est pas pour rien (beaucoup d'agents dans les vapeurs et vasoconstriction des gencives), me fait littéralement plier. 4 mois après ma décision, j'abandonne toutes ces pseudos solutions qui auront finalement monopolisé mes pensées, altéré fortement mon humeur et mes coups de deprime au point de déstabiliser mon couple, ruiné tout autant que lorsque j'étais fumeuse. Je me suis retrouvée pendant un bon mois à fumer, fumer, enchaîner les paquets comme pour me rattraper de cette privation. Et bien sûr à cacher cet échec à ma copine. Et un jour, jai finalement fini par m'en dégouter, et me dégouter moi même de la machine à fumer que j'étais devenue. Je fumais à presque vomir parfois. Mais il fallait faire les choses plus intelligemment que la dernière fois. J'ai profité d'un énième confinement de 15 jours chez mon père, dans l'air pur des Alpes, devant qui je ne fumais pas et où les activités sportives étaient quotidiennes. C'était la quinzaine parfaite pour passer les premiers jours de dépendance physique. La dépendance comportementale suivrait ensuite. Le 8 avril 2021 à 19h j'eteignais la dernière clope en arrivant chez lui . Les premiers jours furent les plus compliqués psychiquement. Essai 2 jour 1 : 20h après l'arrêt, dans une forte fatigue mentale, une occasion se présente à moi pour m'échapper de la maison prétextant un achat à la pharmacie. Je suis bien allé à la pharmacie faire mon achat initial mais j'y ai egalement acheté une boîte de pastilles nicotine faiblement doséed. Ça serait pour les moments certains où le besoin physique du corps serait trop fort : après un café ou un verre d'alcool même s'ils sont depuis limités. Dans la voiture sur le retour, je me suis retrouvée avec la cigarette dans une main et le briquet dans l'autre. J'ai hésité pendant bien 10mn. Et c'est à ce moment là où ma volonté s'est affirmée de vouloir réussir. "Je ne la fume pas maintenant, je la fumerai plus tard". Et c'est depuis ce jour que j'ai systématiquement repoussé l'occasion de fumer, en ayant pourtant tout à disposition. "J'ai bien tenu hier, ça fait 24h, je peux tenir plus, je fumerai demain" Essai 2 jour 2 à 15 : très fatiguée les 3 premiers jours, j'occupe tout mon temps libre par le sport de plein air. J'ai besoin d'être occupée de me défouler ! Et quand ce n'est pas le sport, c'est ce site et tous les autres qui dénoncent les méfaits du tabac qui m'aident à me convaincre du bon choix que j'ai fait. Je prends les pastilles une fois de temps en temps quand cela m'est vraiment nécessaire la première semaine, et puis finalement j'aborde le même système : essayer de ne plus en prendre car tant que j'étais sous nicotine, j'étais fumeuse. Et cela devient assez simple pendant ces 15 jours. Je me retrouve même au 15eme jour à boire des bières chez une amie qui fume devant moi. Mon cerveau est en alerte et je décide finalement de partir quand cela est devenu trop frustrant d'autant plus après 3 bières, on est plus vulnérable. Jour 15 à aujourd'hui : le travail ne s'est pas arrêté après ces 15 premiers jours bien au contraire, c'est là qu'il a démarré. Après cette cure physique il fallait maintenant surpasser tous les moments du quotidien, aussi appelés "dépendance comportementale", en ayant à l'esprit "qu'une seule et c'est foutu tu repars de zéro". Dites vous bien qu'il ne faut plus jamais refumer quand vous êtes arrivé à vous en passer physiquement, quand vos récepteurs ne vous envoient plus de signaux de manque. J'ai lu le livre de Allen Carr "en finir avec la cigarette" comme soutien de mes premières nuits de retour à la vie normale et j'avoue qu'il m'a confirmé mon choix et mes pensées. J'ai mis mes restes de feuilles, tabac, calumet et arômes dans un sac dans un coin afin de le donner à un ami fumeur. Ensuite c'est un combat au quotidien où chaque situation fumeur doit se transformer en non fumeur au moins une fois : La journée boulot classique, le WE actif ou cocooning, l'apéro du vendredi, le voyage en train pour voir sa famille, les vacances, la 3eme mi temps... Et c'est gagné. Perso au bout de 2 mois vraiment je ne me sentais plus dans cette lutte constante. Mais il faut rester vigilant car il m'arrive encore lors d'une soirée trop arrosée avec des fumeurs qui vous parlent à 50cm du visage d'être tentée, d'être vulnérable. Et même dernièrement j'ai repris l'avion, chose que je n'avais plus faite depuis des années et pour laquelle j'étais fumeuse la dernière fois. Mon cerveau m'a mentionné la cigarette avant d'aller en salle d'embarquement alors qu'elle était sortie de mon esprit pendant des mois. Aujourd'hui je me sens vraiment libre. Je n'ai plus jamais cette idée de fumer qui me vient à l'esprit même après le café ou l'alcool. C'est dur à croire quand on est dans les premiers jours d'arrêt, on pense que cette facilité n'arrivera jamais. Et finalement un beau jour on y pense plus et on ne s'en rend pas compte. Quand je vois tous ces jeunes qui sortent fumer à la récré (je bosse désormais dans un lycée) je me dis que comme moi ils le regretteront un jour mais qu'ils sont actuellement dans un engrenage dont ils n'ont pas conscience. Nous sommes manipulés. En revanche lorsqu'on est fumeur, le corps est anesthésié de nombreux maux, tellement il lutte contre la clope, il lutte aussi contre tout le reste. Et lorsque qu'on arrête, ces maux qui nous sont propres reviennent : pour ma part ce fut les dents, retour du bruxisme de ma jeunesse et de nombreux traitements pour caries et couronnes. Légère allergie au pollen aussi au printemps que je n'ai jamais vécue avant. Mais retour à des poumons sains, à une oxygénation optimale, à une vivacité et une énergie permanente, un temps incroyable gagné tout comme l'argent économisé. Maintenant je me dis "mais comment font les fumeurs pour fumer". Je me sens convaincue dans mon choix mais je garde à l'esprit que le risque zéro n'existe pas quand je vois que certains profils replongent après des années d'arrêt. Il faut penser autrement et être convaincu de ce qu'on pense. Courage à tous ceux qui tentent! Rien que le fait d'essayer prouvent que vous y arriverez même si tout ne se fait pas pas facilement ni en un jour. Je vous souhaite de retrouver votre liberté
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LuluMarm (28 ans)
Nationalité Française
08 janvier 2022

71 jours :) je suis fière de moi et de tout ce que j'ai pu mettre en place pour arrêter la clope. Je ne fume plus, je ne pue plus, je savoure. Et puis il y a aussi la fierté de me dire que je serais prête pour cette nouvelle année, cette nouvelle année qui m'apportera sûrement un bébé. L'arrêt de la cigarette m'a permis de me recentrer sur moi- même et sur ce que je voulais faire de ma vie. Faire du sport (natation synchronisée, yoga, fitness), prendre soin de moi (les petits cadeau de temps en temps et le stress en moins). Je sens aussi une sérénité profonde depuis l'arrêt que je n'avais plus ressenti depuis des années. Je suis heureuse et en plein chemin vers l'épanouissement. Courage à toutes et à tous, vous pouvez le faire et y arriver. Vous pouvez prendre soin de vous.
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lilas (71 ans)
Nationalité francaise
08 novembre 2021

Bonjour, il n'y a pas d'age pour arrêter de fumer . Après deux essais j'ai enfin trouvé la force ou la maitrise de mon cerveau pour en finir avec la cigarette. Cela ne fait que 15 jours mais je sais au fond de moi que c'est gagné; jamais je ne toucherai même une bouffée de ce poison qui m'a leurré si longtemps. Aujourd’hui je me sent en paix et quand je regarde les autres fumer j'ai de la compassion pour eux mais ne juge pas. Je souhaite à tous de retrouver cette énergie et cette fierté que nous avons tous perdu dans la fumée et enfin profiter de la vie. Merci au site qui est de grand secours dans les moments de faiblesses.
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Anonyme (66 ans)
Nationalité Suisse
11 novembre 2020

Voilà 360 j sans tabac ! Juste le bonheur et ma fierté d’avoir tenu le coup. Pas toujours facile mais quelle délivrance. Merci de m’avoir soutenue. C’est très important pour moi. Triste que vous me laissiez. Les encouragements me sont nécessaires. Merci.
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Anonyme (66 ans)
Nationalité Suisse
08 novembre 2020

Voilà 360 j sans tabac ! Juste le bonheur et ma fierté d’avoir tenu le coup. Pas toujours facile mais quelle délivrance. Merci de m’avoir soutenue. C’est très important pour moi. Triste que vous me laissiez. Les encouragements me sont nécessaires. Merci.
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Anonyme (39 ans)
Nationalité française
28 avril 2020

Bonjour. 5ème jour sans tabac. Je ne pensais pas que ce serait si dur. J'avais déjà arrêté (pendant 7 ans!) en devenant maman. Ce fut tellement simple à l'époque que j'étais très sûre de moi pour cet arrêt définitif. Sauf qu'en me retrouvant enceinte, j'avais l'esprit si occupé, j'étais si "remplie" qu'il ne pouvait y avoir de place pour du tabac. Or cette fois ci, il n'y a aucune substitution psychologique, et ce que je ne savais pas, c'est tout ce que la cigarette accompagnait dans ma vie: un café, une discussion, un moment de solitude, une réflexion, un ennui, une colère, un moment social, une joie, un verre, une lecture, une musique, une attente, un trajet, un repos "bien mérité"... Désormais, ces instants je dois les vivre seule avec moi-même. Et c'est cela qui est si dur, qui m'empêche une fois de plus de dormir cette nuit. La cigarette était la solution pour ne jamais être confrontée à moi-même. Pour ne jamais être révélée aux autres non plus. Elle donnait de moi une image que j'estimais plus intéressante que ce que je reflète sans clope à la main. Maintenant je dois vivre sans mensonge. Et je vais y arriver. Ne serait-ce pour ne plus jamais revivre le calvaire que je vis, cette obsession encore presque permanente. Pour pouvoir me regarder avec fierté aussi. En ne fumant plus, je crois que je ne me suis jamais autant respectée.Je me rends compte que je suis en train de réaliser LE travail de ma vie! Et je ne voudrais pas mourir sans y être arrivée. Et quand je vois des personnes fumer, j'arrive désormais à me dire: mince, y a un truc qu'ils se cachent et qu'ils ne veulent pas affronter, c'est triste et con pour eux. Et malgré l'allure très sûre qu'ils peuvent parfois dégager, je comprends qu'en fait ils ont super peur de se rencontrer!
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Anonyme (35 ans)
Nationalité Suisse
08 avril 2020

Bonjour tout le monde, Après 3 ans, cette merde de clope est derrière moi ! Mon sentiment de fierté est tellement grand que j'en ai la larme à l’œil 😊 Il faut dire que cela n'a pas été facile : J’ai arrêté d’un coup sans substitut alors que je fumais depuis 12 ans un paquet par jour. J’ai surtout donné un rôle beaucoup trop important à la clope dans ma vie. J’ai donc du tout réapprendre (socialement et psychologiquement) pour vivre bien et heureuse sans cette saleté ! Voici quelques conseils qui pourront peut-être en aider certains : > LIRE « La méthode simple pour en finir avec la cigarette » d’Allen Carr. Cela aide à prendre le problème rationnellement et intelligemment. > Décider d’arrêter POUR TOUJOURS (jeter ses clopes dans la poubelle) et s’imaginer qu’on avance. Chaque pas, chaque jour nous éloigne de la cigarette. Cette merde est derrière nous. > Quelques soient les obstacles, apprendre à les GÉRER SANS LA CLOPE. Depuis quand une drogue est-elle une bonne solution ? On apprend, on s’arme autrement pour la vie et on en ressort plus fort ! > Pas de « juste une clope »! On ne se pose plus la question, ON EST NON- FUMEUR. > Quand on a un coup de mou ou de bad on se dit : « Tu peux le faire, t’es un warrior » et « Ce qui ne tue pas rend plus fort ». Ça marche, c’est le POUVOIR DE LA PENSÉE POSITIVE. > STOP LE FANTASME DU PETIT FUMEUR : les gens qui ne fument qu'une clope de temps en temps n'arrêtent jamais pour de bon! Ne plus avoir besoin de clope du tout, c’est encore mieux ! > Certains EFFETS SECONDAIRES peuvent perturber mais soyons forts. Ce n’est pas la fin du monde et je dirais même que cela aide à réaliser que c’est une drogue (et que notre corps réagit au sevrage). > SE FAIRE AIDER : hotline stop tabac, thérapie TCC, entretien avec tabacologue, etc. Il y a plus d’une carte à jouer pour s’en sortir ! > On peut devenir + SOCIABLE et à l’aise sans clope. C’est magique ! > Le SPORT et les grandes INSPIRATIONS d’air pur ça aide vraiment. > Perso, j’ai décidé de NE PAS ÉVITER LES FUMEURS. J’ai juste adapté un peu les choses (par exemple avec une boisson à la main plutôt qu’une clope pour les pauses avec les collègues). Mais à chacun de trouver son équilibre à ce niveau-là. Voilà, bonne chance à tous et bravo !!! Gaby
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