Témoignages

Les 5 derniers témoignages
Les témoignages les plus marquants
Déposer votre propre témoignage

Ex-Fumeurs
Ex-Fumeurs (291)
Motivations/Bénéfices de l'arrêt (39)

Fumeurs
Fumeurs (49)
Tentative d'arrêt (60)
Fumeurs Malade (20)

Entourage
Famille/Ami (17)
Non fumeurs (2)
Fumée passive (2)

Age
20 ans ou moins (3)
20 à 40 ans (124)
40 à 60 ans (202)
Plus de 60 ans (66)

Dépendance / manque
Dépendance/Manque (20)
Rechute/Echec (12)
Symptômes de sevrage (13)
Dépression/Anxiété (3)
Insomnies (2)

Méthodes d’arrêt
Méthodes diverses (83)
Substituts nicotiniques (32)
Livre Allen Carr (18)
Aide psychologique/soutien/solidarité (10)
appli Stop-Tabac (4)
E-cigarette / vapotage (24)

Maladies
Risques et maladie diverses (12)
Cancers (9)
Maladies cardio-vasculaires/infarctus (8)
Problèmes respiratoires (11)
Impuissance sexuelle (2)

Santé / bien-être
Problème de poids (3)
Pillule contraceptive
Beauté/Grossesse/Enfants (9)
Sport (14)

Industrie du tabac / société
Tabac chauffé
Politique et industrie du tabac (4)
Additifs
Joint et Tabac (1)
Autres drogues (1)
site Stop-Tabac (44)

Accéder par mots clés

Femmes

Anonyme (45 ans)
Nationalité française
23 octobre 2006

Bonjour à tous, Merci pour vos témoignages tous plus intéressants les uns que les autres, remplis d'émotion, de sensibilité et d'envie de partager. Cette chaîne humaine chaleureuse fait beaucoup de bien lorsque l'on doute. Fumeuse depuis l'âge de 15 ans de 10 à 20 cigarettes par jour, j'ai déjà fait une tentative d'arrêt qui a duré 5 ans (entre 30 et 35 ans) et puis une bouffée par ci, une bouffée par là, une séparation, des problèmes et le paquet est revenu comme si de rien n'était. Envie de se faire du mal, de se punir, et puis l'impression que sans elle , je ne tiendrai pas. Autour de moi, il y a 2 ans, une cousine de 52 ans est morte d'une crise cardiaque. Plus d'un paquet par jour depuis 30 ans, peur de grossir, contenance, la cigarette était son alliée, son amie, et elle l'a détruite. Et puis, une visite d'une maison à vendre, avec un homme soutenu par sa femme en phase terminale de cancer du poumon (2 paquets par jour depuis 40 ans), qui disait qu'il fallait bien mourir un jour de quelque chose, et qui finalement regrettait, car à 60 ans, il trouvait que c'était un peu tôt pour quitter cette vie, qui ma foi, avait de belles richesses et de beaux plaisirs à nous apporter. J'ai arrêté il y a 11 jours, grâce à vous, à ce site (Allen Car n'a pas eu d'impact sur moi) et grâce à une prise de conscience de ma part : non, la cigarette n'est pas une alliée, non la cigarette ne m'aide pas quand j'ai des problèmes, au contraire, elle m'en rajoute. Elle m'épuise le matin au réveil, elle m'obsède à mon travail lorsque j'ai besoin de ma dose, elle m'enveloppe d'un halo nauséabond qui m'éloigne des noms fumeurs, des enfants, elle me donne le teint gris, les cheveux secs, des ridules, une bouche pâteuse, et surtout, elle m'enlève l'énergie dont j'ai besoin pour faire face aux aléas de la vie que nous sommes tous conscients de partager. Plus l'on vieillit, plus on a besoin de cette énergie vitale, pour entreprendre, réagir, agir. Non, je ne veux pas que mon fils me voit sur un lit d'hôpital sous respirateur artificiel, parce que je n'aurais pas eu la volonté de dire non à une mauvaise habitude. Je veux retrouver mon souffle d'enfance, mon étincelle, cette fraîcheur que l'on perd à petit feu à cause de la cigarette. Tenez bon, ce n'est pas si dur, les patchs me paraissent essentiels pour atténuer les problèmes de manque, de poids, de dépression. Il faut savoir se faire aider, s'écouter, se faire du bien, être doux avec soi-même. Bon courage à tous !
Partager sur:     

Brigitte (46 ans)
Nationalité Belge
17 février 2016

Bonjour, l'arrêt du tabac pour moi a été une épreuve très dure. Je vivais une dualité par rapport à ce produit, j'avais très envie de me débarrasser de cette dépendance et en même temps mon côté rebelle me faisait replonger à chaque fois....j'ai fait plusieurs tentatives avec des périodes d'abstinence de plusieurs mois à chaque fois....et je re craquais à chaque fois en soirée...et je redevenais une fumeuse de tout les jours aussi vite....puis, il y a deux ans exactement ( le 11 février 2014) j'ai fumé ma dernière clope....j'avais craqué au vux de fin d'années de mon boulot soit le 31 janvier et ce fameux 11 février, en allumant ma première cigarette, j'ai vomi....là j'ai compris que mon corps n'en voulait plus....et ça été le déclic, j'ai travaillé sur mon esprit ...et avec l'aide de stop tabac, le livre Alan Car, ma volonté, j'y suis arrivée, et je fête mes deux ans....et j'en suis fière, quelle liberté et quelle fierté !!! je suis toujours moi mais en mieux :) mon conseil ? ne culpabilisez pas si vous craquez, le plus important est que vous arrêtiez le plus vite possible après avoir craqué....moi après 6 ou 7 " échecs" j'en ai vraiment eu marre de me rebattre à chaque fois et de recommencer le travail de désintoxication, car ces périodes d'arrêt étaient douloureuses à chaque fois...et là je me suis maintenant où t'assumes de fumer où t'arrêtes une bonne fois pour toute, mais faut que tu choisisses...mon corps m'a aidé ce fameux 11 février...et la tête a suivi. Bon courage à tous !!!
Partager sur:     

Anonyme (37 ans)
Nationalité Suisse
07 novembre 2019

Bonjour à tous ! Si vous murissez l'idée d'arrêter de fumer, mon témoignage pourra peut-être vous encourager. J'ai fumé de 16 à 36 ans 10 cigarettes par jour, soit pendant 20 ans. J'ai arrêté du jour au lendemain, sans patch et sans substitut. Aujourd'hui, ça fait une année et 7 mois que je suis non-fumeuse et je sais que c'est définitif, tout simplement car je constate que la cigarette n'apporterait rien de plus dans mon quotidien aujourd'hui. Je n'ai plus d'envie de fumer, excepté à de rares occasions d'apéros arrosés avec beaucoup de fumeurs et l'envie passe en quelques secondes. Mon astuce pour arrêter, c'est d'avoir déjà cogité cela depuis longtemps, avec l'envie de retrouver ma liberté. De mon côté, l'envie d'avoir un enfant et de ne pas fumer pendant la grossesse était une motivation supplémentaire. J'ai toujours parlé avec d'anciens fumeurs et récoltés leurs histoires sur leurs manières d'avoir arrêté. Je pensais honnêtement que ce serait très très difficile pour moi et disais que je prendrais tout ce qui existait pour me soutenir si un jour je devais tenter le coup. Je n'ai jamais essayé d'arrêter pendant ces 20 ans et croyais que c'était mission impossible pour moi. Un jour, toute seule dans ma tête comme une grande (:-)), je me suis dit, 'et si c'était maintenant, ce moment où j'essaie' ? J'étais en train de fumer et me suis dit que j'allais voir combien de temps je tiendrais avant d'en allumer une autre et avant que je ne sois dans un état trop critique. Je n'ai rien dit à mon copain ni à personne. J'ai tenu la première nuit et j'ai pensé , 'incroyable ! J'ai passé la nuit !' Puis j'ai continué comme ça, sans me mettre la pression, en me disant que si je refumais c'était pas grave.. juste la curiosité de voir jusqu'à quand je tenais. En fait plus ça durait, plus j'étais fière de moi. C'est comme si je passais un pacte avec moi-même. Je crois que j'ai attendu une semaine avant d'en parler, tout en continuant à dire que je faisais un ptit test, juste pour voir.. Bref, pour moi, le fait de prendre la décision entre moi et moi sans en parler et d'y aller petit à petit a été la solution. Je ne me disais pas que j'allais arrêter, juste que j'avais la curiosité de voir jusqu'à quand je tiendrai avant la prochaine... qui n'est jamais venue ! Bien sûr j'ai plus tard toussé pendant très longtemps (3 mois) et eu plein d'émotions qui sont sorties, mais aujourd'hui, je me sens tellement 'libérée, delivreeeee'! Surtout par rapport à ces fabriquants de mort qui nous manipulent et par rapport aux autres etc. Envolée la culpabilité de déranger avec ma fumée, mon haleine ou mon mégot . Tout est possible. L'idéal est d'écouter votre petite voix et de vous faire confiance. Bon courage et chaleureux messages, Nathalie
Partager sur:     

brigitte (54 ans)
Nationalité francaise
02 avril 2018

Bonjour , j'ai arrêtè de fumer récemment il y a 5 jours . Je me suis levée et j ai dit stop a la clop !!!! J étais une grosse fumeuse , j'ai commencée à 16 ans jusqu'a mes 54 ans .et je n'ai jamais fais de tentative d'Arrêt car je savais au fond de moi que je n'étais pas prête , l idée d arrêter de fumer me terrorisée et me m'était dans un tel état. Mon rêve le plus fou était d'y arriver . Je met tous les matin un patch a 21 g pour l instant, aucune envie de fumer et aucune souffrance . Je suis une femme très angoissée de nature et pourtant plus d'angoisse depuis cet arrêt ! Je me sent super bien et joyeuse . a croire que le stresse vient souvent de la cigarette , car nous somme dans une dépendance étant fumeur et je pense que l 'on pert notre confiance ! Donc si j'y arrive , vous pouvez arrêter .
Partager sur:     

Frédérique (61 ans)
Nationalité Française
16 octobre 2019

Je voudrais vous soutenir dans votre démarche d'arrêt du tabac et vous donner la méthode qui m'a permis d'y arriver.. Dans 15 jours ça fera un an sans aucune cigarette alors que je fumais depuis l'âge de 18 ans un paquet /jour. et j'en ai 61. Quelques tentatives de diminution et un seul arrêt de 4 mois 15 ans en arrière. Je vous assure qu'aujourd'hui, je dis autour de moi "tout compte fait je croyais que c'était insurmontable et qu'en définitive c'était pas si dur que ça" 1- ma motivation l'an dernier, départ à la retraite, donc plus aucune contrainte de lieu pour fumer et du temps libre en plus..; Résultat: ma consommation a augmenté, elle est passée à 30 cigarettes/jour pension de retraite de 25% en moins que mon salaire, à 200 e/mois de budget Tabac, plus beaucoup de loisirs possibles 2-ma méthode J'avais essayé de diminuer avec des patchs mais ça ne marchait jamais, je mettais le patch le plus dosé à 21mg - je croyais qu'on ne pouvait pas en mettre plus- et j'avais toujours envie de fumer. Pourtant à 1 paquet/jour et des Superlight je ne comprenais pas. Puis j'ai lu un article qui disait que le dosage du patch n'était pas forcément en rapport avec le nbre de cigarettes, ça dépendait de la façon de tirer sur une cigarette et de l'imprégnation de l'organisme et qu'on pouvait mettre jusqu'à 4X21mg/24H Alors je me suis établi un programme, j'ai acheté les 3 dosages de patch J'ai commencé avec un 21mg et la moitié d'un 21, ce qui faisait 31.5 mg, pas d'envie de fumer et pas de nausée, cela pendant 14 jours, puis tout doux, j'ai diminué à chaque fois pendant 14 jours d'environ 4 mg par des combinaisons: 21 + la moitié d'un 14 (28) ; 14+ la moitié d'un 21 (25); un ( 21); 14 +la moitié d'un 7 (17.5); un (14) ; 7 +la moitié d'un 7 (10.5); un (7); et enfin et c'est important : la moitié d'un 7 (3.5). J'ai mis 4 mois et demi. Il suffit de trouver le bon dosage au départ. Voilà, j'y suis arrivée, je suis super bien, beaucoup moins essoufflée, je faisais de la gym, je me suis mise aussi au Golf, et je peux me l'offrir financièrement. J'avais développé un asthme il y a 6 ans,certainement dû à la cigarette, mon traitement contre l'asthme a été diminué par deux. Je me sens vraiment libre, mais il y a une chose aussi que je sais et sur laquelle je dois être intransigeante: JE NE DOIS JAMAIS REPRENDRE UNE SEULE CIGARETTE. Une personne tabagique l'est à vie. Une seule cigarette me ferait re-plonger. Vous verrez aussi, quand vous aurez arrêté, que la tentation est moindre qu'il y a quelques années, les gens fument de moins en moins. Allez-y Courage
Partager sur:     

Virginie (39 ans)
Nationalité France
28 septembre 2016

J'ai commencé à fumer j'avais 16 ans. Je pense que c'était surtout pour me démarquer car j'avais besoin de reconnaissance. J'ai très rapidement fumé 1 à 2 paquets de 20 cigarettes par jour. Je crois que j'ai toujours voulu arrêter mais mon besoin d'autodestruction était plus fort. Aujourd'hui j'en suis à ma 10e tentative d'arrêt du tabac mais celle-ci elle dure depuis 10 ans. Les précédentes duraient 1 à 6 mois maxi... j'ai fait ma 9e et ma 10e tentative avec Stop-tabac et les forums m'ont beaucoup aidée. Ma motivation principale était l'envie d'une grossesse et je me disais que si je pouvais arrêter 9 mois alors je pouvais tenir pour de bon. J'ai utilisé les gommes à la nicotine comme substitut,même enceinte pendant les 2 ou 3 premiers mois. j'ai préféré faire absorber la nicotine des gommes plutôt que tous les constituants d'une cigarette. J'ai depuis plus de 9 ans le grand plaisir de faire des bisous et des câlins à ma fille sans lui imposer l'odeur du tabac froid sur moi ou une mauvaise haleine de fumeur. C'est ma motivation à chaque fois que je pourrai être tentée de prendre une cigarette (l'envie passe en un quart de seconde !) et puis c'est trop galère d'essayer d'arrêter rien que de penser à ces efforts, non je ne veux pas y retoucher. Je crois qu'un enfant qui absorbe du tabac dès la grossesse et en tabagisme passif quotidiennement court le risque de devenir dépendant au tabac en grandissant. Je crois que son cerveau a ainsi été programmé pour avoir sa dose régulièrement et qu'il sera difficile pour lui de lutter au manque que lui créera sa première vraie cigarette. Pour moi et mon entourage j'espère ne jamais retoucher à une cigarette. Merci à stop tabac pour son aide et pour m'avoir envoyé un message me rappelant que oui ça fait 10 ans et j'en suis fière !
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Mmona (55 ans ans)
Nationalité Française
10 novembre 2021

Youpi, 2 ans et 6 mois sans briquet... Que ce fût difficile la 1ère année, et puis cette mauvaise habitude s'est effacée au fur et à mesure... Je n'y pense plus, j 'étais prête voilà tout, mon entourage est très agréablement surpris . ( La santé est le 1er argument faire un scanner pulmonaire et découvrir un emphysème débutant, ça calme et permet de relativiser... Respirer sainement et ne plus empoisonner son corps est prioritaire) C'est possible
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme
Nationalité Suisse
07 janvier 2020

Sur un coup de tête, le premier janvier 2019, j'ai arrêté de fumer. Bien sûr, l'idée trottait dans ma tête depuis longtemps, mes essoufflements dès que je montais 5 escaliers ou essayais de reprendre mon vélo ainsi que mes quintes de toux les matins...commençaient à m'angoisser. J'ai donc arrêté comme cela, ce matin-là à 4 heures, un peu pompette, et surtout effarée de voir mes 2 paquets achetés le 31 pour fêter le nouvel-an étaient VIDES.... Eh oui, 40 cigarettes en quelques heures, pas étonnant d'avoir mal à la gorge, aux poumons et à la tête. J'ai donc décidé de ne pas en acheter avant au moins 2 jours, pour compenser.... A mon réveil, ce même 1er janvier, la tête bien embrumée, j'ai bien sûr tourné, cherché, je suis sortie sur le balcon, j'ai regardé les fonds de paquets vides, dépitée, et comme mue par une seule et unique pensée contradictoire: fumer-pas fumer, j'avais de la peine à passer à autre chose, mais j'ai tenu bon. Lorsque l'envie était trop forte, bien décidée à tenir le coup, j'ai simplement inhalé ( un peu seulement, et de pas trop près, bien sûr, on n'est pas masochiste non plus ) les cendriers débordants de mégots. Oui, la fête avait été belle, mais 40 clopes, beurk. Cet état m'a suivi durant les jours suivants.Aller fumer, mais finalement, ne pas fumer... La chose qui m'a énormément aidée a été l'invention de mon adolescente de fille qui m'a fabriqué des fausses cigarettes en pailles en plastique dans une petite boîte en carton comme un paquet de cigarettes. Elle m'a dit:" si tu as trop envie, tu fais semblants de fumer" Cette astuce m'a énormément aidée, car outre l'accoutumance à la nicotine, la gestuelle, les habitudes, la sensation buccale sont des manies difficiles à oublier, et l'envie de les assouvir peut nous entraîner à craquer. Donc, comme j'avais encore au moins envie de fumer chaque heure que Dieu fait, j'ai feinté mon cerveau avec ces fameuses pailles en plastique. J'avais l'air ridicule, mais pas tant que cela, finalement si on compare avec le fait de sucer ces tiges de tabac enrichi de produits toxiques et addictifs.... J'ai rempli ces pailles avec des cure-dents afin de retenir l'air et de m'approcher de cette sensation de succion... Pour le goût, j'y ai mis une petite goutte d'huile essentielle. Ainsi, l'illusion était presque parfaite. Après trois ou quatre jours de ce régime, j'avais toujours envie de fumer, mais l'odeur du tabac commençait déjà à m'incommoder un peu. J'ai retrouvé une cigarette derrière le canapé, ( reste de la fête) que j'ai fumée après avoir repoussé ce moment des heures durant: Résultat: je me suis sentie flouée. Cette cigarette qui me faisait tant envie depuis si longtemps a été consumée en un rien de temps, elle puait vraiment, m'a encrassé les bronches, et ... cerise sur le gâteau, je l'ai écrasée en n'ayant aucunement l'envie assouvie, au contraire! Une escroquerie totale! Cette conscience m'a aidée à définitivement arrêter. Libérée, délivrée :-)
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Maryhoon (39 ans)
Nationalité Suisse
20 mars 2024

Il y a bientôt une année, j'ai arrêté de fumer du jour au lendemain alors que je ne croyais pas ça possible. Ca faisait déjà tellement longtemps, plusieurs années, que j'essayais d'arrêter mais je reprenais toujours. Je voulais arrêter mais je ne savais plus comment m'y prendre. J'ai posé une date bien lointaine pour refaire encore un essai d'arrêt, mais je n'y croyais plus. Bien avant la date d'arrêt prévue, j'étais dans mon lit un soir et j'ai fait une sorte de prière au ciel en disant que je n'y arriverais jamais et que j'avais besoin d'aide. J'ai reconnu ma complète défaillance dans cette lutte contre cette drogue. Quelques jours plus tard, je me suis réveillée un matin avec l'idée qu'il fallait que je ressaie tout de suite. Sans y croire et alors que deux jours avant j'avais fait le stock de tabac, je me suis dit ok, on va réessayer. J'ai eu l'impression pour la première fois de me jeter dans le vide. J'ai accepté que c'était fini, derrière moi, que je n'en aurais plus jamais besoin. Le sevrage s'est bien passé, je n'ai plus eu besoin de lutter. Après coup, je pense que cette prière, adressée à personne sinon peut-être à une partie de moi-même, a changé quelque chose dans mon inconscient, reconnaître ma petitesse vis-à-vis de la clope a comme décuplé une force et permis d'induire une nouvelle perception de la cigarette. C'est ce changement de perception qui m'a aidé, car je n'ai plus vu la clope comme ma béquille, mon amie, ou quelque chose qui faisait du bien, juste comme un truc dont je n'avais plus besoin. C'est la première fois que j'ai arrêté sans penser qu'un jour j'en reprendrais une. Clore le chapitre clope mentalement a été capital. Le forum de la tribu anti tabac https://tribu-stop-tabac.ch/ a été aussi d'une grande aide car il permet de mieux comprendre les mécanismes de l'addiction et surtout de partager les expériences. Arrêter de fumer m'a libérée d'un grand poids et ma santé physique et même mentale se sont améliorées... Il ne faut jamais perdre espoir et toujours garder cet objectif, on peut y arriver, même si ce n'est pas du premier coup, on peut se libérer de la clope quand on comprend qu'elle ne nous sert plus à rien...
Partager sur:     

Maria
Nationalité Suisse
10 avril 2023

Bonjour à tous! Je voulais faire part de mon témoignage que j’espère pourra vous aider. J’étais une grosse fumeuse depuis plus de 20 ans environ 1-2 paquets par jour… (20-40 cigarettes). C’est ma deuxième tentative d’arrêt. L’année passée j’ai tenu 6 semaines et suite au décès de mon père et problèmes professionnels j’ai trouvé réconfort au près de mon amie toxique: la cigarette. .. inutile de dire que j’ai très vite repris mes mauvaises habitudes… Il y a 18 jours j’ai décidé d’arrêter de fumer, parce que avec mon mari nous essayons d’avoir un bébé et ça prends du temps car j’étais une grosse fumeuse… et aussi j’en ai marre de fumer… Je me suis bien sûre faite aidée par qq séances d’acupuncture de psy et les Patchs un peu sous dosé au début pour ma consommation de cigarettes. Il y a 12 jours soit j6 d’arrêt avec mes béquilles (Patch acupuncture séances psy) le manque est insupportable alors je viens sur ce site pour me motiver… je lis les différents témoignages et au lieu de m’encourager je me sens nulle, pas assez motivée. Plus je lis les témoignages plus j’ai l’impression que ca a été facile pour les autres et moi j’y arrive pas. J’ai l’impression de manquer de volonté…je me dis même la dernière fois c’était plus simple j’avais plus de volonté.., Alors se passa ce qui devait se passer J7 j’ai fait une rechute et j’ai acheté un paquet et je l’ai fumé en entier ….. j8 je décide de ne pas me laisser abattre par cela…je me suis dit je continue peut être ma volonté reviendra…. Alors j’ai continué mon arrêt… La rechute m’a permise de mieux comprendre ma dépendance et de mieux contrer les moments de fortes envies! J’ai aussi réalisé que ce n’était pas un manque de volonté mais seulement une dépendance tellement forte… J’avais associé la cigarette à un support pour surmonter le décès de mon père…. Bref je me perds… Hier j’ai de nouveau eu une grosse crise alors j’ai lu les composants de la cigarette et toutes les saloperies que l’industrie de tabac y met pour nous rendre complètement accro… la dépendance n’est pas seulement au nicotine mais tout ce qui compose la cigarette….a la fin de ma lecture je me suis dit si je veux fumer je devrais avant boire de l’acétone(1 des composants).., ça marche pour le moment … je ne sais pas combien de temps…j’espère pour toujours parce que je veux me libérer de cette prison! Aujourd’hui J18/11 sans une cigarette (oui je compte ma rechute comme faisant partie de l’arrêt ) j’ai envi de dire à celui /celle qui est en difficulté, celui/celle dont le Craving ne passe pas après 3 minutes…, celui/celle qui a l’impression que c’est impossible qu’il /elle n’est pas seul/e. On n’est pas tous armé de la même manière face aux dépendances… la nicotine n’est pas le seul composant de la cigarette qui rend dépendant il y en a d’autre c’est pourquoi les Patch apaisent mais n’enlève pas totalement l’envie. La volonté seule n’est parfois pas suffisante et finalement il/elle gagnera la bataille finale! Force et courage à tous!
Partager sur:     

Rosalie (59 ans)
Nationalité Suisse
12 août 2021

A 17 ans je fumais ma première cigarette et j'ai fumé la dernière le 11 juillet 2013 après 32 ans dont 18 mois d'interruption à l'âge de 41 ans. Toute une vie de tabac, la plus ancienne compagne de ma vie....très vite j'ai fumé un paquet par jour et à la fin de ma vie de fumeuse j'étais à plus de 2 paquets 1/2, voire 3 paquets. Lorsque j'ai cessé de fumer à l'âge de 41 ans çà a été plus difficile que maintenant, étrangement. A l'époque j'avais fait un pari avec moi-même:" tu vas t’arrêter; tu vas leur montrer que tu es capable de le faire"; un an et demi après je rechutais: normal, j'avais gagné mon pari, je m’étais arrêtée et l'odeur de la cigarette qu'un ami allumait devant moi était tellement troublante........ Cette fois j'ai décidé de m’arrêter et j'ai mis un an et demi à prendre la décision, à me conditionner, à me convaincre que j'allais me passer de tabac, aussi dur que cela pourrait être. et puis un jour, en naviguant sur le web j'ai trouvé par hasard Stop tabac.ch et je ne l'ai plus quitté. ma décision était prise, il faisait passer à l'acte et c'est stop tabac qui m'a aidé et tous les membres de la tribu qui m'ont aidée patiemment, sereinement et m'ont remonté le moral les jours gris ou noirs. Pourtant si je voulais cesser le tabac, je ne voulais que les autres puissent en souffrir dans mon entourage et par ailleurs je ne voulais pas prendre de poids. J'ai donc utilisé le zyban selon la manière préconisée par stop-tabac et dans les mois qui ont suivi j'ai pris du Prozac pour pouvoir passer les moments difficiles et ne pas remettre en cause ma décision.pour contrôler mon poids, j'ai bu de l'eau pétillante à chaque fois que le manque de "quelque chose aux lèvres" se faisait sentir, je buvais au goulot, comme un biberon j'arrivais à boire 3 litres par jour Voilà maintenant j'ai 59 ans et je découvre des goûts et des parfums comme j'en connaissais dans mon enfance et que j'avais perdus; j'ai retrouvé aussi un souffle perdu, je cours, je marche, je nage, je vis. et les fumeurs à côté de moi ne me gênent même plus. Quand je vois quelqu'un fumer, les femmes surtout, je trouve cela très moche, très laid. je sais et je sens tellement que c'est une drogue que j'ai envie de leur dire:" arrêter de vous détruire" mais nul ne peut faire le bonheur des gens malgré eux aujourd’hui je suis heureuse d’être une ex fumeuse et je resterai une exfumeuse jusqu'au bout.
Partager sur:     

FATIHA (49 ans)
Nationalité Française
01 novembre 2018

Bonjour, Je n'ai jamais fumer de ma vie et pourtant on m'a diagnostiqué un emphysème. Ce n'est pas non plus héréditaire. Les médecins pensent que c'est les autres fumeurs qui sont responsable Oui a cause du tabagisme passif j'ai contracté cette vilaine maladie et pour la vie. c'est pourquoi je vous demande de penser à nous les victimes indirectes de votre cigarette et d'arrêter cette m....
Partager sur:     

gigi (45 ans)
Nationalité ch
01 avril 2018

Bonsoir Fumeuse depuis 31 ans Win rouge donc bien fort 30 à 40 cigarettes , étant très nerveuse cela m aidais pas , j ai pris la décision à 2 reprise d arrêter , la première fois j y suis arrivée en mangeant des caramel dur à chaque envie ou verre d eau , malheureusement suite à un décès d une personne très cher dans des circonstance dur j ai replongé et la d un paquet je suis passé à 2 c est comme si je devait récupérer un retard . Il y à 2 mois j ai à nouveau décider d arrêter , je voulais utilisé l E-cigarette , malheureusement elle était pas fonctionnel , mais mon envie d arrêter était toujours la . Dès mon salaire arrivé , direction un vap shop , la j ai regarder ce qui me convenait le mieux . puis je suis repartie avec ma vap , j ai donné mon paquet de cigarette à mon époux dans le magasin , il fût un peu septique . J ai commencer à baissé la nicotine , mes premières 6 mgr , puis 3mg , puis plus rien . cela en à peine deux semaine ,Aucun ressenti de manque si ce n est la recherche de briquet ou de cendrier le matin avec mon café lol . la cela fait un mois , et toujours au top malgré une catastrophe arrivée entre deux ou beaucoup on pensé que je retomberai , et bien non , Le fait de prendre des liquides sucré ,m a aidé à ne pas attaqué le frigo . Mon souffle va mieux , mon goût et plus développé , je dors mieux , C est juste super . Donc je conseil vivement à ceux qui veulent arrêter la cigarette de passé à la vape . il y en à de discrète et parfaite , enfin il y en à pour tous les goûts . Alors lancez vous
Partager sur:     

Anonyme (57 ans)
Nationalité France
02 juillet 2023

Et voilà ! 22 jours sans cigarettes , une première pour moi , qui fume depuis mes 15 ans presque 1 paquet par jour … J étais super motivée (je le suis encore) mais il a fallu un énervement énorme contre mon ami et ce sentiment de besoin irrésistible de fumer est revenu, comme pour passer les nerfs et aussi pour énerver mon ami qui étais trop content que j arrêt de fumer .. limite j ai fumé pour l énerver et maintenant je le regrette . Est ce que je peux considérer cette entrave comme faisant quand même partie de mon arrêt et me dire que demain c est le 23 eme jours ? Comme si cela n était pas arrivé ? Pour ça il faut que je jette ce paquet acheté bêtement et qui est toujours dans mon sac.. je suis déçue , déçue de moi . Car finalement si j arrête c est pour moi surtout . Il ne faut pas qu à la moindre forte contrariété je replonger c est ma leçon du jour .. que je garde le cap , quoiqu il en coûte :)
Partager sur:     

LAURLI (54 ans)
Nationalité Francaise
19 avril 2023

Bonjour, bienvenue dans la lutte contre le tabac! Je suis à 100 jours d’arrêt ce matin, Grâce aux patchs, aux pastilles de nicotine j’ai arrêté assez facilement. Mais à partir du 3eme mois, des démons ressurgissent au contact de fumeurs notamment. Alors hop je prends une pastille et ça passe! Oui les envies sont toujours là, mais elles passent et finissent par s’estomper… nous sommes drogués et cette drogue est une « drogue dure » p car la plus addictive qui soit… Courage, grâce aux substituts et à l’application, la motivation est la plus forte! Je veux fêter mon 55eme anniversaire en tant qu’ex fumeuse, car j’ai essayé plein de fois avant mais la c’est la bonne! Rdv a J 180 pour un nouveau témoignage!
Partager sur:     

Mima (62 ans)
Nationalité Marseillaise
02 mars 2023

Bonjour à toutes et tous ! Je viens ici pour vous dire que c'est mon premier jour d'abstinence et que je compte bien qu'il soit "le premier jour du reste de ma vie". Peut-être que j'aurais besoin de votre soutien un de ces quatre alors j'espère que peux compter sur vous :)
Partager sur:     

Anonyme (24 ans)
Nationalité France
12 mars 2022

Bonjour/Bonsoir, J'ai 24 ans, cela faisait 6 ans que je fumais, j'ai décidé d'arrêter la cigarette du jour au lendemain car j'ai eu peur. La tachycardie, les crises d'angoisses ou encore le manque d'oxygène dans mes poumons me faisait de plus en plus peur. Je fumais des roulées on va dire que j'en fumé une bonne dizaine par jour, pendant le café du matin, pendant la pause à 10h, avant et après manger, à 18h à 19h à 20h... Jusqu'au coucher je fumer mes petites clopes à tout moment sans vraiment me rendre compte du mal que je me faisais. J'ai décidé d'arrêter car il fallait que je me sauve, même si aucun problème de santé important n'est présent aujourd'hui qu'il n'y aura aucun problème dans 5/10/20 ans. Nous sommes égoïste aujourd'hui avec notre nous-même du futur. J'ai arrêté avec une facilité assez déconcertante ! Moi qui pensais ne jamais y arriver, je me suis rendue compte que je n'avais jamais vraiment essayer. Je veux dire vraiment ! Luter luter contre cette dépendance, RÉELLEMENT. Nous sommes beaucoup beaucoup plus fort que ça. Les deux premières semaines ont été pour moi les plus difficiles, vertiges, nausées, fatigue, fringales, ennuis, et frustration. C'est clair que ça donne juste envie d'allumer un clope et se demander "pourquoi se faire tant de mal ? Autant refumer ça sera plus facile !" Mais non, au contraire prouvez vous que vous êtes plus courageux que ça ! Cela fait maintenant 3 mois que j'ai arrêté, j'ai redécouvert une force et une détermination chez moi que je croyais perdue pour toujours. Les deux premières semaines passées tout est devenu simple et évident ! J'en avais enfin fini de lutter, il n'y avait plus que l'envie de continuer sur ce chemin car j'étais et je suis fière de moi ! Je suis heureuse d'avoir retrouvé mon souffle, d'avoir repris le sport, d'avoir retrouvé l'odorat, le goût qui avait été trompé pendant 6 ans par le cigarette, heureuse d'avoir des poumons en bonne santé, heureuse d'avoir une bonne haleine (oui ça compte !) Heureuse d'être enfin moi, loin de cette fumée. Croyez en vous, je vous assure que l'on ai plus fort qu'elle ❤️
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Fiona (28 ans)
Nationalité Belge
22 septembre 2021

Bonjour, je voulais inscrire ça quelque part et cet endroit me semble tout désigné pour le faire. Voilà maintenant 1mois que j'ai arrêté de fumer. Une première cigarette à seize ans, un premier paquet à 18, suivi d'un autre, et un autre " Exceptionnellement. Pour les vacances. Pour se faire des amis en soirée. Parce que c'est rock'n'roll" Les paquets durent d'abord un mois, puis une semaine, puis une journée, puis quelques heures en soirée... A vingt ans, j'étais une vraie fumeuse bien accrochée. L'idée de décrocher ne m'est pas venue tout de suite. J'avais vécu un décès, j'étais déprimée. La cigarette accompagnait mes insomnies et je me fichais des risques bien connus qu'en tant que fumeur, on repousse dans un coin de sa tête en se disant que ça n'arrive qu'aux autres. Je pouvais arrêter plus tard, ce serait facile. Mais voilà ! Arrivée à mes 26ans, je commençais à faire les frais de ce que les réalisateurs de films qui nous vendent des fumeurs glamours oublient de nous montrer : je me réveillais le matin avec la migraine, le teint gris, les cheveux et la peau ternes... Et que dire de la toux grasse, les glaires, l'haleine atroce. Charmant. Mais ce n'est pas le pire. Je chante depuis toute petite, j'adore ça. Et je commençais à manquer de souffle, à perdre ma voix, à tousser au milieu de la chanson, à ne plus savoir monter dans les aigus... Ça me déprimait de ne plus arriver à chanter correctement. Mais plutôt que d'arrêter de fumer, je me bourrais de miel en me persuadant que ça arrangerait tout puis progressivement, j'ai espacé mes moments musicaux car j'avais honte de ne plus être à la hauteur. La situation ne s'arrangeait pas à tous les niveaux. Paradoxalement, plus je déprimais de mon bilan physique piteux, plus j'augmentais ma consommation de cigarettes. J'ai essayé d'arrêter plusieurs fois ces deux dernières années, sans tenir plus d'une semaine. Et évidemment, chaque rechute me faisait reprendre de plus belle mais chaque essai me montrait aussi que c'était possible. Le plus dur à l'arrêt, c'était les sautes d'humeur et les soirées. Une dispute ou une soirée sympa et je craquais direct. Est ensuite arrivé le covid, le confinement et j'ai pris 6kg par dessus le marché. C'est en sortant faire des footings que j'ai réalisé à quel point la cigarette avait tout détraqué. Je n'avais plus aucune condition physique. J'ai encore essayé d'arrêter, j'ai encore craqué... jusqu'au mois dernier où, au comptoir de la pharmacie, au moment de payer mon shampoing anti pelliculaire (oui parce que la cigarette provoque ça aussi, si c'est pas la classe...) j'ai décidé d'acheter des patchs. Et me voilà un mois plus tard, un mois sans clope. Le bilan d'un non fumeur est quand-même beaucoup plus sympa : mes cheveux brillent et sont en bonne santé, ne sentent pas la fumée, ma peau est mille fois plus nette, je retrouve ma voix, mon souffle, ma forme. Je cours maintenant sans paraître à l'agonie et quel plaisir de retrouver les odeurs, le goût, de l'énergie... Bref, je me sens confiante cette fois-ci, je me sèvre sans me brusquer grâce aux patchs. Il m'arrive même d'oublier d'en mettre un et de tenir toute seule sans ressentir de frustration. Je ne veux pas craquer. La vie est bien plus agréable quand on n'inhale pas du goudron par paquet de 20 ! Je ne me sens pas encore non fumeuse et toujours en danger par rapport à la cigarette. Je sais que c'est quand je me sens trop sûre de moi que je peux craquer. Je n'accepte aucune cigarette "Exceptionnellement" parce qu'elle aurait un goût de déjà vu. Il faut être réaliste, quand tu te colles des patchs de nicotine sur les cuisses, c'est bien que t'es une droguée. J'espère pouvoir y penser en rigolant bientôt. Bon courage à tous et à toutes !
Partager sur:     

Fabienne (41 ans)
Nationalité Suisse
09 août 2021

Je suis là Face à moi même Face à la réalité Face à ma stupidité. Je suis là, et je ne me comprends pas. Le pire composant contenu dans la cigarette est la DEPENDANCE... celle là même qui enlève la volonté, la détermination et une partie de la personnalité, incinérée sournoisement par ses soi-disant bouffées de plaisir ! La cigarette est une soeur de tout les instants, toujours présente, bien encrée dans nos poumons quand la vie nous déprime, quand le stress nous gagne, quand l'ennui nous prend, quand les sens s'ennivrent, quand la peur nous envahit, quand le manque est intolérable, quand l'habitude est insurmontable... Cette soeur fidèle pourrai être là jusqu'à nos derniers instants, le souffle court sur notre lit de MORT. Ce membre de la famille, cette compagne enfume notre esprit critique au point de ne pouvoir plus rien faire sans elle, d'avoir PEUR de vivre SANS elle et non AVEC elle, d'intoxiquer notre intimité d'une écœurante odeur d'esclavagisme. Je suis là, Face à moi même Face à la réalité angoissée mais pleine d'espoir et je dis NON à cette maudite fraternité.
Partager sur:     

Anonyme (56 ans)

24 janvier 2020

38 ans de fumée! Et, depuis 16 mois, pas de cigarette. Aucune. J'ai délaissé mon balcon, synonyme de pause-clopes. Dommage, mais j'y retournerai bientôt, sans le souvenir de la cigarette entre les doigts et du petit moment soi-disant relaxant et récréatif rien que pour soi, à aspirer son petit cocktail explosif de substances toxiques. Les gens qui fument autour de moi ne me gênent plus. Plus aucune envie. En 16 mois, j'ai dû rêver deux fois seulement que je tirais sur une cigarette. Certes , je suis encore dépendante : je vapote, avec un faible taux de nicotine. Sans, j'aurais sûrement replongé, je l'avoue. On se bat avec les moyens qu'on peut assumer. Et quels que soient les moyens, si cela signifie zéro cigarette, c'est déjà une belle victoire. Les quelques kilos pris, je les ai combattus avec des séances de fitness et d'alimentation en conscience. Energie, bon sommeil, réveils matinaux en forme, respiration dégagée, plus de toux ni de glaires dégueu, teint lumineux, plus d'odeurs de cendrier froid ni de lessives sans fin de ces habits et foulards qui puent, plus de stress lié à la peur du manque - aller à temps au kiosque acheter sa dose, dépenser des fortunes- la liberté et la santé, enfin. Voilà mon petit bilan après ces 16 mois, et si cela pouvait être inspirant pour vous cela me comblerait de joie. Vous aussi, arriverez à dire adieu à cette drogue déguisée en charmantes tentatrices dans leur petit étui papier glacé aux séduisantes écritures embossées, colorées et brillantes - car oui, l'esthétique marketing des paquets de clopes est très attractive et a un impact certain sur nos actes d'achat, et ajoutons-y le petit briquet si mignon qui y trouvera sa place... je pense particulièrement à nos jeunes à cet égard, sans doute plus sensibles aux injonctions mercantiles des cigarettiers, un aspect qui n'est pas vraiment considéré quand le sujet de la dépendance à la cigarette est abordé. Ne plus fumer est à votre portée. La preuve, je l'ai fait!
Partager sur:     

Anonyme (59 ans)
Nationalité Francaise
04 décembre 2022

Bonjour J'ai fumé à l age de 15 ans au lycée pour faire comme les autres ils m ont dit essaie tu va voir... j'ai tousser la première fois mais plus tard j'ai recommencé jusqu a m habituer si je me souviens bien le paquet était à 5 franc n ayant pas d argent je demandé de temps en temps aux autres et même des fois je volais 5 franc à ma mère ça c'était le début ensuite à 17 ans j ai eu mon premier boulot et j avait ma paye donc la je commençais a acheter un paquet pas tous les jours mais des que j avais de l argent ensuite je n'ai plus de souvenir de la quantité de cigarettes je fumais mais je fumais peu c est vers 25 ans que je fumais quotidiennement j étais toujours en forme pleine d énergie plus qu'il en fallait jusqu'à mes 53 ans - menopause et problème trop nerveuse et anxieuse - café et cigarette là totale - stress...je me suis déclenchée une gastrite cela dure depuis 5 ans et cette année encore gastrite avec bactérie helicobacter je prend des antibiotiques 12 cp par jour et dans 15 jours je dois faire un test pour savoir si la bactérie a été eradiquée j ai arrêté depuis 2 mois la cigarette... je suis toute molle... je n'ai plus la pêche que j avais je respire mieux c est vrai.. je me nourris sainement. Je ne compte pas reprendre car c est bien vrai ça détruit tout et en même temps ça vous anesthésie toutes les douleurs vous pouvez être malade mais avec ce poison on ne sent rien c'est quand vous arrêtez, voilà. Je vapote un peu, pas trop... je m occupe en fait. C'est la peur de la maladie qui vous fait arrêter. j ai arrêté sans patch, sans gommes et quand je suis avec des gens qui fument... ça me tente même pas! Je regrette d avoir commencé, j avais une bonne santé pendant 50 ans et aujourd'hui je me dit tout peut arriver avec ce poison qu on a inhalé depuis 45 ans... Quand on veut, on peut! Bon courage à tous!
Partager sur:     

Ann (54 ans)
Nationalité Française
19 août 2022

Adieu à ma meilleure Amie (Merci Siem) Hello à tous, Me voilà de retour. Plutôt qu´un long discours, je vous propose de vous partager mon journal de bord de 2012 que j´avais fait sur l´ancienne version de ST sur les premiers jours d´arrêt. 10 ans après, je suis de nouveau avec vous, après 4 ans d´arrêt suite à votre aide précieuse. Je voudrais ici, reprendre une sorte de journal de bord car ça m´avait vraiment aidée. Peut etre que ça en aidera d´autres, qui sait... Allez hop, c ´est parti et bonne lecture 16 octobre 2012, 18:15 Enfant, je disais « ça sent mauvais ! » J’ai vécu au milieu de la cigarette, ma mère fumant de temps en temps à la maison, mon père et mes oncles roulant leur « clop » lors de toutes les réunions de famille qui se déroulaient dans un épais nuage de fumée, enfants à côté… Dans la voiture, même combat, si possible fenêtres fermées. 1982 : j’ai 14 ans et comme une imbécile, je veux avoir l’air d’une grande. Une copine me tend un clop (il paraît qu’on dit un clop, mon oncle y tenait !), j’essaie et puis une deuxième, une troisième, et ainsi de suite… Au départ, je me cache des adultes, et puis je me mets à fumer à la maison à 18 ans. Je suis adulte, non ? Je ne me pose même pas de question. Tu deviens mon indéfectible alliée des soirées entre potes, des coups de cafard, des moments d’ennui, des révisions de partiels pendant 8 longues années d’études, bref de chaque instant de ma vie. Un mois avant mon mariage, je décide de Te lâcher car je ne saurai tolérer des photos en belle robe blanche, un bouquet dans une main, Toi dans l’autre ! Et comment je vais faire pour me passer de Toi pendant cette journée ? Impossible ! Patch et bouquin. Ma meilleure amie, Tu n’es pas invitée ! Nickel, Je m’arrête du jour au lendemain. Mo-ti-vée !  Je prends 3 kilos en trois semaines et je rentre tout juste dans ma robe le jour J. Mais bon, Tu n’es pas là, nous sommes fâchées et c’est tant mieux ! 8 mois après, 8 kilos et une bagarre contre ces derniers pendant des mois, je me considère comme guérie,. Je T’ai oubliée. Et un beau jour, à la faveur d’un voyage au delà des mers, Tu m’appelles, comme ça, par hasard : « Salut, ça va ? » « Oui, et Toi ? ». On reprend contact, on se pardonne, on s’embrasse et je retombe dans Tes bras. Pendant 15 ans. S’ensuivent deux grossesses et Tu es toujours là, près de moi. Ah, non, pas tout à fait. Huit jours avant mon premier accouchement, on se fâche à nouveau pour mieux se réconcilier trois jours après. Du coup, Tu me fais culpabiliser, j’arrête d’allaiter mon fils au bout de dix jours et nous voici encore réconciliées. J’ai toujours été très fidèle en amitié et Toi aussi. 12 années passent. Mes enfants me mettent en garde contre Toi. Ils ne T’aiment pas, crois moi ! Mais, j’en arrive à T’inviter à nouveau dans la maison et plus seulement sur le balcon, fenêtres ouvertes (car notre amitié doit rester discrète), puis dans la voiture pour de courts trajets avec les enfants. Au bureau, Tu es VIP ! Tu écoutes mes conversations téléphoniques, lis mes messages, rédiges mes dossiers, assistes même parfois à mes rendez-vous de clients qui ont la même Amie. Mais dans ma tête, Ton amitié devient pesante, lourde à porter. En, fait, il n’y en a que pour Toi. Si Tu n’es pas là, je panique. D’ailleurs, Tu es toujours là, et les rares fois où je T’ai oubliée, je suis allée Te chercher d’un saut de voiture. Je connais d’ailleurs le moindre des endroits où Tu peux Te cacher, à toute heure du jour ou de la nuit ! Et si Tu n’es pas disponible, j’appelle une de Tes copines, revêtue de menthe, ou d’un autre costume, peu importe, vous êtes de la même famille. Si Tu es là alors que Tu n’es pas invitée, au resto, au ciné, chez des amis, je maudits ces foutus endroits et ces foutus moments. Je m’embête chez mes « autres » amis, je n’écoute pas ce qu’ils me racontent, je ne cesse de penser à Toi. Et lorsque Tu me manques trop, délicatement, j’essaie de T’inviter : « je peux fumer…dehors ? ». Tu m’empêches parfois de dormir, et parfois Tu m’y aides lorsque je n’y arrive pas. Tu me soutiens dans mes moments de doute, tu partages mes joies, mes peines. Tu es là quand je vais bien et même quand je suis malade ! Bref, Tu fais partie de ma vie.   Vendredi 12 octobre 2012 Retour en arrière... 8 :30, après avoir emmené les enfants à l’école, je rentre à la maison car le médecin m’a diagnostiqué une laryngite hier soir. Je n’irai pas au bureau aujourd’hui et ça tombe bien, car je n’ai aucun rendez vous. Tu m’accompagnes sur le chemin du retour, comme tous les matins. Sur un coup de tête, je mets un patch qu’un médecin m’avait prescrit il y a quelques mois et que j’avais acheté, puis stocké dans ma pharmacie, comme tant d’autres fois par le passé. Le patch, Ton ennemi n°1 au même titre que certaines acuponctures, homéopathies, hypnoses et autres médicaments. Tu ne les aimes pas ceux-là, hein ? Tu en es jalouse et rien ne t’arrête pour les écarter de moi. Je le sais. Tu es extrêmement possessive et exclusive. La journée passe sans Toi, moi allongée, « vautrée » devant la télé. Et je me retrouve à 20 heures sans T’avoir donné une occasion de Te manifester ! Oh ! Tu n’es pas loin, juste dans la pièce à côté ! Les enfants sont absents pendant une semaine, ça tombe plutôt bien car je ne veux pas qu’ils nous voient nous disputer. Je ne sais pas vraiment mais Tu commences à m’agacer avec Tes caprices et Ton égoïsme.   Samedi 13 octobre 2012 Je me réveille : 24 heures sans Toi ! Wouahouhhhh ! Serions nous vraiment fâchées ? Je vais faire des courses et je suis fière de moi. J’ai envie de Te donner une leçon. Jamais Tu ne t’es préoccupée de moi, de mes envies, de mes besoins. Il fait beau et j’ai envie de sourire à cette nouvelle vie : Exaltation ! En guise de repas, je vais manger une grande assiette de crudités car j’ai besoin de me refaire une santé et de nouveaux amis appelés crudités, légumes, bien-être. Et je ne veux pas tomber dans ton autre bande de copains, les sucreries. J’ai les enfants au téléphone et dans un accès d’inconscience, je leur dis que c’est fini entre nous depuis hier. Ils sont contents, fiers. Et moi ? N’ai je pas fait une bêtise de leur dire que nous étions fâchées ? Je suis liée par mon engagement maintenant… Comment assumer si je n’y arrive pas ? Bon, on verra ça demain mais pour l’instant, Tu dégages du périmètre !   Dimanche 14 octobre 2012 Ouille, ça se complique ! Tu m’appelles sans cesse : le manque de Toi se fait cruellement ressentir ! C’est dimanche et il faut que je m’occupe absolument, que je t’oublie. Ménage, rangement de placard, lessive, musique, film… Mais Tu m’obsèdes. Je me maîtrise, je prends scrupuleusement mes vitamines et autres magnésium pour ne plus sentir Ta présence, omniprésence.   Lundi 15 octobre 2012 Mince alors, à peine réveillée, je pense à Toi… Satanée meilleure amie, Tu ne me lâches pas d’une semelle ! Tu n’as donc pas compris que je suis fâchée ? Que je ne veux plus Te voir, ni entendre parler de Toi ? A cause de Toi, je n’ai même pas le courage d’aller bosser et comme je n’ai pas de rendez vous, je peux rester à la maison. Finalement, j’étais malade, donc il faut que je me repose, non ? Ce n’est qu’un prétexte, je le sais, car en fait j’ai la trouille chevillée au corps. J’ai peur de me retrouver dans mon bureau, synonyme de cendrier géant. Je fais du repassage, des lessives… A ce rythme là, je vais faire couler ma boîte et vais devenir une toquée de la serpillère ! Et Toi, Tu es là, dans ma tête à chaque seconde qui passe… Je me force à Te faire la tête, ne plus Te parler. Mais en fait, j’en crève !   Mardi 16 octobre 2012 Je suis au bureau et je ne fais rien. Je surfe sur Internet, je lis mes mails, passe deux coups de fil. J’ai viré Ton copain le Cendrier. J’ai caché Ton ami le Briquet au fond du tiroir. J’ai invité de nouveaux amis. Ils s’appellent Bonbon à la Menthe et Verre d’Eau. Ils essaient bien de me divertir mais c’est difficile pour eux. On ne se connaît pas tandis que Toi… Sur Internet, je trouve ce site avec son forum et la possibilité de créer ce blog. J’en suis là. Jour 4 sans Toi. Je sais que j’ai raison de Te tenir tête, mais je doute de mes capacités. Sommes nous amies pour toute ma vie ? Mon destin n’est-il pas lié à ma meilleure amie ? Et si un jour, demain, après demain, dans un mois ou un an, on m’annonce… que ma meilleure amie m’a fait la pire vacherie qui soit ? Et là, je me dirai « Mais c’est pas possible, je le savais ! Et mes enfants ?... etc. etc. ». Et je doute encore « De toute façon, est-ce qu’il n’est pas trop tard, déjà ? » Ne m’as Tu pas déjà envahie, à vie ? Aujourd’hui, j’ai décidé de ne plus Te parler directement, mais de T’écrire. Nous verrons bien. Peut-être un jour Tu comprendras que l’amitié ne peut rimer avec l’hypocrisie, car je suis sûre que Tu me caches quelque chose… Tu n’es pas franche, j’en suis persuadée. Tu es fourbe, mais aussi très rusée, intelligente, manipulatrice, sournoise, sordide. Tu es trop fine, trop mince, trop parfaite pour être honnête. Tu as un physique de mannequin, élancée, le regard maquillé d’un léger trait d’eye liner, la moue ourlée de beige avec parfois un léger parfum mentholé, une jolie robe blanche, innocente…. Trop belle pour être vraie. Mais bon sang, qu’est-ce que Tu me manques….. Je raccroche. A demain.   Mercredi 17 octobre 2012 : un vrai petit soldat Je suis de nouveau au bureau. Toujours difficile de s’y mettre car Tu es toujours dans ma tête. En revanche, ne T’en déplaise, mais Tu as du renoncer à me harceler hier soir, à tel point qu’à un moment donné, je me suis sentie bien, sans manque de Toi. Peut-être étais-Tu allée Te coucher avant moi, épuisée de m’avoir tant pourchassée. J’ai pensé à Toi, bien sûr, mais Tu ne m’as pas manqué, l’espace de quelques longues et délicieuses minutes. J’espère bien que tu as passé une mauvaise nuit et que Tu vas aujourd’hui Te reposer, loin de moi. Ce matin en me levant, pareil. Tu es là, dans ma tête, mais moins présente, moins vivace. Aurais- Tu compris ? Je ne le crois pas… Pas encore… Car Tu es têtue, comme une mule, persévérante. Je m’attends à Te voir surgir, tel un diablotin, son chapeau pointu sur la tête, et son sourire narquois affiché en grand sur le visage. Je sais que Tu ne lâcheras rien, aucune bataille. Un vrai petit soldat. Cet après midi, le manque à nouveau.  Non contente d’y associer le manque, Tu y associes maintenant la peur. Peur de ne pas y arriver, peur de ne plus jamais être bien, peur même à cheval, alors que c’est mon seul moment de détente dans la semaine ! Tu ne T’arrêteras donc devant aucun moyen ! Même ce petit espace de liberté, Tu vas me le bouffer ? Je n’ai pas envie de Te laisser faire, et pour l’instant, moi aussi je joue au petit soldat, mais les armes ne sont pas les mêmes…..   Jeudi 18 octobre 2012 : le soldat n´est toujours pas mort Encore une des Tes astuces : m’empêcher de dormir. Tu joues maintenant la carte de l’épuisement, moral, nerveux, physique. Je savais qu’hier, Tu m’avais plus ou moins laissée en paix quelques heures pour mieux Te ressourcer, Toi, recharger Tes batteries, et à nouveau remonter sur le ring, plus forte, plus sûre de Toi. Je Te déteste.   vendredi 26 octobre 2012, 15ème jour : le mépris 15ème jour. Je ne T’ai pas oubliée mais je ne T’ai pas écrit. Je T’ai ignorée exactement 437 fois. 437 fois où je T’aurais sortie, fine et délicate de Ton magnifique écrin serti de cuir et d’argent que j’avais acheté spécialement pour Toi, écrin bien plus féminin que l’uniforme de tes petites sœurs, rangées et anonymes sur l’étal du débitant de tabac ! 437 fois où j’aurais invité Ton ami le briquet : Tu sais, le très très joli briquet argenté acheté encore une fois spécialement pout T’accompagner… Zippo s’appelle-t-il. Magnifique et choisi avec soin il y a des années aussi celui-là ! Je l’avais trouvé si joli dans sa robe de lamé avec ses fines dentelles gravées ton sur ton…. Souvenir de ma jeunesse et de mon insouciance d’adolescente. 437 fois où nous nous serions réunis tous les trois en une fusion, véritable confusion (avec ou sans jeu de mot). 437 fois où je T’aurais embrassée, sentie, humée, respirée, dégustée, avalée pendant de longues minutes, dont de nombreuses fois où je n’y aurais même pas prêté attention ! 437 fois où je T’aurais enfin couchée dans ton lit de cendres. Peut-être même maintenant 438. Voire 439. D’aucuns diraient 437 fois où nous aurions fait l’amour ensemble, mais finalement, ça y ressemble, non ? ! Et si je décidais de divorcer ? Mais, je T’ai sans doute et indéniablement ignorée bien plus souvent encore, car au delà de nos rencontres, je T’ai ignorée dans ma tête tout le temps que j’étais éveillée, à chaque instant (Tu as l’immense gentillesse de me laisser en paix quand je dors !). A chaque seconde en réalité : Soit environ 15.120 fois en 14 jours. 15.121, 15.122, 15.123, etc. Et autant de pensées pour Toi. 15.124, 15.125… Je suis fâchée ! Les remarques de tes ex amis Te concernant sont les suivantes « Ce n’est pas Ton amie, mais Ton ennemie ». Peut-être. Sans doute. Mais pour l’instant, je T’appelle encore ainsi. Pour mieux être Ton ennemie plus tard, ton ex.  L’heure n’est pas encore là, mais j’y travaille. Et si Tu es persévérante, il faut que Tu saches que je ne suis pas rancunière. Je pardonne tout mais je n’oublie pas. Et cela, Tu le sais, surtout aujourd’hui ! Et je suis franche. Alors Te voilà avisée, prévenue. Tu m’as cabossée. Je me répare. Oui je T’ai ignorée. Oui je ne T’ai pas écrit mais Montaigne ne disait-il pas «Il n’est réplique si piquante que le mépris » ?   Samedi 27 octobre 2012 : Dis donc, Toi ! Dis donc, Toi ! Je voudrais te parler de deux trois petites choses ce matin ! En parcourant un forum, je constate qu'il y a des gens que Tu empoisonnes avec Tes salades, Ton odeur, Tes saloperies. Je pense à B. notamment qui lance un cri d'alarme. Alors Tu vas me faire le plaisir de lui foutre la paix dare dare ! Une, deux, trois, des milliers de personnes ne Te suffisent plus ?  Tu sais quoi ? Tu dégages de là !!!! et presto !    Lundi 29 octobre 2012 : C´est lundi, c´est reparti ;-(( Après un week end tranquille, c’est lundi et c’est reparti : OBSESSION !!!! Ce matin, un enfer. A midi, l’enfer continue. Dans l’après midi, je passe voir une amie, une vraie, pas une qui m’enfume avec ses histoires. Une amie, que nous avons, pardon, AVIONS, en commun. Alors Tu t’invites chez elle. Tu me fais les yeux doux par trois fois, peut-être même quatre. Bien sûr que je T’ai vue. Mais Tu ne m’as pas eue ! Et mon amie est restée mon amie, elle. Et je parie qu’elle n’est pas loin d’être fâchée avec Toi aussi. Tu vois ce que ça donne ? Tout le monde va finir par Te tourner le dos, et Tu l’auras bien cherché ! Je Te souhaite une très bonne nuit, sans moi, un jour de plus…. Et on en est à 17.  Et voilà ! Plus de 4 ans sans fumer hormis une rechute de quelques semaines début janvier 2013, alors que le papa de mes enfants venait de sortir d´une semaine de pronostic vital suite à une double dissection aortique le 16 décembre 2012. Début janvier donc, après 2 semaines de choc et de pilotage automatique en mode survie et alors qu´il est toujours en réa (il le sera encore 2 semaines), je craque pendant 2 mois ! Je décide cependant rapidement d ´arrêter à nouveau : pas question pour mes loulous de 9 et 6 ans de perdre leur mère quand ils ont failli perdre leur père et qu´on ne sait pas encore quelles seront les séquelles.... 4 ans donc... Puis une recontre avec un fumeur de roulées qui a décidé d´arrêter.... d´arrêter ! Je tiens un mois et demi puis je craque pendant un sejour au ski avec 18 personnes dont 15 fumeuses... la clope est partout, tout le temps, accompagnée par ses potes alcool fort et magnums de vin. Je deviens la 16ème fumeuse... Mai 2022, après de multiples tentatives aussi couronnées de succès que de gravir le Mont Blanc en tongs, je postule à un programme qui sera diffusé sur les réseaux sociaux dans quelques mois. La prochaine fois, je tente le Mont Blanc : je suis retenue ! Premier tournage fin juin, puis changement total de vie pour moi le 2 juillet et me voilà embarquée (jeu de mots tout à fait opportun, je vous en dirai davantage plus tard) dans une véritable houle de changements... Et il faut garder le cap... pas simple... A suivre....  
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Fumeurs

Gourmet (64 ans)
Nationalité Suisse
13 juin 2021

J ai fumé toute ma vie. Près de 50ans ! J ai arrêté il y a 3 mois. Le jeu en vaut la chandelle. Une vraie LIBERTÉ ! Et tout ce qui va avec. Que des avantages, que des bénéfices, que du plaisir. Oui . Toutes ces choses se trouvent après l arrêt !!! Ne renoncez pas, tournez le dos à ce poison qui gâche vôtre vie , le bonheur vous sourira et largement !!!😁👍
Partager sur:     
Catégories associées:
• Plus de 60 ans
• Femmes

Alinah (26 ans)
Nationalité France
15 avril 2021

Bonjour à tou.te.s, Cela va faire 1 an que j'ai arrêté de fumer quotidiennement. Je fumais depuis 9 ans en moyenne 10 cigarettes roulées par jour, je m'étais faite ma meilleure alliée psychologique pour palier à mon mal- être. D'années en années, je sentais mon corps se fatiguer plus rapidement, une toux perpétuelle, une peau sèche... Je ne voulais pas mourir du tabac, car je sentais bien que le tabac m'enlevait mes forces. Pendant le premier confinement, j'ai décidé que j'arrêterais le tabac. La première semaine, je me suis autorisée une cigarette par soir, puis la semaine d'après plus rien. Comme nous ne pouvions sortir de chez nous, ça m'a aidé à m'apaiser et à enlever les envies fortes qui peuvent subvenir quand nous sommes dehors par stress, occupations, contenance... Pour palier au manque, je me suis mise au sport, j'ai cuisiné, j'ai mis mon activité autre part. Dès qu'une envie devenait trop forte, je faisais le ménage, je prenais une pilule de fleur de bach, une gomme nicorette, je faisais des exercices de sophrologie pour m'apaiser. En 1 an, je peux dire que je n'ai presque jamais envie de fumer. Je suis très heureuse d'avoir arrêté, je perds moins mon temps, j'ai récupéré toutes mes facultés physiques et je me sens mieux psychologiquement car même si nous croyons que la cigarette noue apaise, elle nous stresse car nous sommes conscients qu'elle nous détruit mais nous préférons vivre dans le déni, ce qui créé une cassure psychologique. Bref, j'encourage tous ceux qui souhaitent à arrêter car votre réalité deviendra plus belle et plus saine. Courage à tou.te.s, avec tout mon soutien.
Partager sur:     

Anonyme (29 ans)
Nationalité France
27 août 2020

Je me suis levée un samedi matin en retard pour le travail (panne de reveil) en stress. Je cours à la salle de bain pour me préparer, je ressens une fatigue intense, une pression au niveau de la cage thoracique, les bras lourds jai des difficultés à m'habiller, à respirer. Je m'assois sur un tabouret pour reprendre mes esprits (cest sûrement la fatigue ou une petite crise d'angoisse). Les sensations persistent, je me remet au lit a moitié habillé et ferme les yeux, je vois des étoiles. Mon compagnons très prévenant m'emmène aux urgences. J'ai 27 ans et on m'annonce que je suis en train de faire un infarctus du myocarde. Résultat: légère nécrose du cœur et un arrêt de 3 mois obligatoire afin d'éviter une mort subite me disent les médecins... Aujourd'hui j'ai 29 ans j'ai arrêté de travailler 1 ans et demi et ressens régulièrement des sensations étranges au cœur sans savoir s'il s'agit d'une urgence et dune crise d'angoisse. Je suis également sous traitement depuis mes 27 ans.
Partager sur:     

Anonyme (35 ans)
Nationalité Suisse
08 avril 2020

Bonjour tout le monde, Après 3 ans, cette merde de clope est derrière moi ! Mon sentiment de fierté est tellement grand que j'en ai la larme à l’œil 😊 Il faut dire que cela n'a pas été facile : J’ai arrêté d’un coup sans substitut alors que je fumais depuis 12 ans un paquet par jour. J’ai surtout donné un rôle beaucoup trop important à la clope dans ma vie. J’ai donc du tout réapprendre (socialement et psychologiquement) pour vivre bien et heureuse sans cette saleté ! Voici quelques conseils qui pourront peut-être en aider certains : > LIRE « La méthode simple pour en finir avec la cigarette » d’Allen Carr. Cela aide à prendre le problème rationnellement et intelligemment. > Décider d’arrêter POUR TOUJOURS (jeter ses clopes dans la poubelle) et s’imaginer qu’on avance. Chaque pas, chaque jour nous éloigne de la cigarette. Cette merde est derrière nous. > Quelques soient les obstacles, apprendre à les GÉRER SANS LA CLOPE. Depuis quand une drogue est-elle une bonne solution ? On apprend, on s’arme autrement pour la vie et on en ressort plus fort ! > Pas de « juste une clope »! On ne se pose plus la question, ON EST NON- FUMEUR. > Quand on a un coup de mou ou de bad on se dit : « Tu peux le faire, t’es un warrior » et « Ce qui ne tue pas rend plus fort ». Ça marche, c’est le POUVOIR DE LA PENSÉE POSITIVE. > STOP LE FANTASME DU PETIT FUMEUR : les gens qui ne fument qu'une clope de temps en temps n'arrêtent jamais pour de bon! Ne plus avoir besoin de clope du tout, c’est encore mieux ! > Certains EFFETS SECONDAIRES peuvent perturber mais soyons forts. Ce n’est pas la fin du monde et je dirais même que cela aide à réaliser que c’est une drogue (et que notre corps réagit au sevrage). > SE FAIRE AIDER : hotline stop tabac, thérapie TCC, entretien avec tabacologue, etc. Il y a plus d’une carte à jouer pour s’en sortir ! > On peut devenir + SOCIABLE et à l’aise sans clope. C’est magique ! > Le SPORT et les grandes INSPIRATIONS d’air pur ça aide vraiment. > Perso, j’ai décidé de NE PAS ÉVITER LES FUMEURS. J’ai juste adapté un peu les choses (par exemple avec une boisson à la main plutôt qu’une clope pour les pauses avec les collègues). Mais à chacun de trouver son équilibre à ce niveau-là. Voilà, bonne chance à tous et bravo !!! Gaby
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme (54 ans)
Nationalité Française
19 mars 2020

Bonjour à tous, En plein confinement de coronavirus, je viens de recevoir un message de félicitations, pour 1 an d'arrêt du tabac. Percée de ciel bleu: un sentiment de joie se mêle à celui, très fort, de gratitude pour l'équipe qui a conçu et anime le site. Après 35 ans de consommation, 20 ans de très grosse consommation et de dépendance ++, plusieurs tentatives d'arrêt et un certain découragement, j'ai trouvé la capacité de surmonter toutes les difficultés que j'avais déjà rencontrées. Aidée des patch mais surtout soutenue par le site, ses articles d'info, les tests pour faire le point et voir sa progression, les astuces et techniques: enfin des spécialistes, fins connaisseurs de l'addiction, prennent en compte les épreuves que tu vas subir, t'aident à t'y préparer, à t'armer pour les affronter, et à renforcer tes capacités pour les surmonter. Un entrainement technique, psychologique, une transmission pleine et entière des connaissances que tu peux acquérir sur ce dont du es l'objet (identifier les mécanismes de l'addiction, repérer les symptômes, les accepter, les surmonter), identifier les risques de rechute pour élaborer des techniques personnelles pour s'y préparer...) Autant de connaissances que tu vas pouvoir mettre au service de ta capacité à agir: tu deviens ton propre médecin, l'acteur de ton arrêt. Un sentiment de fierté, de victoire, un gros coup d'amour propre. Du coup en plein arrêt, j'ai affronté 2 inondations d'appartement, un déménagement d'urgence, une maladie cardio vasculaire liée à la conjugaison du tabac et du cholestérol, dont les symptômes se sont déclarés après l'arrêt, un accident chimique environnemental très grave (Lubrizol), et maintenant le coronavirus, comme vous. Parfois encore, je fumerai bien une petite clope, pour m’asseoir et me dire, ouahou. Mais je sais ce que c'est: le besoin de la petite récompense chimique. Et je sais aussi qu'une autre récompense fonctionne tout aussi bien, ou mieux dans la durée. PS: je ne me suis pas pesée mais je n'ai du prendre que 2 ou 3 kilos, perdables si je me bouge un peu plus. Mais j'ai totalement éliminé les graisses animales de mon alimentation, devenue presque végan par nécessité de combattre le cholestérol. Autre appui et pas des moindres: les patch pendant presque 5 mois quand même, et surtout la découverte du Yoga, un soutien très utile pour réapprendre à être en vie, à respirer, à gérer ses angoisses, les insomnies, puis plus tard accompagner ce changement de vision de soi, changement de vie.je souhaite aussi remercier les personnes qui ont laissé leur témoignage, première porte d'entrée vers le site. Ceux que j'ai lus m'ont redonné confiance dans le fait que c'était possible et m'ont aidé à re-décider d'essayer d'arrêter: si j'ai pu, vous le pouvez aussi, ce n'est que du bonheur de franchir les étapes vers la sortir de cette spirale étouffante de l'addiction au tabac. Merci à toute cette communauté humaine virtuelle réunie dans cet échange. Le site fait ici une belle démonstration du rôle que peut jouer le numérique pour les progrès de l'humanité ;) Espérant éveiller en vous le désir de commencer votre arrêt, vous y retrouverez votre amour propre, confiance en vous, et une deuxième vie toute neuve. Stop-tabac.ch vous mettra sur la bonne voie pour retrouver les capacités que le tabac vous a ôtées.
Partager sur:     

Anonyme (52 ans)
Nationalité France
26 février 2020

Bonjour, voilà nous y sommes ! 30 jours sans tabac ce jour ! Je n'aurais jamais pensé que cela aurait été si facile, nous vivons dans la peur du 'Que sera ma vie sans cette cigarette ?!" Pourtant après tant d'années d'amitié et complicité, j'ai réussit à cette envie sans substitut ni autre complément. Ce qui a fait le déclic de cet arrêt c'est le début d'une grippe qui s'est vite terminé en 'J'ai plus envie ni besoin de fumer'. Je me suis nourrie d'articles de témoignages, tous les matins à mon réveil, lorsque l'envie se faisait sentir...Et je me suis rendue compte ! Que ce n'était plus une peur de ne plus avoir cette cigarette mais la peur de fumer une cigarette et de remettre de la nicotine dans mon corps qui m'a fait tenir jusqu'à ce jour ! Comment je vois la suite ? Tout simplement en continuant sur ce chemin que je me suis décidée sans tabac mais avec des chemins de fleurs afin que je puisse sentir de nouveau la beauté de la terre. Ne lâcher rien !! Continuons ensemble ça en vaut la peine ! Même des collègues au travail me rejoignent a cette date où les cigarettes vont prendre encore une claque ! C'est à dire ! d'ici quelques jours ! Bon courage à nous tous !! Soutenons nous et merci pour tous ces supports d'internet qui nous permettent de s'aider.
Partager sur:     

Anonyme (62 ans)
Nationalité France
04 février 2020

Après 2 tentatives d'arrêt du tabac avortées à 6 mois d'arrêt, j'ai enfin pu sortir de cette dépendance, pour ne pas dire de cette prison, et ce il y a 10 ans ! J'étais très dépendante et je fumais depuis l'adolescence, autant dire que ça n'a pas été facile mais j'y suis arrivée, et l'aide du site stop tabac m'a été très précieuse. J'y étais très active, je m'y suis même fait des amies que je vois toujours aujourd'hui, je crois que sans le stop-tabac je n'y serais pas arrivée. Il faut s'accrocher, on n'est pas seul ici, et cette liberté retrouvée c'est formidable ! La santé et la forme reviennent, quelques kilos aussi mais bon... Merci à tous ceux qui sont derrière cet écran, et courage à tous ceux qui se lancent dans ce défi, j'y suis arrivée, vous pouvez le faire aussi !
Partager sur:     

ella (58 ans)
Nationalité italienne
28 juin 2019

Bonjour, Je fume depuis l'âge de 19 ans 2 paquets par jour.A part de la toux très gênante par moment je n'ai pas de problème de santé pour l'instant. Depuis deux ans je me dis que je vais arrêter mais sans grande motivation et puis le 1 mai 2019 a 9 h du matin je décide que c'est la dernière. Les deux première semaines sont affreuse j'y pense jour et nuit, j'en rêve même. Je me plonge dans le livre de Allan Carr pour trouver la force.Je suis très motivée et ma pensée permanente est: Quoi qu'il arrive je ne fumerai plus jamais. Ça fait deux mois maintenant et une routine commence à s'installer sans cigarette ce qui est vraiment très heureux. je dois CONTINUER à FAIRE LE DEUIL de cette amie qui me veut du MAL. Mais je suis déterminée à en finir avec elle pour la vie.
Partager sur:     

Romane (24 ans)
Nationalité Française
14 décembre 2018

J'ai rencontré la cigarette à mes 15 ans et on est devenu proche lors de mes 16 ans. Précédemment, j'avais rencontré quelqu'un d'autre. Une maladie, l'épilepsie. Souvent les médecins m'avaient parlé du tabac et du faite qu'il accentuait les crises d'épilepsie. Je ne voulais pas y croire et puis les crises se sont accentués (j'en faisait 2 à 5 par semaines) mais je restais proche de mon amie, la cigarette. Je tenais le discours que mon amie la cigarette me permettait de mieux vivre ma relation avec l'épilepsie et ne l'accentuais pas. Et puis j'ai rencontré la dépression. En janvier, je me suis fait opéré de mon épilepsie et refais des crises, signe de défaite pour moi. Alors j'ai décidé d'arrêter ma relation avec la cigarette pour couper mes liens avec l'épilepsie. J'ai arrêté depuis juin 2018 et je n'ai jamais retouché une cigarette. Je suis heureuse d'avoir repris de bon nombre de signe de bonnes santés. Ah oui, et puis, ça fait 6 mois que je n'ai pas fais de crise d'épilepsie. J'ai coupé les ponts avec tout le monde.
Partager sur:     

Jihan (46 ans)
Nationalité Tunisienne
03 mars 2024

J'ai 46 ans, j'ai commencé les cigarettes a 15ans, je fume régulièrement depuis cet âge la valeur de 2 paquets par jour . Bien que je vie dans un mode de sportive . En 2016 j'ai réussi à arrêter grâce à l'e-cigarette , Donc c'était super pendant 4 mois, La vape était nickel avec l'arrêt définitif des cigarettes classique en parallèle . Je me suis remise, mais à la fin du 4ème mois j'ai eu une crise d'angoisse aigüe. Les causes sont une sorte de mélange entre des soucis personnels et le vapotage. Bref, j'ai repris le tabac de nouveau. Le mois dernier j'ai eu quelques soucis de respiration (je suis toujours dans le mode sport ) je suis passée chez mon docteur qui m'a imposé l'arrêt immédiat du tabac car je commence sérieusement les probémes pulmonaires sérieux. Mais puisque dans ma tête c'était impossible, j'ai donc décidé de le faire autrement, le retour a la vape, Donc j'ai passée 2 semaine a baisser petit à petit ma consommation de cigarette, de 20 à 15 à 10 et 9. Et la je suis passée à la e-cig en coupant totalement avec la classique. Maintenant, cela fait une semaine sans cigarette juste je vape avec 3mg de nicotine pour des premiers résultats excellents, je dors et je me lève bien, je respire mieux sans les douleurs que j'avais dans mes poumons. C'est vrai que je suis au début , mais d'après tout ce que j'ai vécu , je conseille fortement le passage à la vape et d'abandonner les cigarettes. J'espère un jour pouvoir me libérer définitivement .
Partager sur:     

Anonyme (47 ans)
Nationalité francaise
16 janvier 2024

Bonjour, Je suis non fumeuse depuis le 12 janvier (Laser) je fumais entre 10 et 12 cigartettes par jour,et j'adorais fumer, j'adore encore je pense mais NON NON ! j'ai commencé a l'internat autour de 18 ans...ca fait des années..que de souvenirs avec elle... Je suis encore obsédée par cette "petite clope" mon amie,ma confidente...Bref des conneries qu'il faut balayer et changer les habitudes.. Je me suis remise à la course mais plus intense ,j'ai toujours couru mais j'avais du mal les permières 20 minutes la je sens deja une différence..Et je suis une femme et comme beaucoup mon reflet compte et je veux pas etre plus vieille avant l'heure... Alors STOP Tabac Je suis fier de moi de ce choix c'est dur pendant 3 a 4 minutes et ensuite l'envie passe..Et le nombre de gens qui me dise "mais c'est super,continue,féliciation".... voila a nous les EX FUMEURS de se créer des meilleurs moments,souvenir sans la clope !!!!
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

isabelle (47 ans)
Nationalité La Réunion
10 janvier 2024

Bonjour, Je suis au travail et impossible de me concentrer. Je ne fais que lire des articles sur le sevrage de nicotine, ça en devient une obsession. Je vais sur mes 48 ans en mai, j'ai commencé la cigarette à l'âge de 14 ans et je suis devenue tout se suite une accro et vraie fumeuse. En 2013, je me suis mise à la cigarette électronique afin d'arrêter la cigarette et ça a très bien fonctionné puisque j'ai arrêté. SAUF QUE, je suis devenue encore plus accro à la cigarette électronique avec nicotine, depuis plus de 10 ans! Du coup j'ai décidé d'arrêter le vapotage, j'ai eu une séance au laser jeudi dernier et depuis c'est l'enfer. enfin, la déprime plutôt. depuis près d'une semaine. J'ai l'impression de ne pas être entière, d'avoir perdu mon plus fidèle pote. Je l'avais toujours avec moi cette cigarette électronique, même aux toilettes, comme je vous le disais c'est encore pire que la vraie cigarette qui a un début et une fin. La cigarette électronique devient un membre de votre corps, de votre famille, je suis en deuil. et pourtant je n'ai surtout pas envie de recommencer. Donc je pleure souvent, j'ai des bouffées d'angoisse, de tristesse, c'est incroyable. Je suis allée m'acheter des pilules anti stress en attendant de voir un médecin. et plus que tout, je suis en colère, contre moi, comment j'en suis arrivée là! Je me suis séparée du père de ma fille il y a 3 ans, je l'aimais, mais je vous promets que cette rupture là est encore plus douloureuse !! je ne recommanderai jamais à personne de passer par la cigarette électronique pour un sevrage tabagique, c'est remplacer la peste par le choléra!!! :-( courage à ceux qui traversent cette épreuve
Partager sur:     

Olfa (47 ans)
Nationalité Belgique
06 janvier 2024

Bonjour, Ça va faire 3 mois que j'ai arrêté. J'ai toujours des symptômes : maux de tête, nausées. Mais mon appétit est redevenu normal et la constipation est enfin passé. Je sens mes poumons qui me brûlent ces derniers temps et que fais de l'asthme par moments ( puff cortisone a petite dose pour aider) et aussi je sens du mucus qui s'évacue. "Bon signe" d'après le médecin. Et ça risque de durer m'a t'il dit . Il m'a aussi confirmé que le sevrage tabagique était le plus compliqué de tous. Car c est une drogue, (et oui la cigarette est une drogue) facile a trouver et peu cher. Je ne reprendrai plus jamais la cigarette, de ça, j en suis certaine. J'étais une fumeuse de 20 cigarettes à 10, pour 7, les tubées et pour finir des roulées avec des phases de non tabagisme pour reprendre car j'étais entourée de fumeurs ! Donc j'ai pris une décision : M'isoler des fumeurs, au début et prendre des patch pendant 1 mois. (La fumé, aujourd'hui me dérange fortement car elle me donne des nausées. ) Et les patch fonctionnent très bien quand on a le bon dosage . (1 mg=1 cigarette normal. ) Du coup, a part les symptômes que j'ai encore , j'ai une peau plus clair, la couleur de mes lèvres sont roses et mes dents ont aussi éclaircis. Je monte les escaliers plus facilement, deux volets et je suis beaucoup moins essoufflée, évidemment. Mais je ne suis pas encore capable de courir 5 km . Bientôt .... Voilà . Courage a tous et bonne chance a ceux qui vont penser a eux positivement en arrêtant de fumer .
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme
Nationalité francaise
28 décembre 2023

Pour ma part j'ai commencé à fumer régulièrement et sérieusement à partir de 14 ans , Autant que je me souvienne, avant d'arrêter je tournais entre 12 à 15 clopes par jour. J'ai arrêter en janvier 2020, après presque 15 ans, sans le vouloir, de la façon la + naturelle qui soit, grâce à la cig électronique. En fait 15 cigarettes par jour ne me suffisait pas, et à la base, je n'ai pas acheté la cigarette électronique dans le projet d'arrêter, mais simplement pour venir combler le besoin de cigarettes supplémentaires dont j'avais envie mais que je ne m'autorisais pas à fumer. C'est l'arrêt que je vous souhaite à tous et à toutes car au début je cumulais les 2, et pas si longtemps après, je me suis rendu compte que j'étais passée de 15 à 12 ; de 12 à 10 ; de 10 à 5 et que ces 5 cigarettes ne m'apportaient rien de + que la vapoteuse. Vous l'aurez comprit, j'ai arrêté de fumer sans le vouloir. Je m'autorisais à fumer une cigarette ou 2 en soirée par plaisir, mais je savais que je ne ferais plus parti de ceux qui rechuteront dans la cigarette avec tout ce que ça implique (odeur, goudron etc). Voila 3 ans que je vapote (beaucoup), et la respiration sifflante + la toux chronique m'inquiètent. Aujourd'hui j'ai acheté ma première boite de patch nicotinique, un peu à contre volonté car j'adore vapoter. La démarche d'acheter la boite de patch, m'a vraiment laissé une impression bizarre, difficile à expliquer, je me sentais presque honteuse d'en être arrivé au stade de trouver un substitut, de ce qui est déjà considéré comme étant un substitut. Mais ce sentiment est vite passé : en fait c'est la démarche la + bienveillante qu'on puisse se faire. N'oubliez pas que seulement une cigarette de moins par jour, fait 365 cigarettes de moins en fin d'année, soit une petite vingtaine de paquets, et presque 200 euros d'économisés. Alors imaginez 2 cigarettes de moins :') Commencez par quelque chose et prenez soin de vous tous
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Vivi17 (42 ans)
Nationalité Française
16 février 2023

Bonjour, Voilà 1 mois et demi que je me suis arrêtée de fumer et je me sens mieux comme à chaque fois. J’ai essayé à plusieurs reprises l’arrêt définitif du tabac mais…. je rechute. Cette fois-ci, ce sera la bonne ! Ce site m’a beaucoup apporté, du soutien avec les témoignages, de l’information, et la compréhension des mécanismes qui font nos habitudes à chacun. C’est toujours bon de se savoir entouré. Je conseille vivement tous et toutes à penser la vie sans tabac, il n’y a que du bénéfice puisque la cigarette n’est pas vitale ! Bien à vous
Partager sur:     

Anonyme (38 ans)
Nationalité Belge
07 décembre 2022

Bonsoir (ou bonjour), Je fume depuis mes 12 ans. Mes parents étaient de très gros fumeurs (3 paquets par jour) à une époque où le tabagisme passif n’était qu’un discours de bobo de la santé. Ils fumaient partout dans la maison et la voiture, les fenêtres fermées. Autant dire que j’ai grandi avec la cigarette comme 3e parent… Vers 20 ans, j’en étais déjà à un paquet par jour. À 28 ans, à deux paquets. À 38, je fumais 35 à 45 cigarettes par jour. Même pendant ma grossesse (36 ans), je n’ai jamais réussi à arrêter totalement (2-3 cigarettes par jour à certains moments, rien à d’autres). Dès mon accouchement, comme je n’allaitais pas, j’ai repris comme avant. Depuis le 21/11, j’ai commencé sans trop me dire pourquoi, la cigarette électronique. En quelques jours, j’ai réduit ma consommation à une douzaine de cigarettes par jour. Puis en moins d’une semaine, je fumais moins de dix cigarettes par jour. Aujourd’hui, début décembre, je ne fume plus qu’une vingtaine de cigarettes par semaine. J’ai encore du chemin à faire. Je ne suis plus qu’à 6mg de ecig et encore quelques cigarettes par semaine. Tout le monde me dit que j’ai une super mine mais pensent que c’est à cause d’un changement de fonction car très peu de gens savent que j’essaie d’arrêter. Comme je l’ai lu dans d’autres témoignages, je ne l’ai pas annoncé pour éviter des questions du style « ça va, tu tiens ?? ». Cette guerre est entre moi et la cigarette, c’est déjà assez compliqué. Alors non je n’ai pas encore totalement arrêté. Mais je vais y arriver cette fois (je ne détaille et ne compte plus mes tentatives) car je fais cette démarche par conviction et non par obligation. Doucement mais sûrement. Aujourd’hui j’ai eu de violents maux de tête et j’ai fumé 3 cigarettes. Les maux de tête sont passés. Mon chemin est probablement encore long mais l’objectif est clair. Et la victoire sera mienne, sans m’imposer un arrêt complet dès le 1e jour ni même une date limite car cela m’a toujours fait échouer. Mais au final, je serais une non fumeuse. C’est une promesse envers moi-même et un message d’encouragement à celles et ceux qui essaient d’arrêter : allez-y à votre rythme et selon ce que votre corps accepte. Si vous mettez six ou douze ou vingt-quatre mois à vous arrêter c’est pas grave. L’objectif est important, pas le chemin. Courage et n’oubliez jamais votre but.
Partager sur:     

Joanne (42 ans)
Nationalité suisse
12 novembre 2022

J'ai commencé à fumer vers 18 ans et à 25 ans, j'ai arrêté pendant plusieurs années. Depuis 4 ans, j'alterne les périodes où je fume et où j'arrête... Là, j'ai arrêté le 19 octobre et depuis 3 jours, j'ai recommencé à en fumer 2 par jour... c'est pas du tout ce que je veux pour moi... je me sens tellement mieux sans... mais c'est plus fort que moi...
Partager sur:     

Bella (64 ans)
Nationalité Francaise
28 octobre 2022

Un grand merci grâce à votre soutien j ai arrêté définitivement de fumer (12 cigarettes)par jour depuis 40ans!!!!!!j ai fais une et une seule séance de laser pour me donner toutes les chances de réussite et ça a marché !!!!!voila un an est passé plus d envie plus de manque et surtout PLUS de toux !!!!!!!suis ravie et fière de moi🤪🤪🤪
Partager sur:     

Lola (32 ans)
Nationalité Francaise
08 juin 2022

J’ai arrêté de fumer il y a deux mois. Je pensais que j’allais souffrir, que fumer faisait partie de mon identité, que cela m’apportait un vrai plus dans la vie. Bien au contraire, je me sens LIBRE ! Libérée de ces tours de voiture un dimanche soir à 19h à la recherche d’un tabac ouvert car en rade de cigarettes, du stress de ne voir que 2-3 cigarettes au fond de son paquet, des odeurs de tabac froid, de l’essoufflement constant, de la fatigue, du mauvais sommeil, de ces crises de nerfs inexpliquées… je suis bien plus positive, je profite bien plus de mon temps que je consacre à autre chose. Bref je suis bien plus heureuse !
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

LuluMarm (28 ans)
Nationalité Française
08 janvier 2022

71 jours :) je suis fière de moi et de tout ce que j'ai pu mettre en place pour arrêter la clope. Je ne fume plus, je ne pue plus, je savoure. Et puis il y a aussi la fierté de me dire que je serais prête pour cette nouvelle année, cette nouvelle année qui m'apportera sûrement un bébé. L'arrêt de la cigarette m'a permis de me recentrer sur moi- même et sur ce que je voulais faire de ma vie. Faire du sport (natation synchronisée, yoga, fitness), prendre soin de moi (les petits cadeau de temps en temps et le stress en moins). Je sens aussi une sérénité profonde depuis l'arrêt que je n'avais plus ressenti depuis des années. Je suis heureuse et en plein chemin vers l'épanouissement. Courage à toutes et à tous, vous pouvez le faire et y arriver. Vous pouvez prendre soin de vous.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme (40 ans)
Nationalité Française
24 novembre 2021

J'ai 40 ans et j'ai commencé à fumer à 15 ans. J'ai arrêté il y a 5 ans lors de ma dernière grossesse et j'ai repris bêtement il y a 4 ans. Depuis, j'ai arrêté de compter le nombre de tentatives pour arrêter ou diminuer, mais j'ai l'impression d'être toujours soit en sevrage (donc énervée, angoissée...), soit en reprise (avec toute la bonne grosse culpabilité qui accompagne la reprise). Et franchement, la cigarette a vraiment pris trop de place dans ma vie puisque qu'elle contrôle mon état d'esprit depuis ces 4 ans. Alors cette fois, c'est la bonne ! ça fait 9 jours, mais j'ai fait le deuil de la cigarette soirée qui me fait replonger à chaque fois et je vais réussir à passer ce cap du sevrage pour retrouver ma liberté. Merci pour tous ces témoignages, ça aide beaucoup de se sentir moins seule.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Steff (48 ans)
Nationalité française
19 septembre 2021

Merci de m'avoir accompagnée, soutenue et conseillée dans cette aventure qui finalement a été moins difficile que je ne l'aurais imaginé. Vous m'avez été d'un grand soutien, et je ne manque pas de vous recommander autour de moi ;) bravo !
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Sophie (26 ans)

09 août 2021

Douze ans. Douze ans que ma cigarette et moi vivons ensembles. J'ai commencé de fumer à l'âge de 14 ans. Mal dans ma peau de jeune ado, cherchant des repères, voulant braver l'interdit.... bref toutes sortes d'excuses plus ou moins valables servant à me déculpabiliser. Le résultat est là. Douze années de tabagisme. Une cigarette par mois...."je m'arrête quand je veux", une cigarette par semaine..."je m'arrête quand je veux", une cigarette par jour..."je m'arrête quand je veux...mais ça sera plus dur...",puis deux, trois, quatre, "il m'en faut de plus en plus", un paquet? Pourquoi pas deux? Puis viennent les associations détonantes: Café-clope Alcool-clope Night club-clope Fin de repas-clope....... Et toutes ces petites habitudes qui petit à petit s'inscrivent dans des rituels bien définis, bien huilés. Pourquoi arrêter? On est si bien avec sa clope. On a même une marque préférée ! sa marque fétiche sans qui rien ne peut arriver. Compagnon idéal de toutes les bonnes soirées, de tous les coups durs, des moments de stress comme de plaisir. Pour ne pas manquer il devient impératif de s'acheter la cartouche, dix paquets à la fois !!! Puis (parce que cela n'en fini jamais) surviennent insidieusement des petits problèmes. Une petite toux par-ci, une allergie par-là, tiens, du jour au lendemain on arrête le sport, plus de souffle, plus de jambes, migraines, fatigue, tout un tas de petites choses sans importances, bien souvent mises sur le dos d'une petite fatigue passagère, d'un rhume des foins (un grand classique au printemps). Au passage, on notera une ou deux réflexions des proches "vas te laver les dents, ton haleine est infecte", "tu devrai arrêter avant qu'il ne soit trop tard", "si tu fumais moins tu....". Mais enfin, pourquoi on nous embête avec notre chère cigarette ? On ne fait de mal à personne ? Et puis on est parfaitement au courant des risques ! Oui....., parfaitement......, sauf que le jour ou cela vous tombe dessus, vous mesurer la vraie ampleur des dégâts. Les petites toux se transforment peu à peu en grosses toux, puis en crachats de sang, vient ensuite la radio des poumons et le pronostic, bien plus fiable que le loto : "Monsieur, vous avez cancer des poumons, nous devons vous opérer d'urgence d'un lobe" ....opération.... chimio....opération...chimio..."monsieur, nous sommes désolé vous avez atteint le stade terminal, tout le monde descend....à la morgue".....pleurs, cris, larmes, puis plus rien. Voilà, cela est ma dramatique histoire. J'ai 26 ans, mon meilleur ami en avait 27. Nous avions commencé à fumer ensemble nos premières cigarettes. Il est mort il y a quatre jours devant moi. Cela n'arrive pas qu'aux personnes âgées, cela n'arrive pas qu'aux autres. Pensez à Franck lorsque vous allumerez la prochaine cigarette, surtout vous les jeunes.
Partager sur:     

Anonyme (40 ans)
Nationalité Française
07 juin 2021

Bonjour, je prends du champix depuis MAI 2021. Après plusieurs tentatives avec des substances nicotinique. Ayant envie de m arret et motivé l arrêt tabac. Cependant au bout d environ deux semaines. Pour moi les effets secondaires ont etait rapide. Insomnie, agressif envers moi-même, pleurer sans raison. Dépression s est installée. Puis un sentiment d être perdue et incoppehantion des autres. Maladie sous adjacente epileptique. Côté tabac plus d envie. Mais la dépression pour moi à remplacer le tabac. Je conseille toutes personnes fragile un temps de réflexion, avant de ce lancer dans se type de médicament. Car pour moi la nuit je me réveille pour pleurer ainsi, d une espèce impression que tout le monde veut nous manipuler. J attend 2 semaines, Mai je pense sérieusement arrêter champix. Courage à tous.
Partager sur:     

momo (69 ans)
Nationalité belge
04 mars 2021

Le tabac fut une addiction horrible,le sevrage fut pénible, j'étais déterminée arrêter sans médicaments, le tabacologue était impuissant face à ma décision! Trois semaines plus tard, j'ai dit OUI, patch nicotine et nicorette....Le lendemain matin, plus du tout envie de fumée et je vous dis avec honnêteté , mentir, c'est refumer! Cela fait 100 jours que je ne fume plus et je ne m'enfuis pas quand les autres fument, aucun manque. Que s'est-il passé!!! J'ai entamé une résilience, aidée par tous ces services magnifiques qui nous sont offerts en Belgique, j'ai basculé à 180°, seule moi, je sais ce qui est bon ou mauvais pour moi. La vie est belle, L'addiction sera toujours présente, c'est une maladie qui ne demande aucuns médicaments pour se soigner (après le sevrage évidemment) seulement ne plus y toucher, car, une seule me serait fatale (ce n'est que mon avis perso). Le pouvoir qui m'est offert sans ce poison, n'est que bonheur, bienveillance, l'amour d'autrui, le cœur n'est plus sec etc. L'unique problème c'est pour ma famille, devant eux se trouve une autre personne, (c’était quand même mieux quand tu fumais, incroyable l'égoïsme des autres). Que vous dire encore, une boite à outils nous est offerte, chacun prend les outils qui lui convient, je vous dis avec humilité, si, j'avais la solution pour tous, je vous l'offrirais, aujourd'hui, je sais que c'est combat personnel, avec l'aide des personnes comme moi, les ressentis, les douleurs, les incompréhensions, j'ai écouté, lu, téléphoné, et abuser. En un mot j'étais une emmerdeuse. Sans eux, rien n'aurait été possible, l'orgueil et tous le reste....J'ai baissé les armes, face aux moulins à vent, je me suis inclinée, peut importe qui est premier ou second, cela n'a aucune importance, tout est dans la tête, et, non, je n'ai pas de volonté, simplement écouter les personnes et prendre ce qui me convient. Je vous souhaites à tous un courage et une détermination de vouloir connaitre la joie et le bonheur.Cordialement. Momo.
Partager sur:     

Anonyme (34 ans)
Nationalité française
07 décembre 2020

Bonjour, à mon tour de laisser mon témoignage car cela fait maintenant 3 mois que j'ai arrêté de fumer. J'ai eu envie de laisser mon expérience pour les personnes qui ne se sentent pas capables d'arrêter, qui pensent que la cigarette est plus forte qu'elles-mêmes; En effet, j'ai arrêté de fumer sans réelle envie, sans volonté, sans conviction, bref, sans être prête du tout. Je fumais depuis l'âge de 14 ans, au début j'avais mes petits paquets de 10 qui me faisaient 2/3 jours, et je suis très vite passé à un paquet de 20 cigarettes par jour. environ 1 paquet par jour, pendant presque 20 ans, sans jamais ne serait-ce qu'avoir l'envie d'essayer d'arrêter. Je me suis construite avec la cigarette, elle faisait partie de ma personnalité. Me retrouvant sans travail il y a quelques mois, et mon conjoint fumeur (mais beaucoup moins que moi) souhaitant arrêter, je me suis dit que c'était pour moi le moment ou jamais de faire une tentative puisque je n'avais plus le stress du travail, ni la tentation (collègues fumeurs). Alors un peu comme ça, je me suis dit: "fini ton paquet, et puis tu arrêtes, au moins ce laps de temps sans travail sera utile pour ta vie". Je n'avais pas du tout confiance en moi, je pensais bien sûr ne pas être capable de tenir plus de 2h. J'ai donc filé à la pharmacie acheter des patchs, des bonbons à la nicotine; sur internet acheter le livre d'Allen Carr, et au bureau de tabac acheter une petite cigarette électronique à cartouche! Malgré tout cet attirail, le soir même je pleurais toutes les larmes de mon corps en rêvant de redevenir une fumeuse qui s'assume (pfff, quelle bêtise, c'est comme si on disais "oui oui je sais que je vais mourir et je vous emm****!). ça a été vraiment très dur, mais je voyais chaque jour comme une victoire, comme un pas de plus vers une guérison. Je ne me suis presque pas servi des bonbons, les patchs pendant environ 1 mois et demi mais ensuite j'ai dû arrêter car je ne sais pour quelle raison, ils se sont mis à me faire des allergies insupportables, alors qu'au début je n'avais pas de problème. aujourd'hui je me sers encore de ma cigarette électronique, mais peu (une cartouche de 1.5mL me fait une semaine); elle est nulle cette e-cig et c'est volontaire! :-) je ne risque pas de trouver le vapotage aussi voire plus cool que la cigarette, car mon but est de me séparer aussi de la e-cig. Clairement pour moi, la partie n'est pas encore gagnée, car ma tête n'arrive pas à faire le travail de me détacher de cette cigarette, je me vois encore comme une fumeuse, je suis encore une septique des maladies causées par le tabac alors que j'ai les preuves sous le nez, je trouve toujours l'odeur agréable quand je croise un fumeur... Le chemin sera encore long et je suis restée dubitative concernant le livre d'Allen Carr, peut-être qu'il me faudra une relecture. Mais n'empêche "Je l'ai fait! , j'ai arrêté de fumer!" A moi la liberté de ne plus me préoccuper de mon stock de cigarettes, des horaires d'ouverture du bureau de tabac, d'être suffisamment en avance à un rendez vous pour avoir de le temps de "fumer ma clope", de laisser ma fille toute seule dans le salon pendant que je sors fumer dans le jardin, et j'en passe. Beaucoup de grands changements pour moi, j'ai un peu l'impression de m'être menti à moi-même depuis toujours et d'être aujourd'hui en train de construire une autre vie, que cette fois j'aurai choisi...
Partager sur:     

Anonyme (37 ans)
Nationalité Française
28 novembre 2020

48 jours aujourd’hui ! Je fumais depuis 20 ans environ 1 paquet par jour. Aux personnes qui m’ont dit j’ai arrêté de fumer comme ça du jour au lendemain sans problème ou ceux qui disent c’est trop facile. Je réponds non ! On dit que c’est dans la tete mais on ne parle jamais du manque à l’intérieur de soi, le manque que réclame ton corps après 20 ans de cigarettes. Après 48 jours, je veux vous parler de mon expérience. Pendant une petite semaine, l’envie dure quelques minutes puis plus tard c’est des secondes pour en arriver à une petite pensée. Voilà où j’en suis aujourd’hui. Ma tête a decidé, mon corps doit l’accepter. Bon courage à toutes et à tous. Soyez fort ! Le chemin est long mais à la fin on y gagne. Cette sensation de liberté est géniale !!
Partager sur:     

Anonyme (43 ans)
Nationalité Française
25 novembre 2020

Bonjour, Je viens de lire quelques témoignages et cela m’a donnée envie de partager aussi mon expérience. J’ai arrêté la cigarette depuis presque 5 semaines. J’avais précédemment arrêté plusieurs fois mais en définitive sans que ce soit moi qui l’avait réellement décidée, les causes étaient mes maternités, une intervention chirurgicale, du coup reprise derrière de la même façon que lorsqu’on commence à fumer. D’abord une cigarette lors d’une soirée puis deux puis juste une par jour, puis deux ... et le rythme, sans que je m’en rendes compte est revenu. J’avais tellement honte de moi que je me cachais souvent de mon mari ou de mes enfants. Quelle vie ! Alors il y a environ deux mois j’ai appelé un Tabacologue, j’ai pris rendez vous et là, en fait je me rends compte aujourd’hui que j’avais fait le plus dur car j’avais pris LA décision. J’ai mis des patch qui j’en suis sûr m’ont bien aidée mais j’ai commencé à en oublier certains jours et cela fait maintenant 4 jours que je n’en mets plus, je ne le fais pas exprès mais je n’en ressens plus le besoin la journée, je suis bien tout simplement. Par contre je dors très mal, mon Tabacologue me dit de ne surtout pas les arrêter mais moi j’ai envie de me sentir complètement libre de cette emprise nicotinique. Je sais que je ne reprendrais pas et j’ose le dire, chose que je n’aurais pas fais les autres fois car aujourd’hui c’est moi qui l’ai décidé. Je suis moins patiente qu’avant mais d’après mes proches pas désagréable du tout, mes enfants sont ravis . Je bois beaucoup de tisane, je mange également beaucoup de pommes et je fais plus de sport, en bref que des bonnes choses pour ma santé et mon bien être. Je suis heureuse de vous avoir lu et heureuse d’avoir pu écrire, cela doit être effectivement une bonne thérapie, merci de pouvoir nous le permettre.
Partager sur:     

Anonyme (36 ans)
Nationalité France
20 novembre 2020

36 ans et 1ère cigarette à 11 ans Mais quel regret ! Je ne suis pas du genre à regretter quoi que ce soit dans ma vie mais la clope, ooh que si! J'en suis à 19 jours d'arrêt et je gère plutôt bien, il faut dire que je ne sors presque pas et que personne ne fume chez moi donc pas tentée Les fois où je sens une odeur de fumée je suis en extase je l'avoue, l'envie est présente... Par contre, bizarrement j'ai peur d'y retoucher Peur d'avoir mal à l'œsophage et aux poumons Et puis je n'ai pas envie de me décevoir et de culpabiliser Ce n'est pas la 1ère fois que j'arrête de fumer mais j'espère que c'est la dernière et que je n'y retoucherai plus Je vous souhaite d'y arriver aussi Jahya
Partager sur:     

Anonyme (60 ans ans)
Nationalité Québecoise
31 août 2020

Malgré que plusieurs me mettaient perdante dans mon projet d'arrêter complètement de fumer, j'ai relevé le défi en combinant, exercices, gommes Nicoret,- Timbres, il y aura 16 ans le 2 septembre 2020. Plus aucune récidive depuis. Mais, cela a demandé beaucoup de changements de d'autres habitudes et de tenir tête aux flash qui me passaient par la tête à l'occasion, mais parfois de manière tenace, d'en re-fumer une autre. Je suis fière des efforts fournis et des encouragements que j'ai reçus également. Ça faisait déjà plusieurs années que je disais, un jour j'arrêterai à mon entourage. Ce jour ou l'abstinence a passé le matin à jeun, sans que j'aie le goût, j'ai saisi l'occasion et je n'ai pas lâché. Après 24 heures d'abstinence totale, j'avais l'aide des timbres, et je me suis dit peut-être que t'auras plus cette chance là jamais et que ta mort à cause de cela approche. J'étais dans un piteux état. Je fumais depuis l'âge de 18 ans, des années plus et énormément, des années moins. Mais là depuis plusieurs années la cigarette n'était plus mon amie, elle était un fardeau, une béquilles, une destructrice et une barrière, un obstacles qui en créait d'autres. Alors je me suis décidée et je célèbre le succès d'avoir arrêté complètement depuis 16 ans dans 3 jours. J'encourage tous ceux et celles qui veulent réussir pour de bon. Le combat peut-être court avant d'en arriver à un sévrage bénéfique ou très ardu long , ce dernierce fut mon cas. Je vous souhaite bonne chance à tous et à toutes. C'est réalisable. J'en suis une preuve moi aussi.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme (58 ans)
Nationalité Francaise
24 juin 2020

Bonsoir Je viens de recevoir un mail de Stop-tabac.ch : j'ai arrêté de fumer depuis 3ans et 35 semaines, j'ai économisé 7000 euros. J'ai l'habitude de résumer mon sevrage tardif (54 ans) ainsi : 1) une amie a cru en moi en m'accompagnant acheter une cigarette électronique 2) j'ai été presque immédiatement malade en vapotant (sans satiété) trop longtemps - je n'ai donc pas pris de substitut- cet écœurement à la nicotine m'a aidé à passer les premiers jours pratiquement sans sensation de manque 3) je me suis accrochée à Stop-tabac.ch comme a un ami. J'attendais les mails d'encouragement, je faisais les tests ; je n'étais pas seule (aujourd'hui encore je suis contente de les recevoir) Et puis il y a eu cette phrase magique prononcée par ma fille : "tu sais j'ai un copain qui m'a dit qu'il lui avait fallu 2 ans pour ne plus y penser" Je me suis dit alors que pour mes 2 premières tentatives j'avais baissé les bras trop tôt (au bout de quelques mois ou semaines) et qu'il y avait un temps long du sevrage que je pouvais accueillir avec sérénité parce qu'il avait un terme. Et c'est cela qui a été magique pour moi. Aujourd'hui je fais la promotion de ce site dès que quelqu'un me parle d'arrêter. Je suis très reconnaissante à la faculté de médecine de Genève de cette initiative. Bon courage à tous ceux qui commencent leur sevrage !
Partager sur:     

Anonyme (33 ans)
Nationalité Belgique
14 janvier 2020

Mes début de fumeuse: J'ai commencé à fumer à l'âge de 15 ans. Je voulais faire partie d'un groupe alors j'ai commencé à fumer. Pensant d'abord pouvoir gérer ma consommation et arrêter quand je voulais, je me suis vite rendue compte que je n'avais pas gagné de groupe d'ami et qu'en plus, j'étais dépendante. J'ai reporté mon arrêt du tabac à plus tard pendant longtemps. Ma méthode: Aujourd'hui, après de nombreuses tentatives sans succès, j'ai arrêté depuis un mois. J'ai 33 ans et 3 enfants. J'ai d'abord diminué ma consommation pendant 1 an, et j'ai lu le livre Allen Car qui m'a aidé à avoir envie d'arrêter puis arrivée à 2 cigarettes, j'ai arrêté. Pendant 3 jours j'y pensais tout le temps, c'était difficile mais je savais gérer mon mental en reportant l'envie qui ne me quittait pas. Je suçais des bonbons à la menthe et à l'anis pour faire passer l'envie de fumer. Après ces 3 jours, le 4ème jour a été un soulagement, je pensais toujours à la cigarette mais je gérais vraiment cette envie. Ça devenait vraiment gai, parce que je savais que j'avais passé le pire et je sentais que je gérais. C'est un peu comme quand on joue à un jeu vidéo et qu'on est bloqué à un niveau puis qu'après de l'acharnement on y arrive. Après 2 semaines, je n'avais plus d'envie du tout. Comment je me sens: Aujourd'hui, après un mois sans tabac, il m'arrive d'avoir des flashs mais je les balaye de ma tête. Parfois après le repas j'y pense un peu mais c'est différent d'une envie. C'est un peu comme si j'avais changé de voiture et que je devais m'habituer aux nouvelles commandes. Nombres de kilos pris: 0 kg, pas de fringale. Mes bénéfices: J'étais asthmatique enfant, les désagréments étaient passés d'eux-mêmes à l'adolescence. La maladie est revenue petit à petit à cause du tabac. Après un mois d'arrêt, je n'ai plus besoin de traitement, je respire à nouveau correctement. Je commence à sentir plus d'aisance dans les activités physiques et je peux embrasser mes enfants sans cette odeur de tabac. La clé de mon succès: Une bonne préparation psychologique. Pour moi, arrêter d'un coup et sur un coup de tête, par exemple parce que j'ai une bronchite à cause du tabac, ça ne marche pas. J'ai vraiment dû prendre conscience que je ne voulais pas arrêter de fumer mais être une non fumeuse, pour toute la vie. C'est une longue préparation.
Partager sur:     

Anonyme (52 ans)
Nationalité Francaise
04 décembre 2019

Le plus dur ce n’est pas l’arret... mais de se demander pourquoi on ne l’a pas fait plus tot. 52 ans, 35 ans de tabagisme important : c’est la premiere fois que je suis capable d’ecrire ces quelques mots. J’ai saisi l’opportunité d’une operation chirurgicale pour arreter (ablation de la thyroide), c’était il y a 9 jours. Bien sur j’aurais préféré avoir la force de le faire dans des conditions moins extrêmes, mais tout est bon à prendre. Lire et relire les témoignages m’a tant aidé. (Bien plus que la note désinvolte des médecins à la fin des rapports « l’arret du tabac serait souhaitable » : pourquoi ne pas dire la vérité ? Et Ecrire « l’arret du tabac est indispensable et urgent » !) Jai certains moments d'euphorie en regardant le compteur qui est un outil génial. J’ai pas mal de symptômes de manque assez marqués et rendus plus pénibles par les suites opératoires mais finalement ce n’est rien par rapport à ce sentiment de gachis que j’avais depuis plusieurs années, quand chaque cigarette avait un gout de mort. Tous les cas sont différents mais bien souvent parmi les fumeurs compulsifs on retrouve des personnes en manque affectif, ou qui ont une peur bleue de l’abandon, blessures de l’enfance et de l’adolescence. Et alors cette cigarette, qui était le symbole ultime de la solitude, devenait notre amie pour toujours, avec la complicité des adultes censés nous encadrer : dans ma génération, on laissait fumer les gamines de 14 ans à l’ecole, à l’internat, dans les cafés....Ce n’est pas si vieux ! Ce que je veux dire aussi c’est qu’il aurait fallu marteler les messages de danger : même ados, au bout d’1 moment cela aurait sans doute permis des prises de conscience plus rapide, à un moment où le cerveau est si malléable. Apres c'est trop tard quand la drogue a pris son emprise et que votre ami indéfectible entreprend sa destruction de chacun de vos organes, et même de votre vie émotionnelle.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Fumeurs

Anonyme (62 ans)
Nationalité Suisse
17 février 2019

j ai arrête il y a pas longtemps voila deux semaine . j ai eu un petit soucis de pression ,quand je suis allé chez le médecin je fumais encore 8 cigarettes pars jours . la en consultation il me dit que j ai des problèmes de pression que je pouvais faire un accident vasculaire il ma dit les trois causes la fumer le diabète le poids et cholestérol voila je suis sortie du cabinet j ai cassé mon paquet de cigarette donné à un monsieur qui fumais mon briquet et depuis plus une cigarette pas en manque moi même je suis étonnée nerveuse même pas là je vous dit que si vous en avez envie alors pas besoin de médicament juste de la volonté j ai commencé de fumé à l age de 15 ans j en ai 62 arrête pendant 10 mois à chaque grossesse j ai trois enfants
Partager sur:     

Katell (32 ans)
Nationalité Francaise
19 octobre 2007

Arrêter de fumer c'est comme déménager dans sa propre vie. Il faut s'y prendre un moment à l'avance pour prendre le temps d'imaginer le genre d'endroit où on va aller vivre: plus propre, plus grand , plus lumineux, plus frais... Puis il faut décider de la date. Elle ne doit pas être trop proche pour avoir le temps de préparer les cartons (s'informer, préparer le "kit du jeune ex-fumeur" à savoir chewings gums, pommes, balle anti stress, LA bouteille d'eau fétiche que l'on emmène partout avec soi etc.), revisiter chaque pause en imaginant comment on fera "dans le nouveau logement". Ca permet aussi de ne pas se traumatiser par un changement trop brusque. Pour se faciliter la vie, un peu avant l'échéance, contacter un déménageur compétent (en l'occurrence un médecin) qui est souvent de bon conseil sur l'organisation de la manoeuvre (patch de nicotine? Zyban? Champix?) et on rameute les amis les plus barraqués (les plus encourageants). Les premiers jours sont difficiles: on ne retrouve plus rien, on a l'impression que c'est le bazar partout, on est fatigué, on s'énerve pour un rien... Là il faut juste respirer un grand coup et laisser le temps passer car il travaille pour nous (s'autoriser la "cure" de cinéma, de TV ou de sieste la première semaine). Petit à petit, les choses se mettent en place. Un par un, les cartons sont déballés: les gestes quotidiens sont réinventés: le café devient vaisselle ou fruit, l'arrêt de bus devient salon de lecture et les potes sont ravis de recevoir de nombreux sms... Le nouvel appartement semble immense et pour cause: on s'est débarrassé de quelques 250 gestes quotidiens, 140 minutes chaque jour, 16 heures et presque 50 CHF chaque semaine... Ca fait beaucoup de place! Au départ on est perdu dans tout cet espace et on ne vit que dans la pièce principale, timidement, "comme avant". Puis petit à petit on explore... Hummm... Les goûts reviennent... Tiens, si j'apprenais à cuisiner... les kilos arrivent, bof, bof... Bon, ben je vais prendre les escaliers, et puis...je pourrais rentrer du travail à pied le vendredi soir... Et puis tiens, si je me mettais au sport? Hé mais finalement je ne suis pas aussi nulle que je le croyais... Tiens, les kilos sont repartis... Il y a des expériences étonnantes où l'on s'étonne soi-même: Apéro chez des amis? Hum... Pas envie d'alcool mais d'un jus de fruits bien frais (Moi qui ne crachais pas dans mon verre). Deux autres personnes disent "moi aussi" (ultra tendance donc...) Le réveil ? Me voilà en train de le regarder s'allumer... (Wow! J'avais pas vu ça depuis des années!) J'ai même réussi à intervenir dans une conversation sur aussi abstraite pour moi que l'actualité politique! (Normalement je n'y connais rien mais depuis que je lis les journaux en attendant les gens, je suis mieux informée). Parfois il y a des vieux réflexes qui reviennent, comme si on cherchait la table de nuit à l'endroit où elle se trouvait dans l'ancien appartement: on se demande si on a assez de monnaie... pour quoi faire au juste? On se retourne pour "ne pas oublier" le fameux paquet doré sur la table... Ah ben non, c'est pas le mien. On trouve son sac à main étrangement vide (ben non, il est juste trop grand maintenant) Ca fait deux mois que j'ai déménagé et pour le moment je suis ravie. Tout n'est pas encore bien en place, les luminaires ne sont pas tout à fait fixés, il manque quelques meubles... Ca vient. J'ai bien plus de projets de déco que de regrets concernant mon ancien appartement. J'y pense plus trop d'ailleurs. Si vous êtes dans le même appart' depuis votre adolescence, c'est bon maintenant, vous méritez bien mieux: plus grand, moins cher... Mieux.
Partager sur:     

Geneviève (53 ans)
Nationalité Suisse
21 février 2016

Invitée par Stop-Tabac.... quelle douce surprise de se rendre compte que ceux qui nous ont aidé il y a bien des années maintenant sont toujours là, à l'écoute :o) Alors voilà, le 16 mai 2005 je décidais d'arrêter de fumer.... j'ai éteint ma dernière clope comme d'hab juste avant de me coucher. Le 17 je me suis levée ex fumeuse, je n'ai jamais repris une cigarette. Que dire, sinon que c'est la plus belle chose que j'ai pu faire, pour moi d'abord, pour mon entourage, pour mes finances aussi. Il faut savoir qu'en janvier 2006 je partais à Londres avec ma fille pour un weekend géant, au frais de ma cigarette.... a 2 cartouches et demie par semaine, je vous assure qon s'est payé du bon temps !!! sans compter ! Puis ces petits voyages sont devenus une habitude, un peu comme une récompense... Car il faut avouer que j'en ai bavé durant quelques années, à tenir le coup et ne pas donner raison aux personnes qui juraient que j'allais craquer... Et le temps a fait son oeuvre, j'ai arrêté d'avoir envie. Un jour l'odeur de celle des autres m'a dégoûté.... de ex je suis passée à non - fumeuse.... Me suis bien rendu compte que ce geste, cet esclavagisme, était définitivement révolu pour pour moi. Cette année j'entreprends une grande démarche pour ma santé, pour moi-même.... (trop de kilos nuisent autant que trop de tabac). Mon doc ne m'aurait pas accompagné si j'avais encore fumé... J'ai, pour donner toutes ses chances à mon projet, me mettre au sport, j'ose pas penser la peine si Marlboro était encore en train de me détruire..... J'habite une région magnifique, la montagne m'appelle pour de grandes ballade, en fumeuse je n'aurais pas su profiter de ces excursions magiques... J'ai de sublimes petits enfants. Je n'ai pas honte de faire devant eux un geste qu'il vaudrait mieux qu'ils ne fasse pas plus tard, je ne serai pas le modèle rassurant car ils ne pourront pas dire " la clope c'est sympa, Mamy elle fume". Ils ne sentent pas non plus l'ignoble odeur du tabac froid en entrant chez moi, ou en m'embrassant.... Chaque jour qui passe je remercie tous ceux qui m'ont aidé à franchir ce pas, moi d'abord pour avoir eu le courage de m'y atteler et la force de persévérer, mon entourage qui par son manque de confiance m'a motivée à ne pas leur laisser avoir raison, et Stop Tabac avec leurs conseils et les centaines de témoignages que j'y ai lus et qui m'ont poussée en avant.... Si je peux souffler à mon lecteur un seul conseil: osez et persévérez, le plus beau c'est après, juste après, la décision :o) Gene.
Partager sur:     

Hélène (47 ans)
Nationalité Belge
01 août 2018

Addict aux Nicorettes 2mg pendant 13 ans... Bonjour à toutes et tous, J'ai 47 ans. J'ai commencé à fumer à 15 ans et ai fait un premier arrêt à 25 ans (arrêt brutal sans aucune aide) - j'ai repris une cigarette à 31 ans et du jour au lendemain j'étais redevenue fumeuse complète. A 35 ans, le pneumologue m'a signalé que j'étais une parfaite candidate à l'emphysème si je n'arrêtais pas rapidement. J'ai donc arrêté la cigarette (1 paquet/jour) avec des patchs il y a presque 13 ans. Puis, pour cesser les patchs, la pharmacienne m'a conseillé les chewing gums. 13 ans plus tard, je les mâchais toujours... A raison de 15 ou 20 chewing gums 2mg par jour, je prenais l'équivalent de 2 paquets/jour ! Le matin, c'était mon premier geste et la nuit il m'arrivait de me relever pour en mâcher. Il m'arrivait aussi régulièrement de courir à la pharmacie de garde pour en acheter et jamais personne (médecins, pharmaciens) ne m'a proposé d'arrêter, ils tenaient tous le même discours: au moins c'est mieux que la cigarette et ce n'est pas dangereux... Pourtant, j'ai développé un problème de glandes salivaires, probablement lié à ce pesticide que je mâchais à longueur de journée depuis tant d'années et ai décidé de tout mettre à la poubelle, sans m'inquiéter puisque selon les fabricants IL N'Y A PAS DE DÉPENDANCE A LA NICOTINE SEULE... et mon il avec ! Jour 1 - le jeudi 6 juillet 2018 - tout roule et je me dis que c'est super facile et que j'aurais pu arrêter plus tôt, il suffit de mâcher des chewing gums sans nicotine, je ne ressens aucun manque et me dis que c'est normal puisque les Nicorettes ne sont pas addictives selon le fabriquant. Jour 2: réveil en sueur le matin, chocs électriques dans le corps, crises de panique, système digestif en pagaille, palpitations, crises de larmes ... la totale; je me dis que j'ai attrapé un virus et je reste au lit Jour 3, 4 : je les ai passés au fond de mon lit à boire des litres d'eau, à suer, à pleurer, à dormir, à aller aux toilettes. Je n'avais toujours pas compris que c'étaient les symptômes de sevrage, je croyais au virus... normal puisque aucune littérature n'est disponible sur le sevrage des substituts nicotiniques. Du jour 5 au jour 28: - des crises de larmes sans savoir pourquoi, - l'impression d'avoir un nuage gris sur la tête, - humeur dépressive, - estomac noué, - anxiété surtout matinale avec sueurs intense au réveil - fatigue intense - cauchemars - réveils nocturnes fréquents - l'impression de "manquer" violemment de quelque chose, de tourner comme un lion en cage en moi-même - irritabilité, agacement sans savoir pourquoi, comme le petit caillou dans la chaussure qui un moment devient insupportable - mal-être avec l'impression d'être complètement à côté de mes pompes ... le package complet quoi. Le souvenir de mon arrêt de cigarette à 25 ans me revient en mémoire avec ce mal-être, cette anxiété etc. Malgré que je ne suis pas supposée subir de sevrage avec les substituts, je me dis que c'est quand même très semblable... 28è jour d'arrêt: depuis ce matin, je vois l'éclaircie dans le nuage gris. Suite à une discussion avec le stomatologue hier qui m'a dit que selon lui, j'étais en plein sevrage de nicotine, j'ai appelé aujourd'hui Stop tabac Belgique qui me confirme que ce que je vis est un sevrage sec - c'est comme si j'avais arrêté de fumer 2 paquets/jour du jour au lendemain. Les symptômes sont les mêmes que ceux du sevrage de la cigarette car la drogue est la même quoiqu'en disent les firmes pharmaceutiques... la nicotine est la nicotine. Ce qui m'a bien aidée: - beaucoup boire (2 à 3 litres d'eau/jour) - faire de la méditation de pleine conscience (youtube Christophe André) - de la respiration cohérence cardiaque (petite application gratuite Iphone) - me promener (quand je n'étais pas explosée de fatigue) - beaucoup me reposer - prendre des suppléments de magnésium, de vitamine C - attendre avec patience, en essayant de ne pas focaliser sur le mal-être violent que je ressentais Stop Tabac Belgique m'a conseillé de prendre des Oméga3, ce que je vais m'empresser de faire. Le plus dur est passé même si je sais que les prochaines semaines, les symptômes seront encore présents mais vont aller en diminuant. Cela dit, au bout de 13 ans, j'ai perdu la dépendance comportementale et n'envisage même plus de prendre une cigarette donc c'est plutôt positif :) Voilà mon parcours, si j'avais su que la dépendance à la nicotine des substituts était identique à celle présente dans la cigarette, j'aurais appelé Tabac Stop pour effectuer un sevrage un peu moins violent ou tout au moins, pour avoir un interlocuteur averti qui puisse m'informer au fur et à mesure des étapes. Le fait de savoir que ce que nous vivons est "normal", permet déjà de prendre du recul et d'éviter que l'anxiété tourne à la panique. Merci à l'équipe de Tabac Stop !
Partager sur:     

cécile (30 ans)
Nationalité Française
19 février 2015

RE BONJOUR à tous et toutes me revoici pour un nouveau petit post apres 10 jours de sevrage. Je reviens parmis vous pour vous faire partager mon experience, ainsi que mes "montagnes Russe" (oui c'est un peu l'etat dans lequel je me trouve depuis MA decision) Donc sous patch, et gums à mastiquer, les premiers jours furent comme je l'imaginais rude, euphorique, triste, en colère bref, totalement en dent de scie! (mon compagnon est fumeur) et même s'il s'est aménagé un petit coin pour ne pas trop me faire envie, il n'en reste pas moins que c'est tentant! il y a deux jours j'ai eu un ENORME coup de blues, l'envie de m'en "griller une" était tellement insoutenable que j'ai frôlé la catastrophe... ce jour là j'etais dans un état second, deprimée, agressive, argneuse je me voyais etre comme ça alors que pourtant ce n'est absolument pas dans mes habitudes! moi qui suis d'ordinaire joyeuse et bout en train!ce jour là, une vraie sorcière accariatre! bien evidement c'est mon conjoint qui a eu l'immense honneur de recevoir toute ma frustation en pleine figure! et après une bonne grosse dispute bien épicée, je me suis refugiée dans la cuisine ou trainait son paquet de cigarettes. Là je peux dire qu'un Vrai duel s'est alors installé! je l'ai regardé, je l'ai meme dévisagé, tourné autour, pris en main... pour finalement le snober! je suis retourné auprès de mon amoureux et là nous avons énormement discutés... Il faut savoir que lorsque nous prenons ce genre de decision, la rechute est un element qu'il ne faut pas mette de coté! j'en sais quelque chose car j'ai fait deux tentatives auparavant.. Et si je l'avais fumé cette cigarette lors de cette fameuse soirée? serait-ce pour autant que je n'ai aucune volontée? que je suis faible? NON! il faut arreter de s'auto dénigrer, ou bien dénigrer ceux qui ont justement craqué! ce que je peux juste dire à l'heure ou je pianote mais quelques ressentis, et ça avec tout mon coeur et toute ma certitude c'est que l'on peut y arriver! même si cela est très très difficile et nous parait insurmontable, ou peut y arriver!! Garder en tête que si nous avons pu tenir jusquà maintenant, les jours d'après sont possible! Je me dit en me levant chaque matin que jour après jour est une victoire; Je ne veux plus me projetter en me disant "je ne serai jamais plus fumeuse" NON mais bien, "aujourd'hui je ne vais pas fumer" jai bien réussi hier... à petit pas... et à mon rythme surtout! Je sais bien que chaque méthode est differente, j'apporte juste là juste mon humble temoignage, s'il peut aider quelqun, quelque part... moi je continue activement à venir lire les votres. Merci à ce forum qui m'aide enormement et qui est une vraie béquille au quotidien pour moi, et merci à vous de vous livrer comme vous le faites, car je sais que ce n'est pas evident de se raconter comme ça sur notre combat, nos rechutes, nos difficultés... à très vite j'espère. Bien à vous tous, toutes, Cécile
Partager sur:     

Anonyme (32 ans)
Nationalité suisse
14 octobre 2019

Bonjour à tous, je vous raconte mon histoire en lien avec la cigarette car je suis extrêmement reconnaissante aux autres personnes qui ont partagé la leur ici, ça m'a tellement aidée de lire les autres témoignages. J'ai arrêté de fumer du tabac il y a un an pile aujourd'hui. Ca faisait depuis mes 14-15 ans que je fumais régulièrement en moyenne 15 cigarettes par jour et parfois bien plus. J'ai commencé à fumer parce que j'avais l'impression que cela devait comporter un bénéfice (mon papa fumait). Même si je pressentait que c'était destructeur, quelque chose m'attirait dans cette solution: une mini baguette magique, un accessoire du désarroi, des moments vides, un accessoire des rebelles: quitte à se faire du mal, il y a une douce arrogance à fumer. "Ca ne m'atteint pas, je suis plus forte que la clope". J'ai continué à fumer pendant 16 ans, j'ai traversé l'adolescence, j'ai eu un moment de complicité avec mon papa en lui avouant que je fumais, puisqu'on était en vacances, autant le lui dire il allait le découvrir de toute façon. La clope, c'était un petit gadget qu'on porte toujours avec soi, qui nous permet de sortir prendre l'air, d'avoir une excuse pour fuir une situation, de prendre un moment à soi. La clope, c'est un tête à tête avec soi-même et un privilège avec les autres fumeurs, c'est un marqueur de moments forts. Pas possible d'envisager une discussion profonde avec un verre de vin rouge sans la cigarette. Impossible de vivre un trajet en voiture sans clope: la clope, c'est pour marquer les moments: dire à son cerveau "regarde, il faut célébrer, savourer" ou à l'inverse, un médicament pour les moments douloureux. IMPOSSIBLE D'ENVISAGER DE S'EN PASSER, ça serait un peu mourir. Pendant des années, je continue à fumer, en ayant en arrière fond une pensée amère. Un jour, alors que je le craignais pour lui depuis longtemps, mon papa se fait diagnostiquer un cancer de la gorge. Honnêtement, si je n'avais pas été témoin de ce drame, je n'aurait pas réalisé à quel point c'est néfaste. Je vais ici vous raconter des choses crues, mais c'est ce qui m'a aidée à avoir un moteur pour arrêter alors je vous souhaite le même: pour moi il faut absolument avoir peur pour avoir le courage d'arrêter. Grande perte de poids, mon papa que j'aime m'apparait comme une ombre, un être décharné. Scanner, diagnostic: cancer de la gorge. Je ne réalise pas encore. Il s'en suit chimio, passages répétés à l'hôpital: nous vivons des moments intenses, car on réalise à quel point la vie est précieuse. Plus tard, la réalité beaucoup plus morbide apparait: il faut poser une canule (un trou par lequel respirer). Opérations diverses, visites à l'hôpital avec cette odeur âcre qui persiste, le cancer, c'est la chair qui débloque qui brûle et qui meurt, impossible de passer à côté de ne pas voir. Le plus dur, une image qui ne me quittera jamais, c'est quand on a dû lui enlever TOUTES les dents, pour permettre de faire la thérapie par rayons. Cette image, c'est la pire du monde, encore aujourd'hui 8 ans plus tard, j'en garde une trace profonde. Sa mort survient 6 mois après le diagnostic initial. De mon côté je continue à fumer en me voilant la face. Chaque année, ma peur augmente. Je flippe aux moindres douleurs à la gorge, je suis consciente que le jour de l'annonce d'un mal lié à la clope va arriver. Un jour en rigolant avec des amis sur nos objectifs de vie, je me prends à dire pour la 1ère fois mon désir d'arrêter de fumer. Sans y croire, en sachant que c'est impossible. Je suis la fille la plus accro du monde, en tout cas c'est sûr je n'y arriverai jamais. Un an plus tard, je me réveille après une grosse soirée, et je constate que j'en ai marre d'avoir peur, marre d'avoir l'impression d'être desséchée, de sentir le tabac froid et d'être impuissante. Je prends mon ordinateur et je déverse ma haine et ma peur sur le clavier. J'ai la chance d'être assez dégoûtée de toute substance nocive à ce moment. Ca ne me manque pas. Je sais que le manque physique va me submerger, alors je pars acheter des patch. Et là: révolte, les patch sont une autre arnaque, c'est beaucoup trop cher. Je décide d'écumer internet à la recherche de solutions naturelles pour aider au sevrage. Teinture mère de valériane, homéopathie, thé aux plantes, spray au Kudzu (apparement bon pour le sevrage du tabac et de l'alcool), inhalations, millepertuis (attention aux interactions médicamenteuses et déconseillé aux bipolaires). Apparement, il y a dans la nature une armada pour nous aider. Je redécouvre rapidement ce que odorat veut dire: au bout de 4 jours, mes papilles sont en fête, tout a un goût tellement génial. Je sens aussi de nouveau les odeurs, l'odeur des arbres, des plantes, les petites effluves de bouffe qui envahissent les rues et qui donnent faim, je sens l'odeur de la pluie et de l'herbe coupée. C'est tellement réconfortant. J'ai une immense fatigue qui s'abat sur moi mais je prends ça comme un revers mérité après toutes ces années à ne pas écouter mon corps. Je fais mille siestes par jour, je prends le temps: je suis en convalescence et je dois l'accepter. Les moments d'envie arrivent: les terrasses au soleil en automne, les fins de repas animés, la sortie du boulot: oui, il faut faire le deuil. Qui suis-je sans la clope? c'est le mantra que je me répète 25 fois par jour. Je ne veux pas arrêter à tout prix, mais répondre à cette question du mieux que je peux. Je ne me prive pas d'en parler autour de moi quand j'en ai vraiment besoin: c'est dur quand même... Impression de ne plus être vraiment moi, d'être clouée au boulot alors que les autres vont fumer ensemble, qu'est ce que je fais de mes mains maintenant que je peux plus rouler de clope?! Je ne suis plus vraiment rebelle, ni aventureuse, je deviens sage? cette idée ne me plaît pas. Mais je tiens, je dois trouver qui je suis sans le tabac. De semaine en semaine, j'y pense de moins en moins. Ce qui m'aide est l'application BuddyApp, avec laquelle on se choisit un parrain: moi j'ai demandé à ma soeur jumelle. C'est chouette d'être soutenu et que les gens qui vous aiment vous suivent dans vos progrès. De pouvoir se confier jour et nuit. 6 mois après, je n'ai presque plus envie. Sauf en soirée pour faire comme les autres. Puisque mon cerveau est alambiqué, je trouve une solution: j'ai un petit mélange de plantes sans tabac pour pouvoir rouler une clope aux herbes, sans risque de redevenir accro. J'en fume une fois ou deux. C'est franchement pas super bon, et ça sent la forêt cramée. Qui plus est, aucun effet sur la dopamine et autre machin, aucun booster du cerveau aucun soulagement...rien mais ça me donne l'illusion que je peux si je veux.Du coup, ça me calme et je n'y pense presque pas, mais de savoir que ça existe ça me réconforte... chacun ses petits trucs. Mais je sais que tout ce qui se fume potentiellement représente une menace pour moi, que ce soit du pissenlit ou du tabac. Aujourd'hui ça fait donc un an que je n'ai pas fumé de tabac. Je suis vraiment fière, et heureuse d'avoir au moins essayé. Et je sais que ce n'est jamais un succès complet, qu'il ne faut vraiment pas que j'y retouche parce que je redeviendrais une junkie du tabac. Je veux vous dire un message: *si j'ai pu y arriver jusque là, vous pouvez aussi.
Partager sur:     

CORINNE (49 ans)

10 janvier 2009

Voilà déjà 10 jours que je commence à respirer par grandes inspirations et quelques paquets de chewings gum, des litres d'eau et ça roule ....j'ai même repris le sport à p'tites doses peut être mais tranquille, tout le monde me félicite de mon teint on me demande si je reviens de vacances EH NON !!! j'ai arreté de fumer et j'ai perdu 2 kg EH OUI!!! donc pour résumer mon ancienne vie de pollueuse, j'ai commencé à 15 ans par une ou deux clopes et j'ai terminé à 49 ans à 30 clopes!!!!!!!!!!!! et en plus mon mari m'a suivi dans ma bataille...donc pour les indécis le plus dur j'vous l'assure c'est les 3 premiers jours après c'est juste une question de volonté ET SURTOUT QUAND C'EST LE MOMENT...NE LE RATEZ PAS bon courage à tous et à toutes
Partager sur:     

CHRISTINE (56 ans)
Nationalité SUISSE
13 mai 2005

J'ai réussi ! Cela fera bientôt trois ans et je sais que plus jamais je ne toucherais à la cigarette ! Comment et surtout pourquoi je n'avais pas compris quel engrenage malsain est la cigarette. Oui, on y arrive mais pas toujours du premier coup et il ne faut pas se culpabiliser : notre subconscient travaille jusqu'au déclic final. Il faut fixer des dates pour arrêter et si ce n'est pas la bonne, recommencer et acheter plein de choses (homéopathie, chewing-gum, bâtons de réglisse) tout pour nous aider à franchir le cap (acupuncture) et même quelques charlatans ! Il faut le dire autour de soi, la fierté est parfois une grande aide.... Lire les témoignages; sur ce site et sur d'autres; aide à se prendre en main. Courage à tous ceux qui sont sur le point d'arrêter et sachez que la vie est bien ++++ belle sans nicotine ! Christine
Partager sur:     

Juliet (62 ans)
Nationalité Française
11 novembre 2016

Étant atteinte de BPCO,emphysème pulmonaire,maladie coronarienne et artérielle depuis des années,j'etais incapable d'arrêter la cigarette. Et je ne voulais pas arrêter. J'ai fait récemment une grosse extinction de voix,soignée aux corticoïdes en inhalation. Cela m'a décidé à m'arrêter. Pour ce faire,je suis passée à la vape,après avoir diminué drastiquement ma consommation de cigarettes,ce qui est beaucoup plus facile en en fumant que la moitié. Il y a une semaine,le 4 Novembre,j'ai commencé à vaper en arrêtant complètement la cigarette. Je me suis acheté un vapoteur avec un boîtier électronique réglable,et un e-liquide à 12 de nicotine. Je n'ai plus du tout envie de fumer,le vapotage me calmé très vite dès que j'ai une envie de fumer. Aucun effet secondaire n'est à déplorer. Je me sens déjà beaucoup mieux. J'avais essayé autrefois avec des timbres et des chewing-gums à la nicotine,mais cela me donnait des malaises désagréables,des nausées fréquentes et des crises d'angoisse et de dépression. Avec la vape,j'ai eu un malaise d'angoisse qui est passé très vite. Vu mon état de santé,il est hors de question que je refume du tabac,et je suis certaine que je vais tenir grâce à la vape. Je diminuerai le dosage de nicotine de l'e-liquide très progressivement dans l'espoir de pouvoir arrêter aussi de vapoter,mais ce n'est pas encore à l'ordre du jour. Surtout ne pas aller trop vite ! J'encourage vraiment les gros fumeurs à passer à la vape : bien dosé,ce produit donne autant - voire plus - de plaisir que les cigarettes. J'ai obtenu un goût proche de la cigarette,la vapeur est abondante,avec un bon réglage et un bon e-produit à votre goût,c'est le succès assuré. En cas d'envie de cigarette,avec la vape,ça passe tout de suite. Bon courage à ceux qui désirent arrêter,il y a moyen de réussir à tout âge,en se faisant plaisir grâce au vapotage. Merci.
Partager sur:     

katia (40 ans)
Nationalité Québécoise
06 septembre 2010

WOW!!! Un peu plus d'un an que je n'ai pas fumé. Toute une libération, je me sens plus libre et effectivement plus besoin de vérifier si j'ai assez de cigarettes, de planifier la prochaine dans un lieu publique, de chercher mon briquet etc..etc... C'est la liberté comme je vous le disais et de plus je respire mieux. J'ai commencé à fumer à 16 ans donc 23 ans de tabagiste avec une moyenne de 12 cigarettes par jour. Les derniers années, je réfléchissais à mon futur arrêt mais j'avais toutes sortes de raisons pour reporter l'échéance. Finalement l'année dernière, j'ai débuté mes vacances avec une bonne bouteille de vin rouge entre amis donc j'ai fumé plus de cigarettes et le lendemain pas vraiment le goût de fumer car mon corps était saturé de nicotine, pour réaliser 48 heures plus tard que je n'avais pas fumé. Vous comprenez donc que j'ai arrêté le tabac par hasard mais qu'ensuite j'ai pris la décision de poursuivre.Dans un premier temps, je me suis dis O.K. une journée de plus à la fois sans cigarettes pour finalement me dire au bout de 5 jours O.K. Ma Belle tu prends la décision d'arrêter. WOW! la peur je vous dis pas. Surtout la peur de ne pas y arriver, d'échouer et là je me suis dis trouvons des photos de fumeur malade sur internet pour me faire peur et je suis tombée sur ce magnifique site. J'ai lu pendant plusieurs heures et plusieur jours des témoignages qui m'ont beaucoup aidé et rassuré car s'était la première fois que je cessais de fumer et je me demandais quel est la meilleure méthode. La réponse est votre méthode car c'est différent pour chacun. Personnellement, le livre d'Allen Carr (Arrêter de fumer c'est facile) a été un outil extraordinaire pour moi et je l'ai découvert grâce aux témoignages de ce site. M. Carr m'a permis de normaliser mon sentiment de facilité face à l'arrêt du tabac. ET OUI!!! j'ai trouvé facile de cesser la cigarette et je me demandais pourquoi je n'avais pas cessé avant. Naturellement, j'ai eu et j'ai toujours des "rushs", des envis de fumer mais je l'accepte et ça passe. Je me dis que j'aurais toujours ces envis mais elles diminues, elles sont généralement moins fortes et ça me rappèle à quel point je suis heureuse de ma décision. Je crois que c'est plus facile pour moi car c'est ma décision, c'est pour moi que je le fais et cela me procure une grande fierté. J'accepte que je n'aurai plus ce sentiment illusoire de bien-être en fumant, je dis illusoire car j'ai compris que fumer une cigarette calmait mon manque de nicotine dans mon corps. La preuve pour moi est que lorsque je voulais fumer une deuxième cigarette de suite je n'y arrivais pas, elle n'étais pas bonne. De plus, je me suis rappelée mes premières cigarettes enfant, elles goûtaient vraiment mauvaises car je n'avais pas un besoin de nicotine à calmer dans mon corps. J'ai cessé aussi d'avoir continuellement des sécrétions dans la gorge surtout le matin. De plus, j'ai constaté que la cigarettes en plus d'avoir des effets sur ma santé elle avait des effets sur mes humeurs. Lorsque je fumais moins ou pas j'étais plus "Down". Elle a du pouvoir la petite c'est incroyable!!!! Mon odorat est meilleur, je respire mieux et mon poids est le même. Avant de cesser de fumer, je nageais et marchais déjà régulièrement, je crois que l'activité physique aide à éliminer plus vite la nicotine et à régénérer le corps. De toute façon, d'aller marcher dans la forêt en me félicitant, en réfléchissant m'a fait beaucoup de bien et m'a permis de comprendre à quoi servait la cigarette pour moi et pourquoi je ne voulais plus quelle soit dans ma vie. Depuis longtemps je voulais témoigner sur ce site avec l'espoir que mon expérience pourrait aider, redonner un peu l'aide que j'ai puisé ici. Depuis 6 mois, j'ai une collègue de travaille qui a cessé de fumer et elle dit que je l'ai inspiré et ma petite maman a diminué drastiquement sa consommation de cigarettes après mon arrêt. Merci à vous tous et à ce site.
Partager sur:     

Corinne (47 ans)
Nationalité française
03 juin 2010

1 fumeur sur 2 va mourir; 4 fois plus de femmes vont mourir du tabac. Alors STOP ! Ce sera ma 3 ème tentative mais je n'ai jamais baissé les bras et cela devient plus facile maintenant de m'arreter, chaque fois l'erreur a été de croire que reprendre une cigarette ce n'est rien (on se croit tellement plus malin !!) , et l'engrenage reprend ! Mais cette fois mon fils de 9 ans a pleuré quand j'ai repris en Mars, il m'a dit qu'il ne voulait pas me perdre sa maman, et pour la fête des mères , il a écrit qu'il voulait garder sa maman le plus longtemps possible. Cette fois, il faut vaincre cet ennemi et avec mon ami le Champix nous nous y employons. La plus grande difficulté a été de decider du jour J. Mais maintenant quel bonheur j'ai l'impression d'être une HEROÏNE ! mon mari fume et justement cela me motive car il m'envie et combien de fumeur envie l'ex-fumeur qui a réussi là ou ils échouent. Et avec l'argent économisé je m'offre des séances de massage, de déténte. Ce n'est pas un drame c'est un renouveau.
Partager sur:     

Aïda (48 ans)
Nationalité FRANCO-SENEGALAISE
31 mai 2013

Bonjour, Dans mon pays le Sénégal, vous pouvez fumer n'importe où, dans tous les lieux publiques....Les paquets de cigarettes, Malboro, Dunhill sont à 80 centimes d'euros. Aucune publicité ne vous informe des méfaits du tabac. J'ai arrêté de fumer depuis 10 jours. Je fumais depuis trente ans, un demi paquet voir un paquet par jour. J'avais essayé deux ou trois fois, mais j'échouais au bout de trois, quatre jours.Si aujourd'hui, je sais que je ne fumerai plus c'est que je me suis rendue compte que ce n'était qu'une addiction et qu'il n'y avait donc aucune notion de plaisir. A partir de cette prise de conscience, la peur commence à vous ronger. Le sevrage physique, fatigue et cie s'estompe au bout de cinq jours...Le mental, dés que j'ai un coup de stress, je me focalise sur une phrase, "non pas de cigarette cela ne me sert à rien" et ça passe. La cigarette m'a empêchée de faire plein de choses. Il est impensable que l'arrête m'empêche de profiter de la vie pleinement. Je n'ai parlé de mon arrêt qu'à très peu de personnes. Ce site me suffit et je veux lire la joie dans les yeux de mes proches qui découvriront bientôt que je ne fume plus. Moi qui suis très dépensière, je sais que je viens de me faire un cadeau qui n'a pas de prix.
Partager sur:     

NINA (46 ans)
Nationalité Francaise
09 juin 2007

Hier soir, j'ai du affronter mon deuxième ennemi lorsque l'on arrete de fumer : L'ALCOOL. En effet, depuis 12 jours, je ne fume plus. J'ai tout essayé, les patchs, les gommes, l'acupuncture, rien n'y a fait, ... Et, moi qui redoutait tant ce grand moment de séparation avec ma grande COPINE, cela a presque été un jeu d'enfant. C'est pas évident, car beaucoup redoute ce moment, l'impression d'abandonner une personne qu'on aimait tant,une confidente puisque nos doigts venaient la chercher dès que l'on se sentait contrarié, qui nous accompagnait toujours, soit dans les bons et les mauvais moment. Une trahison en quelques sorte, presque face à face à une réaction que l'on pourrait avoir envers une personne humaine. Je n'ai pas d'effets secondaires, aucun, si ce n'est que de faire des rêves longs, bizarres, avec des histoires à dormir debout ! Bref, ce n'est pas le plus gênant, mais je n'ai plus vraiment d'envie, j'ai presque l'impression de n'avoir jamais fumé. On oublie ce geste, ces manies, ce rituel, surtout celle du matin et après mes repas. En sorte, je n'ai aucun regret de l'avoir quitté. Mais hier, l'incontournable est arrivé, j'avais des invités pour manger à la maison. Et la peur de boire un apéritif, de papoter, et de machinalement oublier que j'ai arreter de fumer m'a hanté tout au long de la journée. Quelle va être ma réaction ? Si je bois même un peu d'alcool, je perds mes facultés, surtout celle de ne plus fumer .... Une espèce d'envie vous dirai-je, m'a pris, un désir peut etre de se laisser aller et de se dire, allez demain çela sera ne se verra pas. Tu peux meme aller dans la cuisine te cacher, personne ne te verra, puisque la honte pourrait t'emporter car tu l'a dis à tout le monde que tu avais arreter. Tout le monde t'admire, meme ton docteur ta félicité, mais fume personne ne le saura c'est une histoire entre toi et moi. Moi et ma conscience. Et bien, je suis fière de moi, j'ai réussi à la combattre cette punaise, elle ne m'a pas eu commes les autres fois ou j'ai replongé, j'ai tenu bon, j'ai repensé au scanner que je dois faire dans 2 semaines, à mon pneumolgue qui m'a dit, vous avez fumé le quotat qu'il vous était alloué, et la stop ou je ne répond de rien pour la suite, des bronchites qui n'en finissent plus, même sous antibio, perdurent. Enfin, j'ai compris si je veux encore vivre. Faites attention à ces réunions de groupe. Un conseil, restez et conversez avec des non fumeurs, ils vous aideront meme indirectement. Changez d'attitude, parlez des gens qui vous entourent, oubliez que vous êtes un ou une ex- fumeuse, car ne penser qu'à soit, nous fait trop aussi s'apitoyer sur son sort, et cela devient une grosse corvée. Courage à tous qui êtes dans le même cas que moi.
Partager sur:     

patricia (51 ans)
Nationalité française
17 décembre 2017

J'ai commencé à fumer au collège comme beaucoup. j'ai adoré fumer c'était un vrai plaisir et je n'ai jamais essayé d'arrêter. Ma consommation était d'un paquet par jour. En février 2014, je propose à mon mari d'aller voir une nouvelle boutique de vapot installée dans notre ville. J'entendais beaucoup parler de la cigarette électronique mais sans aucune conviction. Dans la boutique elle ne explique comment cela fonctionne, les dosages, les parfums, etc...Nous décidons d'investir dans une petite cigarette pour tester. Je commence au dosage de 12 ml de nicotine et je prends goût tabac. Je vapote dès que je l'ai acheté et vu que c'était le soir je n'ai pas pris de cigarette; Le souvenir que j'ai, c'est que le lendemain, je vais au boulot et comme d'habitude je prends mon paquet de cigarette et ma vapote... Je commence par la cigarette., je prends une bouffée, une deuxième...je la jette et l'écrase ! le goût m'a totalement dégoûté ! c'est la dernière fois que j'ai touché une cigarette. Pendant 3 mois j'étais à 12 ml , ensuite j'ai pris 6 ml pendant 1 an et demi et ensuite 0 ml jusqu'à il y a 4 mois où j'ai arrêté la cigarette électronique aussi. Aujourd'hui je ne fume plus, je ne vapote plus et je suis fière de moi et mes enfants sont heureux car je ne me rendais pas compte qu'ils souffraient énormément d'être dans le tabac tous les jours car je fumais partout, à la maison, en voiture... Mon mari qui fumait 1 paquet par semaine avait arrêté en même temps que moi , mais hélas, il a repris la vrai cigarette de plus belle . Par contre il fume dehors car j'ai dû mal à supporter la fumée. Merci à la cigarette électronique ! je n'aurai jamais arrêté sans elle.
Partager sur:     

Aline (29 ans)
Nationalité France
30 septembre 2009

Je suis dans un cycle infernal dont je n'arrive pas à me sortir: J'ai fumé pendant presque dix ans(déjà) un bon paquet par jour, sans avoir l'envie d'arrêter.J'ai alors rencontré mon actuel compagnon il y a un an et demi, qui m'a très vite fait comprendre qu'il ne supporterait pas indéfiniment cette satanée cigarette...celle du matin à peine réveillée, celle du soir juste avant de dormir, celles de la nuit quand je n'arrive pas à dormir, l'odeur de tabac froid sur mes vêtements, dans ma voiture...bref partout! Je n'ai pas tardé à réduire ma consommation: mon bonheur était un puissant facteur de motivation et ma volonté était très arrêtée. J'ai donc arrêté (le premier arrêt...) le 20 juillet 2008. J'ai fait le bilan: bronchites chroniques pendant des années, voix fragile souvent sujette à extinctions de voix ( or, je suis enseignante), rappels à l'ordre de l'ORL, capacité respiratoire altérée quand je fais du sport (en plus j'adore çà...), remarques répétées de mes proches inquiets de ne pas me voir décrocher, disputes avec mon homme anti-tabac à ce sujet.Ca pèse quand même lourd dans la balance... Et pourtant...J'ai repris en novembre 2008 et depuis, ce n'est qu'une succession d'arrêts(je ne les compte plus)et de reprises (où je m'impose un quota: 3 à 5 par jour). J'ai mis en oeuvre toutes les stratégies pour m'aider: patchs, puis gommes à la nicotine, lectures multiples sur le tabac et l'arrêt, sport 3 fois par semaine dans un club etc.Et je n'ai toujours pas rompu avec la clope. Comment trouver les ressources en soi pour arrêter pour de bon? Qu'a-t-il manqué pour que "ça marche"? J'ai une relation d'amour-haine à la cigarette qui est usante à la longue. Elle est celle qui va me donner l'illusion de mieux gérer mes angoisses, elle accompagne les moments de plaisir (en soirée) et de détente: j'ai l'impression que cette amie mortelle me colle à la peau. L'idée de m'en défaire m'est douloureux. Ce n'est pourtant pas une personne, elle ne m'apporte objectivement rien en termes de satisfaction et de bonheur, elle est source de calculs bas et mesquins de ma part, à cause d'elle je fais des arrangements avec ma conscience, encore à cause d'elle je culpabilise, je me déteste trop souvent. La clope gagne plus souvent que moi et ma faiblesse me navre. Le ras-le-bol est réellement là, la peur de faire "sans" est là aussi. à partir de ce samedi 3 octobre, il faudra que ce soit la bonne parce que je n'en peux plus de tout ça.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Fumeurs

Joëlle (64a ans)
Nationalité France
02 juillet 2018

Bonjour, Le 11 octobre 2016, après une grosse infection aux poumons, le radiologue m'a bien "secouée" et a réussi à me motiver afin que j'arrête de fumer. Je suis allée chez un tabacologue car je fumais 50 cigarettes par jour. Il me fallait absolument une aide car je n'étais pas à ma première tentative d'arrêt . Donc, j'ai eu droit à la totale, patch, cigarette électronique, nicorettes. Depuis bientôt deux ans, je n'ai pas ressenti l'envie de reprendre une cigarette, j'ai arrêté les patch et les nicorettes au bout de 4 mois et la cigarette électronique (sans nicotine) il y a un mois. J'ai pris 5 petits kilos qui sont les bienvenus car j'étais très maigre !!!!!!! Depuis le 11 octobre 2016, JE REVIS je refais du sport et j'ai une résistance hallucinante plus d'essoufflement .Et je vous garantis que vous pouvez TOUS arrêter de fumer, si moi j'ai arrêté tout le monde peut, j'ai aidé deux amies à arrêter .... Bon courage pour votre sevrage ....
Partager sur:     
Catégories associées:
• Plus de 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Delphine (28 ans)
Nationalité française
19 mai 2012

4 jours et demi sans tabac. Aprés plus de 10 ans avec. Ça ne parait pas grand chose, mais c'est déjà beaucoup. Sous Champix soit. Une impression de tricher. Mais au moins je tiens bon. Le plus dur c'est les habitudes du quotidien. Habitudes ou mauvais réflexes? Je ne sais pas. J'essaie de voir les bénéfices de l'arrêt du tabac. Mais je ne trouve pas. Déjà sportive ce n'est jamais le souffle qui m'a arrêté. Meilleur teint? Je ne vois pas. Pour l'instant je n'ai trouvais qu'un seul changement tout bête, le goût des thés ou des tisanes a changé, et pas dans le bon sens! Faut l'avouer le Champix est efficace et fait son travail. Mais il faut rester prudent et être attentif à son caractère. Mais je suis fière de moi...Et je souhaite à tout le monde d'y arriver!
Partager sur:     

Julie
Nationalité Belge
19 septembre 2017

Bonjour, Hier, cela faisait 1 an tout pile que j'arrêtais de fumer. Le premier jour de mon arrêt, j'ai installé votre application "stoptabac.ch" sur mon smartphone et je n'ai jamais cessé de l'utiliser depuis. Je voudrais vous remercier pour le travail formidable que vous accomplissez et pour l'aide réelle que vous apportez aux fumeurs qui arrêtent le tabac. L'application est très bien faite, les conseils sont efficaces et les informations sont précieuses. Surtout pour des gens comme moi qui n'ont pas consulté de médecin pour arrêter. Je l'ai fait toute seule et sans substitut mais encadrée par vous et par votre application. Et je me suis réellement sentie encadrée ! Conclusion : pas un seul craquage (même pas une petite taffe!) alors que j'ai fumé pendant 25 ans à raison d'1 demi paquet par jour... Je voulais donc vous remercier très sincèrement pour votre application géniale et pour votre travail formidable. Bien sûr plein de choses entrent en ligne de compte quand on arrête de fumer mais votre soutien a réellement été décisif dans mon cas. Et même si je me sens "tirée d'affaire", je reste toujours vigilante et je continue de lire et de relire vos infos régulièrement. Ça motive encore plus après avoir fait le plus dur. Alors encore une fois et de tout cur : merci à toute votre équipe !
Partager sur:     

Vanessa (30 ans)
Nationalité Belge
21 février 2007

Bonjour, Quand j'ai fumé mes premières cigarettes (à 14 ans), j'étais trop sure de moi et je pensais réellement que ça ne durerait qu'un temps, et que "j'arrêterais quand je voudrais". Mais c'est faux, et c'est la même chose pour tout le monde. Faut pas se croire plus malin que les autres, on ne l'est jamais. Comme la plupart des fumeurs, je disais que j'aimais le goût, que j'aimais vraiment fumer mais que j'arrêterais "plus tard" ... Alors qu'en fait, il n'est jamais trop tôt pour arrêter ! On n'a aucune excuse de n'en fumer ne serait ce qu'une de plus. On croit que "ça fait du bien" mais c'est faux. On ne fait jamais que de se donner "notre dose". Apaiser ce manque de nicotine comme d'autres ont besoin d'une dose de cocaïne. C'est le même principe. Et je n'appelle pas ça "se faire plaisir" mais plutôt SE DETRUIRE. A 30 ans, j'ai autre chose à faire que de gaspiller mon argent en achetant de la mort et en me mentant à moi même en disant que j'aime ça. Demain, ça fera 50 jours que j'ai arrêté de fumer (ma 3e tentative). Je veux que ce soit la bonne et je vais tout faire pour y arriver. Courage et persévérance à vous qui avez ou allez arrêter de fumer. C'est le plus beauc cadeau que vous vous faites... vivre !
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Barbara (37 ans)
Nationalité Suisse
12 août 2021

Bonjour ou bonsoir à tous! Je voudrais apporter mon témoignage plein d'espoir pour tous ceux qui ont encore du mal à stopper définitivement la cigarette. Cela fait 5 mois que je n'ai pas touché à une seule cigarette. Mon arrêt n'a pas été facile! Durant environ un mois, j'ai beaucoup lutté contre mes angoisses et envies obsessionnelles. Puis... au bout du deuxième mois tout s'est bien arrangé! Plus de besoin impérieux de fumer, juste une petite envie (plutôt une "pensée") de temps en temps. J'ai moi-même beaucoup de mal à y croire et pourtant... Depuis un mois, ma vie est en train de changer. Je sens bien que je ne suis plus tout à fait la même. Je craignais un changement dans ma personnalité: je pensais qu'arrêter de fumer allait me rendre moins "intéressante" et plus timide, que j'allais moins "déconner"... Eh bien... à ma grande surprise c'est l'inverse!! Je suis beaucoup plus ouverte aux autres, moins stressée, très confiante en l'avenir et en moi... En plus des classiques bénéfices physiques de l'arrêt, depuis quelques semaines j'éprouve un besoin impérieux de tout ranger dans ma vie!! J'ai compris et je sais maintenant que je suis une personne forte, motivée et pleine de vie. C'est comme si je devais apprécier chacune des secondes de ma nouvelles vie et je me mets à relativiser tous les soucis... Après avoir supporté ma mauvaise humeur, mon entourage apprécie mon enthousiasme et ma bonne humeur!!! Vive les non-fumeurs!!!!
Partager sur:     

alexandra (46 ans)
Nationalité France
31 janvier 2019

Bonjour à tous, J'ai 46 ans et suis fumeuse depuis mes 18 ans à peu près. Jusqu'à mes 35 ans, je ne ressentais aucune envie d'arrêter le tabac car j'étais jeune et pleine d'énergie.. mais le temps passe et la psychologie des gens change, notamment après avoir appris que j'avais une polyarthrite et que mon espérance de vie était par le fait diminuée de quelques années. De plus, après avoir consulté des tas d'articles sur cette maladie sur le web, j'ai appris que la maladie pouvait être le résultat d'un tabagisme de longue date. J'ai commencé à devenir hypocondriaque et à souffrir de cela. Plus aucune journée ne passait sans qu'un petit bobo ou gêne ne me fasse penser au pire! Le tabac est un piège pernicieux et redoutable car si le danger est bien réel, arrêter de fumer est si simple que cela en devient contradictoire. Pour ma part, j'ai lu le livre d'allen CARR (en finir avec la cigarette) et en le terminant, et même avant de le terminer, j'ai réaliser à quelle point on pouvait être autodestructeur. Il suffit de ne pas allumer une prochaine cigarette et de profiter de la liberté que cela nous procure. Lisez ce livre avec sérieux et concentration, il vous donnera les clés pour profiter de votre nouvelle vie sans tabac. Et pour ceux qui se sentent nul de ne pas y arriver, sachez que ce n'est pas de la volonté dont vous avez besoin mais de la pleine conscience que la vie peut être est belle sans la cigarette. Je vous envoi par ces mots toute ma sympathie, vous pouvez y arriver!
Partager sur:     

Stéphanie (44 ans)
Nationalité Luxembourg
01 juin 2018

J'avais 13 ans quand j'ai goûté à la première cigarette, c'était cool de fumer toutes mes copines et copains fumaient donc pourquoi pas. J'en ai 44 aujourd'hui donc 30 ans de dépendance, dans les 30 ans j'ai arrêté 3 fois toujours 3 ans et lors de soirée arrosée même encore après 3 ans j'ai à chaque fois repris c'était toujours allez, laisses moi tirer un coup à ta cigarette , le lendemain j'ai racheté un paquetce sont toujours à des moments de faiblesse et de stress dans ma vie. Une fois fumeuse toujours fumeuse. Donc vigilance on est toujours confronté à baisser les bras un moment ou l'autre mais il faut tenir bon ! Là je suis à ma quatrième fois, j'ai fait une grosse crise d'asthme et une infection aux poumons et j'ai continué à fumer et là un soir j'ai eu comme un choc Mais comment est-ce possible avec autant de douleurs de continuer à fumer ? Le lendemain je me suis levée et j'ai dit stop. On se ment souvent de dire qu'on aime fumer mais en réalité ce n'est pas vrai, on craint le sevrage !!!! Comme si on vous enlève une partie de vous !!!C'est notre faiblesse ! On a des habitudesdonc j'ai changé mes habitudes, n'importe quel moyen est bon d'arrêter de fumer, patch, cigarette électronique, chewing-gumcar le but est d'arrêter. Ne vous laissez rien dire par les autres. On est tous différents et on connait son corps mieux que les autres, donc laisser vous aider par les moyens qui vous sont propre. Moi j'ai mis des patchs, je fume aussi une cigarette électronique SANS nicotine et je fais de l'auto-hypnose, et pour moi ça marche ! Ça ne veut pas dire que tous les jours je ne ressens pas le manque, irritation etcmais il y a des astuces quand le manque arrive et finalement ça ne dure que quelques minutes. Et je suis fière de chaque jour qui passe sans la cigarettemême si rien n'est encore gagné, je suis sur la bonne voie ! N'oubliez jamais que toute votre vie, une fois arrêté, le corps a mémorisé ce poison et il peut toujours refaire surface. Il faut juste le combattre et on se sent à chaque fois plus fort. Donc à tous ceux qu'ils veulent arrêter : Vous y arriverez !!! C'est vous qui décidez (mental) et non votre corps (nicotine) !
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anne (44 ans)
Nationalité Suisse
20 septembre 2016

Bonjour, cela fait désormais 3 ans que j'ai arrêté de fumer et j'en suis particulièrement fière. Je fumais un paquet par jour depuis 25 ans. Ce témoignage pour vous parler des "surprises" qui ont fait suite à mon arrêt du tabac : la mauvaise mais qui était prévisible, la prise de poids, 8kg que je n'ai pas encore perdus. Pour ce qui est du reste, que du positif : souffrant d'angoisses dont je n'arriverais pas à comprendre les causes (et à me débarrasser), celles-ci ont disparu à mon grand étonnement pratiquement du jour au lendemain suivant l'arrêt de la cigarette sans jamais réapparaitre ensuite... Un très grand bonheur auquel je ne m'attendais pas du tout... Ensuite j'ai retrouvé une énergie incroyable. La cigarette me donnait une sensation d'épuisement dès le réveil mais l'arrêt m'a redonné "la pêche" ! Je me suis mise à inviter plus de monde à la maison, à sortir plus souvent, à organiser des soirées entre amis, mes journées sont bien remplies avec beaucoup moins de fatigue... et cette énergie retrouvée m'a permis d'engager une lutte contre ma phobie de l'avion et de suivre un cours pour la vaincre... ce que j'ai réussi 6 mois après l'arrêt du tabac. Grâce à l'arrêt de la cigarette, j'ai trouvé très vite la force de me soigner (et les économies) et de prendre l'avion en direction de New-york, de la Norvège, du Sri-Lanka, de l' Ecosse...et j'en passe ! Je tiens aussi préciser que mon conjoint est fumeur et qu'il n'a jamais arrêté du fumer...J' 'encourage donc chacun à ne pas attendre sur son conjoint pour arrêter de fumer et à suivre son propre rythme et sa propre démarche...En tout cas, je vis avec un fumeur, j'ai toujours été confrontée à la cigarette et cela ne m'a pas empêché d'arrêter de fumer... Aujourd'hui, je pense parfois à la cigarette mais très rarement avec envie... et si l'envie apparait, elle dure entre 5 et 10 secondes c'est donc tout à fait gérable. Désormais, je peux être à côté de fumeurs sans me rendre compte qu'ils fument et c'est un sentiment absolument fabuleux ! Et finalement, j'en viens à mes deux premiers arrêts "ratés" qui ont été plutôt réussis car ils m'ont permis de mieux appréhender les difficultés et les pièges de la période de sevrage. J'ai donc abordé mon 3ème essai avec l'expérience de mes "ratages" qui m'ont apportés beaucoup et qui m'ont menés sur le chemin de la réussite. Je n'évoquerai pas ma méthode car à chacun celle qui lui convient ! Depuis que je ne fume plus, j'ai le sentiment de vivre ma vraie vie, de m'être "retrouvée" et quoiqu'il arrive, je suis fière et heureuse ! Mes encouragements à tous les futurs ex-fumeurs et à ceux qui ont commencés le sevrage ! we did it !!!
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Nadia (49 ans)
Nationalité Française
23 août 2016

Bonjour, Je fumais plus d'un paquet par jour depuis près de 30 ans. J'ai arrêté de fumer depuis presqu'un an (le 29 août 2015). J'ai tenté plusieurs arrêt sans succès. Cette fois si j'ai réussi, c'est parce que pour la première fois j'ai compris que je n avais pas besoin de fumer pour vivre et je me suis répété à longueur de temps combien c'est bénéfique pour moi d'arrêter à tous les niveaux. En effet, depuis mon arrêt, j'ai retrouvé un souffle normal, j'ai un joli teint, je n'ai plus de problème d'argent, je suis plus calme...la liste est longue !! Bon courage à vous et dites vous "La vie est belle sans cigarette".
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Claudia (41 ans)
Nationalité France
09 août 2021

Voilà 6 mois que j'ai cessé de fumer, grâce aux patches durant les 2 premiers mois, le temps de m'offrir de nouvelles habitudes sans souffrir du manque. Et puis j'ai arrêté les patches également et, mise à part un peu de nervosité à gérer, tout s'est formidablement bien passé. En fait, mes dernières années de fumée furent complètement dépourvues de plaisir et pleines de culpabilité ET JE ME RENDS COMPTE AUJOURD'HUI QU'IL M'ETAIT PLUS DIFFICILE DE FUMER QU'IL M'A ETE D'ARRETER !!! Arrêtons de dire qu'il est si difficile de cesser de fumer... ça ne sert qu'à effrayer les fumeurs et à les décourager définitivement... J'ai arrêté de fumer sans volonté exceptionnelle, sans prendre plus de 2 kg, et sans souffrir le martyr.Le désir de fumer est comme une bête au fond de notre ventre qui réclame sa substance... Elle ne fait pas partie de nous, elle y a été introduite et peut sans aller. Plus vite on lui coupe les vivres et plus vite elle disparaîtra. Diminuer la cigarette ne fait que maintenir la bête en vie. J'aimerais que mon témoignage rassure les futurs ex- fumeurs quant à la difficulté d'arrêter. Moi, je vis beaucoup mieux depuis que je ne fume plus. Je n'ai plus à gérer cette culpabilité, à ma santé et à mon porte- monnaie. Je suis enfin en accord avec moi-même. Ca vaut vraiment le coup de s'y mettre sérieusement. Oubliez tout ce qu'on a pu vous dire à ce sujet, faites-vous votre propre expérience. Vous verrez, c'est beaucoup plus simple que prévu!
Partager sur:     

Sandrine (31 ans)
Nationalité Française
07 juin 2018

Bonjour, je m'appelle Sandrine, j'ai 31 ans. Je fume depuis que j'ai 17 ans. Je fume des roulées, depuis quelques années avec filtres ( j'avais entendu dire que c'était peut-être un peu moins pires...) Je vous écris ce soir car j'ai pris la décision d'arrêter de fumer ce soir, je vous écris donc en savourant mes dernières cigarettes (car oui il faut bien le dire, j'adore ça...) en écoutant des musiques un peu tristes comme si j'étais en train de faire le deuil de quelque chose... J'y pense depuis longtemps mais toujours une bonne excuse, je suis en vacances, c'est la période des barbecues, je suis stressée...mais il n'y a jamais de bons moments...donc comme ce bon moment n'arrivera jamais, c'est à moi de le créer...demain...adieu cette douce sensation, adieu le café/clope, le verre de vin/clope, le trajet-voiture/clope, adieu le moment où je philosophe avec moi-même perdue dans les volutes...Bonjour la nouvelle Sandrine qui sent bon, qui est libre, qui n'a pas peur de la maladie, qui sait rester 10 mn à ne rien faire de ses 10 doigts... J'espère revenir vous dire que l'engagement a été honoré. Courage à tous
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Fumeurs

Catherine (50 ans)
Nationalité Française
19 mai 2016

Bonjour, Je vous remercie pour tous vos conseils qui m'ont aidée à arrêter de fumer. J'ai abandonné celle qui fut ma "meilleure amie" il y a 9 mois, un vendredi soir. Le 1er mois, j'ai pris une cigarette électronique comme palier puis plus rien. Très étrangement, je ne ressens aucun manque, je crois que j'étais prête, tout simplement. Tous vos articles m'ont beaucoup aidée. Un petit truc en plus : je reculais de plus en plus les plus importantes de la journée. Par exemple, après les repas, j'attendais 5 minutes, puis 10, puis 15 etc... J'ai l'impression de démarrer une nouvelle vie, sans tabac cette fois. Merci encore et bonne chance à ceux et celles qui sont en train d'arrêter.
Partager sur:     

Anonyme
Nationalité Française
23 mai 2013

Bonjour, Je voudrais d'abord vous remercier pour votre site grâce auquel j'ai enfin pu me libérer du tabac ! Ayant pu constater chez moi le lien extrêmement fort entre dépendance au tabac et problème thyroïdien ( non diagnostiqué) ainsi que la "réticence" et / ou méconnaissance des médecins à dépister des maladies thyroïdiennes ( prise en compte de la TSH et des T3 et T4 pour établir un diagnostic fiable), je trouverais très utile une enquête ou un lien visible encourageant les personnes dépendantes au tabac à se poser la question du lien entre dépendance au tabac et problème thyroïdien. Je précise que c'est l'arrêt du tabac qui a "déclenché" la découverte de mes problèmes de thyroïde et de maladie auto- immune qui étaient masqué par le tabac. J'ai découvert depuis des études très intéressantes sur le lien avéré entre dépendance à la cigarette et problème de thyroïde et les éventuels signes qui peuvent mettre les médecins sur la piste de ces maladies. Dans mon cas la découverte de ces maladies a été bien trop tardive. Jamais un médecin n'a fait le lien entre mes symptômes ( fatigue anormale et déprime que la cigarette m'aidait à affronter ) et n'a voulu demander une mesure de mes T3 et T4 qui auraient pu (?) dépister ma maladie car la TSH seule était dans les normes. Je me dis qu'éventuellement d'autres personnes peuvent souffrir de la même maladie que moi et que, mis sous Lévothyrox ( au lieu d'un inutile antidépresseur), ils pourraient avoir plus de faciliter à rompre leur dépendance avec le tabac. Je précise que mon sevrage s'est apparenté à une longue descente aux enfers ... sans la cigarette pour me stimuler et ma thyroïde battant de l'aile, l'arrêt a été proprement infernal. En outre, il semblerait que si mon problème avait été diagnostiqué avant le sevrage, celui-ci aurait été mieux conduit, me préservant éventuellement d'une aggravation subite de la maladie. Si mon expérience pouvait aider d'autres personnes avant qu'il ne soit "trop tard" ( dans mon cas nodule de 4 cm, goitre plongeant, maladie de Hashimoto etc etc.....)
Partager sur:     

marine75011 (65 ans)
Nationalité francaise
05 octobre 2023

Bonjour ! J'entame mon 9 éme mois de l arrêt du tabac sans aide de qui que se soit ! tout est dans la tète ! Je fumais depuis plus de 20 ans 1 paquet 1/2 /par jour j ai eu des bronchites chroniques a répétition , je me sentais diminuée, essoufflée , fatiguée, tout ce qui est néfaste pour le corps et la sante Un matin après le petit déjeuner je désirais fumer une cigarette et soudainement l envie de vomir Le signal mon corps a dit STOP et je lui ai obéit J ai arrêté totalement Aucune envie de reprendre Je suis dans l autre étape le sevrage quelle souffrance je ne comprenais pas pourquoi j avais mal dans les jambes les articulations des membres du coup j allais au parc marcher pendant des heures et en rentrant impossible de me lever normalement tellement les muscles de mes jambes me faisait souffrir , je ne savais pas que c était le sevrage ! Avant d en connaitre les résultats de mes questions sur le sevrage j ai fais une cure de calcium et enfin les réponses a mes questions je les ai obtenues Il est normal d avoir mal partout après l arrêt du tabac car tout notre corps a été intoxique pendant des années A ce jour je ne souffre plus , je respire tellement bien , j'ai plus de râles , la peau de mon visage est repulpé je vis je suis heureuse sans être soumise au tabagisme Je suis fiere de moi
Partager sur:     

Brigitte (41 ans)
Nationalité Liechtenstein
12 août 2021

Nous arrivons au mois de mai... Joli mois de mai... L'an dernier, je me disais " je vais m'arrêter"... "je m'arrête quand je veux, de toute façon, alors je vais m'arrêter"... 2 paquets par jour, l'odeur, la fumée, le smog, je l'appelais..., la toux du matin, la voix qui déraille, et souvent la peur ...d'en claquer, d'une quinte de toux qui mettrait mon poumon à la porte !Image répétée d'un humour internaute... et puis le mois de mai et son 31 sans fumée de l'OMS... Et que je me suis dit, pourquoi pas...Des "Chiche t'oses pas" et "de toute façon tu tiendras pas 3 jours" ont fusé autour de moi... J'ai des collègues adorables, heureusement d'ailleurs, car je partage plus de temps avec eux qu'avec ma famille dans une journée...mais ils sont un peu "blonds" comme on dit... Ce manque de confiance m'a vexée.. Oui je peux avouer: je me suis arrêtée de fumer pour leur clouer le bec et les laisser radoter sans fondement sur mon dos ! C'était le 16 mai 2019... Douze mois plus tard, on a cessé de m'en offrir le matin, avec un sourire sorcier, le petit clan parieur m'en félicite aujourd'hui, un membre du clan m'a même rejointe.... de ce bon côté de la barrière... Et on en rit encore... C'est la première fois que j'essayais de stopper la clope....Au début, je faisais la forte, l'odeur ne me dérangeait pas, je n'avais pas d'envie en sentant une taf me passer sous le nez... Et puis j'ai décider d'arrêter de me mentir ! Ca pue, je supporte plus ceux qui toraillent sous mon nez, et brisent la saveur de mes instants... Donc je suis devenue un peu intolérante... Chez moi c'est dehors... A part ce petit côté maniaque, l'arrêt du tabac m'a apporté un merveilleux voyage à Londres: j'avais honnêtement mis le prix de 2 paquets de clopes dans un cochon rose... soit 11,60 francs chaque jour... Lecochon est mort en février, le voyage a eu lieu et je n'ai pas dépensé la totalité de l'épargne !!! Et en meilleure close, ne plus fumer m'a rendu le goût de mes repas, l'odeur des fleurs, le souffle de mes longues ballades à pieds... mes chiens me remercient chaque jour... Je n'ai pas pris un gramme, parce que je n'ai pas remplacé ma clope par de la bouffe.... *Je suis déjà ronde, alors là-dessus j'avais du être très sévère avec moi-même :o)* Je ne peux qu'encourager ceux ou celles qui me liront de se lancer, sans entendre les railleries des amis qui diront "t'es pas cap"... Il disent ça parce que EUX ne sont pas cap.... Personne y croyait, le 16 mai dernier, personne ! (même pas moi, tellement ça me paraissait insurmontable !!!) Je suis fière aujourd'hui... et je remercie tous les gens de Stop-Tabac, où j'ai pris tout ce qui pouvait me servir pour garder le tracé de la victoire.... Je ne serai jamais plus une non fumeuse, je resterai une ex fumeuse, un peu comme les alcoolique abstinents. Sortir d'une drogue est continuer à vivre, et c'est merveilleux !
Partager sur:     

Anonyme (66 ans)
Nationalité Suisse
08 novembre 2020

Voilà 360 j sans tabac ! Juste le bonheur et ma fierté d’avoir tenu le coup. Pas toujours facile mais quelle délivrance. Merci de m’avoir soutenue. C’est très important pour moi. Triste que vous me laissiez. Les encouragements me sont nécessaires. Merci.
Partager sur:     

Anonyme (53 ans)
Nationalité Suisse
16 octobre 2020

Voilà, il y a 3 mois, j'ai cessé de fumer.🥇🏆 Après 40 ans de tabagisme à raison d'environ 1 paquet par jour... Cela m'a pris en pleine nuit, je dormais mal et mes poumons sifflaient un peu... j'ai dit stop, j'arrête ! Je me suis levée et j'ai cherché des solutions sur internet et ai trouvé l'application stop-tabac.ch. Cela m'a beaucoup aidée. Au début, j'ai essayé des produits de substitution, chewing-gum (pas bon du tout) 😩 et l'inhalateur et ça m'a mieux convenu. Après un mois je n'ai plus eu besoin de ça. Pour tenir le coup, je recommande la méditation ! Etant en surpoids, ma plus grosse angoisse était de prendre des kilos, alors j'ai intégré le jeûne intermittent dans la foulée et j'ai même perdu 2-3 kg et donc tout va bien maintenant 😉 Je souhaite bon courage à tous ceux qui font la tentative d'arrêter de fumer, ca en vaut la peine🤩🤩🤩👍👍👍
Partager sur:     

valerie (50 ans)
Nationalité France
11 avril 2019

Bonjour,moi j'ai commencer a fumer a 15 ans assez peu, puis vers 30 ans beaucoup plus et j'en étais a 2 paquets par jours,assez mince,en 2014 j'ai été opéré d'une double hernie inguinale en ambulatoire,je n'ai pas touché les 2 cigarettes qui étaient dans mon sac,je n'ai pas fumé le jour suivant ni les autres jours,je n'avais pas de manque,pas d'envie,rien et les jours ,les semaines,les mois ont passer c'est comme si je n'avais jamais fumer,bizarre !!!! mon médecin traitant m'a félicité et pense que c'est du au choc, a la peur de l'opération, parce que secrètement quand ils m,ont mis le masque pour m'endormir j'ai penser "si je m'en sort je toucherais plus 1 seule clop" et voilà. Des fois une petite pensée peut tout changer...
Partager sur:     

Michelle (60 ans)
Nationalité Canadienne
08 avril 2018

88 jours sans fumer hier j'ai craquée 1 cigarette oh m'y god ça m'a tellement fait mal quand j'ai inhaler et je me suis même étouffée j'ai voulu essayer et j'ai été puni je ne le referai plus petit accident de parcours je suis vraiment mieux sans fumer 😊
Partager sur:     

liliane (61 ans)
Nationalité belge
14 octobre 2015

Bonjour, Je reviens sur ce site après une dizaine d'années d'absence car j'envisage de le conseiller à un ami. ....oui! dix ans, cela fait dix ans que j'ai arrêté de fumer. J'ai commencé à fumer à 16 ans, et au seuil de la cinquantaine, je me suis inquiétée pour ma santé et j'ai décidé d'arrêter de fumer. J'ai essayé les patch, l'hypnose l'arrêt progressif, l'arrêt groupé avec des amis...j'ai toujours recommencé. La dernière fois que j'ai essayé, la bonne, j'ai découvert de site. Les conseils, les forums, les réponses du doc à mes questions, et surtout le chat. A n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, on y rencontre des personnes forment un véritable groupe d'entraide. Anecdote: j'ai "clavardé" avec une québécoise et lors de mon séjour à Montréal, nous nous sommes rencontrées! Je suis vraiment heureuse d'avoir arrêté, d'avoir rencontré ce site. Merci !
Partager sur:     

Marsyas (64 ans)
Nationalité française
31 octobre 2022

Bonjour. J'ai écrit sur l'ancien site (et pour la première fois de ma vie sur internet), mon expérience de vie avec la cigarette. D'avoir écrit sur ce site m'a permis de faire un pas de plus dans la nécessité pour moi d'arrêter de fumer. J'ai fait la connaissance d'une cigarette vers mes 13 ans, quelques bouffées, puis elle m'a accompagnée avec sa mauvaise odeur. Un arrêt volontaire durant ma grossesse. Et j'ai repris et enfumé, dans la maison, mon entourage trois ans, puis j'ai pris conscience et j'ai fumé à l'extérieur qu'il fasse chaud ou froid. Ma santé, les médecins rencontrés, l'un me disant : "votre corps vous parle, arrêtez de fumer", l'autre de même. Mes problèmes de santé s'accumulent, le dernier spécialiste rencontré me dit après un examen : "il est indispensable pour vous d'arrêter de fumer", ce rendez-vous m'a beaucoup marqué, il est vrai que j'avais de plus en plus de mal à respirer. Bien sûr, j'avais essayé plusieurs fois quelques arrêts dans des temps très courts. J'étais addict. Les méthodes diverses, patch, champix, cigarette électronique... je ne les supportais pas. , j'ai essayé l'homéopathie. J'ai beaucoup surfé pour trouver de l'aide, et, j'ai toujours gardé ESPOIR. J'avais auparavant fait la démarche dans un service d'addictologie, mais la méthode employée dans ce service n'était pas faite pour moi. J'ai beaucoup lu, et relu, presque tous les jours un certain nombre de vos témoignages qui m'ont aidé, tout du moins pour diminuer le nombre de cigarettes. C'est sur ce site que l'un de vous parlait d'un inhaleur. J'ai essayé, mais toujours pas réussi. J'ai arrêté 15 jours avec une séance d'hypnose. Le "hasard" a mis sur ma route un médecin généraliste addictologue. Je remercie la personne qui m'a indiqué ce médecin, elle ne m'avait pas précisé qu'il était addictologue. Beaucoup d'écoute, d'échange, de disponibilité, et, surtout surtout ce qui m'a le plus aidé il ne portait aucun jugement sur mon addiction. A la sortie de la première consultation, à la demande du médecin, j'ai mis à la poubelle les cigarettes qu'il me restait en les détruisant une par une. Il m'a prescrit des pastilles, je n'en supportais qu'une par jour. Un jour, suite à une grande montée de stress, j'ai repris l'inhaleur en plus de la pastille nicotine journalière. Puis, j'ai abandonné la prise de cette pastille pour ne plus utiliser que l'inhaleur. Aujourd'hui, j'ai 64 ans, je ne fume plus de tabac depuis plus d'un an, j'utilise toujours l'inhaleur (une à deux cartouches par jour). L'arrêt tabagique s'est fait dans la douceur, pas de stress, c'est tout ce que j'espérais. Je reviens de temps en temps sur ce site pour lire de nouveaux témoignages, mais surtout retrouver des témoignages de personnes ayant déjà témoignés et, donnant de leurs nouvelles sur leur arrêt et leur santé. Je vous remercie tous pour vos témoignages. Je confirme que mon arrêt tabagique n'a eu que des effets positifs, et, qu'il n'y a pas d'âge pour arrêter de fumer et en trouver bénéfice. Ma prochaine consultation sera pour remercier le médecin addictologue qui m'a accompagné, et, qui est toujours présent si j'en ressentais le besoin. Les félicitations données à chaque rendez-vous m'ont aussi donné le courage nécessaire pour ne plus reprendre de cigarette. Bien sûr me direz-vous, je consomme toujours de la nicotine avec l'inhaleur, mais pour moi vraiment c'est un moindre mal. Si mon deuxième témoignage sur ce site (et le deuxième écrit de ma vie sur Internet) peut être utile à une personne, j'en serai ravie. Mes remerciements à toutes les personnes de ce site.
Partager sur:     

Anonyme (43 ans)
Nationalité Suisse
20 juillet 2020

Bonjour, Après environ 15 ans de cigarette, j'ai arrêté de fumer il y a 2 mois avec le livre de Allen Carr. Il s'est passé un truc fou en moi avec ce livre! Un jour j'ai décidé de lire le livre qui dormait dans ma table de nuit en attendant le bon moment. Quelques jours après, comme indiqué dans le livre, j'ai décidé que c'était la dernière. Et voilà. Fini. Aucune frustration, aucune prise de poids, aucune tentation. La sensation que je n'ai jamais fumé, que c'est une vie antérieure, je regarde les fumeurs comme des extra-terrestres. Je continue à faire les pauses cigarettes avec mes collègues mais zéro envie. Rien. Je vous le conseille!! Au pire c'est le prix du livre et qq heures de perdues à le lire! Belle vie à tous sans tabac!
Partager sur:     

christelle (31 ans)
Nationalité France
26 septembre 2018

J'ai fumé ma première cigarette à l'âge de 12 ans. Puis une de temps en temps jusqu'à l'âge de 18 ans quand j' ai commencé à pouvoir m'offrir mes paquets. A 25 ans, je fumais un paquet par jour. J'avais un petit salaire mais je trouvais toujours de quoi m'acheter ma vingtaine de tueuses. A 30 ans j'ai eu un déclic, j'ai voulu m'en sortir. Cesser de fumer au saut du lit, la première d'une longue série de cigarettes quotidiennes. La cigarette faisait intégralement partie de moi et un jour j'en ai eu assez. Juillet 2017, je me tourne vers la cigarette électronique. D'abord fortement dosée, puis faiblement et enfin j'arrive à ne vapoter que du 0mg, nous sommes en Décembre 2017. Après 1 mois de vapotage à 0mg, une grippe me cloue au lit. Je passe 10 jours sans vapoter. Quand je vais mieux, nous sommes en Janvier 2018. L'envie de vapoter est là mais je tiens bon. C'était il y a 9 mois. 9 mois sans cigarette électronique et 15 mois sans cigarette "classique". Je n'ai tiré que des bénéfices de cet arrêt. Je n'ai pas grossi, j'ai retrouvé un teint de jeune fille et mon application STOP TABAC m'a permis de me rendre compte que j'avais économisé 2925 euros depuis mon arrêt ! J'ai pris la meilleure décision de ma vie, et pourtant j'étais accro ! . Quand j'ai décidé d'arrêter, j'ai regardé les témoignages sur ce site qui m'ont aidée. Je m'étais promis de faire la même chose si j'y arrivais. C'est chose faite, je suis LIBRE après 13 années passée à être esclave de la cigarette.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Fanny (46 ans)
Nationalité Français
10 juin 2023

Mille mercis pour les conseils et le suivi très regulier par mail, façon de rester toujours en lien avec "des personnes qui peuvent aider", étape par étape . Je trouve l'accompagnement bien meilleur qu'en France :conseil médicaux , produits, dosage, stress, santé, hygiène alimentaire, sport, et un forum hyper réactif pour les coups de mous et pour me remonter en cas de rechute..merci a toute la communauté.Je ne vais pas mentir cela m'arrive encore d'avoir envie de fumer , mais c'est si rare que ça me surprend et que je trouve cette idée bizarre...je quitte mon identité de fumeuse avec laquelle j'ai composé quasiment 2/3 de ma vie. Tenez bon, accueillez chaque rechute comme une occasion d'apprendre sur vous et votre rapport au produit, faites vous aider ici il y a de bon conseils, et tout se passera bien!!
Partager sur:     

Anonyme (54 ans)
Nationalité Suisse
19 février 2023

Bonjour, je souhaite partager avec vous mon combat pour l'arrêt du tabac, j'ai 40 ans de fumée derrière moi, je suis épileptique grand mal, et j'ai décidé de prendre le Ziban, au risque de faire des crises, celà m'est égal, celà fait 3 semaines que je prends le médicament, je suis devenue hyper agressive et tant mieux, celà m'a permis de remettre l'église au milieu du village avec mon entourage, j'ai dû resté à un comprimé par jour car j'ai le poids d'un enfant, Je suis impressionnée par l'effet immédiat, je n'ai plus envie de fumer du tout, je suis tellement contente car ça marche, je fumais 2 paquets de cigarettes par jour, actuellement j'ai plus envie du tout, j'ai pris des risques et ce n'est pas fini mais je tenais à préciser que même en étant épileptique, je préfère prendre le médicament qui me permet d'être enfin libre, je respire enfin, et aucune crises est parvenue, rien, le Ziban m'a rendu ma personnalité, mon vrai moi, j'étais beaucoup trop gentille et je me faisais toujours marcher sur les pieds, et bien mon entourage me respecte enfin, car ce traitement m'a permis de me reconstruire mentalement et de ne pas avoir peur de dire non, mon quotidien est le même sauf que je ne suis plus la serpillière de tout le monde, j'ai donc deux effets avec ce traitement qui me permettent enfin de vivre normalement, j'ai bien lu les effets secondaires, mais c'est quoi à côté des effets de la clope ?? Franchement, je m'occupe de ma belle soeur qui a une BPCO stade 4, sous oxygène jours et nuit, elle continue à fumer, moi qui m'occupe d'elle à plein temps, ça m'a fait un déclic, moi j'ai arrêté presque de suite, car plus envie de fumer, et elle...je la regarde se suicider avec le tabac même avec sa BPCO !!! Je n arrive pas à comprendre son état d'esprit mais moi c'est fini cette merde et je me sens revivre, tant pis pour l'agressivité pour les autres, c'est bon pour moi, même mes chiens obéissent enfin, la cigarette avait fait de moi un zombie, le Ziban m'a rendu la vie, voilà mon témoignage, je vais rester à un cpr par jour et je pense arrêter assez vite car pour moi l'effet à été immédiat contrairement à ce qu'il se dit, je suis enfin libre.
Partager sur:     

Sgrelo (76 ans)
Nationalité Française
26 janvier 2022

Je suis vraiment ravie de ce compteur que je consulter régulièrement, je me suis arrêtée de fumer du jour au lendemain, sans aucun subsitutif. Les tentatives précédentes, acupuncture, Ziban, Patch, hypnose n'ont eu aucun résultat. Mille merci
Partager sur:     
Catégories associées:
• Plus de 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Juliet (66 ans)
Nationalité Française
10 juin 2021

J’avais écrit un témoignage le 11 Novembre 2016 pour dire comment j’avais pu arrêter de fumer en passant par le vapotage. J’ai ensuite commencé à diminuer la dose de nicotine de l’e-liquide,progressivement,et deux mois plus tard,c’est à dire en Janvier 2016,j’ai dit aussi adieu au vapotage. Je n’ai plus jamais rien fumé depuis.
Partager sur:     
Catégories associées:
• Plus de 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme (34 ans)
Nationalité Française
28 septembre 2020

J'ai toujours assimilé l'odeur du tabac à mon père. Un père expatrié et absent. Quand on prenait la route l'hivers et qu'il ouvrait la fenêtre malgré le froid et laissait cette odeur s'engouffrer dans la voiture. Ou encore son parfum qui s'y mélangeait. Vers _ ans j'ai commencer à récupérer ses mégots et je collectais le tabac dans un sachet bien caché dans ma chambre. Quand il partait plusieurs mois je sentais cette odeur qui me rapprochait de lui. A 12 ans je me suis forcée, je voulais être fumeuse. A 17 ans je crachais noir le matin. J'avais déjà envie d'arrêter cette drogue. A chacun de mes anniversaires ou nouvel an il s'agissait de ma résolution. A 24 ans je suis partie travailler en Afrique, je pouvais fumer partout des cigarettes à 1€ le paquet et ce jusqu'à mes 29 ans. J'étais très sportive mais au fur et à mesure mon souffle rendait l'activité pénible. J'ai tenté 2 arrêts, chaque fois 1 mois. Il y a 6 semaines de ça, j'ai retrouvé un vieux patch, je me le suis mise et depuis je ne fume plus. Je suis passée à 14mg il y a 3 jours et le sevrage est compliqué à l'endormissement, l'alimentation, la nervosité, j'ai de la peine aussi, mes cigarettes me manquent dans mon inconscient car dans le conscient je n'en veux plus, je suis fière de moi. Mais ce sevrage est difficile et me fait douter. Quand cela va t-il s'arrêter ? Quand en toute honnêteté avec moi même je ne serai plus fumeuse ? Je sais que cela va prendre du temps. Mais c'est compliqué. Je vous remercie pour vos témoignages, ils m'aident à comprendre ce démon sous ses airs d'anges. On va le combattre, on est plus fort que lui. Il faut comprendre que malgré la difficulté et l'impression d'être à bout de nerf, de fatigue on garde le cap. C'est le début d'une nouvelle vie. (J'ai publié ce témoignage sous "extraordinaire" car il parle de l'assimilation de l'odeur du tabac à la présence du père. C'est une image très forte. Cela dénote la complexité de la relation du fumeur au tabac. Bravo pour votre courage! Evelyne Pour l'équipe stop- tabac.ch)
Partager sur:     

Anonyme (56 ans)
Nationalité Francaise
13 novembre 2019

Bonjour J ai 56 ans j ai fumé pendant 28 ans il y a 52 jours aujourd’hui hui que j ai arrêté de fumer, sans aide juste une grande volonté de ne plus me pourrir la santé et de dépensé mes sous pour ça , je ne peu même pas dire que j ai un grand manque et si il m arrive d avoir envie de fumer je fait autre chose je m occupe l esprit , par contre je me suis mise à faire du sport régulièrement se qui m aide énormément et qui me fait un bien fou , course à pied, marche rapide , danse , cardio et pilate un truc de fou mais j adore , je me sens si bien après tout ces effort qu' en faite vous n avez même plus envie de cigarette , je sais que je ne reprendrais plus jamais cette drogue , et je suis fiere pour la maman que je suis et surtout la mamie , voilà je vous souhaite à toutes et à tous bonne continuation et volonté, mais ça en vaut la peine , croqué la vie à pleine dent , PS je n ai pris aucun poids depuis donc motivation Bonne chance à vous tous
Partager sur:     

LACOUR (39 ans)
Nationalité Française
20 avril 2007

bonsoir, J'ai arrêté de fumer depuis trois mois, sans y croire depuis plusieurs tentatives et puis voilà ce soir je replonge, en réalité depuis dimanche dernier. Un cigare histoire de dire j'ai le droit à un petit plaisir..alors que je sais d'avance qu'un petit plaisir est un début vers une nouvelle dépendance, mais enfin je recommence jusqu'à ce soir à nouveau trois cigarettes ! Je me sens nulle, sans volonté, triste et réaliste en me disant "mon Dieu qu'ai je fais"..tant de souffrances après tous ces mois d'arrêt pour en revenir à la case départ...pourtant je le savais après toutes ces tentatives d'arrêt et cette solitude à nouveau qui ressurgit comme un refrain d'une chanson chanté et oublié...alors je tente de me déculpabiliser mais je sens qu'il est déjà trop tard que j'ai renoué avec le diable en personne j'ai vendu mon âme au vendeur de prison et je sais qu'il faut tout recommencer et que cela vient que de mon fait celui de ne pas avoir resisté...je me sens triste, seule, abandonnée, comment ai-je pu après toute l'énergie que j'ai instauré pour arrêter ? Vraiment je ne pensais pas être tant imprégnée, misérable face à une telle servitude. J'aimerai avoir un ami ou une amie à qui en parler, mais à ces moments là que de solitude ! vraiment quelle dérision de croire que j'étais plus forte que ma dépendance, alors on n'aura beau me dire qu'il ne faut pas se maudire, être tolérant envers soi même, pour moi cela est de la foutaise, je ne vois plus comment me sortir de cette drogue qui profite de mes faiblesses et de mon abandon. J'étais certaine d'avoir esquivé tous les pièges et me revoilà encerclé, dépendante de ce poison.... pourtant je savais mieux que personne que même une taffe de cigarette me menerait en enfer, voilà je vais devoir avec tristesse recomposée avec cet éternel duel : arrêter ou me comporter comme un ex-fumeur jamais affanchi réellement. bon courage à tous et à toutes...
Partager sur:     

Marie (29 ans)
Nationalité Française
18 mai 2010

Bonjour, J ai 6 ou 7 ans, comme tous les matins je me réveille avec cette odeur nauséabonde qui me répugne. Direction la cuisine pour petit déjeuner et toujours cette même question : "Maman, d' ou vient cette odeur infâme? "Avec un sourire que je devines honteux, elle me répond: "c'est ma cigarette ma chérie". Je me promets de ne jamais fumer et déclare ouverte la guerre contre cette indésirable qui intoxique ma mère. J ai 15 ans; c'est la récré, une amie me tend une cigarette, je l accepte et réessaie malgré le dégoût ressenti. Je me limite à 2/3 cigarettes par jours. J' ai une nouvelle meilleure ennemie, que je crois être ma nouvelle meilleure amie. J ai 19 ans, je passe le Bac et désormais je ne suis plus seule ( pourtant j' ai des amis ); j ai ma meilleure ennemie, avec elle dans mes poumons le stress disparaîtra; c'est une évidence! Je fume 1 paquet par jour. De même pour les examens à la Fac, les divers entretiens etc... Aaaah, heureusement qu'elle est à l 'intérieur et près de moi, comment ferais je sans elle??? J' ai 24 ans, je suis bloquée dans un ascenseur, l' intervention des pompiers dure plus d' une heure, je m' impatiente, mais me rassure car ma meilleure ennemie ne me laisse jamais tombée, je m' en allume une sous les regards d' incompréhension, d' accusation ou encore de pitié des pompiers. De toute façon, je les emm..., ce sont eux les cons!!!! J ai 29 ans, je suis hospitalisée pour une pyélonéphrite aiguë (grosse infection d'un rein). Nous sommes le 24 Avril, la douleur est tellement intense que je n'ai ni la force, ni l'envie, ni le droit de bouger de mon lit. J essaie malgré tout de me rapprocher de ma meilleure ennemie, mais là, pour la 1ère fois je la trouve répugnante; sentiment total d' incompréhension. Je réessaie quelques jours plus tard, mais dès son entrée en moi, je tousse, je crache et me saoule à l' eau pour faire passer le dégoût. Serais je en train de perdre mon ennemie de longue date??? Le 2 Mai, je sors enfin de l' hôpital. Le 3, je fume 8 cigarettes, le 4, j en fume 5. Mes rêves sont de devenir infirmière et d' être entourée d' une famille soudée et heureuse. J' ai un compagnon depuis plusieurs mois avec qui j' envisage sérieusement l' avenir de mes rêves. Je ne suis plus seule, je n' ai plus besoin de cette amie tueuse de rêves, tueuse tout court. Nous sommes le 5 Mai, j' arrête de mourir pour recommencer à vivre. Mes amies, ma famille et mon compagnon me soutiennent dans cette démarche; Les patchs m' aident ainsi que vos témoignages. Alors, OUI ce n' est pas facile, OUI je crise pour rien, mais ce n' est rien d' insurmontable. Le sentiment de fierté éprouvé à l' idée de ne pas être obligé de tenir le même discours à mes futurs enfants que celui de ma mère (elle ne fume plus depuis 20 ans) vaut toutes les meilleures ennemies du monde!! Avec le recul, et en relisant ce témoignage, je ris de ma connerie et suis persuadée que je suis plus forte que des composés chimiques en robe blanche. A bon entendeur, salut... PS: Vos réponses vont continuer à m' aider et j' en ai besoin. Merci.
Partager sur:     

DIANE (47 ans)
Nationalité CANADIENNE
29 août 2006

j'AI CESSÉ DE FUMER DEPUIS LE 28 JUILLET 2006. j'AI ENCORE BEAUCOUP DE DIFFICULTÉS AVEC MES ÉMOTIONS ET JE DIRAI MÊME QUE CELA EST PIRE. jE CONNAIS TOUTES LES BONNES RAISONS POUR ARRETER ET JE SUIS FIERE DES EFFORTS QUE J'AI DÉPLOYÉS JUSQU'ICI. MAIS JE VOUS AVOUERAIS QUE JE SUIS SUPER DÉPRESSIVE DEPUIS 10 JOURS. JE FICHERAI TOUTE MA VIE EN L'AIR TRAVAIL, MAISON, CONJOINT ET BEAU-FILS POUR PARTIR AU COSTA RICA SEULE PENDANT 1 MOIS. JE SUIS INTOLERANTE A LA MAISON ET JE RENDS TOUT LE MONDE MALHEUREUX. J'AI PEUR DE BRISER MA FAMILLE MAIS C'EST PLUS FORT QUE MOI. JE PORTE DES PATCH NICODERME POUR CESSER DE FUMER MAIS ON DIRAIT QUE CELA N'AIDE PAS POUR MON MORAL. QUE FAIRE, PRENDRE DES ANTI-DEPRESSEURS ? JE NE SUIS PAS CHAUDE A CETTE IDEE, MAIS PAS DU TOUT. JE NE VEUX SUROUT PAS RECOMMENCER A FUMER MAIS ESCE QUE CELA ME COUTERA MON COUPLE ? UN JOUR A LA FOIS QU'ON ME DIT, MAIS JE SUIS DE PLUS EN PLUS TRISTE. EST-CE QUE QUELQU'UN PEUT MAIDER A PASSER A TRAVERS CETTE PHASE. SI VOUS VOUS RECONNAISSEZ ET QUE VOUS AVEZ RETROUVE LE GOUT DE VIVRE, S.V.P. ECRIVEZ LE POUR M'ANCOURRAGER. MERCI DIANE.
Partager sur:     

Judith (28 ans)
Nationalité française
01 novembre 2008

J'ai arrêté de fumer depuis 52 jours grâce au livre d'Allen Carr tout d'abord puis ce site internet. Jeune maman et malgré le fait que je trouvais l'idée de fumer ridicule et sans intérêt, malgré les maux de tête violents, la léthargie et déprime du sans souffle rien ne bouge (attention 17 ans d'addiction). Il a fallu attendre que mon ami déclare une violente allergie au tabac pour que je cesse ENFIN de fumer, qu'elle saloperie, la clope ! J'ai couru tous les jours la première semaine de sevrage (sans subtituts). Les 3 premiers jours sont les plus durs. Irritable, je cherchais n'importe quel prétexte pour me jeter sur une cigarette, mon ami non-fumeur ne comprenait pas la difficulté de mon arrêt, le troisième jour j'ai craqué et j'en ai grillé une, qui m'a fait un bien fou trente secondes, puis la crise de larmes, puis la résignation : Je veux être maître de ma vie, j'y arriverais coûte que coûte. Résultat, pas une seule cigarette depuis, pas un kilo en plus, une pêche d'enfer, la migraine a disparu comme les odeurs de tabac froid. J'ai de temps en temps envie alors je me tourne vers ce site ou je regarde la liste des motivations qui m'ont poussé à arrêter, ou je pense au fait que les compagnies de tabac ont bien entourloupé tout le monde avec leur merde et rien que d'y penser cela me redonne des forces, je veux être LIBRE. Parfois aussi, une déprime me gagne, quelle saloperie quand on y pense mais je me raisonne, je sais qu'il s'agit de mon accoutumance, qu'il faut du temps pour s'en débarrasser, mais chaque jour je suis plus forte, j'y ai déjà beaucoup gagné, je passe beaucoup plus de temps à m'occuper de moi, à lire, à danser, à courir sans m'essouffler, qu'elle joie !
Partager sur:     

Laure (23 ans)

09 septembre 2013

J'écris ce témoignage pour célébrer mon année sans tabac. Je fumais un paquet par jour voir plus selon les occasions depuis bientôt 10 ans. J'ai arrêté du jour au lendemain sans aucun substitut et aujourd'hui je pense être sur la bonne voie. Ce n'était pas mon premier essai mais cette fois, ce qui a changé et m'a permis de réussir cet arrêt est que j'ai réussi à m'imaginer non fumeuse pour le reste de ma vie ce qui n'était pas chose facile. Lors de mes autres arrêts, je m'étais toujours dit que je pourrai refumer quelques cigarettes en soirées quand je serai moins accro et donc je m'interdisais de fumer seulement pour mieux le faire plus tard. Proposeriez-vous un verre à un ancien alcoolique? Certainement pas et pourtant la cigarette est une addiction au même plan que peut le devenir l'alcool alors pourquoi ne nous comportons-nous pas de la même manière face à ces deux substances? Aujourd'hui, je suis prête à ne plus jamais, ho grand jamais, toucher à une seule cigarette jusqu'à la fin de ma vie et c'est ce qui me permet aujourd'hui de fêter ma première année sans tabac. Ça a été dure au début. Ni mon psychisme ni mon corps n'ont accepté cet arrêt. Les premiers mois, j'ai eu sinusites, bronchites, fatigue, boutons, énormément de tristesse et de désespoir et deux kilos en trop. Autant dire que les bienfaits promis se sont fait attendre pour pointer le bout de leur nez. Il faut du temps pour réapprendre à vivre sans cigarette et à changer ses habitudes. Pour moi, c'est seulement au bout de 6-8 mois que les choses ont été plus faciles et aujourd'hui je ne pense presque plus à la cigarette. J'ai plusieurs fois faillit reprendre non parce que l'envie était trop forte mais simplement parce que les sacrifices étaient trop éprouvants. Tout ceci pour dire à ceux qui ont arrêté il n'y a pas longtemps ou justement il y a un petit moment déjà mais sans voir le bout du tunnel qu'on finit par aller mieux et que le combat devient plus facile de jour en jour. Pour finir, une petite liste personnel de pourquoi arrêter de fumer pour ceux qui l'auraient peut être déjà oublié : plus (beaucoup plus) d'argent, vaincre la dépendance, éradiquer l'odeur de la cigarette et la mauvaise haleine, améliorer la respiration, diminuer le risque de cancer, améliorer l'aspect de la peau, augmenter la confiance en soi, être libre simplement de ses gestes (n'avoir pas besoin de sortir en permanence pour fumer, ne plus prévoir en avance le nombre de paquets à acheter, ne pas être stressé quand il n'y a plus de cigarettes), et tout bonnement arrêter une habitude qui n'apporte rien. Bon courage à vous, et si vous me lisez aujourd'hui c'est que vous êtes déjà sur la bonne voie car chaque petit pas compte.
Partager sur:     

LAURENCE (42 ans)
Nationalité FRANCAISE
08 juillet 2005

j'ai commencé à fumer vers l'age de 15 ans environ très bêtement comme tous les jeunes de cet âge. J'ai trois filles magnifiques et je n'ai pas arreter de fumer pendant mes grossesses simplement j'avais considérablement diminué. Ce n'est pas ma première tentative d'arret c'est la cinquième mais là je suis vraiment déterminée du moins je l'espère car je ne veux pas mourir et laisser ma famille... Depuis vendredi dernier je ne fume plus je suis allée dans une soirée samedi et ca a ete l horreur en plus j'étais en face d'une amie (très grosse fumeuse....) J'ai tiré une taffe histoire de voir mais j'avais mon patch; mon mari me surveillait donc j'ai stoppé net depuis je n'ai pas refume C'est très dur on dirait qu'il faut réapprendre à vivre chaque moment de ma vie etait rythmée de telle ou telle facon la je dois trouver un substitut à la cigarette et la c'est dur. en plus au boulot mon chef fume comme un pompier et je sens cette odeur mais je crois bien que c'est à cause de l'odeur que j'ai souhaité arreter; je ne supportais plus cette odeur sur moi mes cheveux mes mains mon teint fracassé. Points positifs : un meilleur sommeil (je garde le patch la nuit ) et je suis à 14mg je suis moins fracassée quand je me réveille je sens toujours bon c'est divin par contre j'ai des moments d'angoisse après le repas et je ne supporte pas de rester chez moi. j'aimerai avoir des témoignages d'autres personnes pour connaitre leurs angoisses et leurs craintes le poids pour l'instant ne me tracasse pas trop car j'ai vraiment envie d'être libre de cette tueuse --------------------------------------------- ----------------------------------- Informations à son sujet: j'aime beaucoup le ski, je ne suis pas très sportive mais très active flaner faire les boutiques sortir danser et profiter de la vie avec mes filles
Partager sur:     

Virginie (23 ans)
Nationalité Suisse
14 mai 2004

Voilà pfff, cela faisait trois semaines que j'avais pas touché une cigarette! Je m'étais faite une prommesse, après un check-up complet chez le médecin de définitivement stopper cette m.... de drogue. Mais je n'ai pas réussi à tenir... Comment arriver à m'expliquer que moi qui est arrêté d'autres drogues bien plus "dures" puis-je ne pas y arriver?? Comment ne pas m'en vouloir d'être aussi faible alors que par le passé j'ai été aussi forte??? Je n'ai aucune solution miracle, la clope est sournoise, bien plus que je ne l'avais jamais imaginé. Maintenant que faire? replonger comme avant sans me poser de question ou me dire que c'était juste un petit écart de rien du tout, que ce n'est pas une clope qui fait de moi à nouveau une fumeuse!!??? La seule réponse que j'ai à ce moment même, c'est que je ne déprime pas moins qu'avant, je ne me sens pas mieux. En plus, j'ai les doigts qui puent, un goût absolument indescriptible dans la bouche et la tête qui tourne. J'avais toujours pensé que le jour où on décide d'arrêter rien de plus facile ERREUR GRAVE ERREUR
Partager sur:     

camille (52 ans)
Nationalité française
09 août 2010

Le problème avec le tabac est que les dégats qu'il cause ne se voient pas. En effet, nous ne pouvons voir nos poumons se remplir de goudron, nos veines se boucher, etc... Si l'on me disait "tiens, prends ce pistolet et tires toi une balle dans le coeur" j'aurais tellement peur que j'en prendrais mes jambes à mon cou et me sauverais le plus que je peux! Mais le tabac, rien ne se voit. Je n'ai pas vu non plus les poumons de mon Frère s'abîmer, mais j'ai vu le chagrin et l'anéantissement d'une Mère face à la mort de son fils bien aimé. En rédigeant ce message, je m'apperçois que mon Frère a lui aussi laissé son témoignage car sa date de naissance son n°de tél s'affichent dans les petites cases, je serais heureuse de le lire, une façon pour moi de me souvenir de lui, il est décèdé en mai 2009, il s'appelait Richard. Aux jeunes adolescents, ainsi qu'aux autres, ATTENTION DANGER n'y touchons pas, n'y touchons plus
Partager sur:     

Carole (54 ans)
Nationalité canadienne
14 décembre 2010

Ca fait tellement de fois que j'essaie d'arrêter de fumer que je ne les compte plus ...mais cette fois ci c'est la bonne . Le 11 decembre 2009, le médecin disait a mon père qu'il ne lui restait plus que 2 mois a vivre...il est decede le 23 fevrier 2010. Alors en memoire de papa et avec son aide , moi cette année le 11 decembre 2010, j'ai décidé que je voulais prolonger ma vie, ou du moins mettre les chances de mon côté, pour une meilleure qualité de vie ... Papa avait été fumeur durant 50 ans, il a dû être opéré du coeur , ensuite il s'est fait enlever un poumon complet du au cancer et 1 an plus tard il decedait du cancer du cerveau ...tout ca probablement grace a la cigarette ...je ne mettrai pas ma photo mais celle de mon pere qui je sais , serait tres fier de promouvoir l'arrêt du tabac.
Partager sur:     

Lydia (28 ans)
Nationalité Française
29 janvier 2013

Bonjour à tous, Voilà on y est ça y est, 3 ans oui oui, 3 ans que j'ai dit stop le 1er fevrier 2010, incroyable non? j'ai 28 ans et j'ai commencé à l'âge de 13 ans puis confirmé à 15 ans en tout un peu plus de 10 ans à fumer!! je voulais dire merci à ce site génial que j'ai squatté des heures durant!! juste pour vous dire que c'est possible, lisez allen care c'est top ce livre ça aide vraiment je trouve, biensur j'ai continué à fumer à la fin du livre mais au moins j'avais compris l'illusion de la clope, tout ces médias qui nous aident pas à arrêter, ils en font une montagne insurmontable faut arrêter ils aiment biens qu'on leur remplis les caisses!! ne compte que sur toi même pour arreter et dis toi que c'est pas insurmontable c'est eux qui te mettent ça en tete!! du coup rien que pour arreter tes déjà en trans!! prend des patchs et des gommes ça aide aussi, va courir c'est trop bien, et dis toi que le temps passe vite, trop vite, donc avec ou sans ton arret le temps passera, autant que tu sois dans le bon wagon à l'arrivé!! c'est ce que je me suis dis, et dis toi que le manque passe c'est vraiment les premiers jours l'on y pense mais après jour après jour on est tellement contents!! moi je laisse les fumeurs fumer dans ma voiture et je les accompagne dehors au bureau pour fumer, tous mes amis sont fumeurs, je n'ai rien changé à mes habitudes de la vie, je fais tout comme avant même mon café le matin je le prend, sauf que j'allume pas une clope pour 2 minutes c'est tout, le soir avant le film je prend toujours mon thé sauf que je sors pas pour fumer, en vacance sur la plage le soleil brille autant sauf que je dors mieux sur ma serviette, le matin c'est pareil je suis toujours en retard sauf que j'ouvre pas les vitres de ma voiture!!! c'est tout avec mes copines on discute toujours autant autour d'un bon coca ligth sauf que j'ai rien à la main... oui vraiment la vie est pareil toujours aussi belle!! sauf qu'on respire mieux, qu'on fait plus de sport, mais on aime toujours autant se poser au resto ou sur la terrasse, dite vous que c'est pas la clope qui fait les bons moments c'est vous qui passez un bon moment, elle n'améliore en rien mais vraiment en rien tous ces plaisirs de la vie!!! faut juste passer le cap du manque physique qui est un peu douloureux mais tout passe!! après c'est que du bonheur... la vie est belle et passe trop vite... pensez y... je vous souhaite de réussir sur le chemin de la guérison, de dégager tous ces nuages gris et de découvrir ce beau ciel bleu....Bon courage ce n'est pas une montagne c'est vous qui en faîte une montagne!!!!
Partager sur:     

Mélanie (35 ans)
Nationalité Suisse
23 juin 2009

Bonjour à tous (témoignage dans le but de motiver les fumeurs qui n'arrivent pas ou ne se décident pas à arrêter), J'ai fumé de l'âge de 16 ans à 35 ans env. 1/2 paquet par jour (sauf durant les soirées arrosées, alors là les 2 paquets y passaient !!) et j'ai arrêté le 2 juin dernier grâce notamment au livre d'Allen Carr, "la méthode simple pour arrêter de fumer" qui ouvre les yeux sur d'autres horizons que les fameux "fumer est mauvais pour votre santé" etc. Je tiens également un journal de bord où je note différents états d'âme et surtout ce qui m'aide beaucoup c'est que je vais sur des sites (comme celui-ci par ex.) où il est expliqué en détails exactement les dégâts que provoque la cigarette sur l'intérieur et l'extérieur du corps. A contrario, se renseigner sur ce que l'arrêt de la cigarette contribue à améliorer au jour le jour dans le corps est également très motivant, à savoir que l'on retrouve très vite du souffle, de l'odorat, une peau plus nette et des dents plus blanches, cela se voit très vite (je témoigne) ! Au bout de quelques heures seulement le taux de nicotine diminue dans le sang jusqu'à disparaître complètement, bref il y a des tas de choses positives qui se produisent quand on arrête de fumer ! Il n'est jamais trop tard et pour l'instant (je touche du bois) j'y arrive sans substituts ni médicaments car tous les jours je me dis que c'est la meilleure chose et la plus censée que j'aie faite dans toute ma (pas encore très longue) vie !! Ah oui, j'oubliais, super important : L'ARGENT ! Qu'est-ce que c'est agréable d'ouvrir son porte-monnaie et se dire qu'on a toujours plein de monnaie sur soi ! En plus je n'ai pas pris de poids, le fait d'arrêter provoque aussi l'envie de manger plus sainement et il est tout à fait possible de ne pas prendre de poids, ou très très peu, n'ayez pas peur de ça. J'ai deux enfants (2 et 10 ans) qui ont encore énormément besoin de moi, je n'ai pas envie de dépérir devant eux, en espérant que cette cochonnerie n'ait pas provoqué trop de dégâts en moi et qu'ils soient réparables ! BONNE CHANCE A TOUS LES FUTURS EX-FUMEURS ça en vaut vraiment la peine.
Partager sur:     

Anonyme (60 ans ans)
Nationalité Française
12 février 2007

Bonjour, je fume depuis + de 40 ans. Depuis une semaine j'ai décidé d'essayer d'arrêter de fumer mais... doucement , je fumais environ 25 cigarettes/j, et j'ai acheté des gommes : dès le premier jour, j'ai vu un progrès, 8 cigarettes/j, le 2e jour : idem, et les 3, 4, 5, 6 jours, petite rechute, 11 cigarettes/j. Je me suis dit, que je ne pouvais pas en rester là, depuis ce matin, je n'ai fumé "que" 5 cigarettes. Je n'exagère pas sur le nombre de gommes 3 maximum/j (il parait que je peux en prendre 30/j) je ne veux pas remplacer les cigarettes par des gommes, les gommes sont en vente libre en pharmacie : en fait c'est de la nicotine, mais ce n'est pas la nicotine qui est dangeureuse, c'est le goudron, donc pour l'instant je vis avec mes gommes, ce n'est pas facile, j'ai des moments de manque et je résiste, au pire, je pourrais reprendre une gomme puisque c'est fait pour çà. Pour moi, le jour où je ne fumerai + ce sera extraordinaire, je ne cherche pas d'excuses mais je précise que je suis agoraphobe, c'est une maladie terrible, je m'explique : cela fait 25 ans que je ne sors pas de chez moi, donc je ne profite que de ma terrasse, je suis incapable de sortir dehors. Donc, si j'arrête de fumer : je me sentirai libre au moins vis à vis de la cigarette.
Partager sur:     

laurence (59 ans)
Nationalité francaise
15 janvier 2017

Bonjour à tous, Je vais avoir 59 ans dans quelques jours et j'ai arrêté de fumer le 14 novembre 2016. Je me souviens avoir commencé à fumer lorsque j'étais en classe de seconde. Au début, je n'étais pas une grande fumeuse, je n'avais pas les moyens et je me contentais des cigarettes infâmes fournies gracieusement par mon frère qui était militaire. A partir de ce moment, je suis devenue fumeuse "sporadique", le genre de fumeuse chanceuse qui peut fumer à l'envie, c'est à dire que je pouvais rester sans fumer, pendant des jours voir des semaines et puis je pouvais fumer un paquet entier en compagnie d'un fumeur ou selon certaines situations comme un concert, un week end entre amis, une sortie. j'étais devenue fumeuse accompagnatrice, celle qui ne fume qu'avec les autres. et là, je pouvais fumer à l'excès pendant deux jours et puis plus rien pendant des semaines. En gros, j'avais deux facettes, la non fumeuse qui ne pensait jamais à la cigarette ou la grosse fumeuse qui vidait un paquet dans la journée ou la soirée ! du coup, cette particularité m'a beaucoup servie lorsque j'ai attendu mes enfants car je n'ai eu aucun mal à stopper la cigarette durant ma grossesse et même plusieurs mois après l'accouchement et naturellement en aucun cas en présence de mes enfants. Ce comportement de fumeuse à deux faces a duré des années, pratiquement jusqu'à 45 ans. et puis, j'ai été hospitalisée en maison de repos pour une grosse fatigue et état dépressif. et c'est là que j'ai commencé à fumer selon l'expression que je n'ai jamais comprise, "comme un pompier". hospitalisée 10 jours, je fumais toute la journée, on nous ravitaillait en cigarettes le jeudi et on arrivait rarement jusqu'au jeudi suivant, la jonction était très dure. c'est donc tout simplement à l'hôpital que je suis devenue fumeuse accroc. a partir de là, je me suis mise à acheter mes cigarettes par deux paquets. Il me fallait en gros 2 jours et demi pour les fumer. Étant une très petite dormeuse, levée régulièrement entre 2h30 et 4h du matin au plus tard, je fumais surtout la nuit, une cigarette derrière l'autre. parfois je me faisais avoir et là je paniquais, je fouillais partout pour trouver une clope oubliée dans un coin. et ces jours là, à 6h30 le matin, j'attendais l'ouverture du tabac. et le cumul incohérent ne me faisait pas peur, on dit que les sportifs ne fument pas, et pourtant pendant 10 ans, j'ai pratiqué le sport à grosse dose, entre 8h et 10 h par semaine, et après chaque cours, je sortais fumer une cigarette. je tiens à ajouter que je n'ai jamais ressenti d'essoufflement particulier ou d'obstruction à une activité physique, j'étais infatigable et pouvais enchainer plusieurs cours de cardio à la suite. j'ai finalement arrêté le sport à cause d'une fibromyalgie. cependant je suis restée grande fumeuse et il ne se passait pas une semaine sans qu'on me dise d'arrêter de fumer car cela allait me rendre malade, me faire mourir. mes amis et ma mère naturellement, enfin tout le monde me conseillait d'arrêter car pour eux je fumais beaucoup trop. et là, j'affirme que je n'ai jamais décidé d'arrêter de fumer, c'était un plaisir immense dans ma vie, j'aimais ça et je ne ressentais aucun besoin de réduire ma consommation. la maladie, les photos, ça ne me faisaient rien, aucune réaction négative, aucun remord, je me sentais bien en fumant et les conséquences ne m'importaient aucunement. et puis voilà, au mois de novembre dernier, j'ai eu quelques soucis familiaux, j'ai replongé dans la dépression et le médecin m'a ordonné un arrêt de travail de 15 jours. Pendant cette période, je suis tombée en panne de cigarettes, c'était un vendredi vers 17 h. n'étant pas particulièrement en forme, j'ai décidé de m'en passer et d'attendre le lendemain pour aller en acheter et je m'en suis très bien passé, à tel point que le lendemain matin, j'ai repoussé le ravitaillement (par deux paquets comme je disais) à l'après midi et puis le soir est venu et je me sentais fatiguée pour sortir, j'ai décidé de repousser au lendemain matin, sachant que le dimanche, tout est fermé l'après midi pourtant, je n'ai pas ressenti un besoin extrême, j'ai encore repoussé au lendemain et au final et à mon grand étonnement, je n'ai jamais repris. ce qui est bizarre en fait, c'est que je n'étais pas dans l'optique de l'arrêt, même pas dans l'optique de la réduction, fumer était un plaisir auquel je tenais et du jour au lendemain, sans même m'en apercevoir, je suis devenue non fumeuse. L'envie s'est arrêtée comme par magie. On m'avait dit que pour arrêter de fumer, il fallait en avoir envie, un peu comme pour maigrir. mais moi, je n'en avais pas du tout envie, ça s'est imposé à moi et ce qui est extra, c'est que voir les autres fumer ne m'incite pas à reprendre. j'ai tenté une cigarette à Noël mais je n'ai pas pu la finir, et j'ai perdu totalement les gestes et la routine qui vont avec la cigarette. Jamais au téléphone sans une clope, la cigarette dès que je me lève, la cigarette à la sortie du train sur le trajet pour aller au boulot. Plus rien. Alors tout ça, c'est le rêve de tous fumeurs, j'imagine mais le rêve ne serait pas cauchemardesque si je ne grossissais pas à vue d'oeil. je ne me suis pas pesée cela m'épouvante, mais je pense avoir pris entre 3 et 5 kg depuis le 14 novembre. Je tiens à préciser que je ne suis pas une grosse mangeuse et que je n'ai pas changé mon alimentation depuis que je ne fume plus. et comme je ne suis pas une grosse mangeuse, je suis un peu paniquée car il m'est assez difficile de réduire mon alimentation pour perdre du poids. Je me donne quelques temps mais si je continues à grossir je pense que je vais finir par reprendre volontairement et ça m'ennuie beaucoup. J'ajoute que j'ai acheté une cigarette électronique et que je ne m'en sers pas. c'est même assez curieux car je ne déteste pas, j'ai juste pas envie. Si on m'avait dit que j'arrêterai de fumer du jour au lendemain sans aucun souci, mise à part la perte de poids, je n'y aurais jamais cru car ce n'était pas du tout dans mes projets. j'ai toujours dit que j'aimais fumer et que je prenais tous les risques qui vont avec. Mon gros souci en ce moment, c'est la prise de poids, je suis une ancienne anorexique et je vais avoir du mal à assumer une prise de poids, c'est certain.
Partager sur:     

Lydia (25 ans)
Nationalité Française
16 février 2010

Bonjour à tous, cela fait 15 jours que je visite régulièrement le site et j'ai lu pas mal de témoignage, vous comprendrez aussi que cela fait 15 jours que elle et moi c'est terminé, je voulais pas écrire de suite car j'ai déjà fait 3 tentatives sans succès l'année dernière et cette fois ci je savais dès le 1er jour que c'était la bonne j'avais besoin de mon allié le temps pour le prouver, mon histoire avec elle a commencé il y a plus de 10 ans et oui j'ai commencé à l'âge bête 13 ans et elle ne m'a plus quitté, on pouvait me raconté tout sur elle, des choses pas bien sa rentré d'une oreille et sa ressortait aussi tôt c'est dingue ce que l'on peut être naïve, je me disais avec moi c'est pas pareil je fume pas beaucoup 5 à 7 par jour jamais plus. Puis un jour c'était l'année dernière début 2009 j'ai commencé à doutais d'elle, elle me rendait laide, oui elle me voulait du mal à moi, celle qui lui a toujours juré fidélité, elle a commencé à attaqué mes gencives qui sont rapidement devenu noires, mes dent qui fonçaient de jour en jour et ma bouche qui elle était noire, mon teint lui n'en parlons pas!!! alors sa a fait comme un déclic, j'ai commencé à enquêter sur elle j'ai acheté Alen C. Puis tous les jours je regardais bien avec mes yeux (heureusement elle ne m'a pas rendu aveugle) les dégâts qu'elle faisait sur moi. Je ne supportais plus. Alors j'ai arrêté et comme tout le monde la première fois je suis retourné vers elle et c'était reparti elle m'attaquait de plus belle elle n'avait aucune limite, elle me voulait du mal elle était jalouse de ma beauté de mes belles dents elle n'avait qu'un seul bute me tuer à petit feu et sa je l'avais bien compris cette fois une course contre la montre c'était engagé contre elle comment me débarrasser d'elle, tous les jours j' allais voir des images choc sur Internet, je lisais tout contre elle et ce soir là j'ai dis stop pour de bon je l'ai tué avant qu'elle me tue, elle me connaissais mal, j'avais plus d'un tour dans mon sac, j'en savais trop sur elle, je suis trop forte pour elle, elle ira salir d'autre bouche, envahir de fumé d'autres poumons, créer des cancers sur d'autres personnes mais pas sur MOI!!!!! Bon courage à vous si vous aussi vous avez ouvert les yeux!!!!
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

cécile (45 ans)
Nationalité française
30 juin 2009

J'ai commencé à fumer vers 14 ans, après 30 ans à me consumer à petit feu, et après 3 tentatives d'arrêt avec patchs(1 an, 3 ans et 1 mois) aujourd'hui je stoppe seule.J'ai eu très peur de ne pas y arriver, alors je l'ai dit à tout mon entourage, écrit sur Facebook et tout le monde me soutient. En cherchant des motivations sur internet, j'ai trouvé ce site et j'avoue qu'il m'aide énormément. Je pense que je mérite ce divorce avec la cigarette et c'est parce que je m'aime que j'arrête. Aussi parce que mon fils aîné, qui me fait la guerre depuis des années, m'a dit il y a quelques mois : " Maman je n'ai pas envie de venir te voir à l'hôpital un jour en train de mourir d'un cancer du poumon ou de la gorge, je ne veux pas que tu meures trop vite, pense à nous" Ses paroles m'ont trotté dans la tête et je pense qu'elles furent le déclencheur. Personne ne mérite un cancer, personne ne mérite d'être esclave, personne ne mérite de voir un de ses proches souffrir et mourir. Cela fait 8 jours que je me suis libérée, je suis fière de moi et j'y crois et en fait pour moi c'est moins difficile que je ne le pensais ( quand j'ai trop envie de fumer, je mets une cigarette dans ma bouche et j'attends que l'envie passe, hier je ne l'ai fait qu'une seule fois) A tous ceux qui veulent arrêter allez, courage vous le valez bien lol Cécile
Partager sur:     

France (56 ans)
Nationalité Française
12 août 2014

MERCI , votre aide m a été précieuse !!! Le 15 août 2014 , cela fera 2 ans que j ai décidée d arrêter de fumer , du jour au lendemain !!! Après plusieurs tentatives : 1 an , 6 mois , 15 jours , 3 jours , a nouveau 9 mois et puis aussi quelques heures , ou j avais dit c est fini ! Et puis non , désolée .... Et la ,ça a marché , bien sur , la volonté , et dans la colonne ne surtout pas "oublier":cette odeur épouvantable , comment deranger les autres , être Tout le temps essouflee ,l argent que ça représente tous les jours , le manque de liberté qu implique le tabac ! Mais dans les moments de fragilité , et il y en a beaucoup "VOTRE APPLICATION " pleine de réconfort, j y allais tout le temps , ça m a fait tenir , j en suis sûre !!!!!!!!!! Le nombre de cigarettes que l on n a pas fumées !!! Inimaginable !!!! Les témoignages , et tout et tout ....... Si mon témoignage peut aider seulement une personne , j adorerai ....merci
Partager sur:     

Vanessa (31 ans)

18 juin 2007

Bonjour, 166 jours sans fumer, près de 5.000 cigarettes non fumées... Bientôt 6 mois que j'ai arrêté de fumer et j'ai souvent peur car c'est réellement une épreuve que d'arrêter de fumer, c'est pas évident et je ne veux pas replonger. Mais mes envies s'estompent et s'espacent. Et quand j'ai très envie... je pense à ce qui aurait pu m'arriver si je n'avais pas arrêté. Je pense aussi à toutes les belles choses de la vie qui ne m'arriveront pas si je n'étais plus de ce monde. Mon premier objectif était d'arrêter de fumer. Le deuxième est de maintenir ce cap. A tous ceux qui ont arrêté : bravo et courage pour la suite ! Et à tous ceux qui vont arrêter : vous faites le bon choix, courage, c'est vraiment faisable !
Partager sur:     

Anonyme (23 ans)
Nationalité Portugaise
14 juin 2007

J'ai 23 ans et je fume depuis l'âge des mes 15 ans. Quel idée stupide que de commencer à fumer... surtout que les premières cigarettes sont tellement mauvaises (tête qui tourne, etc). L'envie de vouloir faire comme les autres, se sentir adulte!!! J'aurai du plutôt penser qu'en commençant à fumer, je serai encore plus gamine!!! Il y a 4 jours, je ne me sentais pas très bien, de la peine à respirer, douleur à la poitrine. J'ai été à l'hôpital. En attendant les résultats des radios, j'ai eu trop trop peur... peur du diagnostic!!! Il s'avére que j'avais "juste" les bronches inflammer. Rien à voir avec la cigarette... mais elle y contribue évidemment. J'ai une petite fille de 10 mois... je vous explique pas ma peur de ne plus être la pour la voir grandir!!!! J'ai décidé d'arrêter de fumer. Pour elle... et pour moi!C'est dure! J'avoue que je fume deux-trois cigarettes par jour... je suis tombé sur ce site par hasard et je suis bien contente. ça va m'aider à arrêter... surtout ne commencer pas à fumer!! Le soit-disant plaisir que cela nous procure n'est qu'illusion!!! et ça nous fait tellement de mal!!!
Partager sur:     

Nathalie (48 ans)
Nationalité Francaise
17 février 2016

J'ai 48 ans et j'ai commencé de fumer à 13 ans. C'était les parents, la famille qui me proposaient lors des fêtes en me disant "une petite clope" c'est rien, sauf que cela est devenu pour moi ma "béquille". A 20 ans je fumais un paquet et demi par jour. J'ai arrêté de fumer il y a maintenant 8 ans. J'avais déjà essayé plusieurs fois d'arrêter, plusieurs méthodes aussi et après plusieurs rechutes je ne fume plus. Cela a été un long travail sur moi-même. En fait j'ai mis deux bonnes années pour arrêter de fumer complètement avec arrêt et rechutes. Alors j'ai recherché des témoignages et une amie m'a parlé de ce site et j'ai lu et relu plusieurs témoignage et cela m'a permis de mûrir et tester ma motivation et de me sentir comprise. Au début cela a été l'horreur, j'étais triste, c'est bête à dire mais je savais qu'il fallait faire mon deuil du tabac et rien que le fait de savoir que cela était irréversible de me dire tu ne pourras plus jamais fumer me terrorisait Ce site m'a aidé car pendant l'arrêt j'ai eu beaucoup de période de doutes avec des envies très fortes de fumer à nouveau. Quand le moral était au plus bas je lisais les témoignages du site et cela me redonnais espoir de savoir que d'autres étaient passés par là. J'ai même fumé en lisant les témoignages et puis un matin j'ai vraiment décidé d'arrêter. J'ai également lu un livre "la méthode simple pour arrêter de fumer" d'Allen Carr. Aujourd'hui dans une soirée, il y a toujours une personne pour me proposer une cigarette, j'hésite toujours un petit moment et je revois le travail, la force qu'il m'a fallu pour y arriver et je repense à mes moments de grande solitude et tristesse à l'arrêt et cela me suffit pour dire non. Côté santé, au début j'étais souvent enrhumée, triste, irritable. Maintenant je peux mesurer les bénéfices de mon arrêt : - j'ai retrouvé mon souffle, plus jolie peau, sommeil amélioré, alimentation plus saine, diminution de ma consommation d'alcool, diminution de maux de tête, meilleure haleine. Financièrement je m'y retrouve et surtout je suis libre, je n'ai plus à me dire as tu pensé a acheté des clopes pour le weekend ? etc... L'année dernière lors du réveillon de l'an j'ai fumé une cigarette, j'ai eu peur je me suis dit ça y est je vais replonger et puis non j'ai pensé à nouveau à ce long parcours du combattant et je me suis dit non je ne veux plus le revivre. Je pense qu'il faut l'avoir décider et surtout prendre cette décision pour soi. Petite astuce qui marchait pour moi, à chaque fois que j'avais envie de fumer je comptais jusqu'à dix car je savais que l'envie durer que quelques secondes et ensuite je sentais l'envie qui s'estompais. Je vous souhaite de réussir dans votre décision d'arrêter et surtout de ne pas culpabiliser, si vous reprenez une cigarette et de vous rappeler avec fierté toutes celles que vous n'avez pas fumés juste avant et que vous recommencerez à arrêter jusqu'à ce que votre pensée se dirige vers autre chose et qu'arrive enfin la délivrance et la liberté. Nathalie
Partager sur:     

Christine
Nationalité France
02 février 2011

Depuis le 11 septembre 2009, je suis à la cigarette électronique et n'ai pas retouché de cigarette normale depuis. Je suis très satisfaite et fière de moi. J'étais grosse fumeuse, 1 paquet, un paquet et demi par jour. J'ai essuyé des échecs à chaque arrêt et tiens le coup avec la cigarette électronique. J'ai essayé plusieurs cigarettes avec des taux différents de nicotine et de saveurs. Avantages : Des résultats sur le souffle, la sinusite et autres se sont rapidement faits ressentir. Je n'ai pas grossi puisque je ne compense pas un manque, j'ai la gestuelle, ma sensation d'inhaler, une contenance. Je ne suis plus obligée de sortir dehors en soirée, je n'empeste plus le tabac et ai toujours une agréable haleine mentholée ou autre. Inconvénients : Pas de recule sur la composition et les effets sur l'organisme. Les saveurs sont excellents et du coup, je l'ai toujours à la bouche. Je n'ai pas envie d'arrêter, la cigarette électronique me suffit, je suis tout simplement passée à autre chose en me rassurant que ça ne pouvait pas être pire que le tabac, mais je souhaiterai en être certaine.
Partager sur:     

Céline (33 ans)
Nationalité Française
08 janvier 2010

20 ans de tabac à seulement 33 ans... je n'ai arrêté que le temps de mes 2 grossesses. C'est aprés avoir réalisé cela que j'ai pris la décision d'arrêter. Pourtant qu'est ce que je l'aimais cette fichue cigarette, ce poison ... Je ne me suis pour ainsi dire "connue" qu'une cigarette entre les doigts. On commence si bêtement... pour se rassurer, pour s'intégrer, pour s'occuper.. que sais-je.. Ca fait seulement 4 jours que j'ai arrêté : les 2 premiers jours ont été terribles pour moi : frissons, déprime, apathie, agressivité, larmes ... incroyable ... je n'aurai jamais imaginé que le sevrage serait si dur mais j'ai tenu bon , pour mon mari, pour mes enfants. Je commence à entrevoir la "lumiére", celle d'une vie sans toux, sans le teint gris, sans cette inquiétude de ne pas avoir de cigarettes, sans ce souffle court ... J'ai repris le sport et le temps que je ne perd plus à fumer me permet de faire des choses constructives. Je sais que le combat n'est pas terminé, que la route sera longue et parsemée d'embûches mais il suffit de dire NON , d'être maître de soi . Pour conclure, je suis fiére de moi et je souhaite à tous les fumeurs de prendre cette décision salutaire pour leur santé.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Catherine (54 ans)
Nationalité française
20 mai 2017

Un parcours chaotique parsemé d'arrêts et reprises du tabac dont 13 ans en abstinence totale., J'ai testé le Champix il y a 04 ans, stoppé en pensant être tirée d'affaires et bien sur j'ai repris (bêtement)à raison de moins de 10 cigarettes par jour.. Décidée enfin à en finir avec la cigarette, j'ai redemandé ce traitement à mon médecin. Et là, 05 semaines après la 1° prise, l'enfer...Hyper activité, Rêves morbides, sueurs nocturnes plusieurs fois dans la nuit . Puis au fil des semaines tout s'est accéléré , s est 'accentué : des pertes de mémoire incommensurables qui gênent dans la réalisation du travail et des loisirs, manque total de raisonnement,un énorme manque de discernement , la présence de conflits quotidiens avec les proches, donc un sentiment profonds d'abandon de tous, couplé avec la certitude ne rien maîtriser. Quelle souffrance... L'ordre du médecin est d'arrêter le traitement immédiatement; Ces effets secondaires n'étaient pas apparus il y a 04 ans le cerveau se souviendrait-il d'avoir été berné et montre-t-il une arrogance insoupçonnée ? Quel qu'en soit la réponse, non seulement je ne reprendrai jamais Champix mais aviserai les potentiels utilisateurs. Ce médicament est trop dangereux pour être prescrit et je n'ai aucune certitude sur le devenir de mon cerveau à la suite d'un tel chamboulement d'ici quelques années.. Qui saurait me dire si dans le temps je ne développerai pas une maladie insidieusement et où l'absorption de Champix passera sous silence.... Une seule alternative se présente à moi pour en finir avec le tabac, l'utilisation des pastilles à sucer puisque je suis allergique au patch et une énorme dose de volonté. On sait jamais ça pourrait marcher... .
Partager sur:     

Marianne (29 ans)
Nationalité Francaise
19 avril 2022

Plus d'un an maintenant que j'ai arrêté. Je me suis juré de laisser mon (long) témoignage sur ce site si j'arrivais au 1 an d'arrêt, car ce sont ces témoignages qui m'ont énormément aidé dans les moments de doute et de fébrilité. Si cela peut aider qqn comme les autres ont pu m'aider. Je fumais depuis mes 17ans. J'ai démarré bêtement au lycée en prenant des paquets à mon père avant d'acheter les miens. Pendant 11ans, j'ai été fumeuse "modérée" à savoir entre 8 et 12 cigarettes roulées par jour. Sauf en soirée où je ne comptais pas. J'ai aussi eu une période cigarette électronique pendant 2-3ans sans pourtant vouloir arrêter . C'était "moins" dangereux et surtout moins de problème d'odeur, de pause clope en extérieur.. mais je l'avais tout le temps au bec et un jour d'entraînement de basket, ma respiration s'est emballée, impossible de reprendre mon souffle, trop d'eau dans les poumons j'ai cru que j'y restais. Ca m'ait passé au bout de quelques secondes mais ca m'a bien fait peur. Je suis revenue à ma bonne vielle roulée et à tous ses mégots. Logique🙄 Car oui, être fumeuse ne m'empêchait pas d'être sportive, c'est le grand paradoxe du cliché sportif. Et pourtant nombreux sont les sportifs amateurs fumeurs. Malgré un rythme d'entraînement assez modéré (7h semaine, c'est pas non plus du haut niveau), la clope n'a pas spécialement nuit à mes performances sportives du moins pas les premières années. Ajoutez à cela le fait que c'était aussi mon métier (responsable management sportif). Je n'ai pourtant jamais assumé auprès de certaines personnes d'être fumeuse sachant que cette image pouvait être degradante ou décevante à leurs yeux et du jugement qu'ils pourraient porter. Que ce soit envers mes parents, notamment ma mère pour qui les sermons sur la clope étaient permanents, mais aussi les membres de ma famille comme oncle tante grand mère...même si avec le temps ça se savait, je n'assumais toujours pas le geste de fumer devant eux. Mais également auprès de mes collègues de travail actuels, les petits basketteurs et enfin surtout ma copine à qui je n'ai rien dit pendant les 6 premiers mois de notre relation. Une honte pour moi de montrer cette image dégradante en contradiction avec les valeurs et la fierté du sport que je portais. J'avais à l'esprit la réalité du problème mais l'insouciance de m'y intéresser. En revanche, pour tous les amis, les coéquipieres, mon frère, mes cousins...les personnes qui m'entouraient directement, aucun problème avec eux pour en allumer une. La plupart l'étaient aussi. Mais surtout le problème était que j'adorais fumer. Il y a encore peu de temps je me demandais "mais comment les non fumeurs font ils pour ne pas fumer ou n'avoir jamais envie de le faire". Comme tout le monde, un soir de nouvel an, on prend la résolution d'essayer d'arrêter de fumer car on sait tous qu'en soit cela n'est pas une bonne chose. Mais quand on est pas convaincu et qu'on a pas spécialement l'envie ni la contrainte de le faire, et bien on ne fait rien c'est bien logique. Pourquoi se priver de ce qui nous donne du plaisir. Et c'est finalement quand on se rend compte à 27ans qu'on ne sait plus gérer l'effort, à l'entraînement ou dans la vie de tous les jours, qu'on commence à réaliser les effets sur le physique et cette vieillisse accélérée. Manque de souffle, d'oxygénation, de récupération, de force, d'endurance...pour courir après un ballon ou monter les courses au 2eme étage.. On se dit qu'on va réduire pour s'aider un peu. Et c'est là que le déclick survient : finalement on se rend compte qu'on ne peut pas réduire, qu'on ne peut plus arrêter même l'espace de 5h, qu'on a une réelle dépendance, que la cigarette n'est plus une option comme au début. Dès qu'on se prive, on multiplie l'envie d'en fumer une voir 2 d'affilé. Et c'est dans ce constat de dépendance, en fumant clope sur clope, le problème à l'esprit que je décidais d'arrêter. Mon arrêt ne fut pas simple, il s'est fait en 2 fois à cause d'une rechute mais qui était nécessaire pour mieux réaliser le second essai. A tous ceux qui ont rechuté : ce n'est pas grave, c'est une preuve que vous avez pris conscience du problème et que vous tenter de le résoudre. Essai 1 jour 1 : arrêt total sans aucun substitut. Je suis dans un état de nerf en fin de journée qui me pousse à aller au tabac pour prendre une de ces nouvelles mini cigarette électronique à cartouche. Pour ne pas gâcher ma tentative, je prends du zéro % de nicotine, j'ai lu que c'est juste un manque comportemental qui me pousse à fumer et que finalement la ecigarette était une bonne aide à l'arrêt. Le soir même je pleurais comme une enfant de cette privation.. Essai 1 jour 2 à 30 : je conserve cette mini cigarette avec des cartouches de nicotine supérieure : 12%. Je savais que cette dose était trop importante pour moi, j'étais un profil 6% avant, mais il n'y avait pas de dose intermédiaire pour ce genre d'appareil et je ne voulais pas réinvestir dans une "vraie" ecig plus chère. Avec le temps je me rends finalement compte que cette méthode me coûte bien plus chère que prévue et surtout que je suis plus dépendante à la nicotine qu'avant...bravo comme une débutante 👏 Essai 1 jour 30 à 45 : Je me mets comme objectif de ne plus fumer à Noël et passe par 10 jours de chewgum nicotine et 5 jours sans rien. Je suis à la suite de ça psychiquement fatiguée mais contente de cette avancée dans ma routine. Cependant, je me retrouve confrontée pour les fêtes à des anciennes situations de fumeurs auxquelles je ne m'étais pas préparées : le train et l'attente entre les correspondances puis cette privation certaine qui m'attendait d'être entourée de ma famille. A peine arrivée pour les fêtes, je rachetais des cartouches 12%. Essai 1 jour 45 à 100 : consciente cette dépendance aux substituts qui me coûtent cher, je me resouds à réinvestir dans un vrai "calumet" comme je l'appel avec ses options, son dosage et ses arômes pour finalement pas si cher que ça. Mais ce truc n'a finalement pas l'effet escompté sur moi, physiquement cela me donne la nausée, m'étouffe (encore) dans l'effort. Je me surprends même à une soirée à fumer une clope plutôt que ce truc me disant que c'est "juste"pour la soirée. Les jours suivants, une méga rage de dents, dont la ecig n'y est pas pour rien (beaucoup d'agents dans les vapeurs et vasoconstriction des gencives), me fait littéralement plier. 4 mois après ma décision, j'abandonne toutes ces pseudos solutions qui auront finalement monopolisé mes pensées, altéré fortement mon humeur et mes coups de deprime au point de déstabiliser mon couple, ruiné tout autant que lorsque j'étais fumeuse. Je me suis retrouvée pendant un bon mois à fumer, fumer, enchaîner les paquets comme pour me rattraper de cette privation. Et bien sûr à cacher cet échec à ma copine. Et un jour, jai finalement fini par m'en dégouter, et me dégouter moi même de la machine à fumer que j'étais devenue. Je fumais à presque vomir parfois. Mais il fallait faire les choses plus intelligemment que la dernière fois. J'ai profité d'un énième confinement de 15 jours chez mon père, dans l'air pur des Alpes, devant qui je ne fumais pas et où les activités sportives étaient quotidiennes. C'était la quinzaine parfaite pour passer les premiers jours de dépendance physique. La dépendance comportementale suivrait ensuite. Le 8 avril 2021 à 19h j'eteignais la dernière clope en arrivant chez lui . Les premiers jours furent les plus compliqués psychiquement. Essai 2 jour 1 : 20h après l'arrêt, dans une forte fatigue mentale, une occasion se présente à moi pour m'échapper de la maison prétextant un achat à la pharmacie. Je suis bien allé à la pharmacie faire mon achat initial mais j'y ai egalement acheté une boîte de pastilles nicotine faiblement doséed. Ça serait pour les moments certains où le besoin physique du corps serait trop fort : après un café ou un verre d'alcool même s'ils sont depuis limités. Dans la voiture sur le retour, je me suis retrouvée avec la cigarette dans une main et le briquet dans l'autre. J'ai hésité pendant bien 10mn. Et c'est à ce moment là où ma volonté s'est affirmée de vouloir réussir. "Je ne la fume pas maintenant, je la fumerai plus tard". Et c'est depuis ce jour que j'ai systématiquement repoussé l'occasion de fumer, en ayant pourtant tout à disposition. "J'ai bien tenu hier, ça fait 24h, je peux tenir plus, je fumerai demain" Essai 2 jour 2 à 15 : très fatiguée les 3 premiers jours, j'occupe tout mon temps libre par le sport de plein air. J'ai besoin d'être occupée de me défouler ! Et quand ce n'est pas le sport, c'est ce site et tous les autres qui dénoncent les méfaits du tabac qui m'aident à me convaincre du bon choix que j'ai fait. Je prends les pastilles une fois de temps en temps quand cela m'est vraiment nécessaire la première semaine, et puis finalement j'aborde le même système : essayer de ne plus en prendre car tant que j'étais sous nicotine, j'étais fumeuse. Et cela devient assez simple pendant ces 15 jours. Je me retrouve même au 15eme jour à boire des bières chez une amie qui fume devant moi. Mon cerveau est en alerte et je décide finalement de partir quand cela est devenu trop frustrant d'autant plus après 3 bières, on est plus vulnérable. Jour 15 à aujourd'hui : le travail ne s'est pas arrêté après ces 15 premiers jours bien au contraire, c'est là qu'il a démarré. Après cette cure physique il fallait maintenant surpasser tous les moments du quotidien, aussi appelés "dépendance comportementale", en ayant à l'esprit "qu'une seule et c'est foutu tu repars de zéro". Dites vous bien qu'il ne faut plus jamais refumer quand vous êtes arrivé à vous en passer physiquement, quand vos récepteurs ne vous envoient plus de signaux de manque. J'ai lu le livre de Allen Carr "en finir avec la cigarette" comme soutien de mes premières nuits de retour à la vie normale et j'avoue qu'il m'a confirmé mon choix et mes pensées. J'ai mis mes restes de feuilles, tabac, calumet et arômes dans un sac dans un coin afin de le donner à un ami fumeur. Ensuite c'est un combat au quotidien où chaque situation fumeur doit se transformer en non fumeur au moins une fois : La journée boulot classique, le WE actif ou cocooning, l'apéro du vendredi, le voyage en train pour voir sa famille, les vacances, la 3eme mi temps... Et c'est gagné. Perso au bout de 2 mois vraiment je ne me sentais plus dans cette lutte constante. Mais il faut rester vigilant car il m'arrive encore lors d'une soirée trop arrosée avec des fumeurs qui vous parlent à 50cm du visage d'être tentée, d'être vulnérable. Et même dernièrement j'ai repris l'avion, chose que je n'avais plus faite depuis des années et pour laquelle j'étais fumeuse la dernière fois. Mon cerveau m'a mentionné la cigarette avant d'aller en salle d'embarquement alors qu'elle était sortie de mon esprit pendant des mois. Aujourd'hui je me sens vraiment libre. Je n'ai plus jamais cette idée de fumer qui me vient à l'esprit même après le café ou l'alcool. C'est dur à croire quand on est dans les premiers jours d'arrêt, on pense que cette facilité n'arrivera jamais. Et finalement un beau jour on y pense plus et on ne s'en rend pas compte. Quand je vois tous ces jeunes qui sortent fumer à la récré (je bosse désormais dans un lycée) je me dis que comme moi ils le regretteront un jour mais qu'ils sont actuellement dans un engrenage dont ils n'ont pas conscience. Nous sommes manipulés. En revanche lorsqu'on est fumeur, le corps est anesthésié de nombreux maux, tellement il lutte contre la clope, il lutte aussi contre tout le reste. Et lorsque qu'on arrête, ces maux qui nous sont propres reviennent : pour ma part ce fut les dents, retour du bruxisme de ma jeunesse et de nombreux traitements pour caries et couronnes. Légère allergie au pollen aussi au printemps que je n'ai jamais vécue avant. Mais retour à des poumons sains, à une oxygénation optimale, à une vivacité et une énergie permanente, un temps incroyable gagné tout comme l'argent économisé. Maintenant je me dis "mais comment font les fumeurs pour fumer". Je me sens convaincue dans mon choix mais je garde à l'esprit que le risque zéro n'existe pas quand je vois que certains profils replongent après des années d'arrêt. Il faut penser autrement et être convaincu de ce qu'on pense. Courage à tous ceux qui tentent! Rien que le fait d'essayer prouvent que vous y arriverez même si tout ne se fait pas pas facilement ni en un jour. Je vous souhaite de retrouver votre liberté
Partager sur:     

Anonyme (33 ans)
Nationalité Française
04 mai 2018

Bonjour, J'ai 33 ans et cela fera 8 ans en fin d'année que j'ai arrêté le tabac non sans difficulté. J'ai commencé la cigarette à 14ans et j'ai fumé jusqu'à mes 25 ans, environ 1 paquet par jour. Un jour et après plusieurs arrêt infructueux, j'ai senti que ma motivation été forte et j'ai décidé t'arrêter totalement du jour au lendemain. Pour ma part le fait de diminuer n'a jamais fonctionné. Cela a été trés difficile et la tentation trés forte et cela pendant une année. J'ai trouvé le cevrage trés dur et je n'en garde pas un bon souvenir, mais le principal c'est que j'ai tenu et que je n'ai pas repris. Je pense que la motivation compte pour 90% à la réussite de l'arrêt du tabac. Quand je repense à la difficulté d'arrêter je me dis que jamais je ne pourrais reprendre pas aprés avoir réussi à traverser cela. Si je tenais a témoigner c'est pour dire aux personnes que non ce n'est pas facil d'arrêter mais pas impossible. Que pour les personnes qui ont réussi cela a été difficil et qu'il n'y a pas de solution miracle. Il y aura des échecs et puis un jour le déclic et l'arrêt définitif du tabac. Vous serez fier de vous et retourverez des sensations perdues. Mon avis essayez d'arreter à deux, copines, couple,... Cela motive et souvent par fierté l'on ne veut pas reprendre avant l'autre et le temps passe sans fumer. Sans compter sur le soutiens et le fait d'avoir une personne à qui parler et qui comprend ce que l'on vit. Alors n'arrêtez par d'y croire, un jour vous y arriverer même si ce n'est pas demain. Clarisse.
Partager sur:     

Maryvonne (70 ans)
Nationalité Française
01 novembre 2017

Bonjour je fumais depuis... 50 ANNNEES... et en avril 2013, j'ai arrêté de fumer. J'avais utillisé des gommes, mais cela n'avait pas fonctionné (sur moi) j'ai essayé la cigarette électronique : j'ai fumé cette cigarette durant 1 mois, mais je tirai de moins en moins sur cette cigarette (j'avais commandé une cigarette électronique : sans goût, et surtout pas de tabac)... pour une raison personnelle, j'ai été hospitalisé 15 jours, je n'ai donc pas fumé du tout durant cette quinzaine, et en rentrant chez moi, je n'ai pas éprouvé le besoin de fumer... je ne crois pas au miracle, mais j'avoue qu'aujourd'hui, lorsque je pense à tout l'argent que j'ai jeté par les fenêtres, je suis bien contente d'avoir arrêter. Je pense qu'il ne faut pas faire une fixette sur l'arrêt, il faut essayer de décider d'un jour et jeter le matériel : paquet et cacher le briquet... J'ai vu des ami(e)s fumeurs replonger, mais il faut toujours persévèrer... penser aux 10 euros que vont coûter les paquet dans peu de temps... et surtout à tout ce que vous pourriez vous offrir en mettant cet argent de côté. Et on se sent mieux : au niveau respiratoire, et on ne sent plus ce tabac... pour les jeunes : vous ne sentirez plus le tabac froid lorsque aurez des copains et copines. Je vous souhaite à tous et à toutes beaucoup de courage/ J'avoue que pour moi, cela n'a pas été difficile du tout, mais, par contre, j'ai vu mon mari : il a souffert au moment de l'arrêt du tabac, cela a duré au moins 3 mois, il avait des tics nerveux, il a pris du poids, mais il a tout de même gagné : il ne fumait plus du tout. Il me disait : j'en ai marre d'être considèré comme un pestifèré...
Partager sur:     

Raphaëlle (37 ans)
Nationalité Française
25 octobre 2016

Bonjour, J'ai arrêté de fumer depuis le 14/07/15. J'espère que cet arrêt sera le définitif. En tout cas, la fumée des autres fumeurs me dérange maintenant, et je ne pense pratiquement jamais à fumer. Je voulais témoigner sur plusieurs choses : - On ne prend pas forcément du poids lors d'un arrêt : j'ai perdu du poids en pratiquant la course à pied pour penser à autre chose (3 fois par semaine). - On a pas forcément besoin de substituts nicotiniques pour arrêter. J'ai lu le livre d'Allan Carr (deux fois) et c'est tout. J'avais essayé l'hypnose, l'homéopathie, les patchs, les gommes et la cigarette électronique mais sans résultats. Peut être la maturation de l'idée d'arrêter de fumer a joué, mais en tout cas, il ne faut pas avoir peur de se lancer dans l'arrêt. Si ce n'est pas la bonne, ce sera pour la prochaine fois. Bonne journée à vous Raphaëlle.
Partager sur:     

Sabrina (38 ans)

13 mars 2015

Je suis heureuse, non-fumeuse depuis plus de 50 jours, et je me sens super bien, détendu et sereine !!!! Chaque jour qui passe je me félicite ;) Je ne suis pas arrivée au bout de ce long combat mais je me sens de plus en plus forte, mon challenge c'est de m'offrir un trekking au Tibet de 15 jours en 2016 !
Partager sur:     

Christine (67 ans)
Nationalité Belgique
29 janvier 2021

Il y a 4 ans j'ai été dépistée bpco. J'avais a l’époque 63 ans et je fumais depuis l'age de 18 ans. Je fumais 25 cigarettes tous les jours. J'ai tout de suite consulté 1 tabacologue. J'ai fait quelques arrêts mais rien de convaincant. J’étais a l’époque très mal dans ma peau, angoissée et stressée car je n'arrivais pas a me séparer de la cigarette qui me tuait a petit feu. Je me suis retrouvée dans la situation ou je ne savais plus respirer ni bouger, être comme 1 poisson hors de l'eau. J' ai baissé les bras bien décidée a me laisser mourir car je ne trouvais plus l’énergie de me battre. Soutenue par la tabacologue j'ai été vue par un psy qui est parvenu a me libérer et me redonner confiance. Le 1er décembre j'ai arrêté. Je n'ai pas mis de patch, pas de cigarette électronique, juste des pastilles a la nicorette. Tout se passe bien mais avec des hauts et des bas, des envies qui passent vite mais qui sont ennuyantes. Le tout c'est dans le vouloir et non le devoir. Ca change la donne et ta vie Quand tu es dans l'acceptation, la défume te parait plus douce' 60 jours sans clopes, sans rechute et je suis fière de mon parcours. Je revis, je respire un peu mieux mais je sais que tout se fera a mon rythme car ce qui est perdu n'est pas récupérable mais ta qualité de vie s’améliore et tu voles vers 1 liberté tellement désirée. Il faut tenir le coup, refouler les envies, se féliciter, c'est tellement bien de pouvoir reprendre sa vie en mains. Ne vous laissez pas berner par cette petite voix qui vous incite a faire un pas de travers, chassez la de toute vos forces, et elle va finir par lâcher prise.j'ai repris ma vie en main et j'espère que ce sera pour le restant de mes jours. Je suis tellement mieux je peux profiter de choses que je m’étais interdite car tu finis par croire que tu ne sais plus rien faire mais c'est un mensonge. Battez vous pour cette liberté qui ne vous apportera que du bonheur, de l'argent du souffle, qui vous libérer des chaines. C'est dur de traîner 1 boulet😱 Si je l' ai fait tout le monde peut y arriver, il faut juste une bonne détermination et ne plus se laisser tenter. Courage a vous tous Merci Stop-tabac.ch!
Partager sur:     

Olivia (27 ans)
Nationalité Belge
09 août 2021

Ca y est, j'ai arrêté. Aprés 8 ans de tabagisme actif à 15 cigarettes par jour, me voilà en pleine révolution personnelle. C'est fou. A peine croyable. Moi qui souffrais rien qu'à l'idée de ne plus fumer...la clope de l'aprés repas, celle du début de soirée, celle qui met à l'aise dans les rencontres et puis les milliers d'autres. Comment s'en passer? Comment remplir le vide sans cigarettes? Je n'avais jamais réussi à ne pas fumer pendant une journée entière. En 8 ans ! 8 ans de ma vie à fumer TOUS LES JOURS...Et voilà que ca fait une semaine sans la moindre cigarettes, et, me croirez vous...tout va bien! Oui, un petit peu de manque les 2,3 premiers jours, le cerveau qui se sent bizarre, qui se sent tout court, si ca se trouve....Mais rien de terrible. Je me sens portée par tout le bien que je me fais, ou tout le mal que je ne me fais plus. Je respire à plein poumons, je ferme les yeux et j'essaie d'imaginer l'intérieur de mon corps. Qui mettra probablement des années à redevenir vraiment sain, mais que déjà je ressens mieux. Comme une dispute de 8 ans entre lui et moi qui vient de prendre fin. Je lui parle à nouveau. Lui, il n'a jamais cessé de me parler (mal aux poumons, au coeur, peau et dents degueus, haleine de cendrier...) mais je ne l'écoutais pas. Me voilà donc de nouveau son ami, et le plus beau, c'est qu'il a pas l'air rancunier pour un sou. Mon copain dit qu'il ne m'a jamais trouvé aussi belle, et moi, je ne me suis jamais senti aussi bien...Allez, c'est facile! Pour l'amour de vous!
Partager sur:     

Yaya (61 ans)
Nationalité Française
10 décembre 2023

Deuxième jour sans tabac après 45ans de tabagisme. Je me sens très heureuse et j’entends bien continuer. J’ai reçu une amie aujourd’hui qui est sortie 4 fois fumer. 1 demi heure de perdue dans le froid et je me suis dit que c’est idiot de se priver du plaisir d’être avec son amie pour fumer. Bien entendu, je ne lui ai rien dit mais j’étais contente d’avoir eu cette pensée. Que de bons moments perdus dehors dans le froid de l’hiver pour m’adonner à ce vice ai-je perdu en 45ans. Sans parler de cette toux récu récurrente qui ne me lâche plus depuis des semaines. J’ai fait plusieurs tentatives stop tabac mais je sens que celle-ci est la bonne, ma motivation est puissante. Merci à STOP TABAC et à La Tribune, grâce à vous, je me sens moins seule.
Partager sur:     

Jo (71 ans)
Nationalité Française
17 octobre 2023

12 jours ? Ça sent bon ça... après tant de rechutes dûes au stress etc... Surtout ne pas se trouver d' excuses, de fausses excuses. On le veut ou pas c'est tout. Mais ensemble pour y arriver, pas mal non plus
Partager sur:     
Catégories associées:
• Plus de 60 ans
• Femmes
• Fumeurs

Mary (58 ans)
Nationalité Francaise
15 août 2023

Voilà 51 jours sans fumer. Que dire sinon que le chemin est difficile surtout la première semaine ,on est très énervé et en manque mais il faut bien doser les patch et puis on arrive à se battre si on veut arrêter vraiment ce n' est pas facile autant ne pas mentir mais on retrouve le souffle les odeurs bonne ou mauvaises lol on comprend un peu mieux les non fumeur qu on asphyxie avec notre fumée tout sa en 51 jours et c est encore difficile mais je tiens courage à toutes et tous
Partager sur:     

Anonyme (50 ans)
Nationalité Française
05 octobre 2020

J’ai arrêté de fumer le 15 janvier 2017 grâce à 3 facteurs combinés. D’abord, le paquet neutre et la fin de la commercialisation de mes cigarettes, décidés par le gouvernement français. Puis l’application Stop Tabac. ch: pour une personne compulsive et très fortement dépendante comme moi, les compteurs et les conseils délivrés par l’app ont été déterminants. Enfin, j’ai décidé d’utiliser une cigarette électronique mais les goûts sucrés des liquides me dégoûtaient. En cherchant sur Internet, j’ai trouvé le Végétol, dont le goût est neutre. Aujourd’hui, je suis à 0 de nicotine et je ne remplis plus ma cigarette électronique qu’une fois par semaine. Ce qui m’a permis de réussir cette fois est l’arrêt complet de la cigarette et l’acquisition progressive d’un véritable dégoût du tabac. Je ne dis pas que je suis devenue non fumeuse mais je suis résolument abstinente et j’entends le rester. Mon témoignage a aussi pour objectif de remercier les concepteurs de l’app stop tabac.ch qui a été le pilier sur lequel me reposer quand ma résolution faiblissait. Enfin, les bénéfices de l’arrêt du tabac sont phénoménaux, notamment la sensation valorisante d’avoir réussi à surmonter une addiction si horrible. Donc, merci à toute votre équipe, du fond du cœur.
Partager sur:     

FRANCINE (60 ans)
Nationalité F
08 août 2017

J'ai arrêté de fumer le 21/04/2016 et je n'ai pas re fumer depuis , même si j'ai parfois de légères envies que je surmonte facilement. J'ai pu arrêter en travaillant sur ma volonté d'arrêter de fumer . Je m'explique : comme je n'avais pas beaucoup de volonté , 10 jours avant le 21/04, j'ai démarré le 1er jour avec 10% de volonté et en définissant 1 aspect positif , le 2ème jour avec 20% de volonté et un nouvel aspect positif et ainsi de suite jusqu'au 10ème jour , 100% de volonté et un 10ème aspect positif.... et à 3h du matin , le 21/04 , j'ai fumé ma dernière cigarette . J'ai été étonnée de la facilité de ce moment , sans stress ni souffrance psychique. Je crois que cette progression sur le pourcentage de volonté m'a laissé le temps nécessaire pour vraiment arrêter de fumer. J'ai voulu témoigner pour partager mon expérience au cas où cette méthode conviendrait à d'autres personnes.
Partager sur:     

josy
Nationalité francaise
06 juillet 2021

Voilà, 3ème jour d'arrêt, pas trop douloureux, pourvu que je tienne le coup ! je tousse encore bcp, pas dépressive pour le moment, ce forum m'aide bcp, merci !
Partager sur:     
Catégories associées:
• Plus de 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme (67 ans)
Nationalité France
13 novembre 2020

Bonjour Mon sevrage remonte à 1999 mais il peut ( peut-être) en inspirer d'autres .A l'époque, il n'existait pas grand-chose comme aides, et si j'ajoute que je viens d'une famille de gros fumeurs ( mes parents et mon frère aîné en sont morts...), que chez moi, mon mari et mes deux filles fumaient, que dans mon travail ( aide- soignante en psychiatrie) c'était une tabagie permanente, que tous nos copains fumaient et que j'avais commencé à 16 ans, on peut voir que ce n'était pas gagné ...En plus, j'était très dépendante !Et pourtant , j'ai réussi du premier coup . Après avoir passé 5 ans à essayer toutes les méthodes , j'ai opté pour la plus radicale : suppression TOTALE du jour au lendemain . Et pour tordre le coup à un cliché ultra répandu : ce n'est pas une histoire de volonté ...mais de MOTIVATION ! et du bon moment pour le faire! Les premiers jours, c'était l'euphorie , et dès le départ, je n'ai pas cherché à éviter les fumeurs, j'ai simplement considéré que c'était LEUR problème et plus le mien, je m'en suis affranchie .Littéralement ! Les difficultés sont apparues progressivement au bout d'une quinzaine de jours , je ne ressentais aucune envie de fumer ( même en présence de fumeurs..)mais dès le réveil, les larmes ont commencé à couler ...et pour des bricoles, je ne pouvais pas les arrêter ....c'est ce qui m'a été le plus dur à gérer , ça a quand même duré 6 mois..!! J'ai aussi pris 10 Kgs ( je suis petite , en plus...) mais c'était secondaire , seule importait le fait de tenir et de durer ! Je n'ai jamais voulu essayer de " tirer une taffe pour voir ", je trouve ça infantile et dangereux! je révais souvent que je refumais( le cerveau n'oublie rien..), très vite on voit les réactions physiques : peau plus belle, cheveux brillants, voix plus claire, respiration/souffle plus profonde, meilleure estime de soi ..Oui, il y a une vie après le tabac ! Tous les ans, à la date anniversaire du sevrage , je me félicite personnellement , et je ne considère jamais que c'est acquit : comme un ancien alcoolique, on reste TOUJOURS vulnérable , même des années après ... Ne pas oublier :" Plus le corps est fort, plus il obéit, plus il est faible , plus il commande "( JJ Rousseau).Je souhaite à ceux qui " choisissent une autre vie" de réussir et de tenir . On vaut bien ça !!! Cordialement Calico
Partager sur:     

Anonyme (48 ans)
Nationalité française
14 avril 2020

Bonjour, 29 jours sans tabac... J'en suis fière car j'ai déjà arrêter de 1999 à 2008 mais après ma reprise, malgré une cinquantaine de tentative d’arrêt je n'arrivais pas à dépasser les 21 jours (mon record!)J'ai commencé à fumer à 13 ans et à 14 je fumais déjà un paquet par jour... mon paquet de tabac à roulé durait 3 jours en moyennes.. Depuis quelques mois je respirais de plus en plus difficilement et ça me mettait la pression de devoir impérativement arrêter et vite... J'avais décider que ce serait durant mes 15 jours de vacances (qui ont coïncidé aux 15 premiers jours de confinements...) Bon, en bonne accro j'ai finis mes miettes de tabacs le lundi 16 et j'ai arrêté le mardi 17 mars. Je me suis motivée pour aller marcher tous les jours et je courrais même par moment, malgré ma bronchite asthmatiforme... Alors que j'ai horreur du footing!ça à durer le temps de mes vacances et je retrouvais du dynamisme. Dans un sens, le confinement m'a aidé, du moins au départ, car moins de sollicitation... L’arrêt est beaucoup moins facile depuis ma reprise du travail( 3h par jour en vente en boulangerie, avec un masque et un essoufflement du à ma bronchite) et le stress soit d'avoir le coronavirus et de le refiler aux clients âgés, soit de le choper vu l'état déjà lamentable de mes poumon... Ma reprise du travail à concordé avec un arrêté préfectoral d'interdiction des sentiers côtiers, chemin sur lequel je faisais mon heure de marche intensive.. J'ai arrêté de faire du sport à ce moment là, par contre je n'ai pas arrêter de compenser avec la nourriture, et ce ne sont pas les pommes qui remplace le mieux l'envie de cigarette chez moi! J'ai tenu une semaine au travail et là je suis en arrêt jusqu'au 21, avec pas mal d'angoisse et crise "d'immobilisme" pour ne pas être tentée... Du coup, vu que je mange beaucoup trop j'ai vraiment grossi et je me vois mal faire un régime en ce moment... Je ne suis plus motivée pour le sport non plus alors je désespère un peu car si je continu comme ça je ne vais plus rentrer dans mes jeans quand je reprendrais le travail..J'avais déjà un vingtaine de kilo en trop avant l’arrêt (cadeaux de mes diverses tentative d’arrêt...) C'est comme si une addiction à la bouffe avait remplacée celle à la cigarette et je n'ai aucunes clefs pour y faire face... Je me sens assez dépassée même si je reste déterminée pour restée non fumeuse... Bon, malgré tout je reste fière d'avoir réussi à tenir jusqu'à là et j'espère pouvoir trouver un truc pour mes crises de boulimie.... Si vous avez des tuyaux... Que la force soit avec nous ;-)...
Partager sur:     

Loli (54 ans)
Nationalité belge
13 mai 2004

Bonsoir a tous..ma premiere cigarette a 14 ans.Voila 6 ans apres des examens important,le choc : emphyseme avancée..J'ai essayer plusieurs fois d'arreter rien a faire..je me dit que je suis face a une mort lente et horrible, mais rien n'y fait. Mes enfants savent,ils ont 38 30 23 et 17 ans et tous fumeurs,c'est ce qui me désole le plus car j'en ai une grande responsabilité,peut etre le jour ou je n'arriverai meme plus à respirer sans aide ce jour là, ils y croiront. Cela n'arrive pas qu'aux autres...Savoir dire NON est plus courageux que de commencer à fumer par peur du regard des autres. Savoir que l'on aurait put vivre et que par betise et égoisme ont s'est préparé sa propre mort, car on est seule face a ce choix..FUMER ou VIVRE...COURAGE a vous tous.
Partager sur:     

Anne (38 ans)
Nationalité Suisse
01 août 2002

J'ai commencé à fumer à l'âge de 16 ans (5-15 cigarettes par jour). Heureusement(?) pour moi, je n'ai jamais été totalement accro, ce qui m'a permis d'arrêter (et de recommencer...) bien des fois. Aujourd'hui j'arrête et c'est les mots d'une personne que j'estime énormément qui me servent de soutien et que je souhaite partager avec vous. Elle m'a dit un jour que, pour mener à bien une résolution, quelle qu'elle soit, il fallait "les quatre D": le Désir, la Décision, la Détermination et la Discipline.
Partager sur:     

s (62 ans)
Nationalité francaise
10 juillet 2007

j'ai lu tous les messages pour m'aider, mais rien n'y a fait, j'y vais des que le sommeil ne vient plus ca va faire a midi 4jours que je ne tire plus sur la cigarette, je prends des gums et je suis dans un tel etat de manque que c'est ahurissant, parfois je n'arrive meme plus a reflechir, j'ai un brouillard dans la tete et suis comme un lion en cage, mes nuits sont entrecoupees de reveils et je n'ai qu'une envie c'est de mourir je pensais qu'apres les cigarette light ce serait plus facile que les autres fois, mais ca a l'air d'etre bien pire, j'ai arrete plusieurs fois plus de deux ans, je ne pense pas cette fois ci tenir tous ces mois si au bout de 4 jours je ne sens rien, a part ce manque de plus en plus fort
Partager sur:     

Emmanuelle (49 ans)
Nationalité Française
14 mars 2018

Bonjour, j'ai arrêté de fumer grâce à l'hypnose . J'ai commencé à l'âge de 17 ans . J'ai essayé d'arrêter plusieurs fois par différentes méthodes ( Patch , Acupuncture , médicaments ...) ... sans succès. Puis une amie m'a parlé de l'hypnose . Il faut un minimum de motivation mais cela fonctionne. Avec douceur, comme une évidence, un changement de vie naturelle .. Cela fait 5 ans et je suis très heureuse .
Partager sur:     

Céline (42 ans)
Nationalité française
19 mars 2013

J'ai choisi d'arrêter de fumer le 18 février dernier, les 4 semaines qui viennent de s'écouler m'ont procuré d'intenses moments face à moi-même... C'est une expérience riche en enseignement personnel, je vous encourage sincèrement à éteindre votre dernière cigarette dès maintenant et je vous souhaite de belle retrouvailles avec tout votre être, corps et esprit, cela en vaut vraiment la peine !
Partager sur:     

Brigitte (38 ans)
Nationalité belge
01 février 2008

bonjour à tous, j'ai arrêté ce 14 janvier 2008, c'est ma troisième tentative....cela fait 17 jours que je n'ai plus fumée 1 seule bouffée mais là franchement, je n'en peut plus, je me bats tous les jours pour ne pas craquer...c'est dingue comme cela m'obsède par moment...la journée se passe bien, mais une fois le soir venu, là j'ai vraiment du mal....en plus tous ces gens qui me demande si je tiens le coup, on dit que ça aide, mais moi,ça m'aide pas, j'ai l'impression qu'on attend de voir quand je vais craquer et je me sens prête à replonger et j'ai peur...enfin voilà, j'avais un gros besoin de pousser ce "coup de gueule"...j'ai l'impression que cela paraît facile pour les autres d'arrêter, mais pour moi cela n'est pas facile du tout!!! je ne sais même plus ou est ma place, fumeuse ou non fumeuse? je ne comprends pas ressentir toujours aussi fortement l'envie après 17 jours d'arrêt, bref,la cigarette m'obsède, je ne veux pas la laisser reprendre le contrôle de ma vie, mais le combat est dure!!!! et pas gagner d'avance, de plus, elle est partout...je travaille dans une station service et je vends des dizaines de paquets par jour, mes amis sont quasi tous fumeurs....j'ai l'impression d'être plus mal dans ma peau en tant que fumeuse abstinente qu'en tant que fumeuse tout court, et ça n'a aucun sens....
Partager sur:     

Isabelle (33 ans)
Nationalité Française
05 octobre 2007

Bonjour à toutes et à tous ! Les courageux, les adeptes des défis, ceux/celles qui n'ont pas le choix, ceux/celles qui ont peur mais qui voudraient y croire... Nous sommes toutes/tous différents mais toutes/tous là pour les mêmes raisons. J'ai laissé un premier témoignage, il y a 3 ans, vous pouvez le trouver en faisant une recherche avec le mot "Scylla". Et comprendre ainsi peut-être pourquoi je suis à nouveau là. Actuellement en plein nouveau défi de perte de poids (on n'a rien sans rien mais ça va, ça part bien) j'ai lu des demandes de personnes voulant arrêter de fumer et je les ai envoyées ici. Ce site est génial, il peut vraiment vous aider, et j'en sais quelque chose ! 3 ans d'arrêt !!!! Victoire, victoire, victoooooiiiire !!! N'ayez pas peur de vous aider les uns les autres, n'hésitez pas à poster vos craintes, vos appels au-secours. Usez et abusez de ce site ! Il est là pour vous, rien que pour vous, pour vous tous et vous toutes ! Aujourd'hui je suis fière de pouvoir remercier encore stop-tabac, et j'espère bien le faire à nouveau dans 10 ans, dans 20 ans ! Donc merci stop-tabac, merci les personnes merveilleuses qui m'ont soutenue à l'époque difficile. Je ne vous ai pas oubliées et je n'oublie pas non plus cet ancien combat. Je le garde présent à l'esprit en permanence. Allez-y ! Foncez !!!
Partager sur:     

dominique (48 ans)
Nationalité francaise
18 décembre 2003

J'ai arrete de fumer le 12 février 2003, j'ai mi 1 semaine des patchs que j'ai vite oublié car je faisais une allergie. J'ai adhérer à votre site et je me suis exprimée tous les jours pendant 1 mois, cela m'a peut être bien aidé et surtout donné un défi en me disant que j'avais tenue encore une journée. Maintenant cela fait 10 mois sans en reprendre une seule, cela ne me manque pas, je respire mieux et je suis plus compétente dans mon sport la natation. Quant aux kilo en plus je n'en ai pas pris tout dépend de la volonté de ne pas grignoter ou alors comme moi une pomme à 10h et 16h et 4 clémentines dans la journée. Je vous garanti que de la part de mon entourage, j'ai une mine superbe et un tein moin grisatre. Enfin merci pour votre site il aide beaucoup et un peu de volonté et le tour est gagné.
Partager sur:     

Séverine (28 ans)
Nationalité Francaise
21 janvier 2004

Bonjour à tous, Ex fumeuse depuis 5 mois (je fumais 15 cig / jours pendant plus de 10 ans) J'ai stoppé la cigarette sans aide médicale. Je voulais juste dire à tous les fumeurs qui veulent arrêter que ce n'est pas impossible et que finalement la vie est beaucoup plus belle et agréable sans tabac. Vous verrez quand vous aurez réussi vous serez fier de vous comme jamais. Surtout si l'envie d'une taffe revient essayez de lutter ; mais même si vous craquez ce nest pas grave ca fait partie du sevrage ; cest un challenge personnel. Je me sens beaucoup mieux physiquement mais aussi moralement, la pèche le matin au réveil, jamais fatiguée, monter les marches 4 à 4, bref que du bonheur. Bon courage à tous
Partager sur:     

Isabelle (30 ans)
Nationalité FRANCAISE
22 juin 2004

J'ai eu beaucoup de mal à prendre la décision d'arrêter, c'est ce que j'ai trouvé le plus difficile. Je manquais de motivation réelle. Je n'étais pas malade, financièrement je m'en sortais... Par contre je détestais fumer depuis un moment : l'odeur, le goût, la fumée... je supportais de moins en moins. D'après différents tests, je n'étais pas dépendante à la nicotine mais j'avais une forte dépendance psychologique, la cigarette réconfort en période de stress, la cigarette contre l'ennuie etc J'ai donc décidé que la date limite serait celle de l'anniversaire de mes 30 ans (qui n'a pas entendu 50 fois qu'il fallait arrêter de préférence avant 30 ans ?). Entre-temps, j'ai appris que je devais me faire opérer (rien de grave) et qu'il serait appréciable que j'arrête de fumer ensuite, ce qui m'a motivée un peu plus encore. Quelques difficultés financières au mois de mai ont fait que je n'avais ni l'envie ni les moyens de racheter une cartouche de plus pour finir le mois (je fumais + d'un paquet par jour parfois). J'ai donc acheté le nombre de paquets nécessaire pour pouvoir fumer ma dernière cigarette le dimanche 23/05 au soir, me disant qu'il serait plus facile d'arrêter en début de semaine (mon lieu de travail est non fumeur). Et voilà... dimanche 23/05/04, à 21h45, dernière cigarette du condamné... à vivre, lol ! Elle n'était pas super bonne en plus ! Bref... La première journée a été la plus difficile pour moi, j'ai cru que j'allais exploser, pleurer, tuer, devenir folle !!! Le soir même j'ai acheté un pack homéopathique, quelques dizaine de paquets de chewing-gum et de bonbons sans sucre, j'ai jeté tous les gâteaux et chocolats qui traînaient dans mon placard et me suis préparée une monstrueuse assiette de haricots verts. Le lendemain après-midi ça a commencé à aller mieux, et ça n'a fait qu'aller mieux tout au long de la semaine. Après il y a toutes les premières fois à passer : premier café le matin, premier café après le travail avec les copains fumeurs, 1ère soirée en boîte et apéro avant avec copains fumeurs etc... J'ai craqué 2 fois, le premier week-end en boîte de nuit j'aurais tué pour une cigarette, un copain m'a laissé aspirer une bouffée sur la sienne et je me suis rendue compte que c'était comme si je n'avais jamais arrêté, ça m'a fait peur !! Le deuxième week-end, j'étais super stressée, mal dans ma peau, pleins de problèmes m'étaient tombés dessus, apéro enfumé, j'ai aspiré un autre bouffée. Nous sommes aujourd'hui le 22/06/04, demain je fête mon premier mois avec deux écarts (2 bouffées) dans les 15 premiers jours. Je m'y attendais et ils ne m'ont pas fait culpabiliser. Depuis j'ai résisté à chaque envie de fumer en prenant sur moi. Je me suis faite opérée depuis et ça ne s'est pas trop bien passé... J'ai ressenti d'horribles douleurs (j'ai encore mal aujourd'hui après + de 2 semaines). Sachant que je ne supporte pas la douleur, j'ai traversé la pire période de stress que l'on puisse imaginer, j'ai ressenti un besoin de compenser en tenant une cigarette, même pas envie de fumer, juste de tenir la cigarette pour m'occuper les mains et l'esprit ! Et bien j'ai résisté ! (mais qu'est-ce que j'ai mangé comme chocolat !) Aujourd'hui je me sens optimiste, j'ai passé le plus difficile ! Alors allez-y vous aussi ! Croyez en vous et n'ayez pas peur de rechuter, vous êtes encore plus forts après !! Le plus difficile c'est de prendre une décision, pas de s'y tenir...
Partager sur:     

SOPHIE (57 ans)
Nationalité FRANCAISE
09 janvier 2015

Bonjour, je me suis arrêtée le 5 janvier. Stop-tabac.ch m'a beaucoup aidée. La cigarette électronique aussi, car elle me permet de conserver ma "tétine". Je commence d'ailleurs à baisser le dosage de mes recharges car j'avais le sentiment d'être en surdosage... Depuis 2 mois environ, je cherchais une solution efficace pour me faire soutenir. J'ai contacté votre homologue français, leur demandant s'ils connaissaient des associations proposant des soutiens type "fumeurs anonymes". RIEN! La grande chance, c'est que cette fois, mon mari et mon fils aîné ont également décidé d'arrêter. En effet, mes précédentes tentatives avaient échoué car j'étais trop tentée par les cigarettes qu'ils laissaient traîner. Grâce à cette synergie, pour la 1 ère fois, je n'ai pas ressenti de manque, ni, surtout, de phénoménales crises d'angoisse. Jusqu'à présent en effet, je me sentais incroyablement frustrée lors de mes tentatives d'arrêt. Le manque était surtout psychologique! Une souffrance folle, comme si mon "enfant intérieur" protestait contre la disparition de sa tétine. J'ai rempli à ce sujet un questionnaire que vous m'avez adressé car je trouve en effet très utile ce travail de recherche d'une meilleure compréhension des mécanismes du tabagisme. Je retrouve mon souffle, des capacités de travail décuplées, une meilleure mine et une sorte d'envie de vivre, de faire plein de choses, c'est incroyable ce que je me sens boostée. Je me suis arrêtée avec mon mari il y a 1 an et demi pendant 1 mois, mais j'ai compensé avec du vin et des gâteaux, ce qui m'avait prendre quelques kilos (heureusement perdus aujourd'hui). Il ne faut absolument pas compenser! Je me suis arrêtée également de façon significative, avec mon mari, de 2000 à 2005. C'était une nécessité. Je lançais un journal, j'avais un travail de folie et je n'aurais jamais pu tenir. Je me suis également arrêtée de 17 à 18 ans et de 29 à 30 ans. Tous ces arrêts m'ont aidé à voir qu'on pouvait très bien vivre sans tabac, mais je me souviens aussi qu'il me manquait des stimulants. C'est ce qui me fait le plus peur encore. Heureusement, la cigarette électronique occupe le terrain de façon assez efficace. L'impression de conserver une "attitude". A suivre, donc. Sophie
Partager sur:     

dany (54 ans)
Nationalité française
21 janvier 2015

Bonjour, moi j'ai arrêté brutalement le 12 janvier après la marche : "tous Charlie"; en effet défiler pour la liberté est une chose merveilleuse malgré la tristesse de l'événement et j'ai compris à ce moment là à quel point j'étais dépendante du tabac! cette dépendance me bouffait la vie ! j'ai déjà arrêté plusieurs fois : 2 ans, 6 ans, 1 an, 1 an et demi ! mais je replonge sur des coups de colère ! Là ça fait une semaine et j'ai craqué deux fois suite à des accrochages bénins avec mon époux ! Tout est prétexte à flancher ! deux cigarettes en une semaine c'est toujours mieux que 13 par jour ! mais je dois en rester là ! J'utilise des patch à 14 mg, deux gommes environ par jour à 2 mg, et un peu de vaporette manière ! Courage à tous on va y arriver en se soutenant ; mon souci actuel c'est le poids, déjà 500gr, et je rechute souvent à cause de ça....donc diététicienne sous peu.
Partager sur:     

Joëlle (50 ans)
Nationalité Suisse
31 mai 2017

Bonjour je viens d'avoir 50 ans, il y a 865 jours que j'ai arrêter de fumer et ceci grâce à Champix et ma volonté, j'ai commencé à fumer je pense que je devais avoir 16 ans avec les copines, durant toutes ces années j'ai essayé à 3 reprises d'arrêter la fumée, la première fois sans rien prendre, j'ai recommencé, la deuxième avec le Zyban, ça n'a pas du tout été et la troisième était la bonne merci Champix. Alors toi qui me lis et qui fume toujours essaie vraiment d'arrêter de fumer car c'est vraiment pas top la fumée ça tue et quelques soit ton âge je suis sûr et certaine que tu peux y arriver.
Partager sur:     

Maud (33 ans)
Nationalité Canadienne
09 août 2021

Bonjour ! Je m'appelle Maud et j'ai témoigné il y a un peu moins d'un an sur ce site, lorsque j'ai arrêté de fumer. Ca fera un an dans quelques jours et je suis fière, extrêmement fière. Je témoigne aujourd'hui pour vous dire que oui, c'est possible. Je fumais un paquet par jour il y a un an. Je ne touche plus une cigarette et ce n'est pas un supplice, c'est un bonheur. Croyez y, tentez le, retentez le. Et dites "merde" aux gens qui ne croient pas en vous. Trouvez vos motivations, écrivez vos motivations, partout, chez vous, au bureau, en voiture (vive les post it !) Je dit souvent que je viens de passer une année en "é" : j'ai pleuré, insomnié, enflé (+ 10 kg !), boutonné tout l'été... mais j'ai réussi. Je me suis donné un an pour "évacuer" la cigarette ! Voilà le constat : * j'ai pleuré des heures entières, sans raison apparente : mes meilleures amies ont cherché des heures entières à savoir pourquoi je pleurais "pour rien". On a finit par en rire... moi, toujours en pleurant ! Et ça passe. J'ai retrouvé ma pêche légendaire ! * j'ai insomnié... ben oui, ça m'arrive encore. Je prends le bon côté des choses... lait chaud avant d'aller me coucher, tisanes relaxantes, musique douce, bain avec bougies et huiles essentielles. Ma fille adore. Moi aussi... Pas si désagréable que ça de soigner les insomnies ! * j'ai enflé... Ah ça... c'est vraiment désagréable ! Mais j'avais accepté l'idée que ça pouvait arriver et je pense que ça a contribué largement à ma réussite. Une année bouboule contre une vie plus saine. Je prends. Et là ça y est... En m'attaquant aux haricot verts plutôt qu'à la plaque de chocolat, la balance recommence à sourire. Mes fringues aussi. Et moi, je n'en parle même pas ! * boutonné tout l'été... là, les filles (et les garçons), c'est l'occasion ou jamais de vous ruer chez l'esthéticienne pour des soins du visage. Du temps pour vous, on s'occupe de vous... Si c'est pas le bonheur tout ça !!! Je commence ma nouvelle vie saine d'ex fumeuse. Entre nous, si j'ai eu suffisamment de volonté pour réussir à arrêter de fumer, c'est donc que je peux avoir suffisamment de volonté pour beaucoup, beaucoup, beaucoup d'autres choses, non ??? Waouh !!!
Partager sur:     

Anonyme (39 ans)
Nationalité française
28 avril 2020

Bonjour. 5ème jour sans tabac. Je ne pensais pas que ce serait si dur. J'avais déjà arrêté (pendant 7 ans!) en devenant maman. Ce fut tellement simple à l'époque que j'étais très sûre de moi pour cet arrêt définitif. Sauf qu'en me retrouvant enceinte, j'avais l'esprit si occupé, j'étais si "remplie" qu'il ne pouvait y avoir de place pour du tabac. Or cette fois ci, il n'y a aucune substitution psychologique, et ce que je ne savais pas, c'est tout ce que la cigarette accompagnait dans ma vie: un café, une discussion, un moment de solitude, une réflexion, un ennui, une colère, un moment social, une joie, un verre, une lecture, une musique, une attente, un trajet, un repos "bien mérité"... Désormais, ces instants je dois les vivre seule avec moi-même. Et c'est cela qui est si dur, qui m'empêche une fois de plus de dormir cette nuit. La cigarette était la solution pour ne jamais être confrontée à moi-même. Pour ne jamais être révélée aux autres non plus. Elle donnait de moi une image que j'estimais plus intéressante que ce que je reflète sans clope à la main. Maintenant je dois vivre sans mensonge. Et je vais y arriver. Ne serait-ce pour ne plus jamais revivre le calvaire que je vis, cette obsession encore presque permanente. Pour pouvoir me regarder avec fierté aussi. En ne fumant plus, je crois que je ne me suis jamais autant respectée.Je me rends compte que je suis en train de réaliser LE travail de ma vie! Et je ne voudrais pas mourir sans y être arrivée. Et quand je vois des personnes fumer, j'arrive désormais à me dire: mince, y a un truc qu'ils se cachent et qu'ils ne veulent pas affronter, c'est triste et con pour eux. Et malgré l'allure très sûre qu'ils peuvent parfois dégager, je comprends qu'en fait ils ont super peur de se rencontrer!
Partager sur:     

anne marie (60 ans)
Nationalité francaise
08 juin 2018

cc! après l infarctus de mon conjoint ,j ai décide d arrêter la cigarette. POURQUOI ? LA PEUR Eh OUI DEPUIS 40 ANS JE FUME ,et là oups .......je veux profiter de ma retraite, de mes enfants, petits enfants et je me dis que 200 euros par mois se sera pour eux! merci
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Fumeurs

Anonyme (55 ans)
Nationalité France
21 septembre 2020

Bonjour, J'ai 37 ans de tabac à mon actif !... Je viens d'arrêter de fumer le 6 juin 2020. Ironie du sort, ce n'est pas moi qui ai décidé cet arrêt, mais mon corps qui me l'a demandé. Oui, aussi étrange que cela puisse paraître, je n'ai rien programmé ni calculé. Mon corps m'a dit : STOP �›�, et c'est ce que j'ai fait. Et heureusement !!!!. Car je n'étais pas loin de la catastrophe totale. Arrêt car plus de souffle du tout, y compris au repos. J'ai contacté un pneumologue. Rien aux poumons, mais par contre début de BCPO. J'ai quelques difficultés pour respirer alors il m'a prescrit un inhalateur (respimat). Bien au début et très vite des effets secondaires sont apparus : étourdissements, déglutition compliquée, bouche hyper asséchée. Alors, je l'ai arrêté et rien pris en contrepartie. J'ai été étonnée de supporter la gêne respiratoire sans traitement. Je suppose que le fait que j'aille marcher une heure chaque jour m'aide à récupérer du souffle. En revanche, je suis consciente qu'une BPCO est irréversible. Pour ma part, je vis l'enfer depuis un mois au niveau des effets secondaires du sevrage (difficulté à avaler et difficulté respiratoire dès la moindre pollution atmosphérique). Et comme la pollution est présente tous les jours ! Et bien, je peine tous les jours au moment du pic... Je pense que l'on ne parle pas assez des effets secondaires de l'arrêt du tabac et de leur durée. Il est tjrs fait les éloges des bienfaits de l'arrêt, ce qui une bonne chose. Mais les effets indésirables devraient être mieux pris en considération. Dans tous les cas de figure, l'arrêt du tabac, et quelqu'en soit le moment, est la meilleure chose que l'on puisse offrir à son corps.
Partager sur:     

Anonyme (48 ans)
Nationalité fr
02 mai 2020

Bonjour à tous, J'ai la trouille ! Je viens de décider d'arrêter mais qu'est-ce que j'ai la trouille ! J'ai établi un fichier excel avec un programme de remise en forme, etc ... télécharger l'app stop-tabac, j'ai VRAIMENT le souhait d'arrêter, cela me trotte dans la tête depuis pas mal de temps déjà mais ... et oui ! j'ai la trouille Le plus drôle dans tout ça c'est que je n'arrive pas à mettre le doigt sur ce qui me fait réellement peur, juste le sentiment que je vais quitter une amie et qu'on ne se reverra plus, quelque chose de cet ordre là ... Je ne vais pas me mettre la pression, peut être vais-je y aller de façon progressive, mon paquet est collé contre moi et j'en ai 2 autres dans la boîte à thé, au cas où ... Souhaitez-moi bonne chance, je vous donnerai des nouvelles, promis !
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Fumeurs

Emma (32 ans)
Nationalité francaise
21 août 2023

Je ne pensais jamais y arriver , moi qui fumait depuis mes 13 ans même les jours ou j étais malade.Voila un an déja je suis super fière.ça aura été un combat.J aurai dû apprendre a gérer mon anxiété, les insomnies sont arrivées et un an après tout n'est pas parfait j'ai eu beaucoup de désordres physiologiques mais ça en vaut la peine. j'avais utilisé 1 mois de petite vapote sans nicotine au cas où, 3 mois de patch ,la micronutrition. Faite vous ce cadeau et soyez patient avec vous même.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Sidonie (64 ans)
Nationalité Suisse
17 août 2021

Je fumais beaucoup et je me suis mise à tousser jusqu'à épuisement. J ai alors tout jeté et fait le tour de tous les recoins de la maison. Je voulais rien garder. Et maintenant après 5 mois d arret j ai retrouvé une nouvelle santé et un nouveau bien être. Et la LIBERTÉ si chère à mes valeurs. La tribu est un bon support une grande aide. Ainsi que toutes les stratégies de STOP tabac. Très efficace. Merci à la tribu . 😁👍👍👍🤣
Partager sur:     

Anonyme (41 ans)
Nationalité Francaise
07 janvier 2021

Bonjour à tous et à toutes, Ça fait bientôt 28 ans que je fume, je dois arrêter de fumer car j'ai de gros problèmes pulmonaires. Ça fait 1 jours et demi et j'ai arrêté et je n'ai qu'une pensée c'est fumer, je ressens un manque terrible. Est ce que ça va passer ? Si oui au bout de combien de temps, car j'ai l'impression que je vais crever. Merci pour vos réponses
Partager sur:     

Anonyme (28 ans)
Nationalité Française
09 septembre 2020

Bonjour, J'ai besoin d'aide. J'espère trouver quelqu'un qui va pouvoir nous aider. J'ai mon papa qui a 62 ans. Pour revenir en arrière et vous expliquer son passé avec sa grande copine, la cigarette. Il a commencé à l'âge de 14 ans et il n'a jamais arrêté de fumer ou alors sur une petite période. Elle l 'a toujours accompagné dans la vie dans les bons, comme les mauvais moments. Il est passé par des périodes pas du tout facile de la vie mais comme chacun. À l'âge de 50 ans premier signe de la vie, il a fait un infractus dans son camion car avant d'être à la retraite il était routier. Lui même s'est sauvé en appelant les pompiers. Il a pu s'en sortir avec l'aide de la médecine générale. Il était décidé à arrêter cette cigarette et a pris peur. Mais cela n'a pas duré longtemps aussi tôt l'arrêt maladie finit il reprend le rythme du travail et reprend sa grande copine. Et refume de nouveau 1 paquet par jour. Et voilà, au mois de juillet 2020 il me dit j'ai du sang dans les urines, et il me dit ce n'est pas la première fois cela m'a pris depuis l'âge de 60 ans mais avant ça ne durait pas longtemps. Là ça a duré trois jours et j'ai perdu du sang en grande quantité. Il va voir son médecin qui lui fait faire une échographie de la vessie , et là le verdict tombe il a deux polypes dans la vessie. Opération sous anesthésie locale avec ablation de ces deux polypes avec biopsie faites. Le résultat tombe samedi de la semaine dernière, ces deux polypes sont cancéreux. Il va avoir des rendez- vous médicaux qui vont compléter ce diagnostic. Aujourd'hui je l'ai eu au téléphone, je lui explique que je ne veux pas le perdre que je l'aime trop pour le voir partir maitenant. Je viens tout juste d'être maman et je veux que mon fils puisse partager du temps avec son grand père. La conversation est très silencieuse. Je lui demande d'arrêter de fumer. Il me dit mais j'ai déjà diminué je suis plus cas 7 par jours, mais je lui dis cette fois ci ce n'est pas diminuer mais arrêter complètement. La vie te fait de gros appels de phares, reçoient les. Pas de réponse silence dans la conversation. Je lui dis papa il n y a que toi qui peut choisir ce que tu veux pour ta vie. Je peux l'aider je suis hypnothérapeute je peux l'aider à arrêter de fumer mais il refuse. Il me dit je veux me débrouiller seul, et je peux le faire seul. Petit parenthèse il est seul dans sa vie n'a pas refait sa vie et il vit dans un appartement qui est imprégné de l'odeur de cigarette. Il ne sort pas beaucoup et n'a pas d'ami. C'est un homme très solitaire. Et lorsque je lui parle de la mort qu'il y a une personne sur deux qui meurt du tabac il me dit arrête avec ça. Comme un déni de la situation. Et aujourd'hui je vous demande de l'aide. J'aimerais avoir quelqu'un qui puisse l'intercepter, et qui puisse témoigner auprès de mon père de sa vie, de ce qu'il a pu vivre avec la maladie, avec un cancer, ou bien même les étapes pour l'arrêt du tabac enfin j'ai besoin d'une personne qui puisse lui faire ouvrir les yeux s'il vous plaît. Je le vois le 25 septembre pour qu'on discute ensemble. Merci à vous d'avoir lu mon témoignage. Et merci pour ceux qui vont y répondre. Merci du fond du cœur. C'est mon dernier espoir pour qu'il puisse arrêter.
Partager sur:     

Claudia (49 ans)
Nationalité France
25 mars 2021

Bonjour, je fumais 1 paquet par jour depuis 32 ans. J'ai commencé Champix début janvier , j'ai eu des effets secondaires nausées, nez bouché constamment, douleurs aux sinus quelques crises d'angoisses, elles n'ont pas durés longtemps et constipation. Ses effets ont durés 3 semaines. En suite le corp s'habitue et on le vie très bien, tout ça pour dire que ce médicaments m'a vraiment aider et j'ai arrêté de fumer au bout de 5 semaines progressivement. les 15 premier jours j'ai réduit à 10 cigarettes puis les jours suivant 8,5,2 pour finir à l'arrêt définitif. Même si les effets secondaire sont présents au départ cela en vaut la peine....
Partager sur:     

Patricia (52 ans)
Nationalité Francaise
25 avril 2019

Bonjour, J'ai commencer a fumer a l 'âge de 16 ans je n'avais jamais essayé d arrêter, puis le 7 Janvier de cette année j ai dit stop avec l'aide de patchs et d une vapoteuse, j'entame aujourd'hui mon 109 ème jours dont 27 sans patchs, je vapote toujours. Ca a été plus que dur les premiers jours la clope avec le café après les repas bref et les rêves les plus fous complètement débiles même mais l'envie est toujours la de moins en moins heureusement et elle passe très vite! Et dans ces moments la je me souviens de tout ce que je viens de vous écrire juste une taf sur une clope et j'aurai fait tout ça pour rien? Une chose est certaine je n'essaierai pas une seconde fois donc on peut tous y arriver mais il faut s accrocher alors courage!
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

sandrine (47 ans)
Nationalité francaise
14 juillet 2018

Ma bequille, mon antistress, ma meilleure ennemie..., je l'ai pourtant quitté il y a 6 mois ce soir exactement à l'heure où j'écris...pour moi, pour mes amours, pour la vie. Plusieurs tentatives d'arrêt ont émaillé'mon parours de fumeuse fidèle, depuis l'âge de 15 ans...durant 30 ans. Mal au dos...et si c'était un cancer...mal au ventre et si...mal à la gorge... STOP! Zyban, cigarette électronique., hypnose..et patch pour finir, il suffit de trouver la bonne solution pour en finir... 6 mois après je prends encore de grandes inspirations pour faire passer une envie fugace et ainsi j'apprécie un peu plus le souffle retrouvé. Je ne me sens pas guérie, je suis vigilante et tellement heureuse de vivre sans... Mes amis disent souvent que si j'y suis arrivé, tout est possible, alors allez y!!!
Partager sur:     

Elisabeth (56 ans)
Nationalité France
04 avril 2019

Bonjour. Je me prénomme Elisabeth et j'ai eu 56ans en Janvier 2019. J'en veux beaucoup aux médecins généralistes qui ne m'ont jamais prescrits pendant une 10 ène d'années un IRM ou un SCANNER des poumons malgré les problèmes que je rencontrais : manque de souffle de plus en plus, voix enrouée , maux divers dans la poitrine. Je demandais à faire tous les 2 ans des radios des poumons car j'étais fumeuse depuis longtemps pour détecter avant l'URGENCE un souci. Hélas en 2018 j'ai été très malade, perte de poids jusqu'à tomber à 37kilos, souffle de plus en plus difficile, loisirs et quotidien difficile, travail impossible...... j ai été hospitalisée en septembre et j'ai passé un IRM et un SCANNER DES POUMONS et là.... EMPHYSEME BILATERAL TRES DESTRUCTEUR détecté. Le mal est fait et personne ne m'a dit avant que par les RADIOS ON NE DETECTAIT RIEN (elles étaient toujours bonnes )!!!!!! Maintenant j'ai arrêté de fumer en une seconde et ça ne me manque pas du tout. J'ai beaucoup de soucis de Souffle et d'endurance. Je ne peux plus pratiquer certaines activités, loisirs et quotidien sont devenus difficiles. MERCI AUX DOCTEURS qui ne sont pas compétants et qui ne cherchent plus à faire du vrai travail d'aide aux patients.!!!!! Je garde le moral malgré les moments difficiles car je ne veux pas que la maladie me le bouffe... Tout en sachant qu'elle risque de m en faire voir de plus en plus. IL FAUDRAIT FAIRE DES PUBLICITES POUR PREVENIR CE MAL QUI VA TOUCHER BEAUCOUP DE MONDE MEME LES NON FUMEURS. Je vous dis courage .....
Partager sur:     

cécile (46 ans)
Nationalité francaise
04 mai 2017

Je viens de recevoir un mail du site Stop-Tabac.ch pour marquer ma date d'arrêt que je connais encore par cur, le 04 mai 2009. Aujourd'hui, je fête mes 8 ans de liberté après 25 ans de tabagisme. A l'époque, le site et notamment le forum m'avait permis d'échanger sur les difficultés du sevrage avec d'autres personnes concernées par les mêmes problématiques car l'entourage est compréhensif mais beaucoup moins au bout de quelques semaines !
Partager sur:     

Georgeta (48 ans)
Nationalité Roumaine
14 janvier 2024

Bonsoir, Me voici non fumeuse depuis 4 jours et je revis. Si moi j’ai réussi, vous pouvez tous le faire. J'étais dépendante durant 28 ans. Courage à tous!
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Lila (34 ans)

17 mars 2021

Bonjour cela fait trois semaines q j’ai arrêté de fumer.. c’était le mercredi des cendres parce q j suis tombée sur ce « terme » parce qu’il était temps. 20ans de dépendance, d la peine à faire d randonnées en montée, le souffle coupé le cœur battant la chamade.. à 35ans seulement. J’ai arrêté trois jours puis j’ai craqué fumant une latte .. la latte qui anesthésie le cerveau qui lui fout un coup et qui arrache les poumons. Pis j’ai arrêté le lundi suivant. Dur très dur quelle drogue d merde! L’état devrait interdire cette substance bien plus addictive et dont il m’a ete plus difficile d me séparer q d la Coke et du joint. Envies obsessionnelles d clope, envie d sucré (normal cette salope est composée d 20% d sucre!!!!), déprime angoisse désespoir. Arrêt sans substituts si c n’est du millepertuis en tisane pour l’humeur et du cynorhodon en tisane pour « arrêter l’envie d la bouche »... quand l’envie est forte un thé « lap sang » (thé noir au goût/odeur fumé) très efficace ... du sport pour libérer les hormones d bonheur! pis l’envie passe à chaque fois au bout d quelques minutes elle s’en va faut tenir bon. Au bout d quelques jours l’odorat revient... quel plaisir en c printemps. Et le goût (tiens j pensais savoir mieux cuisiner, tiens ils sont immondes c sandwich industriels q j mangeais à midi), j ressens d odeurs d’enfance... la pluie dans l’air , le gazon... j grimpe une montagne avec plus d souffle, j cours sans aucune gêne pulmonaire. J respire enfin! Et petit à petit j’oublie l’envie d cette salope. Ne surtout pas craquer quand la faim te ronge « avant l’heure » et quand l’envie d sucre te prend (le sucre étant également une drogue). Ne pas abandonner.. regarder d documentaires sur la mafia d cigarettiers/meurtriers pour savoir le meurtre parfait qu’ils ont inventé. Les premiers jours étaient très dur, j ne me considère pas encore comme non fumeuse ayant encore envie d cette salope d temps en temps... n’abandonne pas, ne désespère pas, les angoisses et déprimes sont aussi là pour boucler qqchose qui nous ronge depuis longtemps laisser passer avoir d la patience et confiance. La satisfaction mais surtout les bienfaits sont o combien délicieux. Un élément toxique important d moins dans ma vie. Dieu merci sans toi j n’y serais pas parvenue. Ayez confiance en vous et en dieu si vous croyez en lui. Vous arrivez à vous défaire du manque... il ne faut pas craquer même pour une latte une taffe la taffe d trop qui te ramène à l’état desclave.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme (27 ANS ans)
Nationalité France
29 décembre 2020

BONJOUR A TOUS JE SOUHAITAIS TÉMOIGNER DE MON ARRÊT DE FUMER 24 JOURS SANS UNE CIGARETTE NI MÉME UNE TAFFE JE PENSAIS NE PAS Y ARRIVER J AI COMMENCE LE TABAC ACTIF IL Y A 11 ANS J APPRÉCIAIS VRAIMENT FUMER ENTRE AMIS AVEC UN VERRE APRES MANGER QUAND J ÉTAIT AU TÉLÉPHONE AU VOLANT BREF JE FUMAIS UN PAQUET PAR JOUR PUIS J AI EU UN DÉCLIC UNE ENVIE UNE MOTIVATION ET J AI SAUTER LE PAS A VRAI DIRE LES PREMIERS JOURS J AI EU BEAUCOUP DE MAL J AI MÊME EU DES DIFFICULTÉS A GÉRER MES ÉMOTIONS TOUT ME RAMENAIS AU TABAC PUIS AU BOUT D UNE SEMAINE JE NE RESSENTAIS PLUS D ENVIE NI DE BESOIN ET LES BIENFAITS QUASI IMMÉDIATS M ONT MOTIVE LE GOUT L ODORAT LA RESPIRATION LE FAIT DE SENTIR BON FIN VRAIMENT JE REVIVAIS PUIS J AI DÉCIDÉ DE ME COMPLIQUER LA TACHE CÔTOYER MES AMIS FUMEURS MAIS SANS ALCOOL ET J AI RÉUSSI JE N AVAIS TOUJOURS PAS L ENVIE J AI DONC ÉTÉ PLUS LOIN BOIRE PLUSIEURS VERRES ET CÔTOYER DES FUMEURS ET LA J AI RESSENTI UNE ENVIE INTENSE DE FUMER UNE CIGARETTE JE PENSE QUE C EST L EFFET DE L ALCOOL J AI DONC PRIS UNE CIGARETTE DANS LES MAINS ET JE N AI PAS SU L ALLUMER PUIS CETTE ENVIE EST PASSÉE EN 3 MINUTES ET JE N AI PLUS RESSENTI LE BESOIN DE FUMER DE TOUTE LA SOIRÉE JE PENSE QUE JE SUIS SUR LA BONNE VOIX MES JOURNÉES PASSENT SANS QUE JE PENSE A FUMER J AI PERDU L HABITUDE ET JE SUIS FIÈRE DE MOI ET HEUREUSE DE NE PLUS ETRE DÉPENDANTE JE METS ENFIN DE L ARGENT DE COTE JE N AI PAS ENCORE PRIS DE POIDS NON PLUS APRES JE NE MANGE PAS PLUS QU AVANT FIN POUR TOUS CEUX QUI HÉSITENT FONCEZ VRAIMENT ET POUR LE COUP CETTE DÉPENDANCE EST VRAIMENT DANS LA TÈTE ET RIEN N EST IMPOSSIBLE.
Partager sur:     

Anonyme (65 ans)
Nationalité CH
22 février 2020

Merci de votre soutien, de vos mails qui m’encouragent et de la communauté. Ce n’est certes pas facile mais grâce à tout cela , je me sens moins seule.
Partager sur:     

priscillia (35 ans)
Nationalité francaise
22 août 2019

Bonjour à tous, Je voulais apporter mon témoignage et recevoir du soutien. Je suis en couple depuis 18 ans maintenant nous fumons tout les 2. nous avons bcp fait la fete ensuite ns sommes devenu parents et j'ai décidé d'arrêter de fumer environ 1 et demi après la naissance de ma fille et avant tout pour elle et ensuite pour moi. Car ne voulais que ma fille se retrouve avec aucun parents d'ici 10,20 ou 30 ans. Mon amis n'a pas suivi l'arrêt de la cigarette, il a essayer mais sans grande conviction. Moi j'ai arrêter il y a deux ans du jours au lendemain sans rien, juste moi. aujourd'hui mon couple subi mes humeurs différente d'avant et je pense que j'ai d'avantage grandi ou pas comparé a mon amis enfin je ne sais pas. mais je n'ai de patience en vers lui je dis les choses sans attendre alors qu'avant je ne disais rien et je laisser couler l'eau sous les ponts je me disait ça va passer............. alors du coup je me dit que je devrai peut être me remettre a fumer pour avoir de nouveau des moments partager avec mon amis et arrêter de m 'énerver pour rien
Partager sur:     

Marie-Laure (48 ans)
Nationalité française
29 décembre 2016

Cela faisait des mois sans doute même plusieurs années que je cherchais un moyen d'arrêter de fumer. Puis un jour lors d'une visite médicale professionnelle, le docteur me donna une photocopie avec le livre d'Allan Care "'c'est simple d'arrêter de fumer". La politesse me poussa à prendre ce papier mais sans aucune conviction. J'avais déjà tout essayé, les patchs, les médicaments et rien n'y faisait alors comment un livre pourrait venir à bout de cette dépendance. Je fumais environ 1 paquet par jour. Puis un jour j'ai malgré tout pris la décision d'acheter ce livre mais il resta encore un long moment dans mon sac sans que je ne regarde pas même la première page. Puis je fini par m'en saisir après tout je n'avais rien à perdre. Et je fus très étonnée de constater que je pouvais me passer de tabac et encore mieux sans aucun manque. C'était magique. Je n'en reviens toujours pas et du coup ne comprends pas que ce livre ne soit pas plus médiatiser. Sans aucun intérêt bien sûr je vous recommande d'essayer. Bien sûr je suppose qu'il faut que la motivation soit bien présente mais la situation du moment n'a quant à lui aucune incidence. J'étais moi-même dans des conditions qui au départ ne semblaient pas être bénéfique pour un essai et pourtant.... Courage à vous et partagez vos expériences
Partager sur:     

Anonyme (67 ans)
Nationalité française
11 novembre 2023

Premier jour d'arrêt avec patch et gommes, je n'ai pas envie de faire grand chose ....
Partager sur:     

annick
Nationalité fr
31 décembre 2017

Je ne fume pas et je n'ai jamais fumé, j'ai travaillé longtemps dans des lieux ou il y avait beaucoup de fumeurs et mon asthme est qualifié de tabagisme passif. Je viens d'aller au marché, c'est dimanche, je tenais mon caddie d'une main et mon autre bras était le long de ma hanche avec un sac en bandoulière. D'un coup j'ai senti une forte brulure... Une dame fumait et tenait sa cigarette bras ballants juste a coté de moi et m'a donc brulée Le marché ou il y a foule est-il normal que l'on fume ??
Partager sur:     
Catégories associées:
• Fumée passive
• Femmes

audrey (39 ans)
Nationalité France
21 décembre 2017

Bonjour à tous; j'ai arrêté de fumer ça fait un mois;et vos témoignages m'aide chaque jours. Ils me motivent encore plus à ne plus jamais fumer. J' ai commencé vraiment à fumer tous les jours à 16 ans jusqu' à il y à un mois ou j'ai été chez mon docteur pour une prescription de patchs et nicorette. A préciser que c'est rembourser par la caisse. Je fumais 1 paquet par jour des années dès le matin jusqu'au soir avant d'allé me coucher. Et pendant mes 3 grossesses. Je savais que j' avais un bébé dans le ventre et pourtant il me fallait ma drogue. Heureusement mes enfants n'ont rien. A peine j'allais au lit ce voile qui me faisait tousser et toussait pendant 30 minutes; jamais de confort en allant me coucher ;toujours cette toux. Aujourd'hui ça fait un mois passé et je ne tousse plus le soir en allant me couché; je respire à fond; je me sens tellement bien ce que je n'éprouvais pas avant. Après chaque repas je me lave tout de suite les dents. Je me suis acheté aussi des bonbons à la menthe; c'est agréable d'avoir une bonne haleine. Plus de café; tout ce que je faisais en fumant café cigarette.... je l' ai supprimé. Plus de café; je ne regarde plus de film je lis un livre dans mon lit à la place. Voilà je vous raconte mon début de vie sans cigarette et je vous encourage tous à arrêter car c'est vrai qu'on peut vivre sans cette drogue il faut vraiment le vouloir. Et ne pas attendre d'avoir une maladie pour arrêter. Je sais aujourd'hui que plus jamais je ne fumerais. Pour moi ce qui ma vraiment aider c'est de changer toutes les habitudes que j'avais avant et les substitut patch m'ont aidé aussi. Mon mari a arrêté aussi; en me voyant tellement bien je l' ai motivé. Et on n'a jamais fumer dans la maison avant j'en avait marre à ne de sortir dehors quand il faisait froid pour fumer.
Partager sur:     

Anonyme (28 ans)
Nationalité Marocaine
05 avril 2024

Cela doit faire 15 ans que je fume. Cela a commencé lorsque je voyais mes camarades de lycée fumer. Il y a 3 semaines environ j'ai dit stop la clope. Je n'aurais jamais cru y arriver, du jour au lendemain l'odeur m'insupportait, je ressentais de la nausée en en consommant, et je me suis dit " Et qu'est ce que ça fait de se libérer ? ", mon ami de 2 ans plus jeune que moi m'a avoué qu'à cause des cigarettes, une partie de son poumon s'est retrouvé inutilisable. Depuis, j'ai arrêté et pour rien je ne recommencerai !
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Manuella (22 ans)
Nationalité Française
08 février 2022

Bonjour, J’ai commencé à fumer à l’âge de 15ans très régulièrement un paquet de 20 me fessais 2/3 jours, j’ai vraiment eu la volonté pour arrêter, et du jour au lendemain j’ai réussi. Je fumais ma dernière cigarette comme chaque soir et je l’es regarder et je me suis dit « toi tu était la dernière » et je l’es jeter. J’en reviens toujours pas, mes proches au début ne m’on pas crus vu que je fumais excessivement, mais j’ai tellement l’envie que j’ai réussi. Pour ma part le plus difficile est sûrement les trois premiers jours, une fois une nouvelle routine installée on oublie l’envie de fumer.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Christine (55 ans)
Nationalité belge
17 février 2016

En janvier 2008 j'ai laissé un petit témoignage sur ce site, sous le titre "journal d'un tabagique". J'y relatais mon arrêt du tabac en 8 jours, grâce à une bonne motivation et au champix, un médicament prescrit par mon médecin. Ce fut un succès et à ce jour, 17 février 2016, je n'ai jamais repris cette mauvaise habitude. Pendant 6 mois à un an, j'ai encore ressenti quelques pointes d'envie... classiquement, après un bon repas par exemple. Mais j'avais conscience d'être réellement une tabagique. Je n'ai pas voulu prendre de risques! Courage à celles et ceux qui essaient d'arrêter. Bien à vous tous.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme (34 ans)
Nationalité France
09 décembre 2020

J'ai arrêté de fumer parce que je commençai à être essoufflée quand je montais des escaliers. Aujourd'hui j'ai pris tellement de poids que je suis plus essoufflée qu'avant l'arrêt du tabac ! Je suis dégoutée.
Partager sur:     

Christèle (45 ans)
Nationalité Française
08 mai 2016

Bonjour, J'ai arrêté de fumer le 27 septembre 2006, cela fait donc neuf années ! Ayant entendu le témoignage d'un collègue de travail qui a "rechuté" après 10 années d'arrêt, je ne me crois pas à l'abri pour autant ... Mais je suis pleine d'espoir ! Une rupture sentimentale, un déménagement forcé et la préparation d'un concours difficile (réussi !) ne m'ayant pas redonné le moins du monde "envie" ou "besoin" de fumer, je pense avoir tout de même franchi un cap. Je me sens libre et en bonne santé. J'encourage tous ceux qui ont même un petite velléité d'arrêt à oser faire l'expérience... Je pensais être fumeuse toute ma vie, peut-être est-ce le cas mais je suis une fumeuse qui ne fume plus ;-) Pourtant j'ai fumé au moins 15 cigarettes par jour pendant 20 années. Allez, c'est à votre tour de vous autoriser l'arrêt !
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme (50 ans)
Nationalité Française
27 décembre 2019

Bonjour à tous. Cela fait maintenant 7 mois que j ai arrêté le tabac. Quel bonheur après 30 ans de dépendance. J avais déjà arrêté 3 fois pendant mes grossesses, mais à chaque fois j ai été rattrapée par la dépendance. Aujourd'hui je me sens libérée de la cigarette. Je vous souhaite à tous de trouver la force de vous séparer de cette dépendance. Nathalie
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Sarah (45 ans)
Nationalité Suisse
01 avril 2022

Bonjour, Comme je vois qu'il est possible de laisser un témoignage sur ce site, alors c'est très volontiers que je vais relater mon histoire (en aucune façon je suis à même de pouvoir garantir être brève !). Pour commencer, avant toute chose, je tiens à signaler que je suis un cas complètement particulier. Un cas à part. Pour ne pas dire même un cas très, voire extrêmement rare. Alors, pour bien comprendre mon expérience avec la cigarette, il est nécessaire de remonter au mois de janvier 12 (donc année 12). Et de préciser que j'avais cru bon d'inviter un ex-copain (qui a d'ailleurs manqué de devenir mon "mec", il s'en est vraiment pas fallu de grand chose !). En effet, au cours de son séjour, et sur MA demande - je ne puis donc QUE m'empresser de réfuter toute allusion où "j'ai une influence absolument désastreuse sur toi", pour reprendre ses propres propos - il m'apprit à fumer. J'avais alors 35 ans : j'étais majeure, et donc adulte. Dans mon cas, le problème quasi habituel de la minorité ne s'est donc bien sûr pas posé. Alors que l'âge moyen normal habituel se situe entre 10 et 15 ans, j'ai fait mes expériences d'adolescente - tabac et alcool - avec 20 ans de retard. Je me dois de préciser que, cette nuit où j'ai tiré mes premières bouffées de cigarette, j'étais déterminée et décidée de commencer à un point tel qu'il aurait été nécessaire non seulement de me menotter, ou de me ligoter les mains dans le dos, mais aussi de me bâillonner. D'ailleurs mon ex-ami ne s'y est pas trompé : "wow, tu y mets vraiment de la volonté", m'a-t-il alors dit... Comme je l'ai dit, sauf à me menotter les mains dans le dos, ou à me les ligoter, et à me bâillonner, rien ni personne n'aurait jamais pu faire quoi que ce soit pour m'en empêcher. J'étais bien trop déterminée à "briser un interdit". Je me dois aussi d'ajouter, pour dire la vérité d'une part, et pour que mon récit soit complet d'autre part, qu'il arriva une nuit, au cours du séjour de cet ex-copain, ou j'avais décidé de faire l'expérience en connaissant l'ivresse. Ce qui fut chose faite, puisque j'atteignis un taux d'alcoolémie approximatif de l'ordre de deux grammes, selon son estimation (ceci rendu possible parce que nous savions que nous n'aurions pas besoin de nous déplacer avec mon véhicule). Bien sûr, mes premières bouffées de cigarette m'ont fait avoir les quintes habituelles qu'ont tous les novices. Oui mais voilà - et c'est là l'information clef pour la suite de mon histoire : je me suis rendue compte à temps, car c'était moins une avant l'addiction, qu'il est beaucoup plus simple de fumer en n'ingérant pas la fumée plutôt qu'en l'ingérant. Pourtant, ces quelques cigarettes ne furent pas suivies de beaucoup d'autres car, dès le printemps 12, c'est sans aucune peine, ni manque, que je ne fumai plus une seule cigarette, et ce pendant des années. Jusqu'à ce 14 mars 20 (= année 20), ou, dans le cadre d'une récente actualité (je m'exprime ainsi car je suis sûre que vous avez compris à quoi je veux me référer, à quoi je veux faire faire allusion), le gouvernement espagnol décréta un enfermement général des 50 millions d'espagnols. Et donc une paralysie quasi générale de l'économie espagnole. Initialement, cela ne devait durer que deux semaines, du 14 au 28 mars. Oui mais voilà : après moults prolongations, ces 50 millions d'espagnols, dont je fais partie, pour y être résidente depuis 10 ans, se virent enfermés 24/24 et 7/7 pendant un trimestre complet.. C'est l'ennui engendré par cet enfermement qui m'a poussée à aller m'acheter un paquet de Pueblo (une marque espagnole de cigarettes). Aujourd'hui, cela va bientôt faire deux ans que j'ai repris le tabac. Contrairement à nombre de fumeurs, et pour me référer au "détail clef" que j'ai souligné tout à l'heure, c'est parce que je n'ingère pas la fumée, mais bien parce que je l'exhale sitôt la bouffée prise - la fumée de la cigarette ne reste donc même pas une seconde dans ma cavité buccale -, que je parviens, sans peine ni manque, à limiter strictement ma consommation annuelle de cigarettes à 20. Oui : je fume un paquet par année, ce qui me permet de ne fumer qu'une cigarette de temps à autres, juste pour le plaisir. D'ailleurs, j'ai reçu, voilà peu de temps, la réponse d'un médecin tabacologue, me disant que "vous ne compromettez en aucune façon votre santé avec la consommation de tabac que vous m'avez évoquée. Vous faites partie des 5% enviés". Désormais, je sais parfaitement que, pour continuer de pouvoir m'accorder ce petit plaisir occasionnel, je me dois de toujours non seulement maîtriser, mais contrôler ma consommation de tabac de façon stricte. C'est à moi de contrôler la cigarette, et non l'inverse. Oui, il m'arrive d'avoir des envies de fumer. Pour y faire face, il me suffit de prendre ma cigarette électronique, et de tirer quelques lattes, et mon envie passe aussi vite qu'elle est venue ! Voilà, j'espère que mon histoire vous aura plu. Amicalement Sarah
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Fumeurs

Anonyme (47 ans)
Nationalité francaise
16 octobre 2020

Bonjour, j ai arrêté de fumer grâce a 1 séance d hypnose. Je suis trop contente, pas d'envie mais j ai comme une frustration c'est trop bizarre. Des expériences similaires ? merci beaucoup!
Partager sur:     

Laetitia (29 ans)
Nationalité française
14 février 2023

Bonjour, j'ai arrêté de fumer le mardi 7 février 2023. J'avais posée cette date quelques semaines auparavant en commençant à marteler dans mon cerveau qu'après cette date se serait finit. J'avais déjà arrêté durant deux années, entre 2020 et 2022. Le piège de la rechute: la soirée trop alcoolisée et la perte de la raison qui m'a fait me dire "Juste une cigarette, c'est pas grave". Mais c'est une drogue, "juste une" ça n'existe pas. Alors c'était reparti comme en l'an 40. J'étais pourtant convaincue que j'arrêterai à nouveau, parce que j'avais conscience que cette m*rde n'avait aucun avantage, absolument aucun. Avant cette fameuse date, j'ai donc fumé pendant plusieurs mois, avec dégoût de la clope et de moi-même. Dégoutée de l'odeur, les fringues qui puent, l'haleine fétide, la peau du visage salit, les dents jaunies, ma voiture pleine de tabac, de cendres... Je ne dirais pas que c'est moins grave pour un homme, mais pour une femme, c'est vraiment ce qui a de moins élégant. Et surtout le fait d'être une idiote droguée qui enfume son organisme sans en retirer aucun avantage, et en plus qui paye une fortune pour ça. Le mardi 7 février arrive, j'allume une dernière clope avant d'aller au travail. Je trempe les cigarettes restantes, mon tabac, mes feuilles, mes filtres dans le lavabo pour qu'elles soient inutilisables, et je jette le tout. Ce même jour je (re)commence à lire le livre d'Allen Carr qui va me faire un lavage de cerveau sur la dangerosité physique et psychique du tabac. Premier jour compliqué je dois le dire, j'ai eu l'impression de faire le deuil de qqchose. Je me suis même surprise à pleurer à chaude larmes à la vue de mon cendrier. Et les jours suivants, la libération. La fierté. L'apaisement. Ce qui m'a le plus frappé c'est la saveur des aliments. Je ne m'étais pas aperçue à quel point la clope m'avait retiré ça. Tout est savoureux. Et surtout, j'apprends à apprécier chaque instant de la vie. Quand on est fumeur, on passe son temps à attendre la prochaine clope sans apprécier le moment qu'on est entrain de vivre...quel gâchi! Même si parfois j'ai un instant de frustration, il s'évanouit aussi rapidement qu'il est venu en me rappelant alors qu'on a aucune raison de regretter la clope, ne serait-ce qu'"une seule". Elle n'apporte RIEN DE POSITIF. RIEN. La vie est tellement plus agréable sans elle
Partager sur:     

vieilledameindigne (83 ans ans)
Nationalité française
11 mars 2024

Mieux vaut tard que jamais! Non, ce ne sont pas les soupirs d'exaspération ni les remarques culpabilisantes de mon entourage qui m'ont décidée à cesser de fumer. Un certain samedi, il y a un mois de cela, j'avais fumé en compagnie de trois vieilles copines et j'avais dit : voyez, je n'en ai plus que dix dans mon paquet, lundi j'arrête. Et le lundi, j'ai arrêté. Sans machin de substitution. Ce n'est pas dans mon caractère de tergiverser. Trois raisons m'ont décidée : 1) la toux nocturne qui me réveillait toutes les nuits, 2) le prix du paquet devenu prohibitif, 3) l'angoisse, chaque samedi, de faire ma provision jusqu'au lundi suivant : j'habite à la campagne et, le dimanche, une fois la messe dite et la boulangerie fermée, le monde est désert, pas plus de tabac à l'horizon que de fontaine au Kalahari. Je tiens bon en dépit des effets secondaires dont je n'étais pas avertie et dont les sites Internet prétendent, à tort, qu'ils durent fort peu de temps. Malgré mon obstination à marcher cinq kilomètres tous les matins, malgré ma vie au grand air, saine et sobre, je dors très mal. En conséquence : je suis très fatiguée. Mais, parole de vieille dame, je continuerai de tenir.....
Partager sur:     
Catégories associées:
• Plus de 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Chèche (45 ans)
Nationalité Suisse
27 décembre 2023

Bonjour à tous, Cela fait 56 jours aujourd’hui que j’ai arrêté de fumer (bientôt 2 moi) avec une petite rechute un soir il y a un mois où j’ai fumé 2 cigarettes dans une soirée. Mais depuis rien! Je n’étais pas une grosse fumeuse et fumais en moyenne 5 à 10 cigarettes par jours parfois même il m’arrivait de ne pas fumer du tout après avoir trop abusé. Toutefois l’arrêt à quand même été dur, et au début je me suis aidée avec un substitut nicotinique. Aujourd’hui je ne prends plus rien et ça va, mais je suis dans un état de déprime assez constant et ça c’est le plus difficile. En plus j’ai l’impression de compenser par la nourriture lors d’apéros par exemple, et suis entrain de prendre des kilos. Ce qui m’énerve c’est ce sentiment que je devrais à présent me sentir mieux et plus en forme, mais qu’au contraire c’est pire qu’avant. Est-ce normal? Avez-vous vécu cela? Et est-ce que ça a passé? Merci de votre retour et de votre soutien qui m’est d’une grande aide!🙏🏻
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Sychou06 (53 ans)
Nationalité française
19 décembre 2023

Bonjour après une grosse bronchite que je viens de traverser et avec avertissement de mon médecin de l'intention d' arrêter de fumer cela fait 5 jours que je suis sans cigarettes mais avec des patch et des médicaments pour soigner ma bronchite. Alors au début c'était facile j'étais malade a tousser au point de m'arracher une cote donc je me disais pas de cigarettes sa va faire du bien a ta gorge mais la je commence a aller mieux et l'envie enfin ma conscience m'envoie des maux doux sur la cigarette je me trouve même a me parler à moi même pour la raisonner je n ai pas l'intention de craquer parce que mon état de santé habituelle m'oblige a arrêter mais combien de temps je vais tenir avant que ma conscience est raison de ma motivation j'ai des patch des gommes mais je voulais surtout savoir si vous aviez des astuces quand vous ressentez l'envie de fumer pour ne pas craquer moi pour l'instant ma motivation est de me dire que chaque jour gagné sans tabac est une réussite!!!
Partager sur:     

Soso (31 ans)
Nationalité Suisse
10 décembre 2023

Bonjour à tous. Fumeuse depuis mes 13-14 ans, j'ai réussi à arrêter plusieurs fois de fumer. Une fois, un an. Une autre fois, 3 mois. Une autre fois, 6 mois. J'avais repris jusqu'à il y a quelques jours. Sur un coup de tête, cela fait 36 heures que je n'ai pas fumé, suite à la prise de conscience que je "cramais" mes poumons en fumant. De plus en plus, mon corps me disait de lâcher cette substance pourrissant dans mon corps : je fais de l'asthme depuis peu (mais avant, non...), j'ai des douleurs aux poumons, le souffle inflammé (chaud/froid), je tousse, j'avais ces peurs de mourir d'un AVC ou d'un arrêt cardiaque. En plus de souffrir d'hypochondrie. Comme certains ici en témoignent, la peur est un grand levier du changement, pour moi c'est aussi le cas. Mais prendre conscience que je détruis ma santé, ma vie, et que peut-être j'ai atteint un point de non retour me motive encore plus à dire non à cette drogue!! Et retrouver un rythme cardiaque agréable au bout de même pas 2j d'arrêt me conforte aussi dans mon idée et mon choix! Mes thérapeutes me disent que ce n'est pas le moment; mais je vais leur prouver aussi le contraire : il n'y a jamais de mauvais moment pour s'arrêter de fumer!!!
Partager sur:     

Vera
Nationalité CH
29 septembre 2023

Chers amis et amies Je viens de lire le témoignage de Roger qui est absolument super et juste ! Je vais vous raconter l'histoire comment j'ai arrêté de fumer: Il y a bientôt 20 ans, on avait découvert que sur les feuilles de tabac se trouvait de la radioactivité. Un journaliste d'un journal télévisé, demanda à un cigarettier s'il n'y avait pas moyen d'enlever cette radioactivité sur les feuilles de tabac. La réponse du cigarettier fut: "OUI, MAIS CELA ENLEVERAIT LE BON GOUT DE LA CIGARETTE !!!" Cette réponse me mit dans une colère noire et ma réponse fut très vulgaire et du fond du coeur: "Maintenant tu arrêtes de te foutre de ma gueule!" (pardon pour la vulgarité). J'ai éteint ma clope et j'ai dit "maintenant c'est terminé" ! Et ce fut terminé. Je n'ai plus retouché une cigarette depuis ce moment-là. Ma décision a bien fait rigoler les collègues qui voyaient bien que je fumais env. 1 paquet par jour. Ma colère noire qui persistait m'a aidé à tenir. J'ai bien sûr compensé avec du chocolat +quelques kilos, mais qu'est-ce en comparaison de ma liberté? JE NE SUIS PLUS OTAGE ! J'ai retrouvé ma DIGNITE, je suis LIBRE, c'est MOI qui DECIDE de la suite de ma vie+ de ma santé ! J'ai un meilleur goût, un meilleur odorat et une meilleure haleine . Chaque année je me fais un beau cadeau avec l'argent économisé ! Courage, les ami(e)s ! C'est vous qui décidez et pas la clope ! Amitiés Vera.
Partager sur:     

Anonyme
Nationalité Francaise
03 septembre 2023

3 ans en essayant d'arrêter de fumer avec patch nicotine mais beaucoup de rechutes cependant je reste tj patche en espérant qun jour j'aurais cesser totalement le tabac car le tabac est tj la entrain de me réveiller
Partager sur:     

Angie (40 ans)
Nationalité Francaise
31 août 2023

Bonjour cela fais 1 semaine que j ai arrêté la cigarette, le plus dur c'est le matin encore parfois un peu irritable mais le patch et surtout les pastilles m'aident quand je suis en manque. Ne plus sentir la cigarette est tellement agréable et ne plus avoir mal à la gorge .Le parcours est encore long mais je compte tenir^'
Partager sur:     

Patty (59 àns ans)
Nationalité Française
05 août 2023

Le plus beau cadeau que je puisse me faire est celui d’arrêter de fumer, je crois que cela fait 2 semaines, je ne sais déjà plus que je fumais car j’ai commencé une nouvelle vie et aucun manque à constater, j’ai l’impression de n’avoir jamais fumé et c’est un sentiment merveilleux, celui d’être enfin libre et ne plus devoir sortir fumer et de s’isoler aussi en même temps. Il est vrai que je dors mal mais c’est une phase du sevrage et oui je somnole un peu mais c’est pas grave et je sens que mon corps peu à peu n’est plus sous l’emprise de la nicotine. J’étais malade quand je fumais et désormais je sais que comme l’alcool il ne faut jamais accepter cette cigarette et s’en convaincre tous les jours. Voilà je continue mon combat car cela en est un, mais j’avance pas à pas et seul l’instant présent importe. Rien n’est impossible, au contraire, notre force est notre persévérance et notre humilité car rien n’est acquis dans la vie. Merci
Partager sur:     

Anonyme (50 ans)
Nationalité Tunisienne
16 juillet 2023

13 jours déjà passés , et j'ai encore peur de l'échec Après presque 35 ans de tabac et plusieurs essais d'arrêter de fumer ces dernières années,j'ai prix la décision de profiter de stage que je dois passer loin de chez moi pendant 21 jours pour me libérer de la Cigarette. Aujourd'hui c mon 13 ème jour sans tabac mais ce diable est encore présent dans ma tête c un vrai combat il faut tenir bon a chaque envie je bois une tisane romarin menthe .. Je marche je courset je lis les témoignages j'ai des cigarettes a la maison quand je retourne à la maison les week end mais â ne pas toucher J'arrête ou je reste esclave avant de mourir
Partager sur:     

Patoche31 (63 ans)
Nationalité Francaise
11 juin 2023

Bonjour Cela fait presque 40 ans que je fumé ma volonté est d arrêter or je mets actuellement 2 patchs de 21mg ce qui ne m empêche pas de fumer de temps en temps bien sur j ai beaucoup réduit ma consommation de cigarettes je vapote aussi mais je ressens toujours le manque de cigarettes je me demande si je vais parvenir à arrêter tout
Partager sur:     

Marie (48 ans)

17 mai 2023

Le plus compliqué pour moi a été de prendre la décision de m´arrêter. Après, m´entourer des bonnes personnes, des bons outils m´aide énormément. Personnellement j´ai opté pour l´addictologue, l´acupuncture et l´appli stop tabac. Très utile et tres aidant. J´en suis à plus de 3 mois d´arrêt et très fière de ça.
Partager sur:     

Jawel (60 ans)
Nationalité Française
24 mars 2023

Bonjour, Me concernant, contrairement au témoignage d'Elisabeth, moi j'ai été prévenue assez tôt par un pneumologue de ma maladie respiratoire qui a débuté par une crise d'asthme aiguë et qui au final s'est avérée être un début d'Emphysème BPCO (Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive), dû principalement au tabac. et aussi, par d'autres facteurs allergiques, (taux d'humidité et à la chaleur excessive, pollen, etc...) Et malgré tout, une fois la crise passée et que j'étais totalement guérie, je reprenais aussitôt la cigarette, en ayant une consommation de 20 cigarettes/jour habituellement, et ce, depuis de nombreuses années, et par la suite j'ai été tentée de diminuer peu à peu ma consommation de tabac, je suis passée de 20 cig. à 15 cig/jour et jusqu'à mon infarctus en 2018, ainsi qu'une récidive par un autre infarctus survenu en 2020. Après quoi, j'ai dû continuer peu à peu de réduire davantage ma consommation, et cette fois-ci en passant progressivement de 15 cig. à 5 cigarettes/jour, et tout cela sans éprouver aucune difficulté. Et enfin jusqu'à mon dernier sevrage tabagique, datant depuis le début de février 2023, et bientôt 2 mois de sevrage total, depuis et jusqu'à ce jour, je ne ressens plus aucune envie de reprendre la cigarette. Et ceci, sans avoir recours aux substituts nicotiniques, mais plutôt grâce à la pratique d'une activité sportive régulière, ainsi qu'une alimentation équilibrée, et un apport important à la vitamine C. Me voilà à présent, déjà au bout des 2 mois d'arrêt du tabac, je me sens en pleine forme, et souhaite sincèrement ne pas devoir rechuter à nouveau et arriver enfin à me détacher définitivement de la clope afin de pouvoir retrouver un meilleur souffle et de me sentir ainsi beaucoup plus libre et toujours active, tout en continuant d'avancer en âge.
Partager sur:     

Agente 007 (51 ans)
Nationalité Canadienne
03 mars 2023

Bonjour, Aujourd'hui, je célèbre 20 ans sans fumée. Je suis très fière de cet accomplissement. Ça n'a pas été facile. J'ai bu beaucoup d'eau et mangé beaucoup de céleri pendant les premières semaines! Je consultais le site de Stop-tabac tous les jours et je lisais des témoignages pour m'encourager. Je prenais les envies de fumer une à la fois. Courage! Vivre sans fumer est une grande liberté!
Partager sur:     

Tabac59 (50 ans)
Nationalité Francaise
24 février 2023

J ai arrêté de fumer définivement il y a 24 ans, apres une consommation de tabac d une quinzaine d années et à raison de 1 paquet par jour les 2 dermières années. Je fumais dés le lever et avant de manger, très intoxiquée. J ai stoppé net, sans aide, ni traitement. Ca été très dur. Il faut compter 1 an sans fumer pour crier "victoire ". Pas avant. Attention, une fois le sevrage passé des 2 premières semaines, on rentre dans des périodes où tout va bien, où on a oublié la clope entrecoupées d'envie. Puis 6 ,7 mois après, on se réveille un matin avec une envie épouvantable de fumer comme si on avait arrêté la veille. C est démoralisant. C'est ça le plus dur. On m'avait prévenue. Ça a duré 1 semaine complète où j ai eu envie de fumer. J ai tenu bon. On m'a expliqué que çà peut revenir 1 an après l'arret. Apres cet épisode, ce n est jamais revenu. Je n ai jamais repris depuis 24 ans. J en ai gardé un mauvais souvenir et ne veut plus revivre cela. Je vis normalement, je cotoie des gens et des endroits où on fume et cela ne me fait ni chaud , ni froid. Mais en passant dans la fumee, je la hume et je me surpends à me souvenir du plaisir que j avais à fumer. Mais j ai tellement gagné plys en arrêtant...je n ai jamais regrette.... Voila mon expérience. Donc conclusion : 1 an pour arrêt. Ensuite, c est un travail intérieur. Moi, j étais décidé d arrêter , j etais convaincue et plus rien ne pouvait m arrêter. A partir de là , le mécanisme s enclenche. Ne pas attendre que tout aille bien dans la vie pour arrêter. Ce ne sera jamais le bon moment. On a tjrs des merdes dans la vie. J ai arrêté dans la période la plus noire de ma vie. Et j ai reussi. Ensuite pour pallier les grosses envies, je buvais un grand verre d eau et j allais respirer au jardin, puis je me disais :" voila je viens de fumer, je refumerai tout à l heure" . Et en fait le cerveau faisait comme ci il avait eu sa cigarette. Et ça passait. Voila quelques trucs . J aurai peut être du mettre patch, etc ...mais trop cher. J ai préféré garder les sous et m acheter un truc avec. Mais je ne vous cache pas, que ça n a pas été facile. Les gens qui vous promettent monde et merveilles, attention. .... il faut être convaincue dans sa tète, que c'est de la merde, que je peux vivre sans elle ...bon courage...
Partager sur:     

Anonyme (51 ans)
Nationalité française
22 février 2023

Bonjour, J'ai commencé à fumer à 14 ans. J'ai arrêté en 2008 et repris en 2015 en pensant que je pouvais fumer une cigarette pendant une soirée, ben non, votre cerveau reste connecté à vie, si bien que j'ai repris comme avant même plus. J'ai arrêté le 7 février. Je me sens bien, revivre... Les gens toxiques je m'en éloigne alors pourquoi pas supprimer ma meilleure ennemie la cigarette ! le premier jour a été difficile, l'impression d'avoir des litres de salive et toujours soif. Aujourd'hui je vais bien. J'ai arrêté du jour au lendemain sans patch, gomme.... J'ai simplement supprimé le café/clope et je bois du thé vert à la menthe, je n'ai plus mauvaise haleine, je ne suis plus fatiguée le matin au réveil, j'apprécie la vie tout simplement. Adieu cigarette !
Partager sur:     

Gaëlle (51 ans)
Nationalité Française
19 février 2023

Et voilà, le 20/12/2022 j’ai arrêté de fumer sans aide, je suis allé consulté le médecin 2 fois pour être encouragé…je fumais 25 cigarettes/ jour. j’ai déjà fait des économies et je revis à nouveau, j’avais arrêté une fois en 35 ans pendant 18 mois, cette fois c’est définitif, je ne craquerais plus ! Je ne flancherais plus jamais ! Je remarque que ça casse un peu les pieds au gens car ils aimaient me suivre pour fumer… et surprise une personne qui ne fumait jamais chez elle, fume à l’intérieur quand je suis là, c’est dommage ! Courage à vous!
Partager sur:     

Anonyme (59 ans)
Nationalité Francaise
01 février 2023

Bonjour à toute la tribu Alors moi j ai arrêter le 25 septembre 2022 car je toussais un peu, la gorge qui me grattait, donc j ai pris rendez vous chez mon médecin généraliste; elle me dit vous faite une allergie. ok je ne croyait pas trop mais bon cela faisait plus de 40 ans que je fumer 1 paquet par jour. j ai ensuite vu un gastro, je fais quelque jour plus tard une fibro, j avais déjà une gastrite en 2017 qui a ce jour n était pas gueri, donc resultat 3 semaines après gastrite chronique avec helico bacter et la ça m'a degouttée car c est une bactérie qui fait des ravages dans l estomac. j ai du prendre 12 antibiotiques avec 2 anti acide par jour pour l éradiquer donc depuis le 25 j ai décidé d arrêter la cigarette car elle y est pour quelques chose café cigarette plus stress voilà le résultat je n ai pas eu de manque du jour au lendemain j ai stoppé net et aujourd'hui cela fait 4 mois et une semaine et je sais que je ne fumerais plus pour ma santé je respire mieux j habite à la campagne je vis très bien je ne stresse plus et je me nourris bien aussi l odeur de la cigarette je la sens de très loin et ça me dégoutte, quelle odeur... on ne sent rendez même pas compte comme ça sent fort et pas bon voilà
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Eilora (58 ans)
Nationalité Française
24 janvier 2023

J'ai arrêté la cigarette depuis le 17 octobre 2017, en grande partie grâce à ce site, pendant six mois avant l'arrêt j'ai lu tous les témoignages, et un beau jour je me suis dit, si les autres y arrivent alors moi aussi, je fumais depuis 30 ans, à la fin 40 cigarettes par jour ,fumées, à la chaîne sans réel plaisir, enchaînée à ce tube nauséabond... Je n'avais jamais essayé de stopper. J'ai compris que c'était une addiction que pour en sortir c'est contre moi même ,que j'allais devoir me battre, pas facile tous le jours, mais au bout de 8 mois, un matin j'ai réalisé que c'était terminé, je n'avais plus envie et quel bonheur, quelle fierté aussi pourquoi ne pas avoir essayé avant??? Je n'ai rien pris, aucun substitut, il y a 3 mois j'ai accepté une taffe et j'ai vomi automatiquement, mon corps ne veut plus de ce poison, alors croyez en vous, le jour ou vous saurez que c'est fini, ce jour sera un jour de pur bonheur...
Partager sur:     

Valou (50 ans)
Nationalité française
20 janvier 2023

Ca y est je suis motivée comme jamais. Je m'essouffle même sans effort. J'ai peur. Peur de souffrir et d'en mourir. Mon mari ne fume pas et m'encourage. Mon fils qui a 25 ans ne fume pas et respecte mes choix mais il a peur que je tombe malade. J'avais réussi qd il était petit pour rester en vie pour m'en occuper. Là j'ai encore une grande envie de vivre longtemps. Il me reste des clops dans mon paquet, cela devrait durer jusqu'à dimanche puis je mets un patch. Je suis décidée bien que j'ai peur de déprimer. Pourtant j'ai déjà arrêté 7 ans. Je me dit que cette décision doit et sera définitive. Pas de porte de sortie à envisager. Je veux bien de l'aide de votre part. Et bien sûr j'ai aussi la crainte de me mettre à remanger n'importe quoi. Je me dit que je boirais de l'eau ou un déca à chaque envie. Si vous voulez me répondre. Je vous en serais très reconnaissante.
Partager sur:     

Anonyme (53 ans)
Nationalité Suisse
03 janvier 2023

Bonjour, Je pense qu'arrêter de fumer c'est dépenser plus : - Dépenser de l'énergie à "devenir stratège", sans compter qu'on ne pense qu'à ca (c'est l'impression que j'en ai) - Dépenser en substituts nicotiniques Il est importante que la motivation ne soit pas uniquement financière car, dans les premiers jours d'arrêt (les plus difficiles), on dépense un max ! Pourquoi n'y a-t-il pas de programme d'aide financière à l'arrêt? Quand est-ce que l'Etat comprendra que la fumée est une vraie dépendance au même titre que l'alcool et la drogue (même si c'est une dépendance moins dure.... enfin, ca, je n'en suis pas si sûre). Pourquoi les cures de désintox' (drogue ou alcool) sont prises en charge et pas celle pour arrêter de fumer ? Mes motivations ? une promesse faite à mon père sur son lit de mort (après une longue maladie due à la cigarette) et une autre faite précédemment à mon fils. Début décembre, j'ai décidé de fixer la date au 31 décembre ! à minuit, j'ai éteint ma dernière cigarette. Même si ca ne fait que 3 jours, avec substitut, je suis quand même fière de moi ! Je sais que la route va être longue, mais ma tête dure et moi, on va y arriver ! Un jour à la fois..... Avec la prière de la Sérénité et beaucoup de verres d'eau :o)
Partager sur:     

wombatine (42 ans)
Nationalité suisse
17 décembre 2022

J’ai arrêté de fumer grâce à Stop-tabac le 21 avril 2011. Le forum m’a énormément aidée, ainsi que les patchs et les bonbons à la nicotine qui m’ont soutenu jusqu'à 2 ans après mon arrêt lors de gros coups de stress. Je fumais un paquet et demi par jour depuis 15 ans, je toussais beaucoup et je ne pensais pas pouvoir tenir 24h sans cigarette. Tout est bon à prendre pour lutter contre la clope, tenez bon et acceptez toutes les aides, momentanément, pour sortir de cette dépendance absurde et pourtant si violente !
Partager sur:     

Helene (67 ans)
Nationalité France
15 novembre 2022

Bonsoir à tous !💕 J’ai cessé de fumer depuis le 26 juillet 2022 (jour où j’ai été opérée à cœur ouvert par le professeur LEPRINCE (hôpital de la pitié Salpetriere et que je remercie ici).La veille de l’opération je fumais encore. Depuis plus une seule cigarette, aucune envie, pas de traitement de substitution. Je suis comme « lobotomisee «  je suis étonnée car j’étais une grande fumeuse (plus de 20 cigarettes /jour)…. Et tous mes essais précédents ont été infructueux. Merci à la vie qui est sereine aujourd’hui pour moi et courage à tous pour continuer à être des non fumeurs !😻🤩
Partager sur:     

Ln (55 ans)
Nationalité Fr
14 novembre 2022

J'ai arrêté le 23 juillet et pour le moment tout va bien. J'ai utilisé des patchs et l'appli qui est vraiment top même si c'est dommage qu'il y ait qqs bugs. Ma chance a sans doute été que l'odeur de la cigarette m'a de suite dégoûtée. Les patchs fonctionnement vraiment super bien et c'est en fait facile d'arrêter avec (même avec un compagnon fumeur) N'attendez pas!
Partager sur:     

Mino (67 ans)
Nationalité France
07 novembre 2022

10 jours sans cigarette et beaucoup plus facile que ce je pensais ... Merci à Joëlle, la tabacologue qui m'appelle. Elle a su trouvé les mots rassurants sans me culpabiliser notamment lors d'une petite rechute il y a 3 semaines ! Encore bien sûr quelques envies fulgurantes ... le petit monstre n'est pas encore mort ! Alors je pense à mon souffle qui revient, à cette mauvaise haleine qui a disparu, et à la fierté que je ressens. Tout compte fait, il est plus facile d'avoir arrêté que de continuer à fumer en pensant tout le temps à diminuer ! Les emails que je reçois du coach ont aussi leur importance pour m'aider à tenir bon A bientôt pour continuer à donner des nouvelles
Partager sur:     

Anne-Laure (47 ans)
Nationalité Française
03 novembre 2022

J'avais peur d'être déprimée. Pas du tout ! Je suis très fière de moi, mes proches également. J'ai retrouvé une confiance en moi énorme, après environ 1 mois d'arrêt. Aujourd'hui, j'ai arrêté de fumer depuis plus de deux mois et franchement, c'est une réussite que je souhaite aux personnes dépendantes de cette saleté.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Titane65 (57 ans)
Nationalité Suisse
18 août 2022

315 jours sans cigarette. 315 jours de liberté. 315 jours en accord avec moi-même. J'ai fait une thérapie au laser, deux séances. Peut importe la solution utilisée pour se débarrasser de ce poison, c'est le résultat qui compte. Biensûr ce fut très difficile au tout début. Biensûr j'ai pris 4 kg. Biensûr j'ai eu des insomnies, un état dépressif et des sautes d'humeur. Combien de temps ? Je dirais 3 semaines durant lesquelles je me suis fait violence. Et un certain laisser-aller : j'ai mangé à peu près tout ce qui me passait sous la main. Puis les premiers résultats apparaissent : une plus belle peau, des économies d'argent, plus de souffle... beaucoup plus de souffle, des envies de bouger, une nouvelle jeunesse et un grand besoin de prendre soin de moi. Alors aujourd'hui après 10 mois, un rééquilibrage alimentaire et 8 kg de moins, je ne dirais pas que j'ai gagné mon combat, cependant mon arrêt a été le début d'une reprise en main totale. Sport, alimentation, relaxation et beauté. Et quand on me demande mon secret : je réponds tout simplement que j'ai arrêté de fumer.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Vro (47 ans)
Nationalité Francaise
24 février 2022

Bonjour, Aujourd'hui j'entame mon 4ème jour sans cigarette, j'utilise un patch pour surmonter mon envie de fumer depuis mon 1er jour d'arrêt... Toutefois c'est particulièrement difficile ce jour.😔. Mais je me dis que ça ira mieux après 10 jours de sevrage.🙂🙂💪
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

christele drak (55 ans)
Nationalité Française
20 janvier 2022

Après 3 tentatives d'arrêt, je suis arrivée à une conclusion qui est que le secret de la réussite.. Juste avoir l'envie d'arrêter, une vraie envie profonde et à partir de là, je pense que chaque personne à les ressources en elle pour stopper ce poison. Après je reste vigilante, nous restons à vie des ex fumeurs, donc méfiance..
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Cathy (59 ans)
Nationalité suisse
03 novembre 2021

J'ai quitté ma meilleure amie le 8 mai 2006, avec le Zyban, qui m'a enlevé toute envie de fumer. Vers la fin des 50 jours, j'ai commencé à diminuer la dose mais comme je commençais à me sentir déprimée, j'ai prolongé de 20 jours, en diminuant la dose petit à petit jusqu'à l'arrêt total du médicament. Et je n'ai plus jamais fumé depuis, alors que j'étais une grosse fumeuse depuis très longtemps. J'ai rêvé une seule fois que je fumais. Le matin, au réveil, j'étais soulagée que c'était seulement un cauchemar ! Je n'ai jamais repris la cigarette depuis. Par contre, je suis devenue intolérante à la fumée et à toutes les substances chimiques qui agressent les poumons. A mon avis, c'est normal, les poumons, contents d'être débarrassés de la fumée, disent "stop" à la moindre alerte ! Je conseille à toutes les personnes qui arrêtent de fumer de se tatouer "Ex-fumeur" ou "Ex-fumeuse" sur le cerveau, c'est ce que j'ai fait, pour ne pas succomber à la tentation de "oh ! seulement une taf" qui va se prolonger en "oh ! seulement une clope" et finalement amener à replonger encore pire qu'avant.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

pitouchou (24 ans ans)
Nationalité ivoirienne
31 octobre 2021

bonjour, je suis au bord du gouffre la cigarette me détruit petit a petit et je commence a devenir l'ombre de moi même! besoin de conseils afin d'y remédier. j'ai plusieurs fois essayer d’arrêter mais au bout de quelques semaines je retombe encore dans ce tourment il suffit d'une seule bouffée et je redeviens le train a vapeur que j’étais. j'en peux plus ma vie professionnel et social en sont affectés car on me regarde d'un mauvais œil lorsque j'ai une cigarette au bec. besoin de solution durable voir définitive svp. Merci
Partager sur:     

Sem (45 ans)
Nationalité Française
21 octobre 2021

Juste pour partager cela fait 1 an que j’ai arrêté et je souhaite vous dire que cela est possible et un grand merci aux personnes qui sont derrière ce site qui m’a permis de tenir dans les moments de doute.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme (34 ans)
Nationalité Inuit
13 août 2021

Le 19 août 2021 cela fera 2 ans que j ai arrêté de fumer. Le tabac a tellement disparu de ma vie que des fois j'en oublie avoir été fumeuse pendant 20 ans à raison d un paquet tous les 2 jours et d avoir mis en péril ma santé et mes économies... La vie est tellement mieux sans tabac! Le jogging çà n a rien a voir! Maintenant j aime courir et j arrives même a tenir 30 min! Je ne suis plus esclave, plus celle qui allait courir paniquée le dimanche dans les rares bureaux tabac d ouvert de peur de manquer. Celle qui faisait des provisions de clopes les veilles de jours fériés et qui allait se cacher pour fumer pendant les réunions familiales. Franchement... ne vous imposer plus cette torture et arrêter! Apres 2 ans je n y pense absolument plus, les gens peuvent fumer à côté de moi ça ne me fait rien...le cigarette n existe plus du tout dans ma vie! Je vous conseil à tous la méthode simple pour arrêter de fumer d Allan car et je remercie cette homme pour toutes les vies qu il a sauvé.
Partager sur:     

Véronique (52 ans)
Nationalité Suisse
09 août 2021

J'ai allumé ma première cigarette à 13 ans en vacances balnéaires. Mais je considère n'être rentrée dans le clan des fumeurs qu'à 15 ans, époque où j'ai véritablement avalé une bonne vingtaine de "clopes" par jour. Ca faisait bien et surtout nous étions bien moins sensibilisés aux méfaits du tabac. Ma maman est décédée à 56 ans en raison de problèmes cardio-vasculaires dus en grande partie aux cigarettes. Mon papa s'est alors arrêté de fumer ce qui ne l'a pas empêché d'être rattrapé par le "crabe" : cancer des cordes vocales. Et moi, j'ai continué à consommer mon paquet par jour minimum. Il n'était pas question que je m'arrête, pour preuve, je n'ai jamais tenté quoi que ce soit pendant près de 30ans (sauf lors de mes grossesses où j'ai eu la chance d'être dégoutée par les odeurs de tabac). Pourtant, il y a deux étés, nous sommes partis en famille en Hollande, au milieu de rien si ce n'est des champs de tulipes, assis face à cet espace de nature, nous avons décidé, mon mari et moi-même, de fumer la dernière cigarette un peu comme on se jette un défi. Le fait de changer totalement de vie pendant trois semaines a été souverain. Il m'est arrivé dans les tous premiers jours de tourner en rond comme un ours en cage, surtout le soir, à l'heure où, quelques jours plus tôt, les cigarettes étaient les meilleures. Mais j'ai tenu bon. J'allais marcher sur les routes désertes ou crier dans les champs et je rentrais calmée. Le plus difficile a été le retour à la maison avec son lot de petites habitudes qui rejaillissent subitement. J'ai trouvé un "truc" qui m'a aidé à tenir : au lieu de m'installer confortablement, la journée terminée, dans le canapé, je sautais dans mon lit avec un bon bouquin. La chambre étant un endroit où je n'ai jamais fumé, l'appel de la cigarette était moins fort. Il n'y a plus guère que sur la route, dans les embouteillages ou lorsque je suis contrariée par les incivilités de certains automobilistes que j'y pense ; la voiture, lieu auquel je ne peux hélas pas échapper, est un endroit où j'allumais un nombre vertigineux de cigarettes. Deux choses pourtant me tiennent éloignée des marchands de tabac : le souvenir de cette dépendance et de la panique que j'éprouvais lorsque je découvrais mon paquet presque vide. Il fallait alors que je saute dans ma voiture, quelle que soit l'heure, pour trouver un détaillant ouvert. Le dimanche était un jour terrible pour ça... Quand je vois le soir ou les jours fériés toutes ces personnes qui font la queue devant le seul buraliste ouvert du coin, je me dis que j'en suis sortie. Enfin, le deuxième facteur qui joue pour moi c'est cette odeur que véhiculent tous les fumeurs et l'image qu'ils renvoient. J'ai fait partie de ces personnes qui manœuvrent leur véhicule la cigarette au bec, j'ai appartenu à cette communauté de gens qui ne peuvent s'empêcher d'allumer leur "clope" dans la rue, j'ai été imprégnée de cette odeur de tabac froid malgré tous les efforts pour l'éviter. Je trouve désormais très moche les gens avec leur mégot en bouche et désagréable ces effluves de tabac qui me sautent aux narines lorsqu'un fumeur vient me dire bonjour, même lorsqu'il a écrasé sa cigarette. Tout n'est pas rose dans cette aventure. Si je pense être en grande partie guérie, j'ai beaucoup grossi en "compensant", notamment au volant (paquet de bonbons, petits arrêts dans les boulangeries...). Je commence à voir la fin du tunnel de ce côté-là mais il aura fallu deux ans pour que j'arrive à me stabiliser et amorcer un retour vers la normale. Une aide extérieure m'aurait peut-être permis d'éviter de prendre mes dix kilos mais quelle que soit la façon de procéder, le jeu en vaut la chandelle.
Partager sur:     

Sybille (26 ans)
Nationalité Suisse
09 août 2021

Bonjour, 2 ans dans 1 mois que j'ai arrêté de fumer !!!!! vous vous rendez-compte du chemin parcouru !! je n'en crois pas mes yeux, et pourtant, c'est possible. Cela parait difficile au début et puis finalement, les jours passent , les semaines aussi, puis les mois, et enfin 1 année, 2 années ... De mon côté, avec du recul, je me dis que j'aurai du arrêter plus tôt car finalement, ce n'est pas insurmontable d'arrêter la cigarette, juste un mental d'acier et le tour est joué. Je ne dis pas que l'envie ne reviens pas, c'est faux, de temps en temps, mon corps me dis : allez, vas y, juste une petite clope, lors d'un coup dur de la vie ou lors d'une soirée... mais ma motivation reste et pourquoi recommencer au bout de 2 ans ? il n'y a plus d'intérêt !! je revis depuis que j'ai arrêté. Plus de stress (car la clope fait stresser contrairement à ce que l'on peut penser), beaucoup plus d'odorat, plus de soirée passer sur le trottoir dehors, en plein froid .... si vous me lisez et que vous êtes en train d'arrêter ou bien que vous y songé, allez-y, jetez vous à l'eau, et tenez bon, ce ne sont que quelques mois à passer, quelques colères de plus, quelques kilos en plus (pour ma part : 4,5 kg), quelques doutes, pour finalement être fière de soi. N'est ce pas cela le plus important ? être fière de soi-même ? Pour ma part, je suis fière de moi-même . Sur ce, j'espère que vous serait à ma place bientôt en écrivant et en racontant vos 2 ans d'arrêt alors je vous dis, à bientôt et croyez-y, vous verrez, le monstre pour arrêter cette cigarette, ce n'est que vous-même !!!!
Partager sur:     

Sakou (58 ans ans)
Nationalité Francaise
05 août 2021

Bientôt 4 ans que j ai dit stop au tabac !!!! Ma vie à complètement changé !! J ai retrouvé mon souffle d avant, un vrai bonheur de me promène en montagne ! M'a peau à retrouvé sa clarté ! Mon compte en banque souffre moins 👍☺️. Les patches mon bien aidé pendant 6 mois. Je ne ressent pas de manque du tabac !! Brigitte.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme (54 ans)

04 août 2021

Bonjour, Je reviens ici au bout de presque 6 ans d'arrêt du tabac (arrêt le 29 août 2015). Je suis si heureuse d'avoir gagné cette bataille ! J'ai un seul regret, c'est de ne pas avoir arrêté avant. J'ai fumé pendant près de 30 ans et j'ai beaucoup de chance car, je viens de faire une radio des poumons et tout va bien !! Ce qui m'a aidé à arrêter la cigarette, c'est la lecture du livre d'Alan Carr. J'ai eu un veritable déclic ! Avant ce dernier arrêt, j'avais essayé d'arrêter de fumer à plusieurs reprises, sans succès. Ce qui a tout changé, c'est que j'ai arrêté de me dire que ce serait dur de ne plus fumer. J'étais une très grosse fumeuse (de 1 paquet à 2 parfois lors de soirée), si j'ai pu arrêter sans difficulté, tout le monde peut arrêter ! Bon courage ! Vous pouvez le faire !
Partager sur:     

Lili (58 ans)
Nationalité Français
03 août 2021

Re-Bonjour À tous! J ai arrêté de fumer voilà bientôt 12 mois, l'envie est toujours là mais la peur d être malade est plus forte... Courage à tous je pense bien à vous
Partager sur:     

Anonyme (25 ans)
Nationalité Belge
06 juillet 2021

Bonjour, c'est la première fois que je lis un forum contre le tabagisme. J'ai commencer à fumer il y a 9 ans, je n'avais que 16ans. La raison pour laquelle j'ai commencé ? Le divorce de mes parents. Mon père est parti avec une autre femme et à 16 ans difficile à l'accepter. Il faut savoir que mon père déteste la cigarette d'ailleurs il n'a jamais su que j'avais commencé. Je pense avec commencé pour me venger mais cela n'a servi à rien. Je voulais juste faire un truc que mon père n'aurai pas aimer que je fasse. Depuis quelques temps je pense à arrêter de fumer mais bien sûr ce n'est pas évident. Mes principales raisons de fumer sur la journée son l'ennui, lorsque je suis énervée.. Ma première cigarette c'est 30 minutes après mon réveil et la suivante en rentrant du boulot vers 19h + ou-. Et puis je peux en fumer 6-7 sur la soirée. Je pense que ma dépendance n'est pas très élevée mais fumer en rentrant du boulot c'est comme une "récompense". Je n'ai pas encore trouver la méthode qui me correspond le mieux pour arrêter de fumer mais lire d'autre Expériences de fumeurs ou ex fumeurs m'aide beaucoup. Merci de m'avoir lu et bon courage à toutes les personnes qui essayent d'arrêter la cigarettes.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Fumeurs

Cathy64 (64 ans)
Nationalité Française
17 juin 2021

À tous ceux qui hésitent à franchir le cap, je peux dire que je l'ai fait il y a 11 ans déjà, c'est un grand bonheur de se libérer de cette dépendance infâme! Pas facile au début c'est vrai, mais maintenant je n'y pense plus jamais, la santé retrouvée,de belles économies, et surtout la liberté ! Merci au stop tabac qui m'a beaucoup aidée !
Partager sur:     

Sylvie (58 ans)
Nationalité Français
16 juin 2021

Bonjour Arrêtée de fumer est une épreuve dans la vie humaine mais se faire aider par les techniques modernes comme la cigarette électronique n est pas négligeable ou autres courage à tous. Très accros ji suis arrivé. Vous aussi vous y arriverez
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Nin (61 ans)
Nationalité f
15 juin 2021

Amies fumeuses, amis fumeurs, la vie sans tabac a bien des avantages malgré quelques inconvénients au début: j'ai eu du mal à m'adapter à ne plus partager une certaine complicité avec les collègues, amies et membres de la famille qui fumaient encore. Mais je n'ai pas souffert du sevrage, comme si j'avais tourné une page du livre de ma vie: dans le chapitre qui s'ouvrait, je ne fumais pas. C'était il y a 14 ans et je n'ai touché au tabac que pour vérifier que je sois toujours capable de rouler une cigarette. Mon envie de fumer est nulle mais je me suis fait la promesse en arrêtant que je serai libre de revoir ma décision à 80 ans. Voilà, je vous souhaite le plaisir de vous réveiller sans tousser et sans cracher, de respirer légèrement, de sentir meilleur et de mieux vous sentir, de vous rendre compte qu'on peut tranquillement se passer de ce faux ami. PS: j'ai été longtemps abonnée à la newsletter de StopTabac avant de saisir l'occasion d'arrêter de fumer et je suis restée abonnée par gratitude pour leurs efforts et pour ne pas oublier que j'ai été une grosse fumeuse en difficulté.
Partager sur:     
Catégories associées:
• Plus de 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Catherine (55 ans)
Nationalité France
11 juin 2021

J'ai arrêté de fumer le 14 septembre 2015, c'était un vendredi soir. Juste après un entretien pour un nouveau poste qui s'était bien déroulé, j'ai eu le déclic. Pendant un mois, j'avais une cigarette dans ma poche, au cas où. Je n'ai jamais repris la cigarette et j'en suis très heureuse. Je n'ai pas non plus grossi. 3 kg au début que j'ai reperdu. Bonne chance à tous. Lorsque vous avez le déclic, c'est tout de suite.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

m-ange (54 ans)
Nationalité française
11 juin 2021

le 14 avril 2013 je vous parlais de ma prise de la vapoteuse. je peux vous dire qu'il ne m'aura pas fallut 1 an pour l'arrêter. mais bravo car je n'ai pas repris la cigarette. décembre 2013 j'arrêtais la vapoteuse. j'avais descendu le taux de nicotine régulièrement. quels (troubles) après l'arret du tabac et de la vapoteuse ?? la perte du comment respirer. je ne savais plus remplir mes poumons d'air. je ne savais plus respirer par le nez. une kiné respiratoire m'a été d'un grand secours . mais je l'ai eu parce que j'ai la bpco. si je n'avait pas eu cette maladie et que je n'arrivais plus a respirer correctement j'aurais surement repris la cigarette. car ne pas arriver a reprendre correctement son souffle peut être très stressant. et malheureusement le stress favorise la prise de nicotine. si vous avez envi d'essayer la cigarette en prenant la vapoteuse (attention, celle qui se recharge avec des e liquide fait en france) faites le. cette vapoteuse sera toujours moins nocive que la cigarette. mais pensez a ajuster le taux de nicotine . car la diffusion dans le corps est différente et si vous prenez un taux trop faible vous ne serez pas satisfait. au début j'ai intercalé cigarette et vapoteuse. puis au bout de quelques jours je n'avais plus que la vapoteuse. changer vos habitudes. ex fumez dehors et non dans vos habitations. ne fumez plus dans la voiture. rien que ces petites choses pourraient vous aider. une autre chose et pas la moindre, votre pouvoir d'achat passerait du simple au triple. et votre santé serait préservée. alors non votre moral ne restera pas au top niveau tous les jours, mais chaque matin sera plus facile. a cause de la cigarette je ne pouvais plus faire de sport. en 2019 nous sommes partis 15 jours a vélo avec mon mari et ma fille. on a suivit le canal rhone au rhin, nous avions la toile de tente et le réchaud. c'était fantastique. nous avons fait 180km a vélo. c'etait la liberté. ne plus fumer c'est être libre. bon courage a tous et toutes
Partager sur:     

Anonyme (53 ans)
Nationalité Française
01 juin 2021

Bonjour Fumeuse depuis l'adolescence j'ai décidé d'arrêter de fumer en même temps que mon mari en août 2013 sans aide juste avec une volonté de fer et avec dans la poche mon garde fou une cigarette électronique jetable pour rassurer mon cerveau au cas où. Depuis je n'ai plus jamais fumé une seule cigarette. Mon mari commençait à avoir quelques petites alertes au niveau de sa santé comme des bronchites à répétition petits soucis cardiaques ce qui nous a incité à arrêter de nous empoisonner. Ne nous le cachons pas l'arrêt de la cigarette c'est difficile et à chacun sa méthode mais pour y arriver a mon sens il faut d'abord le vouloir. Courage à tous ceux qui veulent en finir avec la dépendance au tabac vous avez tout à y gagner santé bien etre et économie
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Natou (44 ans)
Nationalité Canadienne
29 mars 2021

J'aimerais partager mon experience avec apovarenicline(champix) J'étais fumeuse depuis l'âge de 15 ans 1-2 paquets par jour , j'ai prix ce medicament en me disant ça marche ou pas... on verra j'avais deja essayé avec un patch et ça avait pas fonctionné , avec le champix j'ai continuer a fumer 6 jours ensuite plus rien aucune envie , pas effet secondaire aucun manque aucune mauvaise humeur , prise de poids mais tellement soulagé ça fait déja 4 mois d'arrêt complet et je me sens très bien
Partager sur:     

LAURLIAR (52 ans)
Nationalité Française
07 mars 2021

J’apprecie particulièrement cette appli Stop Tabac notamment pour tous ses conseils santé très complets et détaillés sur le tabac, ses méfaits, les substituts etc. L’aspect médical est très motivant pour l’arrêt. Après plusieurs tentatives j’en suis aujourd’hui à 100 jours et je commence à m’entrevoir comme une ex fumeuse, après 36 ans de grosse tabagie, et je me connecte au moins 2 fois/jour pour me conforter dans mes efforts en lisant les scores et « récompenses »acquises . Merci à vous
Partager sur:     

Anonyme (48 ans)
Nationalité France
16 janvier 2021

3 mois sans tabac mais toujours sous patch !! L envie de fumer est toujours présente !! Je me suis mise à courir 3xsemaine 3x7kms j ai grossi un peu... je suis toujours énervée !!! Je dors mal ..... A 48 ans en pleine ménopause en plein covid je me félicite et si j y arrive doucement tout le monde le peut. J ai économisé 1000 euros en 3 mois!!!
Partager sur:     

Anonyme (61 ans)
Nationalité belge
21 décembre 2020

Je ne compte plus les années de tabagisme. J’ai failli arrêter plusieurs fois – mais chaque fois avec une rechute à la clef. Il y 2 ans, je me décide à aller voir un tabacologue pour m’aider dans cette démarche. Il me prescrit du Champix et ne parle jamais du Zyban. Champix avec, soit disant, des effets secondaires négligeables. Confiante, je me lance. Et cela marche effectivement très bien. Des rêves incroyables la nuit, pratiquement pas d’envie de fumer de jour. Pas de manque et donc soit disant pas de prise de poids non plus. Après quelques semaines, ou cela marche vraiment très bien, mon moral commence à décliner au point d’avoir des envies suicidaires. J’en parle au toubib qui me dit « on arrête tout » - sans expliquer pourquoi. Il me donne des patchs, des chewing gum etc…. peine perdue. En moins de 6 mois, j’ai rencontré 3 personnes qui ont vécu exactement la même chose que moi avec le Champix – y compris la dame qui m’a recommandé le Zyban. Champix ou pas, c’est 10 kgs dans la vue, dans le mois qui suit – un peu décourageant, car du coup, je me sens comme une tour, mais pas pour les mêmes raisons. Eh oui, dilemme…. Je vais essayer avec le Zyban
Partager sur:     

Anonyme (66 ans)
Nationalité Suisse
11 novembre 2020

Voilà 360 j sans tabac ! Juste le bonheur et ma fierté d’avoir tenu le coup. Pas toujours facile mais quelle délivrance. Merci de m’avoir soutenue. C’est très important pour moi. Triste que vous me laissiez. Les encouragements me sont nécessaires. Merci.
Partager sur:     

Anonyme (52 ans)
Nationalité française
26 mars 2020

Bonjour Cela fait bien longtemps que je ne suis pas venue sur ce site! Mon dernier témoignage remonte au 6 mars 2007. Ma dernière cigarette remonte au dimanche 5 mars 2006! Eh oui, 14 ans d'arrêt! 20 000 euros d'économie! Une bonne santé! Que du bonheur! A l’époque, après plusieurs tentatives c’est le livre d’Allen Carr qui m’avait aidée et ce site bien sûr avec tous ces témoignages. Pour en finir avec le tabac, il faut agir sur 2 points : l'aspect physique (le « petit monstre d’Allen Carr » dans votre corps réclame sa dose de nicotine) et l'aspect psychologique. En travaillant ce 2ème point souvent négligé, vous augmenterez vos chances de réussite. Comprendre que la cigarette n'est pas un plaisir permet de s'en débarrasser très facilement (Allen Carr). Il faut déprogrammer votre cerveau et lui apporter des pensées positives : la vie sans tabac est belle !,... Pour cela, aujourd’hui, croyez moi, si vous êtes motivé, l'hypnose peut vous aider.
Partager sur:     

Anonyme (54 ans ans)
Nationalité Française
24 mars 2020

Je suis si ravie aujourd'hui d'être une femme sans tabac, sans fumée et sans nicotine. Le combat, parce que c'en est un, est encore présent mais moins quotidien, le scanner des poumons montrant un emphysème débutant m'a donné si peur de ma mort que j'ai arrêté net en traînant mon cercueil pendant 3 mois, délai pour rencontrer un pneumologue qui m'a prescrit un patch 10 mg que j'ai porté pendant 1 mois chaque jour pour calmer mon manque, l'arrêt du patch a été un nouveau combat, nervosité et stress, aujourd'hui, je marche, je m'aère en promenant mon chien, je bois beaucoup d'eau, j'ai pris 3kgs, pas grave, je respire, 2ème scanner après 11 mois, l'emphysème est au même stade, mon oxygénation est de 94 %, jamais je ne rallumerai de cigarette, jamais, c'est un acte autodestructeur et suicidaire, moi, c'est la vie qui m'intéresse et elle sacrément belle la vie !!!!!
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme (38 ans)
Nationalité France
20 mars 2020

J'ai arrêté de fumer il y a 3 semaines, ce n'est pas la première fois mais cette fois ci, je fais en sorte que ce soit un arrêt définitif : j'ai arrêté aussi l'alcool, et j'ai dissocié la cigarette du café. Le fait d'avoir arrêté les deux a eu un effet très visible sur mon aspect physique, mes capacités physiques ET cognitives en seulement 3 semaines. Bien qu'étant très active voire hyperactive de base, cette fois je ressens moins de fatigue ou de séquelle de cette hyperactivité car arrêter la cigarette me donne plus d'énergie. N'ayez pas peur de manquer de quelque chose en arrêtant, au contraire vous allez retrouver votre énergie et votre libre arbitre.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 20 à 40 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme (50 ans ans)
Nationalité Française
14 mars 2020

Comme beaucoup j’ai commencé à fumer à L’adolescence, j’avais 15 ans. J’étais une grande. Je me sentais plus en sécurité avec ma béquille. Je l’ai traînée avec moi pendant presque 20 ans et j’ai arrêté oui j’ai réussi à arrêté. Une pause de 10 ans ! La vie, les angoisses font qu’un vous prenez une clope et puis deux et puis c’est pas grave ! une petite troisième et fini. Sauf que vous finissez par acheter un paquet. Un seul allez c’est promis après fini sauf qu’après ben c’est trop tard alors vous en achetez un autre. Cela fait donc 5 ans que que j’ai repris et un an que j’essaie de nouveau d’arrêter. Cela avait été si facile d’arrêter il y a 15 (ceci mon mari lui n’a pas se souvenir 🤣) que je pensais que ça ne poserait pas de problème. J’ai même arrêté 4 mois l’année dernière et suite au décès d’une amie je me suis effondrée et j’ai repris ma béquille des galères. En ce moment de nouveau je tente d’arrêter. 18 jours sans cigarette (avec patch quand même). J’ignore si cette fois je vais tenir mais à mon âge ça devient indispensable alors j’espère que cette fois je ne vais pas me retourner vers cette béquille au premier problème que je rencontrai. D’autant que en tout honnêteté elle est quand même très bancale cette béquille. Voilà 18 jours c’est peu mais ça fait du bien de l’écrire.
Partager sur:     

Anonyme (26 ans)
Nationalité France
20 janvier 2020

Bonsoir à tous. Voilà deux heures que je lis les témoignages sur les arrêts du tabac et certains m'ont ébranlés au plus profond de moi. Je vous remercie, grâce à vous ma décision d'arrêter de fumer est définitive. Je ne sais même pas depuis quel âge je fume, depuis presque 10 ans aujourd'hui. Cela fait 4 ans que je n'ai qu'une obsession, arrêter. J'ai réussi avec la méthode d'Allan Carr, mais j'ai fais l'erreur de recommencer. Mais l'envie de m'en libérer ne m'a jamais quitté. Je pratique la pensée positive depuis plusieurs semaines et vos témoignages ont mis fin à mon hésitation. J'ai vu mon père mourir, il me manque tellement. Cancer du foie, et pour la première fois je réalise que la cigarette a sûrement fait des siennes dans tout ça. Qu'il y a t-il de pire que de voir un homme d'1m90 pesé 30 kilos, devenir jaune et sentir dans ses yeux la peur de mourir, de nous laisser, de nous abandonner, savoir que la mort l'attends au bout. Je suis asthmatique, très asthmatique. Depuis quelques années je ne peux plus monter les escaliers sinon je suffoque. J'ai 26 ans. Depuis quelques jours je sens une douleurs au poumon, j'ai peur, très peur d'aller consulter. Mais d'un coup, je me rends compte que je n'ai pas besoin d'avoir peur car je dis stop à cette bêtise de fumer, j'ai hâte de respirer et de retrouver mon énergie. Pour avoir déjà arrêter longtemps, arrêter de fumer est une libération, tout est mieux sans cigarette. Je vous souhaite à tous de vous libérez de cette addiction, que les lobbys de la cigarette laisse en libres service à des jeunes qui ne pensent pas qu'un jour ils pourraient mourir à 26 ans d'un infarctus ou d'une pneumonie. Merci à tous, vous m'avez libérez.
Partager sur:     

Anonyme (68 ans)
Nationalité France
18 janvier 2020

Bonjour. J'ai arrêté de fumer le 23 aout 2019,la période la plus difficile est ,ces jours derniers ,Mais la vie est plus belle de ce coté ex fumeur alors courage à toutes et tous. mikimi
Partager sur:     
Catégories associées:
• Plus de 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

Anonyme (44 ans)
Nationalité française
17 janvier 2020

Bonjour, Je m'appelle Hayat et j'ai 44 ans.J'ai commencé à fumer à 19 ans car je rêvais de liberté et d'évasion, 2 états de faits dont j'étais privée de par ma condition familiale et privée. En outre , diagnostiquée bipolaire, je suis plus facilement sujette aux addictions comme...mon papa décédé il y a une dizaine d'années d'un cancer des poumons à cause de la cigarette. Aujourd'hui je souffre de douleurs puissantes dans l'épaule gauche et mon docteur m'a trouvé un œdème dans le bras gauche que je retrouve gonflé tous les matins et me lance de façon aiguë et prolongée. Je ne veux pas consulter, je laisse perdurer... Que pourrais-je dire aux autres ? Rien, pas de leçon de morale juste le rêve fou de retrouver la jeune fille inconsciente et perdue que j'étais et la prendre dans mes bras, lui dire "je t'aime". En ce matin pluvieux, je me promets d'arrêter et ça va, on dit de moi que je suis une femme de parole... Bonne année à tous et toutes et que nous puissions vaincre le tabagisme!
Partager sur:     

Anonyme (39 ans)
Nationalité Belgique
14 janvier 2020

Bonjour, Il n'est pas dans mes habitudes de témoigner sur internet mais si celui-ci peut encourager les fumeurs à arrêter: J'ai testé l'hypnose il y a peu et il faut avouer que cette méthode change complètement la perception de la cigarette. Ce paquet qui s'est baladé dans mon sac à main pendant 10 ans est aujourd'hui un inconnu. Je suis heureuse d'être libérée de ce poison qui n'apporte rien!! Je vous encourage vraiment à essayer cette méthode
Partager sur:     

Anonyme (23 ans)
Nationalité France
16 décembre 2019

Aujourd'hui il a 5 ans j'ai fumé ma toute dernière cigarette. Jeune adolescente, j'ai commencé à fumer "comme tout le monde", mais très vite le déni cache l'addiction. Après 4 ans passé à fumer jusqu'à dix cigarettes par jours, cette application a été un de mes plus importants systèmes de support. Chaque jours, j'apprenais les bienfaits que j'apportais à mon corps, chaque jours j'apprenais à profiter de bien autres choses. L'adolescence est un moment décisif, et peut amener aux premières addictions. Grace à stop-tabac, j'ai pu commencer ma vie adulte plus seinement, et j'en suis fière tous les jours.
Partager sur:     

ISABELLE (53 ans)
Nationalité FRANCAISE
02 mars 2019

Bonjour, j'étais inscrite sur votre site pour une aide au sevrage. Il m'a fallu 3 ans et 9 mois mais maintenant je ne fume plus. J'ai commencé l'année 2019 sans allumer aucunes cigarettes et ma petite mère qui vit avec moi a arrêter aussi. J'ai utilisé des patchs. Je reconnais que de remplir vos questionnaires était fastidieux et déclenchaient des envies de fumer. Mais le fait d'avoir signé un contrat moral est encourageant.... Je retrouve l'odorat, la maison sent bon et les animaux n'éternuent plus. J'ai repris la course à pied et je prépare mon 1er marathon. Je viendrai courir à Genève cette année. JE VOUS REMERCIE BEAUCOUP........BONNE CONTINUATION n'hésitez pas à me contacter.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Ex-Fumeurs

stephanie (39 ans)
Nationalité France
01 novembre 2017

Bonjour à tous, Après 22 ans de cigarettes à raison d'un demi à un paquet par jour j'ai décidé d'arrêter. Ca fait 5 jours, je ne ressens aucun manque mais je n'ai jamais eu de difficultés à arrêter. j'avais déjà vécu cette expérience à 3 reprises (2 fois arrêt de 18 mois et l'an dernier à la même période 3 mois). Le problème que je rencontre c'est de ne pas craquer quand j'ai un très gros stress. Je n'ai plus de paquets à la maison et cette fois j''aimerai que ce soit la bonne. Je sais que ça sera une lutte de chaque jour .
Partager sur: