Témoignages

Les 5 derniers témoignages
Les témoignages les plus marquants
Déposer votre propre témoignage

Ex-Fumeurs
Ex-Fumeurs (289)
Motivations/Bénéfices de l'arrêt (39)

Fumeurs
Fumeurs (49)
Tentative d'arrêt (60)
Fumeurs Malade (20)

Entourage
Famille/Ami (17)
Non fumeurs (2)
Fumée passive (2)

Age
20 ans ou moins (3)
20 à 40 ans (122)
40 à 60 ans (202)
Plus de 60 ans (66)

Dépendance / manque
Dépendance/Manque (20)
Rechute/Echec (12)
Symptômes de sevrage (13)
Dépression/Anxiété (3)
Insomnies (2)

Méthodes d’arrêt
Méthodes diverses (83)
Substituts nicotiniques (32)
Livre Allen Carr (18)
Aide psychologique/soutien/solidarité (10)
appli Stop-Tabac (4)
E-cigarette / vapotage (24)

Maladies
Risques et maladie diverses (12)
Cancers (9)
Maladies cardio-vasculaires/infarctus (8)
Problèmes respiratoires (11)
Impuissance sexuelle (2)

Santé / bien-être
Problème de poids (3)
Pillule contraceptive
Beauté/Grossesse/Enfants (9)
Sport (14)

Industrie du tabac / société
Tabac chauffé
Politique et industrie du tabac (4)
Additifs
Joint et Tabac (1)
Autres drogues (1)
site Stop-Tabac (44)

Accéder par mots clés

Accéder par mots clés

"jeune" (17)

Jeremy (32 ans)
Nationalité Belge
12 août 2021

Bonjour, J'ai commencé à fumer quand j'avais 12 ans, oui ça peut paraître jeune... Mais quand on commence si tôt, c'est surtout pour faire comme les autres, s'intégrer à une bande de potes, "paraître bien " et ne pas être rejeté par les autres. Mais à cet âge là on n'a pas non plus conscience des conséquences que la cigarette peut causer sur la santé. Je suis entrée dans le tourbillon, à 16 ans j'ai réussi à arrêter de fumer pendant un an, mais une petite dépression a suivi et j'ai replongé, entraîné par une amie qui n'allait pas mieux que moi. Je n'aurai jamais dû ! Quelques années plus tard, j'ai commencé à me rendre compte des méfaits de la clope sur ma santé, quand je courais je crachais du sang, je vomissais plus souvent, j'étais nerveux à cran, souvent fatigué, une haleine de chameau et j'ai commencé à vraiment m'inquiéter quand mes dents se sont tâchées. Puis j'ai rencontré une personne de 49 ans avec un "trou dans la gorge", elle avait subi une trachéotomie (ça fait jeune non ?) à cause de la cigarette. Je n'ai alors pas compris un moindre mot de ce qu'elle me disait. Et cela a été le déclic, en rentrant chez moi, j'ai tout jeté et voilà un an qu j'ai arrêté de fumer. J'y repense encore car il faut de la volonté pour arrêter mais tout a changé. Je n'ai plus mes tâches sur les dents et bien sûr j'ai diminué les risques d'avoir un cancer. Et que tous ceux qui veulent arrêter la clope le fassent car maintenant je me prive de certaines sorties sous peine d'être asphyxié par la clope des autres et puis j'en ai marre de faire des lessives de vêtements qui puent en moins d'une heure !!! Je rencontre maintenant le phénomène d'exclusion des non-fumeurs et je regrette vraiment d'avoir mis une cigarette dans ma bouche la première fois. Sincèrement, on vit mieux sans !
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Franck (47 ans ans)
Nationalité France
23 mai 2018

Bonjour, J'aimerais vous donner mon retour d'expérience en tentant d'arrêter la cigarette a l'age de 30.ans. J'était jeune je travaillait environ 15 h par jour et je gagnais très bien ma vie.Rien ne me faisait peur même Al Capone aurait pu venir avec ses hommes de main, j'aurais su les recevoir. D'un commun accord nous nous sommes séparé avec mon ancienne conjointe, nous voulions refaire notre vie. J 'ai acheté un splendide appartement et je me suis dit: Si jarretait de fumer. Je me suis donc arreté a 23h59 et j'ai du rester dans mon appartement 2 ou 3 jours a me reposer... Ma charmante nouvelle amie passait régulièrement me voir. Aprés plusieurs tentatives restées infructueuses je me suis dit la chose suivante: je me metterai peut-être une balle dans la tête mais je ne refumerai jamais... Au bout de 15 jours j'étais amorphe, un état que je n'avait jamais connu, en réalité c'était un burn-out. Je vais voir mon "gentil" médecin, lui explique ma situation , il me dit vous faite une déprime , il faut prendre des antidépresseurs et anxiolytiques, je lui répond directement: Je ne souhaite pas sortir d'une drogue pour entrer dans une autre, combien de temps cet état va t'il durer ? Il me répond en général cela dure entre 15 jours et 2 mois.... Au bout de 3 mois j'était devenu un "légume" je n'arrivais même plus a écrire une simple lettre, je repasse voir le gentil médecin il me dit , je vous avait bien dit de commencer un traitement... Je n'ai rien pris... et je demande une consultation avc le plus éminant professeur Adictologue Français. Il ne m'a rien apporté d'autre qu'un traitement identique a l'autre médecin. Evidemment je n'ai rien pris., je faisait tout ce qui me faisait plaisir en guise de compensation, je mangeait 2 grosses cotes de boeuf de 1.7kgs par semaine, je buvait 2 bouteilles de vin classé le soir, mangeait du Nutella, que des choses qui me faisaient plaisir mais a outrance. J'ai grossi énormément j'ai pris 30 kgs, on m'a même traité de" gros", pas gros-porc rassurez-vous! Au bout de 5 mois , je ne pouvait toujours pas travailler, j'était un légume, et je me suis dit, a quoi bon vivre, ma vie nouvelle vie est très inconfortable , je vais rester dans cet état , a quoi bon vivre? J'aurais pu refumer et retrouver une vie normale mais j'avais "verouillé" ma volonté A 5 mois et demi , je me suis dit, je vais me "fumer" néanmoins je ne veut pas salir mon bel appartement surtout avec un fusil de chasse. Je voulait que mon appartement revienne a mes parents mais sans" traces"! Je suis allé a Creteil a coté de Paris dans un centre de tir pour la Police et aussi les particuliers,car je voulait prendre un 9 MMS et me coller une balle dans les toilettes. J'arrive au comptoir, une délicieuse jeune fille blonde ( pour être aussi mignonne elle était peut-être Suisse!) je lui dit : Bonsoir, j'aimerais m'inscrire pour faire du tir, elle me répond très gentiment: Monsieur vous avez normalement un délai de 10 jours d'attente pour l'examen du dossier,mais je vais faire une exception pour vous, néanmoins s'il arrive le moindre incident, c'est moi qui vais 'trinquer". Bien entendu je voulais en finir mais aucunement apporter des ennuis a cette charmante personne, j'ai donc tiré dans des cibles, j'ai rendu l'arme déçu et je suis partis dépité. Je suis rentré chez moi, me saouler. Ce qui est intéressant, c'est que comme par miracle, 3 semaines après les effets de déprime ont disparus d'un seul coup. J'ai pu retravailler, j'ai monté une grosse société, j'ai voyagé dans le monde , j'ai crée une marque connue en France. Cette douloureuse expérience m'a fait comprendre que dans la vie, il ne faut jamais s'exciter, toujours prendre du recul et ce qui nous semble, un enfer a un moment donné, nous en rigolerons dans 6 mois, pourquoi ne pas en rigoler directement ? J'ai tenu 4 ans, et lors d'un dîner d'affaire j'ai fumé un malheureux "joint d'herbe" et une cigarette derrière, je me suis hélas remis a fumer. Je vais bientôt programmer un nouvel arrêt mais avec du Curcuma a haute dose en tant qu'antidépresseur si besoin, ainsi qu'un produit super efficace contre les addictions en tous genres et qui se nome le Kuzzu. Bien entendu a l'époque je ne connaissait pas l'existence des ces 2 produits aussi efficaces que des médicament. En espérant vous avoir apporté quelque chose, je vous souhaite un arrêt du tabac pas trop difficile. Franck de Paris France
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

morade (43 ans)
Nationalité France
19 juin 2016

Bonjour, Vous savez tout comme moi à quel point la cigarette est un véritable poison mais à quel point ? Je suis fumeur depuis 24 ans et je consulte un tabacologue depuis 1 an pour arrêter. J'ai bien diminué la cigarette et compense par la cigarette électronique mais n'arrive pas m'en débarrasser définitivement. Il m'en fallait au moins une par jours, le matin, le midi ou le soir. J'ai eu le déclic il y a peu de temps, cela a été radical et foudroyant. J'ai jeûné de 4h du matin à 22h sans boire ni manger, ni cigarette électronique. Le soir, j'ai bu un verre d'eau, un café, un peu de pain. J'ai allumé ma cigarette dont j'avais tant envie et après trois taffes j'ai été m'allongé tellement je me sentais mail, je croyais que j'allais faire un infarctus... Dans cette état de jeûne, je me suis rendu compte le mal que faisait le tabac sur notre corps, cela a été un déclic pour moi. Je n'ai pas touché une cigarette depuis ce malaise, je garde la cigarette électronique que je vais diminuer peu à peu. Faites l'essai une seule journée, jeûnez une journée sans boire ni manger, votre cigarette sera peut-être votre dernière !!! Bon courage à tous.
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Pascal (54 ans)
Nationalité CH
17 février 2016

Bonjour, j'ai 54 ans. J'ai fumé 2 paquets par jour durant 35 ans. A l'aube de mes 50 printemps, à fin janvier 2012, j'ai uriné du sang. Pris de panique, je suis allé aux urgences. Ce fameux jeudi après-midi, on m'a fait simplement une échographie m'annonçant un polype ou je ne sais quoi dans la vessie. Le lendemain, lors du scanner, on m'annonce un peu le même diagnostic, mais on me demande de venir le lundi suivant pour une cystoscopie. Par trop alarmé, je me présente et après cette douloureuse expérience, l'urologue me prie de m'asseoir. Il me dit calmement : vous avez une tumeur dans la vessie. Je le regarde et lui dit : Tumeur ? Cancer ? Il ne pouvait me dire que la vérité et il m'a confirmé que c'était bel et bien un petit crabe Il m'annonce que le jeudi de la même semaine, je rentrerai à l'hôpital. Je suis resté de marbre, comme un homme fort, très fort. Mais quelques instants plus tard, en sortant du cabinet, je me suis cogné la tête et la main droite dans la porte, car je n'ai pas pris la poignée pour l'ouvrir. Je me suis ensuite perdu dans les couloirs de l'hôpital, ne sachant ni qui j'étais, ni où j'allais. A l'extérieur, je n'étais plus capable de traverser la route et encore moins de reprendre le volant. Je suis donc retourné à mon bureau et j'ai explosé en sanglots. Oui, je suis un mec et oui, un mec ça pleure aussi. C'était le dernier chapitre de ma vie, j'ai pu lire dans les ténèbres de mes yeux le récit de mon parcours. Je me suis vu à l'âge de 4 ans, jouant aux Légos dans ma chambre, puis lorsque j'avais 12 ans, sur les plongeoirs de la piscine municipale, puis avec ma chérie, devenue quelques années plus tard mon épouse. J'ai vu notre mariage, le bercail de notre fille, notre maison, mes changements professionnels. Après cet épisode, je me suis ressaisi et j'ai annoncé cette nouvelle à ma femme, je ne pouvais pas parler, tant ma gorge était serrée. Elle a su m'apaiser et dédramatiser cette mauvaise nouvelle. Je suis rentré et on a discuté longuement et j'ai dit à ma femme que ce crabe ne me boufferait pas et que j'allais me battre. Etant persuadé que je ne vivrai pas jusqu'à mes 50 ans en avril 2012, j'ai voulu rencontré une chanteuse dont j'étais fan depuis plus de 5 ans. Comme la chance ne tombe pas du ciel, je l'ai donc provoquée, c'est ainsi qu'un mois avant les 50 ans, j'ai rencontré mon artiste préférée à Bruxelles. Celle-ci m'a donné des ailes, depuis ce jour, je l'ai vue depuis 32 fois en concert et c'est encore à ce jour, ma meilleure thérapie. Après l'opération, complètement convaincu que ma vie arrivait à terme, j'ai continué à fumer un an et au début 2013, ayant tous les symptômes du BPCO, j'ai appelé ma tabacologue en lui exprimant mon sévère désir de stopper de poison. J'ai donc arrêté cette saloperie le 3 janvier 2013. Depuis cette date, j'ai commencé à marcher en montagne, faisant même en 2014, pour nos 30 ans de mariage, une randonnée de trois jours en montagne avec mon épouse. En écrivant ce témoignage, si long est-il, mes larmes se sont mises à couler. C'est bizarre de faire une rétrospective de ces mauvais moments, mais j'aimerais tellement sensibiliser les gens qui ont pris le temps de me lire. A 20 ans, on est jeune et à 50 ans, quand on vous annonce que vous allez crever, je vous jure que l'on est AUSSI jeune Sur les paquets de cigarette, on voit des nouveaux logos, des nouveaux slogans, plus honteux les uns que les autres. Moi, oui, moi, j'ai aussi un nouveau slogan : JE SUIS VIVANT, MERCI LA VIE
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Saint of smokers (27 ans)
Nationalité Suisse
05 novembre 2023

Aujourd'hui, 5 novembre cela fait 7 jours que je n'ai pas touché une cigarette et sans substitut de nicotine. C'est la première fois que je tiens aussi longtemps. Il faut dire que j'ai un rapport spécial à la cigarette. Je suis jeune, j'ai à peine connu les lieux publiques fumeurs mais lorsque j'ai commencé, j'ai tout de suite adoré ça, je me sentais viril, je protestais contre l'interdiction fumer à l'intérieur. Je trouvais ça teeeeeellement cool les images d'archives où tout le monde fumait à l'intérieur et ça paraissait normal ! Une époque révolue... Tout ça pour dire que j'aimais beaucoup fumer mais j'ai décidé d'arrêter pour de bons avant que des problèmes se déclarent mais pour l'instant j'ai l'impression de perdre + que je gagne, je suis un peu triste... Mais probablement que je me remercierai plus tard.
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Anonyme (65 ans ans)
Nationalité française
01 novembre 2023

J'ai arrêté le tabac grâce à la natation. Jeune je pratiquais la natation sportive en participant à des championnats de France catégorie jeunes et finissant régulièrement dans les 10 premiers de ma catégorie d'age. J'ai fumé environ 35 ans entre 10 et 15 cigarettes quotidiennes. Un jour, accompagnant mon fils à la piscine pour faire quelques longueurs avec lui, un MNS a remarqué que j'avais sans doute été nageur. Il m'a proposé de reprendre la natation. J'ai accepté me disant que peut être ce serait une bonne occasion de cesser définitivement la cigarette car malgré plusieurs tentatives je n'y arrivais pas. J'avais alors 57 ans. Dès les premiers entrainements l'envie de fumer s'est réduite. Je suis passé de 15 à 4 cigarettes par jours. J'avoue que j'ai craché mes poumons pendant les premières semaines. Et deux mois j'avais totalement arrêté de fumer... Je n'ai pas touché une cigarette depuis décembre 2015... Je m'entraine 4 fois par semaine à raison de 12 à 15 kms et tout en travaillant encore à mi temps car je suis désormais en retraite. Je suis même monté sur les podiums des championnats de France catégories C8 (60/64 ans) et C9(65/69). Mais l'essentiel n'est pas là. Il réside dans le fait que je ne fume plus et surtout que je n'y pense plus... C'est super sympa... J'ai même oublié que j'étais fumeur.
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Sophie (26 ans)

09 août 2021

Douze ans. Douze ans que ma cigarette et moi vivons ensembles. J'ai commencé de fumer à l'âge de 14 ans. Mal dans ma peau de jeune ado, cherchant des repères, voulant braver l'interdit.... bref toutes sortes d'excuses plus ou moins valables servant à me déculpabiliser. Le résultat est là. Douze années de tabagisme. Une cigarette par mois...."je m'arrête quand je veux", une cigarette par semaine..."je m'arrête quand je veux", une cigarette par jour..."je m'arrête quand je veux...mais ça sera plus dur...",puis deux, trois, quatre, "il m'en faut de plus en plus", un paquet? Pourquoi pas deux? Puis viennent les associations détonantes: Café-clope Alcool-clope Night club-clope Fin de repas-clope....... Et toutes ces petites habitudes qui petit à petit s'inscrivent dans des rituels bien définis, bien huilés. Pourquoi arrêter? On est si bien avec sa clope. On a même une marque préférée ! sa marque fétiche sans qui rien ne peut arriver. Compagnon idéal de toutes les bonnes soirées, de tous les coups durs, des moments de stress comme de plaisir. Pour ne pas manquer il devient impératif de s'acheter la cartouche, dix paquets à la fois !!! Puis (parce que cela n'en fini jamais) surviennent insidieusement des petits problèmes. Une petite toux par-ci, une allergie par-là, tiens, du jour au lendemain on arrête le sport, plus de souffle, plus de jambes, migraines, fatigue, tout un tas de petites choses sans importances, bien souvent mises sur le dos d'une petite fatigue passagère, d'un rhume des foins (un grand classique au printemps). Au passage, on notera une ou deux réflexions des proches "vas te laver les dents, ton haleine est infecte", "tu devrai arrêter avant qu'il ne soit trop tard", "si tu fumais moins tu....". Mais enfin, pourquoi on nous embête avec notre chère cigarette ? On ne fait de mal à personne ? Et puis on est parfaitement au courant des risques ! Oui....., parfaitement......, sauf que le jour ou cela vous tombe dessus, vous mesurer la vraie ampleur des dégâts. Les petites toux se transforment peu à peu en grosses toux, puis en crachats de sang, vient ensuite la radio des poumons et le pronostic, bien plus fiable que le loto : "Monsieur, vous avez cancer des poumons, nous devons vous opérer d'urgence d'un lobe" ....opération.... chimio....opération...chimio..."monsieur, nous sommes désolé vous avez atteint le stade terminal, tout le monde descend....à la morgue".....pleurs, cris, larmes, puis plus rien. Voilà, cela est ma dramatique histoire. J'ai 26 ans, mon meilleur ami en avait 27. Nous avions commencé à fumer ensemble nos premières cigarettes. Il est mort il y a quatre jours devant moi. Cela n'arrive pas qu'aux personnes âgées, cela n'arrive pas qu'aux autres. Pensez à Franck lorsque vous allumerez la prochaine cigarette, surtout vous les jeunes.
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Anonyme
Nationalité Togo
30 juin 2021

J'étais un jeune fumeur tout ça par ce que je trainais avec des amis qui eux fumais... j'ai eu beaucoup du mal à m'en sortir même les conseils des médecins je m'en foutais Dieu 🙏🙏 merci comme j'aimais lire ça m'a sauvé un jour sur le net j'ai découvert un livre ""en finir avec la cigarette ""qui parlait du cigarette; c'est ce qui m'a permis à moi d'arrêter de fumer je vous conseille ce livre et aussi il y en a plein comme lui. Courage!
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Anonyme (25 ans)
Nationalité Suisse
29 septembre 2020

J'ai 25 ans et j'ai arrêté /décidé d'arrêter de fumer quand je me suis rendu compte que ça faisait bientôt 8 ans que je fumais. Depuis mes premières cigarettes, le temps est passé très vite. On commence souvent à fumer en soirée, puis quelques fois par semaine pour finir par griller 15 à 20 clopes par jour. Je pense que ce qui m'a ouvert l'esprit à un arrêt (parmi d'autres éléments), c'est le visionnage d'un reportage Arte. Non seulement le reportage est captivant mais il révèle aussi des vérités tristes à entendre. Par exemple le fait que quelqu'un qui a passé la barre des 25 ans sans devenir dépendant à la nicotine n'a qu'une chance très réduite d'en devenir dépendant par la suite. On apprend ainsi que les cigarettiers font leur publicité exclusivement sur un public (14 ans en Indonésie....) 16-25 ans. Ils savent très bien que passé cette tranche d'âges, il ne s'agit plus de leur public cible. Et je me suis rendu compte à ce moment que j'étais tombé dans le piège, certes pas en consommant directement du marketing de cigarettier (la publicité est relativement limitée depuis plusieurs années et surtout on ne consomme que rarement des cigarette pour la première fois car on a vu une publicité) mais plutôt à travers l'inconscient collectif de la société. En effet, l'image du jeune qui sort en boîte le jour de ses 16 ans pour la première fois, qui fume et boit... etc... C'est exactement ce qui m'a est arrivé. Et une fois la dépendance à la nicotine implantée, c'est dure de revenir en arrière. Certes la dépendance physique est minime mais psychiquement est tellement puissante. Enfin bref, on se rend compte qu'on est tombé complètement dans le panneau et que les conseils qu'on écoutait en souriant de nos parents "ne fume jamais" n'étaient pas si infondés et stupides.. On perd très vite le contrôle de ce genre de substance. ABE
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Anonyme (44 ans)
Nationalité française
17 janvier 2020

Bonjour, Je m'appelle Hayat et j'ai 44 ans.J'ai commencé à fumer à 19 ans car je rêvais de liberté et d'évasion, 2 états de faits dont j'étais privée de par ma condition familiale et privée. En outre , diagnostiquée bipolaire, je suis plus facilement sujette aux addictions comme...mon papa décédé il y a une dizaine d'années d'un cancer des poumons à cause de la cigarette. Aujourd'hui je souffre de douleurs puissantes dans l'épaule gauche et mon docteur m'a trouvé un œdème dans le bras gauche que je retrouve gonflé tous les matins et me lance de façon aiguë et prolongée. Je ne veux pas consulter, je laisse perdurer... Que pourrais-je dire aux autres ? Rien, pas de leçon de morale juste le rêve fou de retrouver la jeune fille inconsciente et perdue que j'étais et la prendre dans mes bras, lui dire "je t'aime". En ce matin pluvieux, je me promets d'arrêter et ça va, on dit de moi que je suis une femme de parole... Bonne année à tous et toutes et que nous puissions vaincre le tabagisme!
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile