Témoignages

Les 5 derniers témoignages
Les témoignages les plus marquants
Déposer votre propre témoignage

Ex-Fumeurs
Ex-Fumeurs (289)
Motivations/Bénéfices de l'arrêt (39)

Fumeurs
Fumeurs (49)
Tentative d'arrêt (60)
Fumeurs Malade (20)

Entourage
Famille/Ami (17)
Non fumeurs (2)
Fumée passive (2)

Age
20 ans ou moins (3)
20 à 40 ans (122)
40 à 60 ans (202)
Plus de 60 ans (66)

Dépendance / manque
Dépendance/Manque (20)
Rechute/Echec (12)
Symptômes de sevrage (13)
Dépression/Anxiété (3)
Insomnies (2)

Méthodes d’arrêt
Méthodes diverses (83)
Substituts nicotiniques (32)
Livre Allen Carr (18)
Aide psychologique/soutien/solidarité (10)
appli Stop-Tabac (4)
E-cigarette / vapotage (24)

Maladies
Risques et maladie diverses (12)
Cancers (9)
Maladies cardio-vasculaires/infarctus (8)
Problèmes respiratoires (11)
Impuissance sexuelle (2)

Santé / bien-être
Problème de poids (3)
Pillule contraceptive
Beauté/Grossesse/Enfants (9)
Sport (14)

Industrie du tabac / société
Tabac chauffé
Politique et industrie du tabac (4)
Additifs
Joint et Tabac (1)
Autres drogues (1)
site Stop-Tabac (44)

Accéder par mots clés

Accéder par mots clés

"gout" (23)

patricia (51 ans)
Nationalité française
17 décembre 2017

J'ai commencé à fumer au collège comme beaucoup. j'ai adoré fumer c'était un vrai plaisir et je n'ai jamais essayé d'arrêter. Ma consommation était d'un paquet par jour. En février 2014, je propose à mon mari d'aller voir une nouvelle boutique de vapot installée dans notre ville. J'entendais beaucoup parler de la cigarette électronique mais sans aucune conviction. Dans la boutique elle ne explique comment cela fonctionne, les dosages, les parfums, etc...Nous décidons d'investir dans une petite cigarette pour tester. Je commence au dosage de 12 ml de nicotine et je prends goût tabac. Je vapote dès que je l'ai acheté et vu que c'était le soir je n'ai pas pris de cigarette; Le souvenir que j'ai, c'est que le lendemain, je vais au boulot et comme d'habitude je prends mon paquet de cigarette et ma vapote... Je commence par la cigarette., je prends une bouffée, une deuxième...je la jette et l'écrase ! le goût m'a totalement dégoûté ! c'est la dernière fois que j'ai touché une cigarette. Pendant 3 mois j'étais à 12 ml , ensuite j'ai pris 6 ml pendant 1 an et demi et ensuite 0 ml jusqu'à il y a 4 mois où j'ai arrêté la cigarette électronique aussi. Aujourd'hui je ne fume plus, je ne vapote plus et je suis fière de moi et mes enfants sont heureux car je ne me rendais pas compte qu'ils souffraient énormément d'être dans le tabac tous les jours car je fumais partout, à la maison, en voiture... Mon mari qui fumait 1 paquet par semaine avait arrêté en même temps que moi , mais hélas, il a repris la vrai cigarette de plus belle . Par contre il fume dehors car j'ai dû mal à supporter la fumée. Merci à la cigarette électronique ! je n'aurai jamais arrêté sans elle.
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Quentin (23 ans)
Nationalité Suisse
05 juin 2017

Cela fait une semaine que je ne fume plus. Et je sais, au fond de moi, que jamais je n'y retoucherai. J'ai auparavant plusieurs fois tenté de me sevrer, sans succès: horrible état dépressif, douleurs multiples, un état proche de la folie. J'ai les dents jaunes, le souffle rauque, l'haleine puante, je récupère les mégots de cendriers qui jonchent le parterre de la rue tard dans la nuit quand je suis à court. Je me sentais enfermé à vie, pris au piège. Mais cette fois-ci, c'est différent. Je parviens à me défaire de mon addiction sans douleur et sans manque aucun, avec joie même! Mon secret? La cigarette électronique. Ce produit, conçu par les fumeurs pour les fumeurs, est une véritable petite révolution. Informez-vous, regardez Vape Wave de Jan Kounen, lisez la presse scientifique, parcourez le web. Puis, comme-moi, faites le pas, entrez dans un magasin spécialisé réputé et laissez-vous conseiller. Avec la vape, il n'y a aucun sentiment d'abandon, de sacrifice. La raison est simple. Vapoter est tout simplement meilleur que fumer! En terme de goût et de sensation, la vape offre un panel d'une variété inouïe, supérieure en tout points à la monotonie des cigarettes. Paradoxalement, c'est en arrêtant de fumer que j'ai enfin trouvé le plaisir que la cigarette était censée m'apporter. Alors, vous êtes prêts à troquer vos clopes archaïques tueuses et au goût de cendre pour la cigarette du futur?
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Juliet (62 ans)
Nationalité Française
11 novembre 2016

Étant atteinte de BPCO,emphysème pulmonaire,maladie coronarienne et artérielle depuis des années,j'etais incapable d'arrêter la cigarette. Et je ne voulais pas arrêter. J'ai fait récemment une grosse extinction de voix,soignée aux corticoïdes en inhalation. Cela m'a décidé à m'arrêter. Pour ce faire,je suis passée à la vape,après avoir diminué drastiquement ma consommation de cigarettes,ce qui est beaucoup plus facile en en fumant que la moitié. Il y a une semaine,le 4 Novembre,j'ai commencé à vaper en arrêtant complètement la cigarette. Je me suis acheté un vapoteur avec un boîtier électronique réglable,et un e-liquide à 12 de nicotine. Je n'ai plus du tout envie de fumer,le vapotage me calmé très vite dès que j'ai une envie de fumer. Aucun effet secondaire n'est à déplorer. Je me sens déjà beaucoup mieux. J'avais essayé autrefois avec des timbres et des chewing-gums à la nicotine,mais cela me donnait des malaises désagréables,des nausées fréquentes et des crises d'angoisse et de dépression. Avec la vape,j'ai eu un malaise d'angoisse qui est passé très vite. Vu mon état de santé,il est hors de question que je refume du tabac,et je suis certaine que je vais tenir grâce à la vape. Je diminuerai le dosage de nicotine de l'e-liquide très progressivement dans l'espoir de pouvoir arrêter aussi de vapoter,mais ce n'est pas encore à l'ordre du jour. Surtout ne pas aller trop vite ! J'encourage vraiment les gros fumeurs à passer à la vape : bien dosé,ce produit donne autant - voire plus - de plaisir que les cigarettes. J'ai obtenu un goût proche de la cigarette,la vapeur est abondante,avec un bon réglage et un bon e-produit à votre goût,c'est le succès assuré. En cas d'envie de cigarette,avec la vape,ça passe tout de suite. Bon courage à ceux qui désirent arrêter,il y a moyen de réussir à tout âge,en se faisant plaisir grâce au vapotage. Merci.
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Georges (60 ans)
Nationalité Française
06 octobre 2006

J'ai 60 ans. J'ai fumé... Hélas, mais jamais je ne me suis considéré comme un grand fumeur. De la première "Gauloise" sur les bords du Léman où je me suis à moitié étouffé par suffocation, jusqu'aux 2 paquets par jours durant le service militaire, ponctuées par des arrets et des reprises. je reprenais à fumer car je croyais que la cigarette ne me manquait pas et que je pouvais cesser quand je voulais. archi faux. La cigarette me minait lentement, souffle court, plus de sport, ce gout de tabac qui transpire de la peau, qui colle aux vetements, ces bouts de doigts jaunis... conscient, j'ai décidé d'arreter en février 1991 tout net, sans rien d'autre que ma volonté. Et cela a suffit, lentement la vie a repris, après que les toux grasses du matin se furent estompées (2 ans), que petit à petit j'ai pu recommencer à sentir le parfum des fleurs et le gout des aliments, une nouvelle vie s'est insuflée à l'intérieur de mon corps. Je n'ai jamais plus touché à une cigarette. Un jour de mai 2004, ressentant une légère douleur à la mixion, j'ai subi une cytoscopie et là le verdict est tombé tragique, tumeur de grade 3 à la vessie, du au tabac, pronostic de vie 3 mois. J'ai été mis devant un choix drastique ou une ablation de la vessie ou une chimiothérapie sans garantie du résultat. J'ai opté pour une opération immédiate (chirurgie lourde, plus de 7 heures d'intervention, 3 jours de réanimation). Le miracle s'est produit grace à un chirurgien hors pair qui m'a sauvé. Parfaitement opéré il m'a aidé à me battre et à reprendre à vivre avec ce handicap très lourd. Deux ans après l'intervention, mutilante tant sur le plan physique que moral, je vous laisse imaginer les sequelles, j'ai un pronostic de survie de 85%, je me bat toujours, j'ai repris le sport et l'entrainement physique intensif, j'essaye de vivre normalement. Au fond de moi tout de même je ne peux m'empécher de me reprocher d'avoir touché à ces cigarettes, le cancer de la vessie est actuellement en rès nette augmentation, et le corps médical affirme qu'il est en étroite liaison avec la consommation de tabac. Imaginez mes jeunes amis mâles, ce que peut ressentir un homme, privé en pleine force de l'age, d'avoir des rapports spontanés avec une personne chère, de s'interdire toute rencontre, tout cela pour quelques cigarettes. Mais enfin il me reste la vie et je l'apprécie à chaque seconde.
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Vera
Nationalité CH
29 septembre 2023

Chers amis et amies Je viens de lire le témoignage de Roger qui est absolument super et juste ! Je vais vous raconter l'histoire comment j'ai arrêté de fumer: Il y a bientôt 20 ans, on avait découvert que sur les feuilles de tabac se trouvait de la radioactivité. Un journaliste d'un journal télévisé, demanda à un cigarettier s'il n'y avait pas moyen d'enlever cette radioactivité sur les feuilles de tabac. La réponse du cigarettier fut: "OUI, MAIS CELA ENLEVERAIT LE BON GOUT DE LA CIGARETTE !!!" Cette réponse me mit dans une colère noire et ma réponse fut très vulgaire et du fond du coeur: "Maintenant tu arrêtes de te foutre de ma gueule!" (pardon pour la vulgarité). J'ai éteint ma clope et j'ai dit "maintenant c'est terminé" ! Et ce fut terminé. Je n'ai plus retouché une cigarette depuis ce moment-là. Ma décision a bien fait rigoler les collègues qui voyaient bien que je fumais env. 1 paquet par jour. Ma colère noire qui persistait m'a aidé à tenir. J'ai bien sûr compensé avec du chocolat +quelques kilos, mais qu'est-ce en comparaison de ma liberté? JE NE SUIS PLUS OTAGE ! J'ai retrouvé ma DIGNITE, je suis LIBRE, c'est MOI qui DECIDE de la suite de ma vie+ de ma santé ! J'ai un meilleur goût, un meilleur odorat et une meilleure haleine . Chaque année je me fais un beau cadeau avec l'argent économisé ! Courage, les ami(e)s ! C'est vous qui décidez et pas la clope ! Amitiés Vera.
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Franck (59 ans)
Nationalité France
14 juillet 2021

Voilà mon expérience personnelle: Bien qu'asthmatique enfant et jusqu’au début de l’adolescence, j’ai fait comme les copains et suis tombé dans le panneau de la cigarette vers 17 ans. A cet âge on manque d’assurance, alors on ne va pas encore en rajouter en se distinguant des autres par le fait de ne pas fumer, on n’est pas un gamin !!! Dans les années 78-80 la cigarette était encore tendance et à la mode. L’époque ou la publicité pour le tabac était partout, dans les journaux en passant par la formule1, les magazines sportifs, le cowboy Marl… Dans les films le héro fumait forcément puisque c’était le héro ! On fumait au bureau, au resto, dans les trains, les avions, les discothèques et les salles d’attente, il y avait des cendriers partout les voitures, les compartiments de trains… Les messages de prévention commençaient tout juste à exister mais on n’avait pas trop envie de les entendre. Je vais avoir bientôt 60 ans et je fume donc depuis 43 ans, malgré quelques arrêts qui n’ont pas duré longtemps. J’ai bien failli gagner cette bataille en 2008 ou j’ai réussi a arrêté, et ce pendant 6 ans. Je pensais bien être tiré d’affaire, mais une période de ma vie accompagnée de relâchement lors de soirées arrosées où on se retrouve entouré de fumeurs et se voit tirer sur la cigarette d’un ami (erreur fatale) s’en suit la rencontre d’une grosse fumeuse et on glisse sur une pente savonneuse jusqu’à la reprise ! Depuis ce jour (2014) j’ai dans l’idée d’arrêter de nouveau puisque j’avais réussi à le faire une fois. Mais je n’ai aucune volonté, je le sais bien ! On entend partout « pour arrêter il faut de la volonté » (c’est surtout les non-fumeurs qui le disent) ignorants ce qu’est l’addiction à la nicotine. Bien que n’ayant jamais été un gros fumeur (une dizaine par jour) je n’arrivait pas à m’en passer et elles m’étaient indispensables, même dans mes activités sportives (Trial moto) qui est assez physiques. Même à bout de souffle, j’étais celui qui allume une cigarette pendant les poses, au moment de se désaltérer, en arrivant sur le terrain, en repartant en fin d’après-midi… A force de me trotter dans la tête cette idée à fini par voir le jour, et je me suis dit qu’il fallait absolument que j’arrête le tabac avant d’être à la retraite. Il me semble plus facile de faire des efforts tant qu’on est en activité, occupé quotidiennement et avec les contraintes liées à la cigarette (poses à l’extérieur obligatoire, limitées dans la journée) ce qui n’est pas le cas lorsque je suis chez moi puisque totalement libre d’allumer une clope avec le paquet sous les yeux et parfois une consommation qui augmente. Le 25 juin 2021 i y a 2 semaines et demi j’avais rendez-vous avec mon généraliste et je décidais de lui demander de me prescrire du Champix, j’en avais entendu parler et un collègue de travail avait arrêté ave ce médicament. J'ai d'abord été effrayé par tout ce que je lisais sur le Champix, la liste d'effets indésirables est si longue que même Tabac info service me l'a déconseillé en disant que la varénicline ne devait se prescrire "qu'en seconde intention" !?! C’est-à-dire réservé aux très gros fumeurs, très dépendants, ceux qui ont tout essayé…. Les cas désespérés ! Devant mon manque de motivation et le plaisir que j’avais a fumer ma cigarette si indispensable après le petit-déj, le café, l’apéro, le repas etc. (et en règle générale j’appréciais les 10 que je fumais puisque justement, je n’en fumais que 10, pas de cigarettes superflues) Je ne voulais pas passer par la méthode douce encouragée pas Tabac info service : les substituts Nicotiniques, gommes à mâcher, patchs… Il me fallait une méthode radicale même comportant « quelques » risques. Je me suis dit que c’était le prix à payer pour me débarrasser de ce fléau et j’avais vu trop de personnes autour de moi échouer avec les substituts pour recommencer après quelques temps. J’avais moi-même expérimenté cette méthode il y a quelques années sans succès. La cerise sur le gâteau à été la réaction de mon médecin. Il a presque sursauté en entendant le mot Champix ! Il me répond : « NON, je ne prescrit pas de Champix. Je l’ai fait 4 fois dans ma carrière et j’ai eu 2 fois des problèmes. Une patiente a voulu sauter par la fenêtre ! « Vous avez essayé l’hypnose » ? Evidement tout ceci n’était pas en mesure de me rassurer, mais j’insistais argumentant que je n’étais pas fragile, ni physiquement, ni psychologiquement et que les effets indésirables sont potentiels, pas systématiques. Le lendemain samedi 26 juin je passe à la pharmacie et prends ma première dose de Champix à 11h du matin (0,5 Mg le matin pendant les 3 premiers jours du traitement) avec le même enthousiasme qui si j’avalais une pilule de cyanure ! Je rappelle que ma consommation quotidienne est de 10 cigarettes, parfois je débordais 11 ou 12. L’après-midi je pars faire du sport et ne change rien a mes habitudes, le samedi soir je n’en avait fumé que 8 ! J1 : 0,5 Mg matin = 8 cigarettes J2 : 0,5 Mg matin = 6 cigarettes J3 : 0,5 Mg matin = 5 cigarettes J4 : 0,5 Mg matin/soir = 5 cigarettes J5 : 0,5 Mg matin/soir = 4 cigarettes J6 : 0,5 Mg matin/soir = 4 cigarettes J7 : 0,5 Mg matin/soir = 3 cigarettes J8 : 1 Mg matin/soir = 1 cigarette J9 : 1 Mg matin/soir = 0 cigarette J10 : 1 Mg matin/soir = 0 cigarette…. Depuis dimanche 4 juillet je n’ai plus fumé de cigarette, nous sommes le 14 ça fait dix jours. Les dernières avaient un gout moins agréable qu’habituellement. Je ne sais pas encore si c’est gagné, l’envie de fumer me traverse quelques fois l’esprit dans la journée mais ça ne dure pas et je tien bon. J’ai envie de dire, c’est là que la volonté entre en jeu : Quand on a fait une partie du chemin, au prix de quelques efforts (largement aidés par le médicament) il ne faut pas renoncer et faire demi-tour. En dehors des rêves complètement dingues qui ne sont pas des cauchemars (presque amusants, j’ai revu des personnes totalement disparues de ma vie et de mes pensées) des nuits entrecoupées et une certaine fatigue sans doute liée a mon activité cérébrale nocturne et aux moments de réveil successifs qui rendent les nuits moins réparatrices, quelques fois une légère nausée (pas méchant, ça passe) et occasionnellement une sensation de vertige (comme quand on a fumé un joint, pour ceux qui connaissent) pas plus d’effets indésirables. Je ne peux en rien préjuger des réactions de chacun, mais pour ma part le rapport bénéfice risque est sans appel, totalement positif ! J’ai lu que le traitement pouvait durer jusqu’à 12 semaines. Mon médecin m’a prescrit deux boite de 14 jours donc 28 J. Je suis au 18 jours et je pense avoir fait une partie du boulot. Je crois que 4 semaines de traitement devraient me suffire, si j’ai tenu 3 semaines sans fumer je suis sur la bonne pente. Pour moi qui ait déjà arrêté, c’est la règle des 3 qui s’applique : 3 premiers jours, une bataille de reportée, 3 premières semaines, une seconde, et si on a tenu 3 mois c’est presque gagné ! J’envisage de diminuer la dose par 2 la dernière semaine du traitement (semaine prochaine) 1 Mg seulement le matin (au lieu de 1 matin / 1 soir) et ainsi prolonger d’une semaine le traitement en réduisant le taux de varénicline progressivement. Je verrais si le besoin de nicotine refait son apparition, mais j’ai bon espoir. Je ne sais pas si ce témoignage sera utile a quelqu’un, mais quand je pense a toutes ces journées sans tabac et me dit que je suis entrain d’entrer dans le monde des non-fumeurs, ceux qui ont plus de souffle, qui ne sont plus esclaves de cette M… et tous ces euros que j’économise (pour info le médicament est totalement remboursé avec la mutuelle) je n’ai plus qu’une seule chose à dire : MERCI CHAMPIX .
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Satch (28 ans)
Nationalité Française
28 avril 2021

J’avais 26 ans et pourtant quelque chose clochait. Maux de têtes incessants depuis toujours, fatigue chronique, embonpoint... Je ne sortais jamais sans quelques comprimés de paracétamol ou d’ibuprofène car, au cours de la journée, les crises de migraines pouvaient être très violentes. J’ai consulté de nombreux neurologues, ORL, généralistes et même magnétiseurs pour essayer de soigner ces migraines qui me tuaient à petit feu. Aucun de ces spécialistes n’a su déterminer la cause de mon mal et je m’étais résolu, avec peine, à vivre avec pour le reste de ma vie. Résolu jusqu’à un jour de janvier, le 1er. jour de l’année 2020. Je ne vous fais pas de dessin : fête du réveillon particulièrement arrosée, deux paquets de cigarettes fumés, un état lamentable au matin, j’avais abusé et j’en payais le prix fort. Pourtant, ce 1er janvier 2020 est devenu le premier jour du reste de ma vie. Celui où j’ai décidé d’arrêter de fumer. Fier de ma nouvelle résolution, je me suis souvenu qu’une amie m’avait prêté il y a quelques mois l’ouvrage d’Allen Carr promettant le Saint Graal aux fumeurs que nous sommes : la liberté de s’affranchir des volutes nauséabondes de la cigarette. Je ne cacherai à aucun d’entre vous que j’ai commencé l’ouvrage à reculons. Je l’ai trouvé mal écrit et répétitif. Cependant, j’ai continué ma lecture me persuadant que je n’avais rien à perdre, encore quelques pages, j’aurais essayé… Mais au fur et à mesure de la lecture, un déclic s’amorça en moi. Et si ma future vie sans tabac, sans cette cigarette que je croyais indispensable, n’allait m’apporter finalement que du bonheur ? Et si moi aussi j’avais le droit à une énergie retrouvée, un porte-monnaie renfloué, un visage moins marqué, des dents moins teintées, une fatigue dissipée, un sommeil retrouvé ? Ça valait le coup d’essayer, non ? Alors je me suis accroché à cette carotte qu’on agitait devant mon nez. Et ce qui devait arriver, arriva très vite. La fatigue s’est d’abord estompée rapidement, comme un voile qu’on levait. L’ancien-fumeur que j’étais ne pouvait s’y résoudre : c’était simplement une coïncidence, ça ne pouvait pas être aussi simple. Puis le gout de la nourriture, et particulièrement des fruits est réapparu. Suivi d’une énergie à faire bouger des montagnes. Et tout ça dans les deux premières semaines. Et c’est grâce à toutes ces choses superbes qui arrivent à votre corps que les difficultés des premières soirées, des premiers verres en terrasse et des premières pauses entre collègue sans cigarettes sont finalement rapidement oubliées. Vous allez mieux et c’est tellement fort, que c’est tout ce qui compte. Au bout d’un mois, je constate que mes migraines disparaissent et je commence enfin à réaliser. Depuis tout petit mes parents ont toujours fumé à mes côtés (je ne les en blâme pas, la lutte contre le tabagisme des années 90 n’était pas celle qu’elle est aujourd’hui en 2021), puis à 16 ans, m’étant moi-même mis à fumer, je n’avais donc jamais expérimenté la vie sans cigarette… et sans migraines. Au moment où j’ai banni la cigarette de ma vie, j’ai laissé une chance à mon cerveau de s’oxygéner et le résultat ne s’est pas fait attendre, les maux de tête ont tout simplement disparu. (Avis à tous les migraineux, qui ne s’en sortent pas…). Le reste de l’année où j’ai arrêté, il y a eu plein de belles autres surprises dues à cet arrêt qui ont jalonné mon chemin : dents qui retrouvent leur blancheur, teint qui s’embellit, l’humeur qui s’éclaircit, le portefeuille qui se rempli… et le tout sans prendre un gramme (j’ai même perdu 10kgs en plein confinement cette année-là, quitte à se faire du bien et retrouver la santé : autant mieux s’alimenter !). Aujourd’hui ça fait 1 an et 5 mois que j’ai arrêté de fumer. J’ai la conviction que je ne refumerai jamais car je sais tout ce j’ai gagné et que, maintenant, le plus beau est devant moi. Il était important pour moi de vous livrer mon témoignage car ce site m’a énormément aidé via les témoignages de ces hommes et ces femmes qui ont mené ce combat avant moi. Aujourd’hui, c’est mon tour. Je finirai par dire à tous ceux qui souhaitent arrêter, que vous avez pris la bonne décision : le bonheur et la liberté n’attendent que vous. Alors offrez-vous cette nouvelle vie, vous le méritez tellement.
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Anonyme (27 ANS ans)
Nationalité France
29 décembre 2020

BONJOUR A TOUS JE SOUHAITAIS TÉMOIGNER DE MON ARRÊT DE FUMER 24 JOURS SANS UNE CIGARETTE NI MÉME UNE TAFFE JE PENSAIS NE PAS Y ARRIVER J AI COMMENCE LE TABAC ACTIF IL Y A 11 ANS J APPRÉCIAIS VRAIMENT FUMER ENTRE AMIS AVEC UN VERRE APRES MANGER QUAND J ÉTAIT AU TÉLÉPHONE AU VOLANT BREF JE FUMAIS UN PAQUET PAR JOUR PUIS J AI EU UN DÉCLIC UNE ENVIE UNE MOTIVATION ET J AI SAUTER LE PAS A VRAI DIRE LES PREMIERS JOURS J AI EU BEAUCOUP DE MAL J AI MÊME EU DES DIFFICULTÉS A GÉRER MES ÉMOTIONS TOUT ME RAMENAIS AU TABAC PUIS AU BOUT D UNE SEMAINE JE NE RESSENTAIS PLUS D ENVIE NI DE BESOIN ET LES BIENFAITS QUASI IMMÉDIATS M ONT MOTIVE LE GOUT L ODORAT LA RESPIRATION LE FAIT DE SENTIR BON FIN VRAIMENT JE REVIVAIS PUIS J AI DÉCIDÉ DE ME COMPLIQUER LA TACHE CÔTOYER MES AMIS FUMEURS MAIS SANS ALCOOL ET J AI RÉUSSI JE N AVAIS TOUJOURS PAS L ENVIE J AI DONC ÉTÉ PLUS LOIN BOIRE PLUSIEURS VERRES ET CÔTOYER DES FUMEURS ET LA J AI RESSENTI UNE ENVIE INTENSE DE FUMER UNE CIGARETTE JE PENSE QUE C EST L EFFET DE L ALCOOL J AI DONC PRIS UNE CIGARETTE DANS LES MAINS ET JE N AI PAS SU L ALLUMER PUIS CETTE ENVIE EST PASSÉE EN 3 MINUTES ET JE N AI PLUS RESSENTI LE BESOIN DE FUMER DE TOUTE LA SOIRÉE JE PENSE QUE JE SUIS SUR LA BONNE VOIX MES JOURNÉES PASSENT SANS QUE JE PENSE A FUMER J AI PERDU L HABITUDE ET JE SUIS FIÈRE DE MOI ET HEUREUSE DE NE PLUS ETRE DÉPENDANTE JE METS ENFIN DE L ARGENT DE COTE JE N AI PAS ENCORE PRIS DE POIDS NON PLUS APRES JE NE MANGE PAS PLUS QU AVANT FIN POUR TOUS CEUX QUI HÉSITENT FONCEZ VRAIMENT ET POUR LE COUP CETTE DÉPENDANCE EST VRAIMENT DANS LA TÈTE ET RIEN N EST IMPOSSIBLE.
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Anonyme (52 ans)
Nationalité Francaise
04 décembre 2019

Le plus dur ce n’est pas l’arret... mais de se demander pourquoi on ne l’a pas fait plus tot. 52 ans, 35 ans de tabagisme important : c’est la premiere fois que je suis capable d’ecrire ces quelques mots. J’ai saisi l’opportunité d’une operation chirurgicale pour arreter (ablation de la thyroide), c’était il y a 9 jours. Bien sur j’aurais préféré avoir la force de le faire dans des conditions moins extrêmes, mais tout est bon à prendre. Lire et relire les témoignages m’a tant aidé. (Bien plus que la note désinvolte des médecins à la fin des rapports « l’arret du tabac serait souhaitable » : pourquoi ne pas dire la vérité ? Et Ecrire « l’arret du tabac est indispensable et urgent » !) Jai certains moments d'euphorie en regardant le compteur qui est un outil génial. J’ai pas mal de symptômes de manque assez marqués et rendus plus pénibles par les suites opératoires mais finalement ce n’est rien par rapport à ce sentiment de gachis que j’avais depuis plusieurs années, quand chaque cigarette avait un gout de mort. Tous les cas sont différents mais bien souvent parmi les fumeurs compulsifs on retrouve des personnes en manque affectif, ou qui ont une peur bleue de l’abandon, blessures de l’enfance et de l’adolescence. Et alors cette cigarette, qui était le symbole ultime de la solitude, devenait notre amie pour toujours, avec la complicité des adultes censés nous encadrer : dans ma génération, on laissait fumer les gamines de 14 ans à l’ecole, à l’internat, dans les cafés....Ce n’est pas si vieux ! Ce que je veux dire aussi c’est qu’il aurait fallu marteler les messages de danger : même ados, au bout d’1 moment cela aurait sans doute permis des prises de conscience plus rapide, à un moment où le cerveau est si malléable. Apres c'est trop tard quand la drogue a pris son emprise et que votre ami indéfectible entreprend sa destruction de chacun de vos organes, et même de votre vie émotionnelle.
Partager sur:     
Catégories associées:
• 40 à 60 ans
• Femmes
• Fumeurs

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile

Jérôme (44 ans)
Nationalité Française
26 mars 2019

Bonjour, J'ai fumé de 18 à 43 ans. 1 paquet par jour. J'ai essayé plusieurs fois d'arrêter : Patchs, gum, rien n'a fonctionné. Lors de l'arrivée des e- cigarettes j'ai essayé bien sûr. Malheureusement après un début encourageant j'ai été confronté à des problèmes de fuites de e-liquide et d'autonomie. Très génant, j'ai repris la cigarette. Peu de temps après un ami m'a donné quelques informations très importantes : Il faut trouver sa e-cigarette. Celle qui conviendra à l'utilisation qu'on en fait. J'ai fait quelques recherche et j'ai investit 1 mois de "cigarette" dans l'achat de materiel pour e-cigarette. Un modèle plus serieux. Cela fait 18 mois que je vapote maintenant. J'ai commencé à 12 mg de nicotine et aujourd'hui je suis à 6 mg. Je n'arrive pas à descendre en dessous. Il m'arrive encore de me laisser tenter par une cigarette, souvent lors d'une soirée avec alcool, mais le goût n'est vraiment pas plaisant et au final c'est plutôt rare. Les dernières études montrent que la e-gigarette est 95% moins nocive que la cigarette. Alors même si je n'ai pas complètement gagné, j'ai en tout cas nettement amélioré mon hygiène et ma santé général. Sans compter que ma femme n'est plus obligé de supporter mon haleine, que je ne suis plus obligé de fumer dehors (dur l'hivers !) et que je n'ai plus besoin de me demander de ce que je vais faire de mon mégot quand je suis en ballade. Je pense bientôt réessayer de baisser le taux de nicotine dans mon e-liquide. A terme je souhaites toujours arrêter. La e-cigarette, lancez-vous ! Je ne dis pas que c'est la solution miracle mais enfin, que risquez vous ? 1 mois de budget cigarette redirigé vers la e-cigarette ce n'est pas bien méchant. Tentez le coup, beaucoup à gagner et pas grand chose à perdre !
Partager sur:     

Comment trouvez-vous ce témoignage ?

utile utile très utile très utile