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Livre Allen Carr

Etienne (41 ans)
Nationalité Française
15 septembre 2021

J'ai commencé à fumer à l'âge de 16 ans pour faire comme tous mes copains. C'était dégeulasse évidemment mais j'ai beaucoup travaillé et j'ai fini par devenir un vrai fumeur accro ! Je me rassurai en disant que je fumais un peu moins que la plupart mais j’étais tout de même à au moins 10/jours et souvent 20/jours… Et j’étais surtout incapable de me passer de tabac pendant une seule journée. Comme je trouve l’idée d’être dépendant de quoi que ce soit atroce, j’ai résolu d’arrêter et j’ai réussi plusieurs fois à le faire pendant des périodes assez longues. La première fois j’ai arrêté grâce à la remarque toute simple d’un oncle qui m’a dit que ça lui faisait de la peine de me voir m’abimer la santé. J’ai regardé ma clope et je l’ai écrasé sous ses yeux et ça a été la dernière… Avant 4 ans ! Et, oui, une grande occasion passe, un ami fume; et je lui demande une taffe. 1 mois après, j’étais à nouveau à un paquet/jour. Quelques temps passent et j’arrête à nouveau plusieurs années. Et ainsi de suite, 3 fois. Je replonge à chaque fois, à la faveur d’un grand événement. Aujourd’hui, j’ai lu attentivement le livre d’Allen Carr. J’ai surligné tous les passages chocs. Cela m’a permit de prendre conscience de ce qu’est vraiment la cigarette. Une drogue, un point c’est tout ! Exactement comme l’héroïne ! Donc quand j’arrête de fumer, je ne me prive de rien, je fais le plus beau cadeau possible à mon corps. Quand j’arrêtais auparavant, je pensais toujours me priver d’un plaisir, aujourd’hui, j’ai compris une chose sur la cigarette : il n y a absolument aucun avantage à fumer. Aucun !!! La cigarette ne soulage que partiellement le manque qu’elle a elle-même créé. C’est donc, une illusion de croire que j’aime la cigarette. Aujourd’hui, je prend la décision que plus JAMAIS JE N’INTRODUIRAIS DE NICOTINE DANS MON CORPS SOUS QUELQUE FORME QUE CE SOIT. Je recommande vivement la lecture du livre d’Allen Carr pour mieux comprendre les mécanismes de la dépendances et pouvoir lutter efficacement contre ce jeu de dupe qu’est le tabac.
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Anonyme (34 ans)
Nationalité française
07 décembre 2020

Bonjour, à mon tour de laisser mon témoignage car cela fait maintenant 3 mois que j'ai arrêté de fumer. J'ai eu envie de laisser mon expérience pour les personnes qui ne se sentent pas capables d'arrêter, qui pensent que la cigarette est plus forte qu'elles-mêmes; En effet, j'ai arrêté de fumer sans réelle envie, sans volonté, sans conviction, bref, sans être prête du tout. Je fumais depuis l'âge de 14 ans, au début j'avais mes petits paquets de 10 qui me faisaient 2/3 jours, et je suis très vite passé à un paquet de 20 cigarettes par jour. environ 1 paquet par jour, pendant presque 20 ans, sans jamais ne serait-ce qu'avoir l'envie d'essayer d'arrêter. Je me suis construite avec la cigarette, elle faisait partie de ma personnalité. Me retrouvant sans travail il y a quelques mois, et mon conjoint fumeur (mais beaucoup moins que moi) souhaitant arrêter, je me suis dit que c'était pour moi le moment ou jamais de faire une tentative puisque je n'avais plus le stress du travail, ni la tentation (collègues fumeurs). Alors un peu comme ça, je me suis dit: "fini ton paquet, et puis tu arrêtes, au moins ce laps de temps sans travail sera utile pour ta vie". Je n'avais pas du tout confiance en moi, je pensais bien sûr ne pas être capable de tenir plus de 2h. J'ai donc filé à la pharmacie acheter des patchs, des bonbons à la nicotine; sur internet acheter le livre d'Allen Carr, et au bureau de tabac acheter une petite cigarette électronique à cartouche! Malgré tout cet attirail, le soir même je pleurais toutes les larmes de mon corps en rêvant de redevenir une fumeuse qui s'assume (pfff, quelle bêtise, c'est comme si on disais "oui oui je sais que je vais mourir et je vous emm****!). ça a été vraiment très dur, mais je voyais chaque jour comme une victoire, comme un pas de plus vers une guérison. Je ne me suis presque pas servi des bonbons, les patchs pendant environ 1 mois et demi mais ensuite j'ai dû arrêter car je ne sais pour quelle raison, ils se sont mis à me faire des allergies insupportables, alors qu'au début je n'avais pas de problème. aujourd'hui je me sers encore de ma cigarette électronique, mais peu (une cartouche de 1.5mL me fait une semaine); elle est nulle cette e-cig et c'est volontaire! :-) je ne risque pas de trouver le vapotage aussi voire plus cool que la cigarette, car mon but est de me séparer aussi de la e-cig. Clairement pour moi, la partie n'est pas encore gagnée, car ma tête n'arrive pas à faire le travail de me détacher de cette cigarette, je me vois encore comme une fumeuse, je suis encore une septique des maladies causées par le tabac alors que j'ai les preuves sous le nez, je trouve toujours l'odeur agréable quand je croise un fumeur... Le chemin sera encore long et je suis restée dubitative concernant le livre d'Allen Carr, peut-être qu'il me faudra une relecture. Mais n'empêche "Je l'ai fait! , j'ai arrêté de fumer!" A moi la liberté de ne plus me préoccuper de mon stock de cigarettes, des horaires d'ouverture du bureau de tabac, d'être suffisamment en avance à un rendez vous pour avoir de le temps de "fumer ma clope", de laisser ma fille toute seule dans le salon pendant que je sors fumer dans le jardin, et j'en passe. Beaucoup de grands changements pour moi, j'ai un peu l'impression de m'être menti à moi-même depuis toujours et d'être aujourd'hui en train de construire une autre vie, que cette fois j'aurai choisi...
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Anonyme (33 ans)

28 février 2011

Lorsque j'ai fumé mes premières cigarettes je devais avoir 12 ans. J'avais une loupe qui me permettait grâce à la puissance du soleil de pouvoir allumer mes bouts de cigarettes ramassées avec mes amis. Ce n'était donc pas une histoire de faire comme les autres mais on était plus fasciné par le fait de pouvoir utiliser cette loupe pour allumer tout ce qui nous tombait dans les mains. La preuve lorsque j'ai perdu cette loupe quelques mois après je n'ai plus jamais refumé jusqu'à l'âge de 20 ans même si beaucoup de mes amis fumaient déjà . D'abord j'ai trouvé ça infecte et puis à force de ressayer j'en suis venu à acheter mon premier paquet tout en me disant que de toute façon je suis resté clean tout le temps puisque je ne bois jamais, je peux bien m'autoriser quelques cigarettes de temps en temps en ayant la ferme certitude que je pouvais arrêter quand je le voulais. Hélas 2 ,5 ,7 11 ans après je fumais toujours. J'ai essayé plusieurs tentatives qui se sont toutes soldées par un échec, chaque grand événement dans ma vie était l'occasion pour moi d'arrêter sans jamais tenir longtemps car je pensais à chaque fois qu'une cigarette de temps en temps ne maintenait pas la dépendance. Après une rupture, après un licenciement, après mon master, après mon mariage, après la naissance de mon fils, Anniversaire etc. Mais à chaque fois je me faisais avoir par cette drogue, la colère et l'euphorie étant les moments qui me faisaient plonger systématiquement. Je me rappelle qu'en pleine nuit alors que tout était fermé, j'errais à côté des bureaux de tabac à la recherche de mégots jouflus que je tirais avec amour, sans même me rendre compte des risques que je prenais, sans même me rendre compte que je devenais fou. EH oui c'est bien de la folie et je m'en suis rendu compte que longtemps après... Une autre fois après une énième tentative solennelle faite à ma femme, j'ai recommencé avec une terrible déception si profonde que je ne pouvais pas le dire à ma femme. Je fumais secrètement tout en continuant à éprouver de la fierté lorsque je recevais des félicitations venant d'elle . C'est dingue !! Pourtant aujourd'hui dans ma profession je suis cadre, c'est vous dire que j'ai toujours maîtrisé assez facilement tous les aspects de ma vie sauf la clope !! Donc lorsque je descendais la poubelle ma femme trouvait toujours que j'avais trop duré, je la descendais même lorsqu'elle était remplie à à peine 10% !! J'étais pressé d'aller vérifier le courrier à 10h (avec la certitude que le facteur dormait encore) pour y retourner à 11h et ainsi de suite Je sais que c'est ridicule mais je ne m'en rendais même pas compte de tout le poids de ma dépendance malgré le fais que je fumais en moyenne 8 cg/J. Je me mentais inconsciemment et je profitais de la moindre dispute (dispute que je causais) avec ma femme pour aller prendre de l'air !! Mais de toute façon elle n'est pas dupe elle m'a grillé depuis longtemps mais elle ne savait pas non plus quoi faire !! J'ai arrêté de fumer le 20 janvier 2011 à 17h après avoir lu 2 fois Allen carr en 2 jours (soit 480 pages en 2 jours) et consulté un tabacologue au téléphone... Ensuite j'ai écrasé ma dernière cigarette après avoir fait la synthèse de tous mes échecs. Aujourd'hui Ça se passe tellement bien et je suis presque sûr que je ne retomberai plus jamais dans cet engrenage mortel, débile et sournois !! Je pense que mon erreur est d'avoir cru que je pouvais m'en sortir seul sans aucune aide comme c'est le cas pour les autres aspects de ma vie. Faites vous aider si vous accumulez les échecs... Il suffit de peu pour s'en sortir définitivement. Ne jamais succomber à la plus petite TAFFE !!!!!
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alexandra (46 ans)
Nationalité France
31 janvier 2019

Bonjour à tous, J'ai 46 ans et suis fumeuse depuis mes 18 ans à peu près. Jusqu'à mes 35 ans, je ne ressentais aucune envie d'arrêter le tabac car j'étais jeune et pleine d'énergie.. mais le temps passe et la psychologie des gens change, notamment après avoir appris que j'avais une polyarthrite et que mon espérance de vie était par le fait diminuée de quelques années. De plus, après avoir consulté des tas d'articles sur cette maladie sur le web, j'ai appris que la maladie pouvait être le résultat d'un tabagisme de longue date. J'ai commencé à devenir hypocondriaque et à souffrir de cela. Plus aucune journée ne passait sans qu'un petit bobo ou gêne ne me fasse penser au pire! Le tabac est un piège pernicieux et redoutable car si le danger est bien réel, arrêter de fumer est si simple que cela en devient contradictoire. Pour ma part, j'ai lu le livre d'allen CARR (en finir avec la cigarette) et en le terminant, et même avant de le terminer, j'ai réaliser à quelle point on pouvait être autodestructeur. Il suffit de ne pas allumer une prochaine cigarette et de profiter de la liberté que cela nous procure. Lisez ce livre avec sérieux et concentration, il vous donnera les clés pour profiter de votre nouvelle vie sans tabac. Et pour ceux qui se sentent nul de ne pas y arriver, sachez que ce n'est pas de la volonté dont vous avez besoin mais de la pleine conscience que la vie peut être est belle sans la cigarette. Je vous envoi par ces mots toute ma sympathie, vous pouvez y arriver!
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chokri (37 ans)
Nationalité France
10 mars 2019

j'ai été fumeur pendant 17 ans, une dizaine de cigarettes par jour, et je viens d'arrêter et je suis non fumeur depuis 4 mois. J'ai arrêté sans substituts, les premières 15 jours sont les plus difficiles, j'étais complètement sevré de la nicotine après les deux premiers mois. maintenant je n'ai pas envie de fumer , mais c'est des idées, et non pas des envies, qui me viennent parfois, et dès que je sens l'odeur de la cigarette j'ai envie de vomir. Je peux dire selon mon expérience que pour réussir son arrêt, il faut une préparation psychologique qui consiste en deux choses: -comprendre pourquoi on fume, et comprendre le mécanisme de dépendance. une fois qu'on a compris cela on peut arrêter facilement. Pour soigner la fatigues j'ai pris du magnésium et de la vitamine C et je buvais beaucoup d'eau. Je conseil de lire le livre d'Allen Carr c'est lui qui m'a permis de sortir de l'enfer du tabagisme.
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Anonyme (43 ans)
Nationalité Suisse
20 juillet 2020

Bonjour, Après environ 15 ans de cigarette, j'ai arrêté de fumer il y a 2 mois avec le livre de Allen Carr. Il s'est passé un truc fou en moi avec ce livre! Un jour j'ai décidé de lire le livre qui dormait dans ma table de nuit en attendant le bon moment. Quelques jours après, comme indiqué dans le livre, j'ai décidé que c'était la dernière. Et voilà. Fini. Aucune frustration, aucune prise de poids, aucune tentation. La sensation que je n'ai jamais fumé, que c'est une vie antérieure, je regarde les fumeurs comme des extra-terrestres. Je continue à faire les pauses cigarettes avec mes collègues mais zéro envie. Rien. Je vous le conseille!! Au pire c'est le prix du livre et qq heures de perdues à le lire! Belle vie à tous sans tabac!
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Cédric (35 ans)
Nationalité Suisse
02 février 2011

Pour toi le *** GROS FUMEUR *** Eh oui... tu t'es toujours considéré comme un gros fumeur et ainsi tu penses ne pas pouvoir t'en débarrasser car tu connais au moins 15 "fumeurs occasionnels" dans ton entourage qui galèrent pour essayer d'arrêter, et forcément, toi, en tant que gros consommateur, t'aurais aucune chance d'y arriver, forcément... Hé bien, bonne nouvelle, selon mon expérience, en tant que gros fumeur t'as beaucoup plus de chance d'y arriver que les "occasionnels" pour les raisons suivantes : - la plupart des cigarettes que tu fumes sont une corvée pour essayer de satisfaire un pseudo besoin, ces cigarettes ne sont pas du tout associées à un plaisir. - t'as jamais essayé d'arrêter car en voyant les fumeurs occasionnels essayer d'arrêter ça te décourage. - comme gros fumeur, tu y penses continuellement et ça doit te bouffer intérieurement d'être esclave de cette chose. - la toux est plus grave chez le gros fumeur. Passons à la pratique. De mon côté, pour arrêter, j'ai mélangé les conseils et astuces du site "stop-tabac.ch" + le livre d'Allen Carr "la méthode simple pour arrêter de fumer". A partir du moment où j'ai commencé à consulter ces deux sources, il m'a fallu une semaine pour commencer à réduire ma consommation (= ce qui est une véritable torture psychologique, il faut le dire) puis ai arrêté d'un jour à l'autre sans le moindre médicament ou autre. Bon OK, je n'ai pas beaucoup dormi la première semaine car il manquait les "substances" à mon corps, mais je tiens à préciser que je n'étais pas en manque psychiquement. La prise de conscience des effets de ces substances m'a encore plus motivé à tourner la page. Un jour après ma dernière cigarette, je me suis déjà offert un beau cadeau pour me féliciter de cet arrêt étant totalement convaincu de ne plus jamais retomber dans le panneau. Depuis chaque fois que je pense (je parle bien de pensée et non pas de besoin) à la cigarette, je savoure pleinement de ce moment de libération et de plaisir de ne pas fumer, ouf... D'accord, j'admets que mes anciennes soit-disant envies de tabac se sont transformées en réelles envies de bouffe, mais bon c'est pas grave, la bouffe ne tue pas. De plus, suite à l'arrêt de la clope, j'ai plus d'énergie et élimine donc le surplus de nourriture dans un "surplus" de sport ce qui me convient parfaitement au final. *** Quelques chiffres *** -Âgé de : 35 ans -Fumé durant : 18 ans -Quantité : beaucoup trop ( un gros fumeur ne compte pas) -Nombre de tentatives d'arrêt : une seule et la bonne -Arrêt depuis : plus d'un an Message uniquement pour les "fumeurs occasionnels" : merci de transmettre mon message à votre entourage de "gros fumeur", SVP. Le conseil que je peux vous donner à vous est le suivant: arrêtez d'associer votre cigarette à un moment de "plaisir-détente" sinon votre cerveau ne va jamais être dégoûté de cette chose inutile et il sera ainsi trop compliqué de vous en débarrasser. Il faut que je vous parle de la question bizarre que l'on me pose fréquemment : "CA VA, TU TIENS?!?" ma réponse est la suivante: "je tiens rien, car y a rien à tenir, mais par contre pour répondre à ta question, je te confirme que je savoure chaque instant sans la cigarette !!" à croire que ces fumeurs tenaient quelque chose dans la main ou sur la tête quand ils avaient 12 ans avant de connaitre la clope, j'te jure... Sinon mon dernier conseil pour tout type de fumeur: lorsque vous voulez arrêter, "arrêtez par plaisir ou par dégout et savourez cette délivrance" mais "n'arrêtez surtout pas par contrainte", si vous voulez réussir. Je tenais aussi à féliciter les personnes qui arrivent à réduire leur consommation ou de se fixer un quota quotidien, car pour arriver à tenir de tels objectifs, il faut un mental incroyable, mon conseil, arrêtez totalement la clope c'est tellement plus simple ! Je vous souhaite beaucoup de succès et espère que mon message vous aidera à profiter pleinement de votre future délivrance.
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Judith (28 ans)
Nationalité française
01 novembre 2008

J'ai arrêté de fumer depuis 52 jours grâce au livre d'Allen Carr tout d'abord puis ce site internet. Jeune maman et malgré le fait que je trouvais l'idée de fumer ridicule et sans intérêt, malgré les maux de tête violents, la léthargie et déprime du sans souffle rien ne bouge (attention 17 ans d'addiction). Il a fallu attendre que mon ami déclare une violente allergie au tabac pour que je cesse ENFIN de fumer, qu'elle saloperie, la clope ! J'ai couru tous les jours la première semaine de sevrage (sans subtituts). Les 3 premiers jours sont les plus durs. Irritable, je cherchais n'importe quel prétexte pour me jeter sur une cigarette, mon ami non-fumeur ne comprenait pas la difficulté de mon arrêt, le troisième jour j'ai craqué et j'en ai grillé une, qui m'a fait un bien fou trente secondes, puis la crise de larmes, puis la résignation : Je veux être maître de ma vie, j'y arriverais coûte que coûte. Résultat, pas une seule cigarette depuis, pas un kilo en plus, une pêche d'enfer, la migraine a disparu comme les odeurs de tabac froid. J'ai de temps en temps envie alors je me tourne vers ce site ou je regarde la liste des motivations qui m'ont poussé à arrêter, ou je pense au fait que les compagnies de tabac ont bien entourloupé tout le monde avec leur merde et rien que d'y penser cela me redonne des forces, je veux être LIBRE. Parfois aussi, une déprime me gagne, quelle saloperie quand on y pense mais je me raisonne, je sais qu'il s'agit de mon accoutumance, qu'il faut du temps pour s'en débarrasser, mais chaque jour je suis plus forte, j'y ai déjà beaucoup gagné, je passe beaucoup plus de temps à m'occuper de moi, à lire, à danser, à courir sans m'essouffler, qu'elle joie !
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Lydia (28 ans)
Nationalité Française
29 janvier 2013

Bonjour à tous, Voilà on y est ça y est, 3 ans oui oui, 3 ans que j'ai dit stop le 1er fevrier 2010, incroyable non? j'ai 28 ans et j'ai commencé à l'âge de 13 ans puis confirmé à 15 ans en tout un peu plus de 10 ans à fumer!! je voulais dire merci à ce site génial que j'ai squatté des heures durant!! juste pour vous dire que c'est possible, lisez allen care c'est top ce livre ça aide vraiment je trouve, biensur j'ai continué à fumer à la fin du livre mais au moins j'avais compris l'illusion de la clope, tout ces médias qui nous aident pas à arrêter, ils en font une montagne insurmontable faut arrêter ils aiment biens qu'on leur remplis les caisses!! ne compte que sur toi même pour arreter et dis toi que c'est pas insurmontable c'est eux qui te mettent ça en tete!! du coup rien que pour arreter tes déjà en trans!! prend des patchs et des gommes ça aide aussi, va courir c'est trop bien, et dis toi que le temps passe vite, trop vite, donc avec ou sans ton arret le temps passera, autant que tu sois dans le bon wagon à l'arrivé!! c'est ce que je me suis dis, et dis toi que le manque passe c'est vraiment les premiers jours l'on y pense mais après jour après jour on est tellement contents!! moi je laisse les fumeurs fumer dans ma voiture et je les accompagne dehors au bureau pour fumer, tous mes amis sont fumeurs, je n'ai rien changé à mes habitudes de la vie, je fais tout comme avant même mon café le matin je le prend, sauf que j'allume pas une clope pour 2 minutes c'est tout, le soir avant le film je prend toujours mon thé sauf que je sors pas pour fumer, en vacance sur la plage le soleil brille autant sauf que je dors mieux sur ma serviette, le matin c'est pareil je suis toujours en retard sauf que j'ouvre pas les vitres de ma voiture!!! c'est tout avec mes copines on discute toujours autant autour d'un bon coca ligth sauf que j'ai rien à la main... oui vraiment la vie est pareil toujours aussi belle!! sauf qu'on respire mieux, qu'on fait plus de sport, mais on aime toujours autant se poser au resto ou sur la terrasse, dite vous que c'est pas la clope qui fait les bons moments c'est vous qui passez un bon moment, elle n'améliore en rien mais vraiment en rien tous ces plaisirs de la vie!!! faut juste passer le cap du manque physique qui est un peu douloureux mais tout passe!! après c'est que du bonheur... la vie est belle et passe trop vite... pensez y... je vous souhaite de réussir sur le chemin de la guérison, de dégager tous ces nuages gris et de découvrir ce beau ciel bleu....Bon courage ce n'est pas une montagne c'est vous qui en faîte une montagne!!!!
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Mélanie (35 ans)
Nationalité Suisse
23 juin 2009

Bonjour à tous (témoignage dans le but de motiver les fumeurs qui n'arrivent pas ou ne se décident pas à arrêter), J'ai fumé de l'âge de 16 ans à 35 ans env. 1/2 paquet par jour (sauf durant les soirées arrosées, alors là les 2 paquets y passaient !!) et j'ai arrêté le 2 juin dernier grâce notamment au livre d'Allen Carr, "la méthode simple pour arrêter de fumer" qui ouvre les yeux sur d'autres horizons que les fameux "fumer est mauvais pour votre santé" etc. Je tiens également un journal de bord où je note différents états d'âme et surtout ce qui m'aide beaucoup c'est que je vais sur des sites (comme celui-ci par ex.) où il est expliqué en détails exactement les dégâts que provoque la cigarette sur l'intérieur et l'extérieur du corps. A contrario, se renseigner sur ce que l'arrêt de la cigarette contribue à améliorer au jour le jour dans le corps est également très motivant, à savoir que l'on retrouve très vite du souffle, de l'odorat, une peau plus nette et des dents plus blanches, cela se voit très vite (je témoigne) ! Au bout de quelques heures seulement le taux de nicotine diminue dans le sang jusqu'à disparaître complètement, bref il y a des tas de choses positives qui se produisent quand on arrête de fumer ! Il n'est jamais trop tard et pour l'instant (je touche du bois) j'y arrive sans substituts ni médicaments car tous les jours je me dis que c'est la meilleure chose et la plus censée que j'aie faite dans toute ma (pas encore très longue) vie !! Ah oui, j'oubliais, super important : L'ARGENT ! Qu'est-ce que c'est agréable d'ouvrir son porte-monnaie et se dire qu'on a toujours plein de monnaie sur soi ! En plus je n'ai pas pris de poids, le fait d'arrêter provoque aussi l'envie de manger plus sainement et il est tout à fait possible de ne pas prendre de poids, ou très très peu, n'ayez pas peur de ça. J'ai deux enfants (2 et 10 ans) qui ont encore énormément besoin de moi, je n'ai pas envie de dépérir devant eux, en espérant que cette cochonnerie n'ait pas provoqué trop de dégâts en moi et qu'ils soient réparables ! BONNE CHANCE A TOUS LES FUTURS EX-FUMEURS ça en vaut vraiment la peine.
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Nathalie (48 ans)
Nationalité Francaise
17 février 2016

J'ai 48 ans et j'ai commencé de fumer à 13 ans. C'était les parents, la famille qui me proposaient lors des fêtes en me disant "une petite clope" c'est rien, sauf que cela est devenu pour moi ma "béquille". A 20 ans je fumais un paquet et demi par jour. J'ai arrêté de fumer il y a maintenant 8 ans. J'avais déjà essayé plusieurs fois d'arrêter, plusieurs méthodes aussi et après plusieurs rechutes je ne fume plus. Cela a été un long travail sur moi-même. En fait j'ai mis deux bonnes années pour arrêter de fumer complètement avec arrêt et rechutes. Alors j'ai recherché des témoignages et une amie m'a parlé de ce site et j'ai lu et relu plusieurs témoignage et cela m'a permis de mûrir et tester ma motivation et de me sentir comprise. Au début cela a été l'horreur, j'étais triste, c'est bête à dire mais je savais qu'il fallait faire mon deuil du tabac et rien que le fait de savoir que cela était irréversible de me dire tu ne pourras plus jamais fumer me terrorisait Ce site m'a aidé car pendant l'arrêt j'ai eu beaucoup de période de doutes avec des envies très fortes de fumer à nouveau. Quand le moral était au plus bas je lisais les témoignages du site et cela me redonnais espoir de savoir que d'autres étaient passés par là. J'ai même fumé en lisant les témoignages et puis un matin j'ai vraiment décidé d'arrêter. J'ai également lu un livre "la méthode simple pour arrêter de fumer" d'Allen Carr. Aujourd'hui dans une soirée, il y a toujours une personne pour me proposer une cigarette, j'hésite toujours un petit moment et je revois le travail, la force qu'il m'a fallu pour y arriver et je repense à mes moments de grande solitude et tristesse à l'arrêt et cela me suffit pour dire non. Côté santé, au début j'étais souvent enrhumée, triste, irritable. Maintenant je peux mesurer les bénéfices de mon arrêt : - j'ai retrouvé mon souffle, plus jolie peau, sommeil amélioré, alimentation plus saine, diminution de ma consommation d'alcool, diminution de maux de tête, meilleure haleine. Financièrement je m'y retrouve et surtout je suis libre, je n'ai plus à me dire as tu pensé a acheté des clopes pour le weekend ? etc... L'année dernière lors du réveillon de l'an j'ai fumé une cigarette, j'ai eu peur je me suis dit ça y est je vais replonger et puis non j'ai pensé à nouveau à ce long parcours du combattant et je me suis dit non je ne veux plus le revivre. Je pense qu'il faut l'avoir décider et surtout prendre cette décision pour soi. Petite astuce qui marchait pour moi, à chaque fois que j'avais envie de fumer je comptais jusqu'à dix car je savais que l'envie durer que quelques secondes et ensuite je sentais l'envie qui s'estompais. Je vous souhaite de réussir dans votre décision d'arrêter et surtout de ne pas culpabiliser, si vous reprenez une cigarette et de vous rappeler avec fierté toutes celles que vous n'avez pas fumés juste avant et que vous recommencerez à arrêter jusqu'à ce que votre pensée se dirige vers autre chose et qu'arrive enfin la délivrance et la liberté. Nathalie
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Marianne (29 ans)
Nationalité Francaise
19 avril 2022

Plus d'un an maintenant que j'ai arrêté. Je me suis juré de laisser mon (long) témoignage sur ce site si j'arrivais au 1 an d'arrêt, car ce sont ces témoignages qui m'ont énormément aidé dans les moments de doute et de fébrilité. Si cela peut aider qqn comme les autres ont pu m'aider. Je fumais depuis mes 17ans. J'ai démarré bêtement au lycée en prenant des paquets à mon père avant d'acheter les miens. Pendant 11ans, j'ai été fumeuse "modérée" à savoir entre 8 et 12 cigarettes roulées par jour. Sauf en soirée où je ne comptais pas. J'ai aussi eu une période cigarette électronique pendant 2-3ans sans pourtant vouloir arrêter . C'était "moins" dangereux et surtout moins de problème d'odeur, de pause clope en extérieur.. mais je l'avais tout le temps au bec et un jour d'entraînement de basket, ma respiration s'est emballée, impossible de reprendre mon souffle, trop d'eau dans les poumons j'ai cru que j'y restais. Ca m'ait passé au bout de quelques secondes mais ca m'a bien fait peur. Je suis revenue à ma bonne vielle roulée et à tous ses mégots. Logique🙄 Car oui, être fumeuse ne m'empêchait pas d'être sportive, c'est le grand paradoxe du cliché sportif. Et pourtant nombreux sont les sportifs amateurs fumeurs. Malgré un rythme d'entraînement assez modéré (7h semaine, c'est pas non plus du haut niveau), la clope n'a pas spécialement nuit à mes performances sportives du moins pas les premières années. Ajoutez à cela le fait que c'était aussi mon métier (responsable management sportif). Je n'ai pourtant jamais assumé auprès de certaines personnes d'être fumeuse sachant que cette image pouvait être degradante ou décevante à leurs yeux et du jugement qu'ils pourraient porter. Que ce soit envers mes parents, notamment ma mère pour qui les sermons sur la clope étaient permanents, mais aussi les membres de ma famille comme oncle tante grand mère...même si avec le temps ça se savait, je n'assumais toujours pas le geste de fumer devant eux. Mais également auprès de mes collègues de travail actuels, les petits basketteurs et enfin surtout ma copine à qui je n'ai rien dit pendant les 6 premiers mois de notre relation. Une honte pour moi de montrer cette image dégradante en contradiction avec les valeurs et la fierté du sport que je portais. J'avais à l'esprit la réalité du problème mais l'insouciance de m'y intéresser. En revanche, pour tous les amis, les coéquipieres, mon frère, mes cousins...les personnes qui m'entouraient directement, aucun problème avec eux pour en allumer une. La plupart l'étaient aussi. Mais surtout le problème était que j'adorais fumer. Il y a encore peu de temps je me demandais "mais comment les non fumeurs font ils pour ne pas fumer ou n'avoir jamais envie de le faire". Comme tout le monde, un soir de nouvel an, on prend la résolution d'essayer d'arrêter de fumer car on sait tous qu'en soit cela n'est pas une bonne chose. Mais quand on est pas convaincu et qu'on a pas spécialement l'envie ni la contrainte de le faire, et bien on ne fait rien c'est bien logique. Pourquoi se priver de ce qui nous donne du plaisir. Et c'est finalement quand on se rend compte à 27ans qu'on ne sait plus gérer l'effort, à l'entraînement ou dans la vie de tous les jours, qu'on commence à réaliser les effets sur le physique et cette vieillisse accélérée. Manque de souffle, d'oxygénation, de récupération, de force, d'endurance...pour courir après un ballon ou monter les courses au 2eme étage.. On se dit qu'on va réduire pour s'aider un peu. Et c'est là que le déclick survient : finalement on se rend compte qu'on ne peut pas réduire, qu'on ne peut plus arrêter même l'espace de 5h, qu'on a une réelle dépendance, que la cigarette n'est plus une option comme au début. Dès qu'on se prive, on multiplie l'envie d'en fumer une voir 2 d'affilé. Et c'est dans ce constat de dépendance, en fumant clope sur clope, le problème à l'esprit que je décidais d'arrêter. Mon arrêt ne fut pas simple, il s'est fait en 2 fois à cause d'une rechute mais qui était nécessaire pour mieux réaliser le second essai. A tous ceux qui ont rechuté : ce n'est pas grave, c'est une preuve que vous avez pris conscience du problème et que vous tenter de le résoudre. Essai 1 jour 1 : arrêt total sans aucun substitut. Je suis dans un état de nerf en fin de journée qui me pousse à aller au tabac pour prendre une de ces nouvelles mini cigarette électronique à cartouche. Pour ne pas gâcher ma tentative, je prends du zéro % de nicotine, j'ai lu que c'est juste un manque comportemental qui me pousse à fumer et que finalement la ecigarette était une bonne aide à l'arrêt. Le soir même je pleurais comme une enfant de cette privation.. Essai 1 jour 2 à 30 : je conserve cette mini cigarette avec des cartouches de nicotine supérieure : 12%. Je savais que cette dose était trop importante pour moi, j'étais un profil 6% avant, mais il n'y avait pas de dose intermédiaire pour ce genre d'appareil et je ne voulais pas réinvestir dans une "vraie" ecig plus chère. Avec le temps je me rends finalement compte que cette méthode me coûte bien plus chère que prévue et surtout que je suis plus dépendante à la nicotine qu'avant...bravo comme une débutante 👏 Essai 1 jour 30 à 45 : Je me mets comme objectif de ne plus fumer à Noël et passe par 10 jours de chewgum nicotine et 5 jours sans rien. Je suis à la suite de ça psychiquement fatiguée mais contente de cette avancée dans ma routine. Cependant, je me retrouve confrontée pour les fêtes à des anciennes situations de fumeurs auxquelles je ne m'étais pas préparées : le train et l'attente entre les correspondances puis cette privation certaine qui m'attendait d'être entourée de ma famille. A peine arrivée pour les fêtes, je rachetais des cartouches 12%. Essai 1 jour 45 à 100 : consciente cette dépendance aux substituts qui me coûtent cher, je me resouds à réinvestir dans un vrai "calumet" comme je l'appel avec ses options, son dosage et ses arômes pour finalement pas si cher que ça. Mais ce truc n'a finalement pas l'effet escompté sur moi, physiquement cela me donne la nausée, m'étouffe (encore) dans l'effort. Je me surprends même à une soirée à fumer une clope plutôt que ce truc me disant que c'est "juste"pour la soirée. Les jours suivants, une méga rage de dents, dont la ecig n'y est pas pour rien (beaucoup d'agents dans les vapeurs et vasoconstriction des gencives), me fait littéralement plier. 4 mois après ma décision, j'abandonne toutes ces pseudos solutions qui auront finalement monopolisé mes pensées, altéré fortement mon humeur et mes coups de deprime au point de déstabiliser mon couple, ruiné tout autant que lorsque j'étais fumeuse. Je me suis retrouvée pendant un bon mois à fumer, fumer, enchaîner les paquets comme pour me rattraper de cette privation. Et bien sûr à cacher cet échec à ma copine. Et un jour, jai finalement fini par m'en dégouter, et me dégouter moi même de la machine à fumer que j'étais devenue. Je fumais à presque vomir parfois. Mais il fallait faire les choses plus intelligemment que la dernière fois. J'ai profité d'un énième confinement de 15 jours chez mon père, dans l'air pur des Alpes, devant qui je ne fumais pas et où les activités sportives étaient quotidiennes. C'était la quinzaine parfaite pour passer les premiers jours de dépendance physique. La dépendance comportementale suivrait ensuite. Le 8 avril 2021 à 19h j'eteignais la dernière clope en arrivant chez lui . Les premiers jours furent les plus compliqués psychiquement. Essai 2 jour 1 : 20h après l'arrêt, dans une forte fatigue mentale, une occasion se présente à moi pour m'échapper de la maison prétextant un achat à la pharmacie. Je suis bien allé à la pharmacie faire mon achat initial mais j'y ai egalement acheté une boîte de pastilles nicotine faiblement doséed. Ça serait pour les moments certains où le besoin physique du corps serait trop fort : après un café ou un verre d'alcool même s'ils sont depuis limités. Dans la voiture sur le retour, je me suis retrouvée avec la cigarette dans une main et le briquet dans l'autre. J'ai hésité pendant bien 10mn. Et c'est à ce moment là où ma volonté s'est affirmée de vouloir réussir. "Je ne la fume pas maintenant, je la fumerai plus tard". Et c'est depuis ce jour que j'ai systématiquement repoussé l'occasion de fumer, en ayant pourtant tout à disposition. "J'ai bien tenu hier, ça fait 24h, je peux tenir plus, je fumerai demain" Essai 2 jour 2 à 15 : très fatiguée les 3 premiers jours, j'occupe tout mon temps libre par le sport de plein air. J'ai besoin d'être occupée de me défouler ! Et quand ce n'est pas le sport, c'est ce site et tous les autres qui dénoncent les méfaits du tabac qui m'aident à me convaincre du bon choix que j'ai fait. Je prends les pastilles une fois de temps en temps quand cela m'est vraiment nécessaire la première semaine, et puis finalement j'aborde le même système : essayer de ne plus en prendre car tant que j'étais sous nicotine, j'étais fumeuse. Et cela devient assez simple pendant ces 15 jours. Je me retrouve même au 15eme jour à boire des bières chez une amie qui fume devant moi. Mon cerveau est en alerte et je décide finalement de partir quand cela est devenu trop frustrant d'autant plus après 3 bières, on est plus vulnérable. Jour 15 à aujourd'hui : le travail ne s'est pas arrêté après ces 15 premiers jours bien au contraire, c'est là qu'il a démarré. Après cette cure physique il fallait maintenant surpasser tous les moments du quotidien, aussi appelés "dépendance comportementale", en ayant à l'esprit "qu'une seule et c'est foutu tu repars de zéro". Dites vous bien qu'il ne faut plus jamais refumer quand vous êtes arrivé à vous en passer physiquement, quand vos récepteurs ne vous envoient plus de signaux de manque. J'ai lu le livre de Allen Carr "en finir avec la cigarette" comme soutien de mes premières nuits de retour à la vie normale et j'avoue qu'il m'a confirmé mon choix et mes pensées. J'ai mis mes restes de feuilles, tabac, calumet et arômes dans un sac dans un coin afin de le donner à un ami fumeur. Ensuite c'est un combat au quotidien où chaque situation fumeur doit se transformer en non fumeur au moins une fois : La journée boulot classique, le WE actif ou cocooning, l'apéro du vendredi, le voyage en train pour voir sa famille, les vacances, la 3eme mi temps... Et c'est gagné. Perso au bout de 2 mois vraiment je ne me sentais plus dans cette lutte constante. Mais il faut rester vigilant car il m'arrive encore lors d'une soirée trop arrosée avec des fumeurs qui vous parlent à 50cm du visage d'être tentée, d'être vulnérable. Et même dernièrement j'ai repris l'avion, chose que je n'avais plus faite depuis des années et pour laquelle j'étais fumeuse la dernière fois. Mon cerveau m'a mentionné la cigarette avant d'aller en salle d'embarquement alors qu'elle était sortie de mon esprit pendant des mois. Aujourd'hui je me sens vraiment libre. Je n'ai plus jamais cette idée de fumer qui me vient à l'esprit même après le café ou l'alcool. C'est dur à croire quand on est dans les premiers jours d'arrêt, on pense que cette facilité n'arrivera jamais. Et finalement un beau jour on y pense plus et on ne s'en rend pas compte. Quand je vois tous ces jeunes qui sortent fumer à la récré (je bosse désormais dans un lycée) je me dis que comme moi ils le regretteront un jour mais qu'ils sont actuellement dans un engrenage dont ils n'ont pas conscience. Nous sommes manipulés. En revanche lorsqu'on est fumeur, le corps est anesthésié de nombreux maux, tellement il lutte contre la clope, il lutte aussi contre tout le reste. Et lorsque qu'on arrête, ces maux qui nous sont propres reviennent : pour ma part ce fut les dents, retour du bruxisme de ma jeunesse et de nombreux traitements pour caries et couronnes. Légère allergie au pollen aussi au printemps que je n'ai jamais vécue avant. Mais retour à des poumons sains, à une oxygénation optimale, à une vivacité et une énergie permanente, un temps incroyable gagné tout comme l'argent économisé. Maintenant je me dis "mais comment font les fumeurs pour fumer". Je me sens convaincue dans mon choix mais je garde à l'esprit que le risque zéro n'existe pas quand je vois que certains profils replongent après des années d'arrêt. Il faut penser autrement et être convaincu de ce qu'on pense. Courage à tous ceux qui tentent! Rien que le fait d'essayer prouvent que vous y arriverez même si tout ne se fait pas pas facilement ni en un jour. Je vous souhaite de retrouver votre liberté
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Marcel (76 ans)
Nationalité Suisse
26 avril 2011

J'ai fumé de l'âge de 15 ans à celui de 65 ans. A l'âge de 45 ans j'ai arrêté la cigarette durant 5 mois ce qui fait qu'en recommençant j'ai fumé 40 cigarettes par jour au lieu de 20 !! En juillet 2001 en vacances en Italie mon épouse et moi avons enfin lu le livre que nous avions à la maison depuis 4 ans au moins : " La méthode simple pour en finir avec la cigarette " de Allen Carr auquel nous ne croyions ni elle ni moi. Après 2 semaines (alternée elle et moi) de lecture de ce livre et en ayant fumé beaucoup plus que d'habitude de retour en Suisse le 9 juillet nous avons fumé la dernière cigarette. Depuis bientôt 10 ans (09.07.2011) nous n'avons plus jamais repris. Ceci ne m'a pas évité un double pontage le 18 août 2008 et un rapport qui mentionnait : Suite à un abus de nicotine. Bon courage.
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FRANCK (42 ans)
Nationalité FRANCE
24 août 2012

Bonjour, J'ais arrèté en 2003 la cigarette avec le livre d'Allen CARR et je n'ais jamais eu envie d'en reprendre une. J'ais perdu mon père et mon travail dans la foulée... Il me restait des cigarres à la maison et j'ais repris à fumer avec eux jusqu'à avant hier... Je suis allé dépenser 90 chez une accuponctrice sans réussite... 60 chez un "kiné" sans réussite... J'ais alors relut le livre d'Allen CARR et je suis enfin libre et ce, sans manque depuis mardi 15h30 ! Je vous conseille cet ouvrage au plus haut point !!! Cumulé à votre volonté d'arrèter, c'est la meilleure arme et la moins chère... Franck CHARTIER
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Anonyme (43 ans)
Nationalité Suisse
04 février 2020

Bonjour à toutes et à tous. Je tenais à faire ce petit témoignage : cela fait 2 mois que j’ai arrêté de fumer sans « manque » et « sans volonté ». Je vais parler de la seule méthode (selon moi et ma propre expérience) qui fonctionne vraiment pour arrêter de fumer. La méthode d’Allen Carr : Au début on m’avait recommandé d’acheter le livre « la méthode facile pour arrêter de fumer » que j’ai lu plusieurs fois mais sans succès d’arrêter facilement la cigarette pour autant. Je connais des personnes pour qui le livre a très bien fonctionné. En 18 ans de tabagisme, j’ai tenté d’arrêter plusieurs fois par la volonté mais quel cauchemar : prise de poids rapide car compensation par la nourriture, irritabilité, j’ai essayé une fois le patch (plus jamais et cela ne fonctionne pas au contraire, le patch renforce l’addiction à la nicotine !!!), bref impossible de « tenir ». J’avais entendu parlé des cours collectifs organisés par l’association Allen Carr et je me suis inscrit. Le cours a duré toute la journée (avec des petites pauses- cigarettes et un repas) et à la fin du cours j’étais libéré de la cigarette pour de bon.
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Marie-Laure (48 ans)
Nationalité française
29 décembre 2016

Cela faisait des mois sans doute même plusieurs années que je cherchais un moyen d'arrêter de fumer. Puis un jour lors d'une visite médicale professionnelle, le docteur me donna une photocopie avec le livre d'Allan Care "'c'est simple d'arrêter de fumer". La politesse me poussa à prendre ce papier mais sans aucune conviction. J'avais déjà tout essayé, les patchs, les médicaments et rien n'y faisait alors comment un livre pourrait venir à bout de cette dépendance. Je fumais environ 1 paquet par jour. Puis un jour j'ai malgré tout pris la décision d'acheter ce livre mais il resta encore un long moment dans mon sac sans que je ne regarde pas même la première page. Puis je fini par m'en saisir après tout je n'avais rien à perdre. Et je fus très étonnée de constater que je pouvais me passer de tabac et encore mieux sans aucun manque. C'était magique. Je n'en reviens toujours pas et du coup ne comprends pas que ce livre ne soit pas plus médiatiser. Sans aucun intérêt bien sûr je vous recommande d'essayer. Bien sûr je suppose qu'il faut que la motivation soit bien présente mais la situation du moment n'a quant à lui aucune incidence. J'étais moi-même dans des conditions qui au départ ne semblaient pas être bénéfique pour un essai et pourtant.... Courage à vous et partagez vos expériences
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Anonyme (34 ans)
Nationalité Inuit
13 août 2021

Le 19 août 2021 cela fera 2 ans que j ai arrêté de fumer. Le tabac a tellement disparu de ma vie que des fois j'en oublie avoir été fumeuse pendant 20 ans à raison d un paquet tous les 2 jours et d avoir mis en péril ma santé et mes économies... La vie est tellement mieux sans tabac! Le jogging çà n a rien a voir! Maintenant j aime courir et j arrives même a tenir 30 min! Je ne suis plus esclave, plus celle qui allait courir paniquée le dimanche dans les rares bureaux tabac d ouvert de peur de manquer. Celle qui faisait des provisions de clopes les veilles de jours fériés et qui allait se cacher pour fumer pendant les réunions familiales. Franchement... ne vous imposer plus cette torture et arrêter! Apres 2 ans je n y pense absolument plus, les gens peuvent fumer à côté de moi ça ne me fait rien...le cigarette n existe plus du tout dans ma vie! Je vous conseil à tous la méthode simple pour arrêter de fumer d Allan car et je remercie cette homme pour toutes les vies qu il a sauvé.
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Anonyme (54 ans)

04 août 2021

Bonjour, Je reviens ici au bout de presque 6 ans d'arrêt du tabac (arrêt le 29 août 2015). Je suis si heureuse d'avoir gagné cette bataille ! J'ai un seul regret, c'est de ne pas avoir arrêté avant. J'ai fumé pendant près de 30 ans et j'ai beaucoup de chance car, je viens de faire une radio des poumons et tout va bien !! Ce qui m'a aidé à arrêter la cigarette, c'est la lecture du livre d'Alan Carr. J'ai eu un veritable déclic ! Avant ce dernier arrêt, j'avais essayé d'arrêter de fumer à plusieurs reprises, sans succès. Ce qui a tout changé, c'est que j'ai arrêté de me dire que ce serait dur de ne plus fumer. J'étais une très grosse fumeuse (de 1 paquet à 2 parfois lors de soirée), si j'ai pu arrêter sans difficulté, tout le monde peut arrêter ! Bon courage ! Vous pouvez le faire !
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